Pimenter Les Relations 4
Emma, le sexe empalé sur le pivot de Rémi, attend avidement laccomplissement de son rêve fou, la double pénétration de ses deux orifices voisins. Fini le rêve, vive la réalité.
Fernand debout au-dessus de la tête de Rémi présente à Emma sa verge à regonfler:
- Suce et astique, ma poule. Tu craches dessus et tu me fais bander. Ouihhh!
Emma saccroche au bas de ses hanches, aspire le sexe et entreprend de le sucer. A lautre bout, le pompage continu et le dur frottement du gourdin presque apprivoisé produisent des sensations traduites en feulements et en transpiration sur le visage et la poitrine portés au rouge vif. Rémi attire sa bouche dépossédée de la lance de Fernand vers la sienne et lembrasse. Il emprisonne la proie volontaire dans ses deux bras croisés sur le dos bloqué. Seins aplatis et étalés sur la poitrine velue, Emma participe au baiser goulu et continue lascension du pic et son engloutissement alternatifs en ne bougeant plus que le bas de son abdomen. Désormais la machine est bien huilée, le mouvement plus souple. Fernand prend position derrière lemmanchée, élargit lanus de deux doigts enfoncés en rotation, verse quelques gouttes de lubrifiant.
Cest enfin la réalisation du rêve de ma femme : la verge du deuxième complice pénètre par à coups dans ses entrailles et va se frotter à la bosse de lautre qui sanime dans le vagin voisin. Emma chuinte, chante, se plaint, crie des « oui » « et des « non » en litanies sans fin, sa tête se relève puis retombe sur le côté, ses jambes gigotent comme désarticulées, ses mains empoignent loreiller, elle est déchaînée, folle de volupté. Elle regarde vers moi mais ne me voit plus occupée à enregistrer cet instant de béatitude exceptionnelle, le couronnement de ce somptueux cadeau offert par son admirable mari. Elle redit sa reconnaissance
-Ah, mon amour, cest extraordinaire. Je deviens folle de plaisir. Jamais, oh!
oh
Les deux hommes arrivés à la dernière épreuve ne ménagent plus leurs forces, foncent, poussent bousculent, forent chaque cavité, sans égards pour les plaintes, sans pitié.
Pendant quelle sen persuade, le premier lenvoie vers le haut, le second lécrase sur le premier. Quand Emma soulève son arrière train on peut voir ressortir environ trois centimètres de vagin collés à lénorme verge. Sont-ils inlassables? Narrêteront-ils plus le double pilonnage. Combien de temps Emma sessoufflera-t-elle sans sr ? Et ça bouge, ça remue. Fernand se retrouve parfois désarçonné, hors jeu, il reprend son truc en main, le tend à Astrid ou à Denise pour une pipe rapide puis replonge ragaillardi dans le petit trou où il rame, rame. Et elle en redemande. Il vient de tenter une double vaginale en se collant à la queue de Rémi. Emma a hurlé et il a abandonné en disant quun jour ce serait possible. Et ils ont retrouvé une belle cadence, régulière, avec des enfoncements au maximum de la longueur des braquemarts.
Pour comble de bonheur un même orgasme les foudroie simultanément. Les muscles se contractent dans ce dernier effort, secoués par les spasmes successifs des jets de sperme à répétition. Les trois corps simmobilisent ensemble en un tas confus de membres entremêlés. Le final a été dune extrême violence et ils gisent entassés, inanimés mais toujours imbriqués les uns dans les autres dans lattente dune bienheureuse détumescence qui facilitera le retrait.
Astrid et Denise applaudissent, se tournent vers moi, quêtent mon approbation, félicitent la consur cooptée.
Des conséquences pour notre couple, elle nen voyait que dheureuses. Elle espérait en secret depuis longtemps et navait pas à bouder le plaisir offert. Il faut que jaille uriner, je le dis et je quitte la pièce. Quils se désunissent et retrouvent leurs esprits sans moi. Ils ont à leur disposition des lingettes corporelles si les langues des épouses ne suffisent pas au nettoyage et au séchage. Emma pourra les conduire dans la salle de bain et se laver avec eux, ils nont plus rien à se cacher. Jéprouve dégoût, honte et lassitude. Un ressort est cassé en moi, mais cest son anniversaire et je dois faire bonne figure.
A mon retour la conversation tourne sur les activités du club. Emma me saute au cou, ne sait quels mots choisir pour me remercier encore ou pour louer la qualité de lextraordinaire prestation des échangistes venus lui faire sa fête à domicile à mon invitation. Je suis son héros, lamour de sa vie. Elle déborde dune joie communicative partagée par les acteurs et les actrices. Elle voudrait avoir un anniversaire par mois ou par semaine. Dans son emballement, elle promet de rejoindre ses amis dès le samedi soir pour observer lactivité des membres et se faire une idée. Elle me prend à témoin
- Il sagit dune décision importante, il faut voir, observer attentivement les activités avant de sengager. Mais grâce à ce que je viens de vivre cet après-midi, jai bon espoir de trouver au club et avec toi, mon amour, le meilleur moyen datteindre mon plus complet épanouissement sexuel.
