La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 470)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°467 - (1/3) - Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte -
Dieu que soumis compelled MDE était bien, là, dans cette posture desclave, aux pieds du Maitre ! Il était heureux, peut-être même comme jamais il ne lavait été jusquici. Il se sentait bien, extraordinairement bien et cela se voyait, se respirait. Cette vie-là était bien la sienne, fusse-t-elle parfois douloureuse ! Monsieur le Comte avait vu juste, soumis compelled MDE avait pris beaucoup de plaisir à se faire enculer sauvagement sous le regard des Maîtres. Cette énorme queue qui avait défoncé son cul lavait comme ragaillardi et fortifié. Lacte charnel devenait un acte banal, naturel, anodin, tel un besoin vital, comme boire, manger, respirer... Les yeux clos, couché en position ftale sur ce pavé chauffé par le soleil, soumis compelled MDE se rappelait ce que lui avait prédit le Maître : Je ferai de toi un bon chien soumis et une bonne pute ! La prédiction prenait du sens aujourdhui, le chien MDE se sentait glisser, doucement mais sûrement, sur une pente lemmenant vers des pratiques et des plaisirs sexuels immodérés : Il devenait bel et bien une pute, un vide couilles total !
Monsieur le Marquis dEvans allongé les pieds en éventail dans un large fauteuil de jardin, sétait endormi à lombre des pins parasols. Voyant ça, Monsieur le Comte décida de soccuper du chien, toujours aux pieds du Maître. Il le fit lever doucement, pour ne pas réveiller son hôte et ami, et emmena lesclave près de la maison. Une grande et superbe bâtisse du dix-huitième siècle, avec un magnifique patio rafraichi par une gigantesque fontaine mauresque. Dans cet espace fermé, planté dorangers couverts de fruits où les bougainvilliers senroulaient autour des colonnes de pierre soutenant des arcades, régnait un silence monacal. On se serait effectivement cru dans un cloitre ! Dailleurs dans un angle du patio était planté une grande croix en bois massif, pas tout à fait une croix chrétienne mais presque ! Cétait là que Monsieur le Comte entraina soumis compelled MDE.
- Tu vois ma salope, je suis bien sympathique avec toi. Je te laisse le choix, soit tu travailles bien tes muscles de tes bras et jambes, soit tu tempales ! Admets quil est bien rare quun Maître, laisse décider un esclave !
Le raisonnement de Monsieur le Comte était des plus machiavéliques, déjà crispé et tremblant, les muscles du chien MDE se tétanisèrent rapidement. A plusieurs reprises soumis compelled chercha à tirer sur ses bras et à appuyer sur ses jambes pour échapper au supplice du pal ! Mais au bout de quelques minutes seulement il sentit lobjet le pénétrer inexorablement. Mais le gode était long, trop long où la traverse de bois trop éloignée pour que lesclave puisse poser son fessier sur celle-ci, et reposer son corps contracturé. Non seulement, il ne se soulageait pas, mais en plus il sempalait ! Monsieur le Comte toujours face à soumis compelled MDE, lhumilia un peu plus encore :
- Tu es vraiment une vraie chienne, tu préfères nettement te faire enfiler plutôt que de faire des efforts musculaires, pour ta peine, tu vas rester ainsi un quart dheure.
soumis compelled MDE, tenta dans un ultime effort de se soulever encore pour échapper à cette pénétration e. Avec un brin de malice, il comprit quen tirant plus encore sur ses bras, il parviendrait à détendre le cordage le maintenant attaché. Alors il se souleva encore, se laissa retomber doucement, puis recommença plusieurs fois lexercice en « avalant » ainsi le gode un peu plus profondément à chaque fois quil sy asseyait dessus. Et la douleur se mêla progressivement au plaisir. Il sentait lexcitation montée en lui, son sexe encagé bavait, un fin filet de sa mouille séchappait
Enfin, le chien MDE était parvenu à poser son fessier sur le chevron, son cul avait englouti le dildo ! Tandis que lesclave restait dans cette position, des pas sapprochèrent et Monsieur le Marquis dEvans tout souriant contemplait la scène
- Je me suis permis, Cher ami, doccuper un peu Votre chien pendant que vous preniez un peu de repos.
- Vous avez très bien fait Très Cher
- Regardez ce misérable crucifié, il semble avoir pris du plaisir si jen crois certain débordement de sa queue
- Ca ne métonne pas de Lui, ce nest quune chienne lubrique, bonne quà se faire prendre par le cul et par nimporte quoi, pourvu que cette lope se sente bien sodomisée !
- Il me serait agréable de lui infliger quelques s supplémentaires, si vous ny voyez pas dinconvénient très cher Marquis !
- Il est à vous, faites en bon usage ! Répondit le Maître en caressant les cuisses de Son chien.
Monsieur le Comte partit quelques instants, le Maître profita de ce bref tête à tête avec Son chien pour linterroger :
- Ca va Mon chien ?
- Oh oui très, très, bien Maître Vénéré, je suis le slave le plus heureux du monde.
- Tu ne regrettes pas de mappartenir ?
- Nullement Maître, je suis si fier dêtre à Vous.
- Cest bien, je suis fier davoir un chien fidèle
- Oh Merci Maître.
Le Maître ôta la cage de chasteté de lesclave, tira sur ses couilles pendant que Monsieur le Comte, revenu, fixait un parachute de cuir autour delles.
- Suce ta mouille !
