La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 471)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°470 - (2/3) - Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte -
Les Maîtres, et leurs deux esclaves à quatre pattes derrière eux, regagnèrent la piscine. On les attacha tous deux, côte à côte au moyen dune très courte chaine, dix centimètres maximum, de leur collier à un anneau fixé dans une margelle. Les Maîtres se baignèrent longuement, les chiens, culs relevés les regardaient nager avec envie et tentation. Ils restèrent dans cette posture encore très longtemps attendant que les Maîtres finissent de se détendre et de discuter. Cest Alberto qui vint interrompre leur conversation. Il parla dans un français approximatif :
- Pardon moi Monsieur le Comte, les slaves ont entré.
- Bien Alberto, merci, nous arrivons.
Dans une cour près des bâtiments agricoles, le cheptel desclaves était réuni. Certains étaient à quatre pattes, trois dentre eux en attente à genoux. Monsieur le Comte expliqua la situation :
- Cest le moment du rapport, les esclaves sont réunis ainsi tous les jours ici, matin et soir. Le Matin, les ordres sont donnés pour le travail à fournir dans le Domaine, le soir Alberto me fait un compte rendu de la journée et je punis ceux qui ont été négligents et désobéissants.
- Mais pourquoi trois dentre eux sont à genoux alors que le restant de votre cheptel est en dog, mon Cher Comte.
- Les trois à genoux sont mes chiens soumis dominants, les autres sont les dominés. Les dominants ont ce privilège
- Très intéressant Monsieur le Comte, japprécie cette hiérarchie installée chez vous
- Ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis quil serait intéressant que Votre chien-soumis regagne ma meute !
- Bien sûr !
Et soumis compelled MDE sinstalla près dun slave dominé en quadrupédie, accompagné de celui qui lavait fait jouir. Lui aussi se mit à quatre pattes. Monsieur le Comte monta sur une petite estrade installée au milieu de la cour.
- Chien soumis compelled MDE, toi aussi avance de trois pas, tu fais partie de ceux qui vont être puni ce soir.
Sur ordre sans doute, le premier esclave avancé se leva, marcha tête basse jusquà devant Monsieur le Comte, puis il se remit à genoux, se prosterna et lui baisa les pieds. Il alla ensuite vers Monsieur le Marquis dEvans et fit de même, il regagna ensuite un portique métallique, sur la gauche, se plaça dessous, Alberto, lui attacha mains et pieds pour le tenir largement écartelé. Monsieur le Comte approcha avec un fouet en main. Lesclave décompta en anglais, chaque coup reçu, soixante-dix au total en hurlant, braillant, beuglant, se tordant, sagitant dans tous les sens. Dès quil fut détaché il se prosterna aux pieds de Monsieur le Comte, les lui baissa, le remercia, puis il alla jusquaux pieds de Monsieur le Marquis dEvans reprit le même cérémonial et regagna les rangs, il paraissait si heureux sur son visage épanoui par ce supplice, que seul un masochiste de sa trempe pouvait apprécier ce genre de traitement. Le second esclave puni eut droit au même traitement, au même nombre de coups, de la même manière installée.
- Tu es Son chien et cest le Maître que tu dois vénérer, petite salope.
Baisers posés, soumis compelled regagna le portique et se fit attacher les membres par Alberto sous le regard de tous les esclaves immobiles.
- Tenez mon fouet Monsieur le Marquis, cest Votre chien, punissez le !
Le Maître prit le fouet délicatement tout en saluant son ami et sapprocha de soumis compelled MDE, lui releva le menton, le regarda droit dans les yeux.
- Rappelle moi pourquoi tu es puni salope ?
- Pour avoir juté Maître.
- Et pourquoi as-tu juté alors que tu ny étais pas autorisé ?
- Je nai pas pu et su me retenir Maître Vénéré, je vous prie de me pardonner !
- Cest tout ?
