La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 472)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°471 - (3/3) - Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte -

Alors ni une ni deux, Monsieur le Comte se leva, récupéra le CD et le glissa dans le lecteur :

- Un très bon enregistrement, en live depuis l’opéra de Vienne. Fit-il constater à Monsieur le Marquis.

Le chien soumis compelled MDE fut installé cul relevé sur le dossier du sofa, tête enfouie dans les coussins, et dès les premières notes jouées, les claques tombèrent sur son postérieur…

- Un cul pour quatre mains, belle sonate, Mozart n’a qu’à bien se tenir ! Plaisanta le Maître

Quelle fut longue cette marche de Radetzky ! Qu’il fut rouge le cul de soumis compelled MDE, virant même au violet ! Il eut beau gémir, se tordre sous la contrainte, la fessée perdura jusqu’à la fin de cette maudite marche… Pourtant, le cul brulant, l’esclave MDE se redressa puis sitôt après se prosterna aux pieds du Maître :

- Merci Maître, merci infiniment pour ce dur moment, vous seul Maître Vénéré savez me faire grandir !
- Redresse toi Mon chien !

Sitôt debout, le Maître posa pour la première fois un baiser sur le front de Son soumis. Belle preuve d’estime et fierté du Maître, l’esclave eut bien du mal à cacher son émotion et sa dignité d’appartenir !... Il se faisait tard et Monsieur le Comte se mit à parler du coucher :

- Très cher ami, mon cher Marquis, souhaitez-vous conserver près de vous Votre chien pour cette nuit ou préférez-vous que je le fasse emmener au chenil ?
- Il dormira aux pieds de mon lit ! Lui répondit le Maître tout souriant et sans une once d’hésitation, puis il reprit :
- Puis-je vous demander une faveur, cher ami ?
- Evidemment, considérez-vous chez vous ! Je vous écoute !
- Votre esclave, ce jeune chien pianiste, pourriez-vous me le faire tenir à disposition pour cette nuit ?
- Oh mais bien sur Monsieur le Marquis, je sais que vous en ferez bon usage.

Sachez toutefois qu’il a encore un cul assez étroit, mais en le forçant tranquillement vous pourrez en user comme bon vous semblera.
- J’en prends bonne note, merci Juan Antonio et bonne nuit.

Après les remerciements de politesse de cette première journée, les deux Maîtres se quittèrent sur une forte accolade amicale. Sitôt dans la chambre, soumis compelled MDE, sa nouille de nouveau en cage, dut se coucher sur l’épaisse moquette. Le Maître prit une douche et avant de regagner son lit, s’intéressa à Son chien.

- Alors Ma salope, il m’a été rapporté que tu t’étais bien fait tringler sous la douche !
- Oui Maître Vénéré.
- Tu sembles avoir apprécié !
- Oui Maître Vénéré.
- Ton trou de pute doit bien s’ouvrir désormais ?
- Oui Maître Vénéré.
- Mets-toi debout, montre-moi, en penchant ton torse à quarante-cinq degrés et en empoignant tes fesses de tes deux mains !

Le Maître glissa deux doigts dans le cul de son chien, les agita et constata qu’en effet son trou était tonique et souple.

- C’est bien Mon chien, allez couche-toi maintenant et dort, une dure journée t’attend demain.

Bien difficile pour soumis compelled MDE de dormir, de trouver le sommeil alors que le Maître prenait du bien-être avec le jeune esclave pianiste. Il se fit sucer longuement, puis encula le jeune chien consciencieusement. Et à chaque coup de butoir, à chaque coup de rein, le jeune esclave hurlait de plaisir comme une bête craintive sous la tempête… « Oh yes sir… please Master… please sir… fuck me again! ». La nuit se passa ainsi entre les temps de sommeil et les enculages selon les érections nocturnes du Noble… Le réveil fut bien difficile. Il faisait tout juste jour mais il faisait déjà très chaud. La meute était déjà arrivée et installée dans la cour pour le rapport du matin. Alberto faisait les cents pas, badine à la main, marquant une certaine forme d’impatience. Il héla les deux esclaves retardataires, soumis compelled MDE et le jeune esclave pianiste durent se coucher à plat dos au centre de la cour.
Alberto les attacha, membres étirés et en croix, à même le sol. C’est à ce moment-là qu’arrivèrent les deux Maîtres. Le garde baragouina en espagnol et l’ensemble de la meute s’immobilisa parfaitement.