Elle conclut ainsi, sans me consulter davantage puisque ça va de soi. Elle est conquise davance et ne doute pas que je paierai avec plaisir la cotisation annuelle. Nos hôtes doivent nous quitter, lorganisation des soirées et des nuits exige leur présence. Nous sommes seuls, rhabillés. Emma fait des exercices délongation, bâille. Je lui rappelle lexistence de Sophie et lobligation daller la chercher, la nourrir et la coucher parce que demain notre doit aller en classe. Elle se dit heureuse mais éreintée, sa fatigue est bénie. Ce que confirme sa démarche : les deux gaillards lont réduite en automate incertain sur ses pieds.
A lévidence ses parties intimes sont allumées, lincendie continue à couver dans son sein, elle a le cul en feu. Pour marcher elle doit écarter les cuisses afin déviter les frottements des chairs meurtries. Jen ris intérieurement et je souhaite in petto que la gêne consécutive aux excès va calmer son désir dextravagance. Pourvu que ces sensations décorchure ou de brûlure durent et saccentuent. La crainte de la douleur vaginale ou anale pourrait être un auxiliaire intéressant pour la dissuader.
-O mon chéri, cest ton plus beau cadeau. Ca ta plu à toi aussi ? Tu le caches bien, mais tu tes rincé lil. Je tai observé en train de reluquer les deux femmes à poil. Ce ne sont plus des canons de beauté, mais elles sont chaudes et actives et tu ne les as pas repoussées, hein. Quelle journée magnifique, quelle expérience fantastique. Je savais que ce genre de rencontre de deux hommes avec une femme me comblerait. Tu as su deviner mon envie. Merci, merci. Si tu pouvais savoir !
Pas un mot pour regretter laccident qui ma empêché dêtre partenaire.
Heureusement la fatigue de lexercice a eu raison du flot de paroles né de son excitation physique et psychique. Elle dort comme une bienheureuse, corps repu, esprit satisfait, conscience en paix. La reconnaissance déborde encore le matin venu. Elle a conduit Sophie à lécole et monte des projets. Pour samedi elle doit se procurer une lingerie fine. Astrid connaît un magasin spécialisé et lui a proposé de guider ses premiers achats indispensables pour paraître en bonne société. Car il sagit de plaire pour être admis. Elle va me ruiner, après sêtre jetée éperdument dans les bras des deux exécuteurs que je lui ai payés. Ils mont promis le secret, mais la terre entière va vite apprendre, par le voyage éclair de secrets racontés à des personnes de confiance, que nous sommes des débauchés.
Emma est si fière davoir honoré mon merveilleux cadeau. Sa joie finirait par me donner bonne conscience pour cette action idiote. Jai mis le doigt dans lengrenage, le bras va y passer, mon compte en banque suivra encore plus vite. Emma chante son bonheur révélé, les bienfaits inouïs dune séance à trois et elle imagine la présence dun troisième homme valide, pourquoi pas dun quatrième partenaire :
- Compte, mon amour, mon vagin, mon cul, ma bouche, mes deux mains : je peux facilement entretenir cinq hommes. Est-il déraisonnable de distribuer autant de plaisir quand cest à notre portée? Soyons fous !
Je me ronge les sangs à la recherche dune issue honorable de la pétaudière que jai organisée sans en mesurer les suites catastrophiques. Il nen existe pas. Jai permis, donc Emma ne comprendra pas que je veuille mettre fin à ce quelle adore.
Elle a dépensé une fortune pour payer un string encore plus étroit et plus transparent que les précédents.
- Tu aurais dû me signaler que je portais une culotte et un soutien-gorge ridicules, que mes sous-vêtements étaient juste bons pour une bigote, à jeter le plus rapidement possible à la poubelle. Par chance Astrid et Denise vont me conseiller, me coacher si tu préfères. Regarde cette merveille :
. Le soutien-gorge quasi inexistant vaut encore plus cher que le string. Il lui en faudrait dautres pour afficher un peu de variété. Les hommes aiment le changement.
- Porter deux fois de suite la même tenue nest guère prisé, on te soupçonnera dêtre négligente et peut-être sale. Je ne décevrait pas mes futures partenaires, masculins ou féminins.
Lendoctrinement a eu lieu pendant les courses et se révèle efficace. La démonstration se poursuit :
- Vois, mon chéri, on ne peut deviner la présence de la ficelle du string entre mes deux fesses, cela fait un effet buf : le spectateur voit toute la surface de mon cul, subit un appel irrésistible. A lavant lextrême petite taille du triangle laisse tout deviner de la vulve et de sa fente. Qui pourra ne pas tomber sous le charme, qui résistera à lenvie de larracher avec les dents ? A ce prix là, cest donné, mes guides mont obtenu cinq pourcent de réduction exceptionnelle.
