Pour Son Plaisir (10)
10 Le code
Un bref rappel de la situation : je mappelle Cédric, je suis un jeune homme de 20 ans. Il y a maintenant un an, jai rencontré Jacques, un peu par hasard lors de mes entraînements à la piscine. Nouvellement arrivé dans la région, je navais pas encore damis. La rentrée à luniversité me tardait. Jacques ma pris sous son aile. Quelques semaines ont suffi pour que je vive avec lui, prétextant nimporte quoi avec mes parents, qui finalement nont pas fait dhistoire.
Jétais puceau. Javais bien sûr joué avec des copains dans ma région dorigine à des comparaisons de sexes ou à se branler
mais avant Jacques, je navais pas connu dhommes. De nature timide, je me suis laissé entraîner par Jacques dans une forme de soumission totale : épilé, tête rasée, circoncis
Jamais je naurais cru pouvoir accepter tout cela. Les dernières vacances et donc mes vingt ans, je les ai passées dans une école un peu spéciale où jai subi humiliation et soumission. Jai aussi appris à conduire et jai eu droit à des études déconomie et de droit assez poussées.
Après cette école un peu spéciale, où jai passé lété à la demande de Jacques, je suis revenu à la villa dans la région bordelaise, puis à lappartement bordelais. Le soir de mon retour, ce fut une longue retrouvaille avec mon maître. Il ma autorisé à appeler ma famille pour donner de mes nouvelles. Ma mère, qui a pris lappel était contente de mentendre. Je lui ai raconté un peu nimporte quoi sur mes vacances. Elle ma annoncé que javais reçu récemment une convocation pour passer les tests à la caserne. Javais complètement oublié cela. Mais effectivement, javais obtenu un report pour suivre mes études, mais lannée de mes 20 ans je dois maintenant répondre à lappel. Cest un coup de massue qui me tombe sur la tête. Le rendez-vous est prévu pour octobre prochain et dans ma région dorigine !
Jen parle à Jacques, qui me dit de ne pas minquiéter, quil fera son possible pour que je sois exempté de service militaire.
- Il nen est pas question ! tu ne vas pas casser tout ce travail pour deux jours !
- Sil te plait, Jacques, je vais avoir du mal à mexpliquer, sil te plaît !
- Pas question ! Et si tu continues à faire ta fillette, je te mets la cage pour y aller !
Le sujet était donc clos. Je nen parlais plus
Pour moi, Jacques avait tout prévu : jallais devenir son secrétaire particulier et son chauffeur personnel. Mais il restait une étape, il fallait que je passe le permis. Durant mon séjour au domaine, javais suivi des cours de code, quasiment chaque jour. Jétais prêt. Pour la conduite, javais utilisé un véhicule du domaine, mais sans sortir de lespace du domaine. Jacques me dit donc que jallais devoir très vite faire mes preuves en voiture. Mais en attendant, le lendemain de mon retour, je devais passer lépreuve du code.
Le jour du code, je me lève tôt, comme à lécole. Je prépare le petit déjeuner, et exécute les quelques tâches ménagères habituelles. Je dois porter pour effec ces premières tâches un string et un tee shirt de footballer américain. En me regardant dans un miroir, je me trouvais vraiment ridicule. Quand Jacques se lève, il me palpe les fesses puis les couilles. Je bande dès quil me touche ! Quand il regarde ma bite il sexclame :
- Profites-en, joli membre, tu vas bientôt retrouver ta prison !
Après mes corvées. Jacques me dit de me préparer. Je trouve sur mon lit les vêtements que je devrai porter : un tee shirt, un jean et des sandales. Comme sous-vêtements : juste une coquille de boxeur tenant grâce à un jock strap. Le jean est très serré. Il marrive juste aux chevilles et me fait un paquet très gonflé. Avant que je ne mhabille, Jacques me refixe une nouvelle cage. Il me passe un cockring en cuir, quil fixe relativement serré et qui maintient bite et couilles.
- Je temmène. Attention, tu dois faire 40 ! Tous les points manquants seront punis par 10 coups ! Comme à lécole !
- Mais cest 35 pour avoir le permis !
- Mais toi tu es capable de faire 40 ! Allez en route
Je monte près de lui dans la BMW. Le trajet nest pas très long, mais je dois lui expliquer chaque panneau et chaque situation. Il na pas lair mécontent.
