Les Comploteurs.
Je viens darriver de Lyon à la gare de Lyon par le T.G.V de 17 heures.
Jétais chez ma sur Carine qui vient davoir une jolie petite fille.
Je suis moi-même marié à Paul depuis trois ans et nous attendons que jaie trente ans pour er.
Mon mari a un poste important dans une société pétrolière et jai profité de son voyage à sa maison mère pour partir voir ma filleule.
Je vais pour prendre un taxi et retourné dans mon seizième dans limmeuble moderne où avec Paul, nous avons acheté un F5 que mes copines menvient.
Il y a aussi mon homme quelle me jalouse, car nous étions quatre à la soirée où il est venu minviter à danser alors que nous mouillons toutes pour lui dès que nous lavons vu entrer.
Grand, brun, carré, halé, les pommettes saillantes, vous lui ajoutez une barbe pour ressembler à lune de ces statues grecques que lon voie au Louvre.
Il a cinq ans de plus que moi ce qui lui donne de lassurance dans la vie.
Nous étions vieille école et nous avons attendu notre nuit de noces pour quil me montre son sexe et quil brise mon hymen.
Jai joui du premier coup et toutes les fois quil me prend mon corps se tend et je lui fais entendre que je suis heureuse.
Je vis des moments doux, car Paul souhaite assumer seule la gestion de notre couple.
Ce voyage à Lyon a été toute une péripétie, car cest la première fois que je partais seule sans lui.
Il ma fait mille recommandations que jaie suivies scrupuleusement.
Attendre un taxi à lheure de pointe est pure folie alors je décide de retourner dans la gare et daller boire un thé au café de la gare.
Il est 17 heures 30 et cest lheure habituelle où je prends mon thé journalier.
Aucune table de libre seul un tabouret au bar me permet de masseoir et de commander ma boisson.
Je suis habillé bon chic bon genre dans un tailleur ajusté.
En messayant ma jupe, remonte et la partie haute de mes bas apparaît.
Jai beau tirer sur ma jupe, elle refuse de bouger.
Jolie poupée, tas des problèmes, une belle salope comme toi dois aimer quon la mate, tu tapines.
Laissez-moi, jattends mon mari.
La réponse classique, je vois que tu as une alliance mais les putes comme vous a souvent une bague qui les unis à leur souteneur !
Chéri monsieur timportune.
Oui, il me prend pour une prostituée.
Monsieur, nous serions encore au temps de dArtagnan, cest sur le pré une épée à la main que je vous châtierais. Veuillez passer votre chemin.
Limportun sentant que celui qui ce dit mon mari parle sérieusement séclipse.
Vicomte Albert de la cramouille huitième du nom.
Claudine du XVIe arrondissement.
Nous partons dun grand éclat de rire, mon vicomte est aussi beau que mon vrai mari, mais pour lheure je men contente évitant cet importun.
Puis-je vous inviter à ma table, attendez, je vais porter votre valise.
Merci, je vous dois bien cela.
Nous restons presque trois quarts dheure assis et mon chevalier servant me propose de me raccompagner chez moi dans sa voiture.
Doù lon ait assis, je peux voir que la queue dattente des taxis est toujours aussi importante aussi, jaccepte.
Jappelle mon chauffeur.
Dix minutes et je monte dans une magnifique Jaguar des années trente.
Votre mari vous attend.
Non, il est aux États-Unis pour dix jours encore.
Quelle gourde évitée de dire que Paul est en voyage fait partie des recommandations.
Albert est un homme du monde cela se voit bien, je ne crains rien avec lui.
Il mouvre la portière et maide à monter à larrière avant de sasseoir à mes côtés.
Vous avez vraiment envie de faire voir vos bas Claudine, ces voitures étaient conçues pour les femmes à longue jupe, mais je suis enchanté de ce que je vois.
Excusez-moi !
Tout le plaisir est pour moi.
Si je vous invite à prendre un verre sur les champs, vous accepteriez ?