Le prix sur létiquette correspond à
. Ce nest pas possible. Emma a-t-elle perdu le sens commun ? Et il faudrait multiplier les achats ? Nos salaires ne supporteront pas la dépense. Cette considération est peut-être triviale, mais se vêtir si peu à prix si élevé pour finir à poil sous une meute de mâles, cela me semble insensé et absurde.
Cette fois je ne marche plus. Emma a eu son cadeau payé à prix dor et qui déséquilibrera notre budget pendant un temps. Son bonheur valait bien la dépense » « Quand on aime, on ne compte pas, » avais-je pensé. Cest vrai dans certaines limites seulement. A lavenir, si elle veut un bonus elle le paiera de sa poche, mais pas avec largent du ménage. Je refuse de racler les fonds de tiroirs pour payer sa cotisation au club, ma générosité a des limites, ma complaisance aussi. Lexpérience a eu lieu. Désastreuse selon moi, si fantastique pour ma femme. Je pensais avoir chassé un démon. Les discours des quatre échangistes ont mis cent démons à sa place soufflé sur la braise et allumé un incendie .
Pour obtenir gain de cause ma femme profère des accusations invraisemblables : Je suis pingre, égoïste, stupidement jaloux comme il nest plus permis de lêtre au vingt-et-unième siècle. Puisque je suis le mari quelle aime, quel mal y a-t-il à samuser sexuellement, sans sentiments, avec des compagnons en bonne santé. Elle me jette à la figure le reproche le plus cruel :
- Dautant plus que le mari en ce moment est « absent ».
. J explique que si elle continueà dépenser sans compter nous serons peut-être obligés de renoncer à une location de vacances : elle a applaudit !
- Pourquoi partir en vacances quand on vit la fête perpétuelle sur place ? Fréquenter régulièrement le club offrira autant doccasions de profiter de la cotisation et de la rentabiliser.
La discussion est rude . Je tiens ferme . Je désapprouve la fréquentation du club, elle nétait pas prévue dans mon plan et je veillerai attentivement au budget. De plus je fais valoir mon opinion de mari :
- Je tenais à te faire connaître une expérience que tu souhaitais vivre. Cest fait, mais une fois suffit. Cette séance sest déroulée avec mon accord. Il nest pas galant de révéler le prix dun cadeau. Cependant, sache que Denis et Fernand ont eu des exigences pécuniaires ruineuses pour moi. Sans compter quils nont pas rechigné prendre leur plaisir. Je porte la responsabilité de cet événement précis. Ma responsabilité sarrête là.
- Cest trop facile ! Tu mas mis leau à la bouche et tu voudrais mempêcher de boire désormais. Je ne savais pas que tu les avais payés. Reconnais quils mont en donné pour ton argent et peut-être au-delà. Et leurs femmes ne tont pas négligé.
- Trêve de discussion. Nous formions un couple. A partir de maintenant ce que tu entreprendras avec ces quatre personnes ou au sein du club quelles fréquentent sortira de nos accords. Autrement dit, je nai malheureusement pas les moyens d empêcher de sortir une femme libérée de trente huit ans, mais ta participation à tes « fêtes du sexe » constia pour moi un manquement grave à notre mariage.
- Quelle inconséquence. Si tu le prends comme ça, à partir de maintenant, je fais la grève du ménage, finis les travaux domestiques au bénéfice dun tyran impuissant. Je nai pas acheté une tenue aussi coûteuse pour la laisser dans un tiroir!
Ambiance, soupe à la grimace, au lit cul tourné, pas un mot de plus.
Vers trois heures du matin, le dimanche, revenue du club où elle a dû se contenter dobserver les acteurs, dit-elle, Emma veut me narrer par le détail les exploits de tous ses « nouveaux amis », me décrire par le menu les installations modernes et luxueuses du temple de lamour. Le vase déborde et dans mon sommeil si difficilement gagné sur mes angoisses constantes de convalescent impuissant, je lui impose brutalement silence, lui tourne définitivement le dos. Elle veut me persuader : elle a trouvé le chemin de Damas dune sexualité épanouie, insiste, veut mévangéliser. Je quitte le lit conjugal, me traîne dans la chambre damis, ferme la porte à clé et mendors sur les draps témoins du stupre et quEmma a oublié de changer. Elle frappe à la porte, fait une crise de larmes à cause de mon indifférence coupable.
-Si ces rencontres te déplaisaient, il ne fallait pas organiser la première, celle de mon anniversaire. Tu as un exécrable caractère de jaloux. Si javais su
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-Si ces rencontres te déplaisaient, il ne fallait pas organiser la première, celle de mon anniversaire. Tu as un exécrable caractère de jaloux. Si javais su
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