Il me laisse à plusieurs mètres de la salle dexamen, ce qui moblige à faire le trajet à pieds. Cest très inconfortable de marcher avec cette coquille et ce jean un peu étroit. Les autres candidats remarquent ma tenue un peu bizarre mais ne font pas de remarques. Les yeux de plusieurs filles se posent sur mon entrejambes puis remontent pour voir ma réaction.
Lexamen se déroule sans trop de problème. Le seul, cest le résultat final : 38. Jai donc fait deux fautes. Je sors de la salle. Jacques nest pas là. Je me fais aborder par un mec denviron 35 ans qui me tape les fesses et minvite à le suivre. Je nose pas, prétextant que jattends quelquun.
- Suis-moi, on doit retrouver Jacques. Je suis Benjamin, jai connu Jacques avant quil ne soccupe de toi. Et aujourdhui ça va être ta fête !
- Ma fête ? Pourquoi ?
- Ben mon cochon, tas fait deux fautes quand même
- Comment tu sais ça ? et puis jai mon code !
On rejoint Jacques dans un bar un peu isolé, dans une rue déserte. Il y a deux clients attablés qui me regardent entrer avec des yeux qui ont lair de me déshabiller.
- Il a eu 38 !
- Toutes mes félicitations, Cédric ! Bravo pour ton code
Reste la conduite, très bientôt !
- Merci Jacques
Je massieds, confiant après ces félicitations. Le patron du bar, un gros bonhomme moustachu nous demande ce que lon veut boire. Jacques répond :
- Rien ! il a dabord à sacquitter dune dette.
Je vois le sourire ironique de Benjamin, celui intéressé du patron du bar qui va fermer le bar et baisser les rideaux.
Jacques mannonce alors que la punition aura lieu ici. Je le regarde, lair interrogateur mais il ne faiblit pas et mindique le déroulement de la punition :
- Tu as fait deux fautes, ce qui correspond à 20 coups. Mais 20 coups par personne présente ici !
- Hein ? mais tu avais dit 10 coups par faute
- Ben oui, 10 coups par faute et par personne, ce qui fait 120 !
- Non, 100 ! vous êtes 5.
- Et avec toi, ça fait 6.
Jessaie de limplorer, mais rien ny fait. Jacques a décidé de mhumilier ici, avec des inconnus. Les deux clients nous ont rejoints. Lun deux qui sappelle Robert est plutôt petit, bedonnant et sent la bière, il a des cheveux grisonnants et longs ce qui ne lui donne pas un air très glamour. Le deuxième est un peu plus grand, beaucoup plus mince mais à une mine qui me ferait peur si je le rencontrais seul. Lui est brun mais presque chauve. Ses yeux noirs me refroidissent ! Jacques leur présente 10 enveloppes. Chacun en prend une. Jacques lui, en prend deux. Il en reste 4 quil ouvre en mannonçant que ce sont les corrections auxquelles jai échappées. Il y avait lanière à nuds, matraque, fouet et journaux. Le reste jallais bientôt le découvrir. Jacques installa deux chaises puis il me mit un collier avec des anneaux. Il me demanda denlever mes vêtements. Jhésitais un peu, mais ma pudeur était maintenant bien loin ! Pendant ce temps, le patron a sorti de son comptoir un tabouret haut sur lequel je dois me coucher.
Pour débuter, Jacques mannonce quil a tiré la fessée à mains nues. Ouf ! ce nest pas le plus terrible. Il me claque les fesses, régulièrement, assez fort, mais je ne bronche pas. Je sens la chaleur monter, je pense que je dois être bien rouge. Les vingt coups terminés, il propose à chaque personne de lancer les dés. Le plus gros commencera. Cest le patron du bar qui a droit de soccuper de moi. Il mexamine dabord en me caressant les fesses, jusquaux couilles, ce qui me fait bander, enfin jusquaux limites de ma prison à bite ! Il me caresse même la raie, enfonçant légèrement son doigt puis en le mettant sous mon nez puis dans ma bouche. Je regarde Jacques en lui montrant ma désapprobation mais Jacques ne réagit pas. Le patron a tiré la raquette de ping pong. Jacques la sort de son attaché case et le patron commence son office. Il tape très fort. Mes fesses se raidissent à chaque coup. Il nhésite pas à viser au milieu ce qui a pour effet de me toucher les couilles et ce qui me fait crier à chaque fois. Les vingt coups terminés je suis en sueur. Je demande à Jacques si je peux avoir à boire. Il le refuse. Cest au tour dun des deux clients, le plus mince. Lui a tiré le martinet. Jacques lui donne le martinet. Il a un manche jaune et rouge et une quinzaine de lanières en cuir. Je le connais ce martinet, mais dhabitude je le reçois « vierge » de toute correction. Quand le premier coup tombe, je pousse un cri. Jai limpression davoir la peau déchirée. Le deuxième narrange rien. Jai limpression quil frappe au même endroit, jai le cul en feu, les fesses qui tremblent. Les autres coups sont désordonnés, tantôt sur le bas des cuisses, puis sur les reins
Chaque coup est un supplice que je ponctue par un cri de plus en plus fort. Benjamin me demande ne plus crier, mais cest plus fort que moi. Enfin, il a terminé ! Jacques regarde mes fesses sans doute bien rouges.