- Heu
Je vous prie aussi de me punir, Maître, je mérite cette punition et je la réclame avec sincérité et repentance
- Le fouet va te pardonner. Je serai indulgent avec toi et te donnerai quarante coups seulement, tu as moins dendurance et dexpérience que ces bâtards
- Merci Maître Vénéré.
soumis compelled MDE savait que le châtiment serait dur, très dur, mais il savait aussi quil était juste et mérité. Il savait aussi que sil voulait progresser sur ce long chemin de slavitude, il devait accepter le traitement utile à son éducation. Alors il inspira et souffla un grand coup, ferma les yeux et mis son corps à disposition. Et ce fut terrible et paradoxalement si excitant, si jouissif mentalement pour lui
Il eut limpression que ses chairs se déchiraient, quelles partaient en lambeaux
Ce nétait quune impression bien sûr, mais de belles marques rouges et boursoufflées zébraient son cul, ses omoplates, son dos et sa poitrine
Il eut cette jouissance mentale, parce quil était conditionné, il subissait là sur le moment un entrainement sadomasochiste via une punition méritée.
- Chien soumis compelled MDE, ici un autre rite existe. Les salopes punies de ton espèce ont une autre obligation envers leurs congénères respectueux des règles établies. Elles doivent sexcuser auprès deux de les avoir fait attendre
Tu vas donc précéder à quatre pattes mes deux chiens eux aussi punis et aller lécher et sucer tous les culs de mes autres esclaves offerts. Tu tattarderas trente seconde sur chacun deux. Passe bien ta langue de pute sur leurs trous, cherche même à lintroduire et à la glisser en eux. Allez, à toi lhonneur !...
Et soumis compelled MDE goutta chacun des trous des treize esclaves exposés, certains étaient transpirants dautres plus odorants. Il léchait, glissait sa langue et à chaque fois quil recevait un coup de cravache sur les fesses de la part dAlberto, il passait au cul suivant
Belle humiliation, belle excitation également ! Lensemble de la meute regagna ensuite, sous le regard sévère du garde, le bâtiment agricole, pour se laver. La salle de douche était commune, assez grande, toute carrelée. Les esclaves entrèrent en silence et passèrent sous leau tiède. Du savon était mis à leur disposition. soumis compelled MDE se lavait consciencieusement, il fermait les yeux tant il lui était agréable de se rafraichir. A un moment donné, il fut un peu bousculé quelque peu chahuté et entrainé dans un angle tout au fond de la salle de douche. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi ? La pièce était grande et il y avait bien de la place pour tout le monde. Mais très vite des mains se posèrent sur ses fesses lui les écartèrent, dautres lui attrapèrent les bras pour le faire se pencher en avant.
Deux queues tendues tentèrent de sintroduire au même moment dans sa bouche, une troisième glissait déjà dans ses reins
Pris en sandwich, soumis compelled MDE ne chercha pas à se dégager, cétait peine perdu ! Il glissa doucement au sol et se laissa enculer tout en bouffant un cul assis posé sur son visage ou en dévorant une queue tendue. Lesclave dominant noir qui avait déjà fait connaissance avec son trou sétait relevé et attendait son tour en se masturbant énergiquement
Et son tour arriva sitôt après que le premier eut tapissé de son foutre la cavité intime de soumis compelled MDE. Lui aussi le pénétra avec vigueur et lui tenant bien les jambes relevées, donnant de violents coups de reins et arrachant au chien enculé, des gémissements étouffés, parce quune bite en bouche. Le troisième esclave dominant prit soumis compelled MDE debout, mains posées sur le carrelage, cuisses écartées. Il le pénétra dun trait, de longs vas et viens ramonaient cet anus crémeux et dilaté. Dans un dernier coup de rein, il envoya sa sauce au plus profond des entrailles de lesclave MDE. Et lorsque les trois esclaves dominants furent rassasiés, ils demandèrent à soumis compelled MDE de nettoyer leurs queues à laide de sa bouche. Lorsque soumis compelled MDE reprit ses esprits, il saperçut que tous les autres esclaves étaient partis. Le garde Alberto était resté là à regarder le spectacle. Il avait assisté à ce pervers gang bang sans bouger, sans intervenir. Il y avait pris un plaisir certain, sétait même masturbé et avait joui. Il demanda dailleurs à soumis compelled MDE de lécher sa semence déposée au sol juste avant de quitter la salle de douche.