Monsieur le Comte avait sorti dun sac un chapelet de petites boules de plomb de trois centimètres de diamètre. Il en fixa dabord quatre sur le parachute, puis regarda la réaction de soumis compelled MDE. Il ne bronchait pas, alors il en accrocha quatre supplémentaires, puis deux autres encore.
- Joignons lutile à lagréable
Quitte à ce que ce chien ne fasse rien, autant lui travailler et lui étirer un peu les couilles.
Cétait désormais plus dun kilo qui pendait des couilles de soumis compelled MDE, il grimaça un tantinet lorsque le Maître fit balancer ces poids entre ses jambes. Il grimaça un peu plus encore, se mit même à geindre, lorsque Monsieur le Comte lui pressa les tétons avec deux pinces mordantes auxquelles il accrocha deux boules de plomb. La douleur était intense, vive et foudroyante et pourtant soumis compelled MDE se mit à bander instantanément. Le développement de son endurance masochiste prenait de la consistance. Monsieur le Comte semploya encore, juste, soit disant pour le décorum, des pinces métalliques furent accrochées à ses orteils
. Là, le chien se mit à brayer ! Pour enrailler ces cris, Monsieur le Comte glissa dans la bouche de lesclave un bâillon en forme de gode.
- Voilà qui est beaucoup mieux ! fit le Maître
Monsieur le Comte et son hôte partirent laissant là le chien en cette position, ses orifices obstrués, ses génitaux étirés et ses tétons et pieds malmenés. Au bout dun moment, soumis compelled MDE ne fut pas mécontent de voir réapparaitre les Maitres. Ils étaient suivis dun esclave tenu en laisse et marchant à quatre pattes. Ils le firent rester en quadrupédie devant soumis compelled MDE pendant que Monsieur le Comte ôta les pinces des orteils et les poids des couilles du chien soumis MDE.
- Bien, maintenant un peu de distraction pour nous autres les Maîtres, jouons un peu ! toi le chien (le Maître de son index montrait lesclave en quadrupédie), tu vas venir sucer Mon chien. Tu nutiliseras point tes mains mais uniquement avec ta bouche et tu auras sept minutes, pas une de plus pour le faire jouir et cracher. Si tu ny parviens pas, tu seras alors sévèrement puni. Toi Mon chien, pendant ces sept minutes, tu vas contenir ton plaisir et toute éjaculation. Si tu ny parviens pas, cest toi qui seras puni sévèrement, cest bien compris !
A lunisson, les deux esclaves répondirent un « OUI MAITRE » Ils comprirent bien que cette règle de jeu était quelque peu démoniaque et dune grande perversité car lun deux serait puni, pire encore
Que lun ferait punir lautre
Les lèvres de lesclave enveloppèrent le gland de soumis compelled MDE et le top départ fut donné. Dès les premiers coups de langue, la queue de lesclave MDE se tendit et gonfla comme si elle était en surchauffe. Quelques gouttes nacrées perlaient déjà sur ce gland turgescent. Le chien soumis compelled MDE comprit quil avait à faire à un expert. Au lieu de le pomper directement, la langue de lesclave de Monsieur le Comte, glissa sur cette hampe gonflée puis lécha les couilles. Les boules du chien soumis MDE frétillèrent sous la pression de cette langue. Il revint ensuite titiller le gland et lhumecta de salive, petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Lesclave prenait son temps, sans trop se préoccuper du moment alloué, il se délecta de cette mouille, elle était onctueuse et salée. La bite léchée, raide de désir se tendait encore, alors lesclave se décida enfin, il se mit à pomper en cadence à enfoncer cette queue le plus profondément dans son gosier pour la faire glisser ensuite parfaitement dans sa bouche.
Il senfonça encore jusquà presque l pour revenir sucer le gland et ainsi de suite en augmentant chaque fois un peu plus le rythme. Malgré le bâillon, les gémissements de plaisirs allaient bon train du côté de soumis compelled MDE, il tentait de contracter ses entrailles pour retenir ce quil avait de plus intime, mais le gode quil avait toujours dans le cul le limitait dans ses soubresauts, dans ses contractions musculaires. Mais soumis compelled MDE était un gagnant, et ne voulait rien lâcher et surtout pas son foutre. Lesclave suceur était lui aussi un compétiteur, il ne voulait rien perdre de cette queue, il voulait obtenir ce jus ! Chacun des deux esclaves étaient obnubilés par lobéissance et le respect des ordres fixés par les Maîtres, peut-être même bien plus que la crainte dune sévère correction
Le chien soumis compelled MDE était au bord de l, ses muscles se raidirent, il poussa sur ses jambes, ce qui eut pour effet de faire glisser le gode dans son cul. Quelle erreur ! Il lâcha un cri sonore et animé de spasmes et ne tenant plus, il déchargea une forte giclée de sperme épais dune pression inouïe, puis deux, puis trois, jusquà inondé cette bouche chaude et experte. Lesclave de Monsieur le Comte se retira de la bite de soumis compelled MDE, ouvrit la bouche, tira la langue pour justifier et montrer quil était bel et bien le gagnant et le vainqueur de cette compétition.
- Cinq minutes quarante-huit exactement ! Lança le Maître en flattant le cul de lesclave repositionné en dog, puis il lui ordonna davaler.
soumis compelled MDE honteux, contrit et consterné se laissa détaché de cette croix. On lui ôta les accessoires encore accrochés à lui, on lui remit sa cage de chasteté et dès quil fut en capacité de le faire, il se prosterna devant les pieds du Maître et présenta humblement ses respectueuses excuses.
- Tu as désobéi Mon chien et tu seras sévèrement puni le moment venu
.
(A suivre
)
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