- Je suis désolé Monsieur le Marquis, mais les règles et rituels sont stricts ici. Les retardataires au rapport sont punis.
- Je suis navré Monsieur le Comte, mais la faute n’est pas imputable à ces deux chiens. C’est moi qui les ai retenus.
- Bien, alors la sanction est levée, soyons justes. Mais que ces deux chiens restent attachés, je leur réserve une surprise.

Monsieur le Comte s’exprima ensuite en espagnol, puis en anglais. Il fixait les ordres du jour, commandait le travail à faire. Au bout d’un certain temps, les esclaves se levèrent, et deux groupes distincts furent formés. En deux colonnes, les esclaves avancèrent vers les esclaves attachés. Les deux Maîtres se concertèrent quelques minutes…

- … Pas de problème Monsieur le Comte, agissons ainsi !

Les deux esclaves, les premiers des deux colonnes avancèrent et enjambèrent les deux chiens soumis au sol. Ils s’accroupirent et pissèrent sur les esclaves tenus attachés en prenant grand soin de les arroser copieusement et d’inonder leurs visages essentiellement. Dès qu’ils eurent fini, ils furent remplacés par les seconds de chacune des colonnes et ainsi de suite jusqu’au septième et dernier. Leur pisse était pour la plus part chargée et odorante et il fut difficile par moment, aux deux esclaves souillés, d’ingurgiter, selon les ordres reçus, ces liquides chauds, malodorants, amers et doucement salés. Lorsque les esclaves eurent finis de satisfaire leurs besoins naturels, ce sont les deux Maîtres qui s’approchèrent et qui urinèrent sur les deux slaves étendus.

- Laissons-les là macérer quelque peu ces esclaves, le temps de notre petit déjeuner ! lança Monsieur le Comte.

Le temps paru long à soumis compelled MDE, surtout que le soleil commençait à taper fort.
Il faisait chaud, de plus en plus chaud. Ni l’un ni l’autre des esclaves se parlèrent, ils restèrent sagement immobiles à attendre patiemment avec la puanteur de l’urine séchant au soleil. Alberto arriva enfin, il les détacha, l’esclave pianiste fut envoyé dans les oliveraies pour nettoyer les vergers, soumis compelled MDE rejoignait le Maitre finissant son petit déjeuner.

- Ah Mon chien te voilà, cette douche d’urine semble t’avoir requinqué !
- Oui merci Maître Vénéré.
- Mais dit donc tu pues, tu sens vraiment la pisse !
- Oui Maître Vénéré
- Je vais donc te laver.
- Merci Maître Vénéré

Le Maître attrapa Son chien par son collier et l’entraina sous la pergola couverte de cannisse. Il l’attacha en croix par chacun de ses membres, lui ôta sa cage de chasteté. Puis il prit le jet du tuyau d’arrosage et le lava à grande eau. soumis compelled MDE ne put retenir ses cris, l’eau froide le saisissait, un vrai choc thermique après avoir été exposé au soleil. Le copieux prélavage fut suivit d’un savonnage en règle, sans grande prévention, sans grande méticulosité surtout sur les génitaux du soumis. Mais le Maître n’en restait pas là, il sortit d’un sac plastique, un gant de crin…

- Voyons chien, il faut que je te décrasse, tu le sais, j’ai horreur d’un slave sans hygiène !

Et le Maître passa à l’action en y mettant toute son énergie et plus particulièrement lorsqu’il se concentra sur trois zones sensibles : La poitrine, le bas ventre et le cul de l’esclave. Dieu que le fessier de soumis compelled MDE était encore sensible ! La fessée de la veille avait laissé quelques douloureux souvenirs. L’esclave fut ensuite rincé, de la tête aux pieds, avec un soin tout particulier apporté à son cul et à sa nouille, qui fut décalottée pour l’occasion.

- Bon te voilà propre Ma salope, tu te sens mieux ?
- Oui Maître ! répondit soumis compelled MDE en tremblant un peu, non par froid mais plutôt par réaction.

- Te sens-tu prêt pour un peu d’entrainement physique ?

soumis compelled MDE hésita quelques secondes. Qu’entendait son Maître par un peu d’entrainement physique ?