Lesclave MDE eut un peu de mal à tenir debout, mais il devait se lavouer, il venait de prendre grand plaisir à vivre ce moment impensable il y a encore peu. Ce déchainement de sexe à son endroit, ce plaisir immense à se faire prendre de la sorte et par tous les trous resteraient sans doute longtemps gravé dans sa mémoire ! Après le repas du soir pris en commun en gamelle, avec ses congères slaves, soumis compelled MDE fut reconduit, par le Majordome, dans la demeure de Monsieur le Comte. Il retrouva les Maîtres confortablement installées, presque affalés dans deux immenses sofas. Ils fumaient tous les deux un cigare de la Havane et dégustaient un très vieil armagnac du Gers.
- Approche Mon chien ! Lui intima le Maître
soumis compelled MDE avança doucement et se campa devant le Maître en posture dattente. Celui-ci lui ôta sa cage de chasteté.
- Viens près de moi chien ! lui ordonna ensuite Monsieur le Comte.
Et le chien MDE se déplaça de quelques pas et repris la posture conventionnelle.
- Non viens sur le sofa, allonge toi sur le dos, pose ton cul sur mes jambes et écarte bien les cuisses, montre-moi que tu es une bonne petite pute !
Alors que soumis compelled MDE obéissait strictement à lordre, un jeune esclave, amené à quatre pattes, par Alberto, entra dans la pièce. Il était jeune et beau ce soumis, à peine avait-il vingt-cinq ans, très blond, les yeux bleus. Il navait rien dun espagnol. Cétait en fait un Danois
Monsieur le Comte sadressa à lui en Anglais.
- Salope, je veux écouter ce soir la sonate pour piano n°3 de Chopin
- Yes Master !
Et le jeune esclave se prosterna puis sinstalla devant le piano à queue se situant face aux deux sofas et commença à jouer sans partition, cet allegro maestoso dune manière sublime, avec un touché exceptionnel
Le tempo était parfait, léger, allègre et gai. Les Maîtres se murèrent dans un silence presque religieux, ils prenaient un vrai plaisir à entendre cette uvre sublimement jouée. Monsieur le Comte, tout en écoutant attentivement, prenait également un autre plaisir, celui de caresser, tripoter, toucher et titiller les attributs mâles laisser à disposition, de soumis compelled MDE. Sa main glissait sur cette nouille tendue, sur les couilles, les effleurant et les câlinant presque. Parfois les deux mains de Monsieur le Comte écartaient un peu plus encore lentrejambes du chien MDE pour caresser, son périnée, sa raie, pour glisser un doigt dans son trou encore bien dilaté. Cette posture parfaitement indécence au nom de la morale judéo chrétienne, devenait parfaitement naturelle pour soumis compelled MDE. Il sabandonnait, avait lâché prise et sépanouissait dans cette parfaite impudeur en y prenant une satisfaction sans limite et une vraie jouissance mentale.
Etait-ce la Sonate de Chopin ou la queue de soumis compelled MDE qui avait ravivé et exacerbé lexcitation de Monsieur le Comte ?
- Vous connaissez sans doute, très cher Marquis, la fameuse marche de Radetzky
- Oui bien sur mon cher Juan Antonio, je lai entendu jouer à lopéra de Vienne à la clôture de ce fameux concert du nouvel an
- Ah vous aussi très Cher ! Et vous avez noté quà ce moment précis, le public viennois se déchainait et battait des mains à chaque mesure ?
- Oui un moment étonnant
tranchant avec la rigueur de ce peuple, Mais quand la grande musique sexprime tout est permis !! !
- Que diriez-vous si nous écoutions ce morceau et que nous battions tous les deux la mesure sur
sur les fesses de Votre esclave ?
- Excellente idée ! Voilà qui permettrait de bien terminer la soirée, que je pressens délicieusement perverse encore
(A suivre
)
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