- Ça va ! il va tenir, il en a vu dautres. On va faire une petite mi-temps !
Ils me laissent dans ma position inconfortable et boivent entre eux. Benjamin mamène une canette de bière mais la moitié part à terre. Il en profite pour me mettre mon tee shirt dans la bouche et le bloquer en me nouant le jean. Je peux à peine respirer ! Je limplore du regard, mais rien à faire !
La séance reprend par le petit gros. Il vient dabord me roter devant le nez. Une odeur désagréable que je garderai dans le nez ! Puis il annonce quil a tiré la canne. Jai donc droit à 20 coups de canne. Ce nest pas le plus dur à supporter, mais comme ce nest pas les premiers coups, ça reste très douloureux. Je nen peux plus, mes larmes coulent maintenant et sont visibles, mais personne nest attendri. Benjamin prend la suite. Lui a tiré la ceinture. Il prend donc la ceinture de son pantalon et la plie en deux et commence sa vingtaine de coups. Il frappe moyennement fort et à des endroits différents, du dos jusquaux mollets. Je remue mais je ne peux pas méchapper. Quand il a terminé, Jacques me présente le dernier instrument. Il sagit dune baguette assez fine. Jai un très mauvais souvenir de cet instrument qui mavait blessé à lécole. Jacques sapplique, fait siffler la baguette plusieurs fois. Il vient ensuite me caresser les fesses avec les mains, puis le premier coup tombe. Jai limpression de mévanouir. Le coup me monte à la tête, ça résonne de partout. Il me caresse à nouveau, une véritable . Je préfèrerai quil termine vite son ouvrage ! Mais Jacques prend son temps. Il claque le deuxième coup plus bas atteignant mes couilles. Je bouge dans tous les sens. Benjamin me retient pour ne pas que le tabouret tombe. Jacques menvoie ensuite une dizaine de coups en suivant, remontant vers les reins. Enfin, lassistance compte à rebours 8, 7
. 3, 2 et 1. Enfin, cen est terminé ! Jai le dos et le cul en feu, jai très mal à la tête. Benjamin me défait les liens, je tombe quasiment à terre, dans la bière renversée.
- Cest bien Cédric, tu as été courageux ! tu as été digne de ton maître.
Même ces mots de Jacques ne me réconfortent pas. Je lui demande quelque chose parce que jai mal à la tête. Le patron du bar me fait boire quelque chose. Puis Jacques décide que je dois rejoindre la voiture. Je lui demande mes vêtements, mais il me dit que je suis trop enflammé pour supporter des vêtements. Le patron me met dehors et referme très vite la porte derrière moi. Me voilà maintenant à poil dans la rue. Heureusement, il ny a personne, la nuit commence à tomber, et même si on nest que début septembre, il commence à faire froid. Je regarde, mais je ne vois pas la voiture de Jacques. Je vais vers le coin de la rue à droite : rien. Je retourne de lautre côté : rien ! Je frappe donc à la porte et demande où se trouve la voiture. Personne ne me répond. Je maccroupis à la porte du bar, et je me mets à pleurer, recroquevillé sur moi. Quand la porte souvre, je tombe en arrière. Je grelotte. Jacques mapporte une couverture et me prend sur son dos. Nous quittons le bar par une autre porte. Arrivé à la voiture, il me dépose dans le coffre. Benjamin et lui montent à lavant. Je les entends discuter, un moment, puis je mendors.
Quand je me réveille, le coffre est ouvert. Jai très soif et très faim, mais jai surtout envie de pisser comme jamais ! Je sors du coffre, mais une chaîne me retient. Je ne peux pas méloigner. Il fait nuit noire, je pense que nous sommes arrêtés sur une aire dautoroute parce que de nombreux véhicules passent au loin. Il y a un peu plus bas des camions garés. Je vois Jacques et Benjamin revenir près de la voiture :
- Alors, en forme ?