Vous mavez aidé, je suis obligé daccepter.
Ma chère, vous me vexez, seulement parce que je vous ai aidé.
Non, bien sûr, mais je suis marié et jévite de me trouver dans une situation embêtante.
Je vous invite en tout bien tout honneur.
On voit que vous avez de la classe, je vous fais confiance.
Il me prend la main et effleure le dessus de ma main dans un baisemain de la plus pure tradition.
Le chauffeur nous arrête à la hauteur du Fouquets et nous nous installons à la terrasse.
Nous prenons un apéritif et au bout dun moment il me propose de memmener dîner dans une rue adjacente.
Le cocktail quil ma fait servir que je pense sans alcool est si doux à boire que cest en me levant que je maperçois quil y avait plus que du sirop.
Il me prend le bras et me fait franchir les quelque deux cents mètres qui nous mènent jusque devant un restaurant assez classe.
Repas vite expédié car lhomme du monde semble faire place à un homme pressé.
Au dessert après mavoir fait boire un peu de vin je suis guillerette.
Dun coup je me souviens que ma valise est restée dans le coffre et que mes clefs sont à lintérieur.
Jen fais état à Albert qui me dit que son chauffeur la déposé à son hôtel qui se situe rue Lincoln dans la rue derrière le restaurant.
Je suis guillerette et il me soutient pour franchir la distance.
Lorsque dans lascenseur, il se colle à moi, je lève la tête et je lui présente mes lèvres.
La porte ouverte de la chambre et tout de suite jaccepte sa main sous ma jupe.
Où sont les recommandations de mon mari ?
Je men fiche, seule la queue quAlbert a sortie de son pantalon et que jai prise en main mimporte.
Suce là.
Sucer, la queue de mon mari a juste pratiqué ma chatte et ce mandrin bien plus gros que celui de Paul mintimide à prendre en bouche.
Pourtant lorsquil mappuie sur les épaules, je tombe à genoux, mes jambes refusent de me porter et je me surprends à faire courir ma langue tout au long de sa tige.
Elle est grosse et a du mal à venir jusquà ce que je sente ses couilles sur mon menton.
En faire entrer autant dans ma bouche, jamais je me serais cru capable de le faire, mais jaime.
Il me relève me met nue et me jette sur le lit.
Fini lhomme du monde, je suis entre les mains dun baiseur de très haut vole.
Il demande, je mexécute, il me dit décarter les cuisses, je les écarte,
Il me pénètre, je donne un violent coup de reins pour quil soit en moi plus vite encore.
Vas-y boure moi, Lautre voulait que je sois une pute, cest toi qui las.
Jamais je nai été aussi bien mise, mon mari est un petit joueur par rapport à toi.
Est-ce lalcool, la frustration dun couple se contentant de petites copulations hygiéniques, mais je bouge mon cul pour le faire aller toujours plus loin en moi dans des mouvements que jignorais pouvoir pensé à faire.
Viens, mets-toi en levrette.
Je dois le regarder dune manière incrédule jamais je nai entendu ce mot.
Une oie blanche avec cela.
Met toi à quatre pattes.
Qua-t-il voulu dire dans sa première phrase, janalyserais plus tard aussi, je lui sors la queue et je me positionne comme il souhaite que je me place ?
La position est étrange, jai limpression de voir une chienne être en position pour que son mâle vienne la saillir.
Saillir, cest ce quil me fait, sa bite entrant plus profondément en moi que, lorsque je me fais prendre les jambes écartées.
Au moment où je sens mon corps séveiller, je suis surprise par la boule qui monte en moi. Moi qui pensais que je jouissais avec mon mari, cest une rigolade lorsque mon corps devient fou et que je me projette sur le pieu qui me pourfend.
Et la boule éclate en des myriades de petites étoiles et surtout un grand frisson qui me prend depuis le bas de mon dos et qui remonte jusquà ma nuque.
Un doigt suivi de deux bizarrement placé minterpelle.
