Ma Première Fois
Ma première fois.
Je vous ai ici raconté ma première pipe dans les WC de la fac, jaimerai vous raconter comment sest passée ma première fois.
Quelques mois après cette première pipe, je suis toujours à la fac et je fréquente assidument les toilettes du 2ème étage, mais je nai pas encore osé franchir le pas. Cest peut être idiot mais jai pas envie de me faire dépuceler dans des chiottes même si dans un sens cest déjà un peu le cas, mais ça me semble moins dommage pour une première pipe que pour une première sodomie.
Quoiquil en soit, je nai pas franchi le pas et jattends la bonne occasion même si je ne sais pas si elle viendra un jour.
La fin de lannée arrive et après les partiels, le club détudiants auquel jappartiens organise un grand week end de fête avec dautres étudiants venus de toute la France. On se retrouve tous à Bordeaux et pour quelques jours ce ne sera que picole et insouciance. Cest traditionnellement un week end où le sexe est à lhonneur, les rencontre étant facilitées par la promiscuité, notre jeunesse et par lalcool qui coule à flot, mais nayant pas encore révélé mon homosexualité, je nen attends rien quun simple week end de picole.
A larrivée du train, nous sommes réceptionnés par le comité daccueil qui nous transporte jusquà la cité universitaire où aura lieu le week end. Vérification des inscriptions, attribution des chambres, installation rapide, il est déjà lheure de lapéro daccueil. Là entre les verres, les rires et les provocations bon s sur nos villes respectives, des contacts se nouent.
Je discute avec quelques connaissances venues de Nantes quand un ami venu de Tours se joint à notre groupe avec 2 jeunes garçons. Il nous les présente comme étant les nouveaux de la fac de lettre. On trinque tous ensemble et je ne fais pas immédiatement attention à eux. Pourtant lun deux, Flo, nest pas en reste, il se mêle à notre conversation et se révèle avoir un esprit vif.
Au cours de la soirée alors que les groupes se font, se défont au gré des conversations, je me retrouve un instant seul avec Flo, il a tellement chaud quil a adopté la tenu de la plus part des garçons de la soirée, le torse nu. Je profite de ce moment de tranquillité relative pour faire mieux connaissance avec lui, et je découvre alors un garçon charmant, légèrement plus jeune que moi, mais dont les goûts sont très similaires aux miens. Au point que je découvre son physique tout à fait avantageux et auquel je navais pas prêté attention jusque là, obsédé que jétais à refouler mes penchants.
Il est beau, châtain clair presque blond (pas mon genre dhabitude mais là je me laisserai bien tenter), yeux clairs et ce petit truc qui me rend dingue, outre un menton volontaire, ses oreilles sont légèrement décollés. Moi ça me rend tout chose les oreilles décollées. Sa poitrine et son torse sont parfaitement sculptés et peu poilus, sans être glabre pour autant, et inversement au mien, ne porte pas trace de la moindre graisse mal placée. Bon il est mignon, il a des goûts très proches des miens et on sentend assez bien jusque là mais je ne dois pas me faire de film ni prendre le risque de me révéler, cependant mon intérêt pour lui ne se limite plus à la camaraderie estudiantine et dans mon bas ventre une chaleur que je ne connais que trop bien sest réveillée.
Joriente discrètement la conversation sur les filles. Il mord à lhameçon et me confie 2 ou trois de ses aventures mais me confie aussi quelles lont déçu, que si ce nétait le sexe, il sentend mieux avec les garçons mais que vraiment coucher avec les mecs cest pas son truc, il a essayé dailleurs (mon cur fait un bond dans ma poitrine) mais quil na pas aimé. Ce nétait pas désagréable, il a même joui, mais cest quand même mieux avec une fille même si elles sont dures à comprendre.
« Toi aussi tas essayé les mecs ? tas été jusquoù ? »
La question me désarçonne mais je nai pas le temps de réfléchir quil enchaîne : « moi jai été jusquau bout, jai sucé, je me suis fait sucé plusieurs fois et une fois jai pris un mec. Et toi alors ? » Je lui avoue alors mes quelques plans suce, toujours passives, et dans un élan dinconscience, que jai bien aimé, que jaime toujours bien ça de sucer une bite. Il me dit alors quà loccasion il réessayera un mec, cétait pas mal du tout avec eux, en fait il aime bien baiser avec des mecs mais cest pas facile den parler, il ne sait pas pourquoi, avec moi, il sest senti en confiance, mais quil nattends rien de moi, cétait pas pour te draguer (une vague de déception me traverse) il nest pas venu ici pour baiser mais pour se lâcher après les exams. Il me demande sil peut compter sur ma discrétion. Je lui réponds par laffirmative et lui demande de faire de même. Il massure quil sera discret.
Un ange passe entre nous, pas de la gêne mais quand même on est pas à laise. Je change de sujet en brandissant mon verre vide : « jai soif, on va au bar ». « tas raison, le miens aussi est vide ».