- Non ! Jai faim, soif et envie de pisser ! jai mal au dos, à la tête !
- Pauvre chou, me dit Benjamin en membrassant la bouche goulument
- Tiens, me dit Jacques en me tendant une boîte de soda.
Je bois presquen une seule fois tout le contenu de la boîte. Puis Jacques me tend un vieux pantalon de jogging. Il est quasiment deux tailles sous la mienne et porte des boutons pression sur les côté. Jai du mal à lenfiler, mais jy arrive. Par contre, les pressions sautent le long de mes cuisses. Il me tend aussi une veste de survêtement que jenfile. Il memmène dans cette tenue aux lavabos. Pour pisser je suis obligé de maccroupir. Jacques mordonne de laisser la porte ouverte. Il me regarde, ce qui me bloque un peu. Quand je commence à pisser, un routier passe devant nous :
- Elle est bien jolie cette grande coquette ! combien pour quelle me suce ?
Jacques ne répond pas, mais le routier insiste. Lorsque jai terminé, il me prend pas la chaîne que jai, attachée au collier du cou et mattire vers le routier. Ce dernier me roule une pelle tout en me tâtant les fesses à travers le jogging.
- Mais elle na pas de petite culotte, la cochonne
Et il membrasse à nouveau, menfonçant sa langue dans la bouche.
Quand il baisse mon jogging, il voit les marques de la correction de laprès-midi
- On dirait quelle na pas été sage, la coquine !
Puis il ouvre sa braguette, moblige à le sucer. Sa bite enfle dans ma bouche. Lorsquelle est bien bandée, il tente de menculer, mais Jacques sinterpose. Il lui demande de mettre une capote. Je me sens rassuré. Le routier prétexte quil nen a pas, mais Jacques lui en tend une et me demande de lui enfiler avec la bouche. Je mapplique donc à ce travail et me prépare à recevoir cette bite dans mon cul encore marqué. Le routier est assez brutal. Sa queue nest pas très grosse, mais ce sont surtout ses mains qui sattardent sur mes tétons qui me font mal. Heureusement il ne tarde pas à jouir. Jacques empoche quelques billets et nous retournons à la voiture. Jai enfin le droit de me mettre sur le siège arrière. Benjamin monte près de moi et me demande de baisser le jogging. Il joue un instant avec ma cage et mes couilles. Ça me fait mal, parce que je suis excité. Il me lèche les couilles. Puis menfonce un doigt dans le cul, quil me fait ensuite lécher. Nous partageons un paquet de gâteaux puis Benjamin sendort. Jacques conduit. Je lui demande où nous allons, il me dit quil a des affaires à régler en Belgique, que nous y serons dans la matinée. Je mendors à nouveau.
Je suis réveillé par Benjamin qui fouille encore dans mon jogging. Il fait bien clair. Jacques nous annonce que nous arrivons à destination. Il a réservé une chambre dans un petit hôtel où je devrais lattendre avec Benjamin.
Lhôtel est minable. Lhôtelier en me voyant entrer dans cet accoutrement demande à Jacques où il ma trouvé. Jacques lui répond quil ma récupéré sur la route et quil compte soccuper de moi. On monte au deuxième pour découvrir une petite chambre avec juste un lit et une armoire. La salle de bain est au fond du couloir. Cest là que Benjamin memmène. Il est assez doux avec moi pour faire la toilette. Nous sommes maintenant à deux dans la baignoire. Il est plutôt bien foutu. Pas très musclé mais bien proportionné. On se savonne mutuellement, il bande très fort. Sa bite ressemble beaucoup à la mienne. Elle est plutôt bien dessinée et droite, ses bourses sont rondes comme les miennes. La grande différence vient des poils. Ses poils sont certes courts, mais il en a contrairement à moi. Il me demande de bien le nettoyer. Je mapplique sur sa bite et ses fesses. Il a lair content. Il se sèche et me passe sa serviette. Pendant quil se rhabille, je me sèche. Je le vois prendre mes affaires. Je dois retourner dans la chambre, sans mes vêtements. Le patron nous croise mais ne fait pas de remarques.