- J’ai très envie de te contraindre à un petit exercice sadomasochiste pour t’entrainer à la douleur, pour te rappeler que la douleur peut être source de plaisir. Le souhaites-tu chien ?
- Maître, vous le savez, tout ce que vous me donnez me plait, fusse le fouet !
- Ta réponse me plait Mon chien, mais es-tu dans la sincérité et la vérité, non pas envers le Maître, mais envers toi-même ?
- Oui Maître Vénéré, je vous le promets. Mon bonheur est là, près de Vous, à m’offrir à Vous quel que soient les traitements que vous m’imposez, j’en suis sûr et certain !

soumis compelled MDE était sincère, honnête et sa réponse se voulait convaincante et sans appel. Le Maître le comprit ! Alors, il détacha Son chien et l’emmena debout tenu fermement par son collier dans la pinède, juste derrière la demeure de Monsieur le Comte. Il y avait là, les trois esclaves dominants et transpirants qui finissaient un travail. Ils venaient d’installer un treuil manuel, au tronc d’un pin coupé, avaient installé une poulie à une solide branche d’un autre pin, dans laquelle passait un câble métallique, et au bout de ce câble était crocheté une barre d’écartement. Le tout semblait parfaitement sécurisé. Alors le Maître fit un simple signe aux trois esclaves dominants de Monsieur le Comte. Ils se saisirent de soumis compelled MDE, le couchèrent sur le sol à plat dos, lui fixèrent des chaussures adaptées à la situation et l’attachèrent à la barre d’écartement posée pour l’instant sur le sol. Le Maître alors actionna la manivelle du treuil et petit à petit l’esclave MDE se sentit soulever jusqu’à être complètement suspendu par les pieds. On lui attacha les bras croisés dans le dos. Le Maître pris en main un lourd martinet aux longues lanières plates, caressa le corps de son esclave avec celles-ci puis commença doucement à frapper… Les coups portés devinrent au fil du temps plus incisifs, mais restèrent supportables. Et ce traitement dura plus d’une vingtaine de minutes, juste le temps nécessaire pour que les endorphines commencent à produire leurs effets. Certes, soumis compelled MDE gigotait bien un peu, parfois il lui arrivait bien de pousser un cri, mais la situation dans laquelle il se trouvait lui procurait et apportait un intense et vrai plaisir. Il se sentait à la totale disposition du Maître, c’était ce ressenti qu’il affectionnait le plus, n’être plus rien.., n’être rien d’autre qu’un objet suspendu à disposition. Le Maître alors pris un fouet, le fouet rouge en peau d’hippopotame de Monsieur le Comte. Il le montra à son chien MDE.

Ah le fouet et ses divines morsures, cet instrument qui sifflait, qui chuintait, qui claquait, qui brulait et s’enroulait et… enfiévrait ! Sa simple évocation semblait défier aussitôt l’imagination de soumis compelled MDE : Le plus noble, le plus terrible, le plus redoutable et le plus redouté des instruments et pourtant un objet qui commençait à fasciner le chien suspendu. Les dents serrées dans l’attente du coup qui allait tomber et dont soumis compelled MDE redoutait à l’avance l’intensité, il était assailli par l’angoisse et l’excitation mêlées de savoir à quel endroit le Maître allait vouloir frapper et pendant combien de temps… Puis vint la peur : Peur de ne pas pouvoir tenir, peur de ne pas être à la hauteur, peur partagée avec le secret du désir de repousser toujours un peu plus loin ses limites. Puis sous les claquements répétés du fouet, soumis compelled MDE allait connaître bientôt l’excitation de l’abandon, la brûlure exquise et cinglante de la douleur qui lui réveillerait les sens, et ensuite cette intense chaleur, l’embrasement progressif de la peau et la moiteur insidieuse de son intimité. Pour le Maître, soumis compelled MDE offrait l’excitante contemplation de son corps, totalement offert et ouvert, acquiesçant ainsi par avance la qu’Il allait Lui faire vivre impliquant la souffrance et ses inévitables soubresauts, accompagnés de ses râles, cris et gémissements et vaines suppliques.

Un entrainement, un simple entrainement pour soumis compelled MDE sans perdant, ni vainqueur ni vaincu, où le pouvoir se mêlait à la force du désir du chien MDE, s’abandonnant et souffrant, mais aussi forçant inéluctablement le Maître à aller toujours plus loin, plus fort, plus intensément... Plus de cent coups avaient été administrés, plus de cent coups pour faire naitre l’extase masochiste, plus de cents coups pour réaliser la fusion de deux êtres sublimés par une indicible transcendance, au terme d’un voyage au plus profond d’eux-mêmes ou des sentiments de reconnaissance, d’appartenance et de gratitude mutuelle les liaient désormais….

(A suivre…)

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