Tu tes déjà faite enculé.
Comment répondre que la phrase quil a dite tout à lheure en parlant doie blanche me correspond parfaitement ?
Vite fait et les deux doigts sont remplacés par sa queue et ma rosette éclate sous les coups de boutoir de cet homme qui en peu de temps aura fait de moi une bête de sexe qui accepte tout ce quil me propose.
Je me rends compte que je trompe Paul, mais il est sûr que Paul devra changer ses petites habitudes pépères, car ce que me fait découvrir mon amant demande à se renouveler chaque fois quil me baisera.
Il place sa main sous moi et me pince durement mon clito que Paul ignore dans nos ébats.
Cest-il au moins quil existe ?
La main titillant le clito et sa verge dans le cul, mon corps joui encore.
Cest le moment quAlbert décide de me remplir le rectum de long trainé de foutre qui lui vide les couilles.
Je suis épuisé et en eau et lorsquil me libère, je mécroule la tête dans loreillé.
Jai soit dormi soit tourné légèrement de lil après la puissance de sa décharge.
Lorsque je lève la tête, je suis étonné de voir mon amant habillé et se diriger vers la porte de sortie de la chambre.
Où vas-tu ?
Il sort et la foudre me tombe sur la tête.
Je lentends dire.
Elle est à vous.
Parmi les deux hommes le dragueur de la gare de Lyon savance vers moi.
Habille-toi petite pute, tu nous suis sans essayer de fuir, on a de très belles photos de toi te faisant prendre comme une belle salope.
Ton mari sera très content dapprendre re que tu le fais cocu.
Police, personnes bougent.
Le dragueur se retrouve propulsé sur le lit à deux mètre de moi et son complice menotté sur la moquette.
Habillez-vous madame et suivez-nous ?
Vous allez témoigner.
Je suis marié.
On va essayer de vous éviter les dommages collatéraux pour votre couple.
Au commissariat, japprends que la police suivait cette bande de proxénètes qui recrutaient des oies blanches comme moi.
Le vicomte avait derrière lui presque vingt ans de prison pour prostitution aggravée alors que le titre qui se donnait faisait bien lorsquil intervenait pour sauver une pauvre jeune femme dun voyou qui limportunait.
Une équipe suivait le dragueur et est arrivée au moment où Albert quittait la chambre et tout ce joli monde est assis à lextérieur de bureau où lon prend ma définition.
Lorsque je sors le vicomte comme je continue à lappeler me regarde droit dans les yeux.
Vis ta vie fillette, lAlbert à fait de toi une vraie femme.
Dis-toi que lAlbert chaque fois quil se masturbera dans les mois ou années futures, cest à ta rosette quil pensera et soit sûr que chaque fois que tu te feras prendre le petit, cest à moi que tu rêveras.
A-t-il tors, sûrement pas, il va me falloir du sexe, de la queue, que des mâles me pilonnent chaque fois que jen aurais envie.
Cest ma valise qui me manque qui va précipiter ma perte lorsquun jeune stagiaire étant chargé de me la resti après quil est retrouvé le Jaguar chez un loueur de voitures de luxe, a prévenu mon mari de venir la rechercher et lorsquil y a été, il lui a tout recompté sur larrestation dun réseau de proxénètes alors que javais été sauvé dans une chambre dhôtel.
Au lieu de garder une belle cochonne comme moi dans notre lit, il a divorcé.
Toute seule comme une grande, je me suis mise à fréquenter une boîte libertine bien connue des beaux quartiers parisiens.
Cest là que jai rencontré Christophe bel homme de presque quarante ans qui ma fait deux beaux-s un garçon et une fille et nos ébats amoureux se passe toujours dans le respect de lun et de lautre.
À oui, Albert avait raison, la levrette et la sodomie sont deux passages obligatoires chaque fois que Christophe me désigne un homme à séduire et chaque fois cest Albert qui me prend et qui fait exploser mon corps
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