Dans la chambre, je dois mallonger sur le ventre. Benjamin menfonce doucement sa bite dans mon cul. Je lui dis que je veux quil mette une capote. Tout en membrassant, il enfile son préservatif et continue un va et vient dans mes entrailles. Il est plutôt caressant, ce qui me change des brutalités de la veille. Nous parlons ensuite de mon « éducation ». Il me dit quil a connu Jacques mais quil a refusé de vivre ce que moi je vivais. Mais il aime la situation et pense que lon devrait bien sentendre. Lui aussi a connu Jacques par hasard. Il était alors stagiaire dans lune des filiales de Jacques. Quand Jacques a voulu passer au contrat, Benjamin sest défilé. Il a terminé son stage et est resté en bon termes mais sans plus.
Jacques entre dans la chambre. Il semble satisfait de son rendez-vous. Il nous apporte des sandwiches et des vêtements propres pour moi. Les sandwiches terminés, Jacques soccupe un peu de moi : il mannonce quil ma acheté un bijou. Je lui souris en guise de remerciement. Jacques mallonge sur le lit, me libère de ma cage. Ma bite se développe doucement. Il la prend en bouche pendant que Benjamin lui ôte les vêtements. Cest maintenant à Benjamin de me sucer puis de sempaler sur ma bite. Jamais je navais goûté à ça ! Pendant ce temps, Jacques est sur mon visage. Je dois prendre sa bite puis ses couilles dans ma bouche. Je ne peux plus me retenir, Benjamin le sens et se retire. Je lance ma semence de plusieurs jets abondants. Jacques en récupère et me le donne à boire, puis lui aussi se laisse aller dans ma bouche. Enfin Benjamin vient moffrir sa bite que je prend en pleine bouche.
Jacques me demande de me nettoyer puis me remet ma cage. Il ouvre ensuite un paquet contenant un string en cuir, puis une autre boîte quil me laisse ouvrir. Je découvre le fameux bijou : un plug ! Jacques me lenfonce dans le cul, doucement après mavoir lubrifié. Puis il me demande de mettre le string. Le plug est maintenu dans mon cul. Il me demande de marcher. Ça me fait bizarre, notamment au ventre. Jai déjà eu des godes mais jamais je navais dû marcher avec quelque chose daussi important dans le cul. Il me tend les vêtements : une chemise plutôt classe et un costume, des chaussettes et des chaussures de ville. Il me regarde sous toutes les coutures et semble satisfait.
- Parfait, ce soir tu seras lattraction !
- Lattraction ?
- Oui, nous allons à une fête !
Et sur ces mots, il me donne une claque sur le cul, ce qui a pour effet de me faire réagir. Nous quittons lhôtel, jai un peu de mal à marcher. En fait, ça me prend dans le ventre et mempêche davoir une marche normale. En plus, ce plug doit faire une marque sur le pantalon. Jacques me fait monter derrière alors que Benjamin sinstalle près de lui. Le fait de sassoir avec ce machin dans le cul me fait un drôle deffet. A chaque secousse de la voiture, je sens le plug qui remue en moi. Heureusement, le chemin nest pas très long. Nous arrivons dans un immeuble plutôt cossu. A lentrée, un jeune homme nous accueille, il dirige Jacques et Benjamin vers une porte et memmène à un autre endroit : les cuisines. Il y a là 4 jeunes garçons dà peu près mon âge et ayant les mêmes vêtements. Ils saffairent à préparer des plateaux et me demandent den faire autant. Il y aussi un homme plus âgé qui semble être le maître de la cuisine. Il maccueille sèchement :
- Numéro 4, ici ! Tu prépares les plateaux des coupes. Tu ne remplis pas les coupes pour le moment. Je te dirai ! Dépêche-toi ! tu es déjà en retard !
Et il me claque les fesses. Je prépare un plateau sur lequel je dispose une dizaine de coupes.
- Tu dois en faire tenir 15 !
Je resserre donc les coupes pour quelles tiennent à 15. Le maître me donne des bouteilles de champagne et je dois remplir les coupes et aller dans la pièce voisine les présenter aux invités.
La pièce est assez grande, elle est meubles par quelques canapés et une table centrale avec une vingtaine de chaises. Il y a là 15 hommes qui discutent, dont Jacques et Benjamin. La pièce est entourée de miroirs ce qui donne limpression de monde. Sur la table, différents instruments sont posés. Je reconnais une cravache, des godes divers, des chaines, des menottes, des cagoules
Je mavance vers le groupe en tenant mon plateau à deux mains. Le chef de cuisine qui mobserve me lance :
- Dune seule main le plateau !
Je mefforce de le tenir dune main. Je nai pas lhabitude, même si à lécole jai été initié, et jai peur de faire tomber les coupes. Mais bien vite, le plateau se vide. Chacun est poli, il y en a même qui me font une caresse sur la figure ou sur les fesses. Quand le plateau est vide, je retourne en cuisine. Le maître, qui sappelle Benoît, me donne 15 autres coupes et me demande de repasser parmi les invités. Pendant ce temps, les autres garçons passent également parmi les invités avec des petits fours. Lorsque jai terminé de remplir les coupes, je vois rentrer lun des garçons. Sa braguette est ouverte et son sexe est sorti. Il bande légèrement ce qui ne semble pas choquer Benoît. Je retourne en salle avec mon plateau. Je remarque quun autre garçon est torse nu. Il est plutôt musclé et possède un anneau au sein gauche. Il continue à passer avec son plateau. Ses vêtements ont été jetés sur lun des canapés. Quand je passe lun des invités me prend le plateau et un autre me déshabille. Il menlève la veste et la chemise. Je regarde Jacques, qui me fait comprendre dun signe que je dois me laisser faire. Le mec qui ma enlevé la chemise me caresse la poitrine et me donne un coup dans le ventre. Ne my attendant pas, je marque un mouvement de recul et je tombe dans les bras dun autre qui me dégrafe le pantalon. Je dois lôter et me retrouve en string et chaussettes. Je reprends mon plateau avec les coupes vides et je retourne en cuisine. Les 3 autres sont là, deux sont torse nu et un est encore habillé mais na plus la veste ni les chaussures. Ils remarquent évidemment mon plug. Personne ne fait de réflexion mais je vois dans leur regard quils sont intrigués. Je suis maintenant chargé des petits fours pendant quun mec torse nu est chargé du champagne. Je retourne en salle. Lun des invités passe sa main dans mon slip et remarque que jai une cage. Il me parle à loreille :
- Qui est ton maître ? tu ne veux pas venir avec moi ?
Je ne réponds pas mais il insiste. Je vois Jacques sapprocher de nous
- Alors, Henri, tu toccupes de mon protégé ?
- Ah, Jacques, il est à toi ? Tu lui retires son instrument, quon juge la bête ?
- Toujours intéressé par les queues à ce que je vois
- Toujours ! Regardez messieurs, Jacques nous amène un athlète et nous en cache lessentiel.
Henri me retire le plateau des mains, menlève le string et moblige à monter sur la table. Je dois être rouge de honte. En montant sur la table, le plug tombe. Lun des invités le récupère et le lèche. Henri montre ma cage à toute lassistance et insiste auprès de Jacques pour quil me la retire. Jacques sapproche de moi et me retire lobjet. Il me laisse le cokring. Henri me caresse immédiatement la queue. Evidemment, je bande très vite. Il siffle en me flattant. Je dois redescendre de la table et je suis attaché, assis sur une chaise. Les pieds sont retenus par des bandes adhésives, les mains sont menottées dans le dos. On me met une cagoule qui ne laisse quun trou au niveau de la bouche et du nez. Je sens quon me passe une ceinture autour de la taille pour bien me maintenir sur la chaise. Quelquun appelle les autres serveurs. Ils doivent me faire goûter leur bite pendant une minute.
- Damien, tu es le premier, Claude le deuxième et Franck le dernier. Et toi, Cédric, goûte bien parce quaprès tu devras les reconnaître sinon, un gage !
Je suce les trois bites les unes après les autres. Elles ont effectivement une taille et un goût un peu différent. Jessaie de me remémorer lordre de passage. Quand les trois sont passés, lun des invités vient me sucer la bite. Je sens que ce nest pas Jacques. Il sarrête avant que je ne jouisse, puis me met une grosse claque dans la figure :
- Tu as failli jouir, salope !
Il me laisse là un moment. Puis lun des garçons vient remettre sa bite dans la bouche. Je dois donner le prénom : « Claude ». Ouf, je ne me suis pas trompé. On me laisse encore un moment, pendant lequel on me fait manger des petits fours et boire du champagne. Puis une autre bite vient se glisser dans ma bouche. Je ne reconnais pas le goût, sans doute à cause de ce que jai mangé
Je lance un nom « Damien ».
- Non ! cétait encore Claude. Pas de chance, Cédric.
Je les entends décider du gage : 5 coups de cravache sur les couilles et la bite. Je tremble davance en entendant la punition. Jessaie de resserrer les jambes, mais je ne peux pas.
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