Arrivé au bar, on tombe sur les amis de toute à lheure et ils nous invitent à participer à un de ces innombrables jeux à boire quaffectionnent les étudiants, on boit pas mal tous ensemble et vers les 3h du matin cest très avinés que je décide daller me coucher. Je me fais invectiver, on se moque de moi, me traite de papi pantoufle. Je réponds plus ou moins vertement que moi au moins, je sais ma tenir, je suis pas un de ces déchets quil faut gérer en fin de soirée
une des filles présente fait alors remarquer « ouais pas comme le nouveau là, le gars de Tours, il est déjà par terre » En effet, Flo, sest affalé sur la pelouse, sans connaissance et cuve sa cuite.
Il dort au 2ème et moi au 4ème. On attaque les escaliers et arrivés au palier du premier étage, il na que le temps de se pencher par la fenêtre pour vomir tout son saoul. Je le fait entrer dans les toilettes de létage pour une légère toilette et nous voilà repartis. Arrivés devant sa chambre je lui demande sa clé. « elle est dans ma poche » je suis bon pour le fouiller, poche droite, puis poche gauche et enfin je trouve sa clé dans la poche arrière de son jean. Il rigole « ça te plait hein de me fouiller ?, tas pu me palper le cul chaudasse !!! » pour toute réponse jouvre la porte et le laisse tomber sur son lit. Jai lhabitude de coucher les gens à la fin des soirées et là je ne pense pas du tout à mal avec lui. Je le déchausse, lui enlève ses chaussettes, puis je défais sa ceinture et enlève tant bien que mal son jean. Il est dhumeur à plaisanter et tout en rigolant me balance « bas les pattes salope, je suis pas un garçon facile ! » « moi non plus, dors maintenant, tes complètement bourré ».
je mapprête à partir, éteins la lumière et att la poignée de la porte quand il me saisit le bras. « ça tourne
tu veux pas rester un peu avec moi jusquà ce que je mendorme ? Steuplé ?». Je massieds près de lui et il lâche enfin mon bras mais prend ma main dans la sienne, et replie son bras sur sa poitrine de sorte que ma main est posée sur son cur « merci ». Il semble alors glisser lentement vers le sommeil mais moi je me liquéfie. Ce geste ma troublé, plus que tout ce quil ma confié jusque là, ce besoin que je lui tienne la main, cette façon de lavoir posé sur sa poitrine
mes digues sautent unes à unes et je menflamme totalement.
Son souffle sest fait plus régulier, il semble dormir et jai de plus en plus envie de soulever lélastique de son boxer pour voir si son sexe est aussi beau que ce que jimagine. Bien sûr jai très peur de le faire même si jen meurs denvie. Et sil se réveillait ? Mais quand même cest une occasion inespérée et puis il ma un peu allumé pendant que je le déshabillais. Je fini par céder à mon désir, je libère ma main de son étreinte, à contre cur mais poussé par un désir violent den avoir plus de lui. Il ne réagit pas, jeffleure son entre jambe, toujours aucune réaction, il dort. Je menhardi et pose ma main sur son sexe, quel choc ! A travers le tissu de son boxer je devine sa verge, flasque mais tout de même ferme et surtout brulante. Je remonte vers la ceinture élastique, la saisie et délicatement je la soulève puis descends son caleçon. Son sexe mapparait alors dans la lumière faible des lampadaires de la cour qui filtre à travers les stores qui ne sont pas complètement descendus. Que cest beau !!! Une fine toison blonde orne son pubis et deviens plus fournie sur ses couilles lourdes. Au milieu sa verge de 13 cm pour un peu plus de 4 cm dépaisseur repose, flasque encore, et le gland recouvert de son prépuce ourlé de rose sur le méat.
Je repose la ceinture du boxer sur ses cuisses et brulant de désir et de peur, ma main sapproche de sa queue. Plus que 3 cm, pourvu quil ne se réveille pas. Plus que 2 cm, mais quest ce quil marrive ? Un cm, jen ai tellement envie
tant pis sil se réveille
Ca y est jai attrapé son sexe, il est doux comme du satin et brulant, plus encore que quand je lai touché à travers le tissu tout à lheure. Mon poing est refermé sur sa hampe et je saisi son prépuce entre le pouce et lindex pour le ramener en arrière et décalotter son gland, rose lui aussi. Une forte odeur de sueur et durine envahie lespace, il a pas mal évacué toutes les bières quil a avalées et lodeur est tenace dans un boxer synthétique par une telle chaleur.
Je suis aux anges, lentement ma main monte et descend le long de sa queue et mes doigts serrant toujours son prépuce, je le décalotte et le calotte au fil de mes vas et viens qui saccélèrent. Je nai pas réfléchi à la situation je me laisse guider par le désir et alors que sous leffet de mes caresses il se met à bander, timidement dabord, puis franchement, je prends conscience que je suis bel et bien entrain de le branler. Cette prise de conscience a un effet immédiat ! Je suis dun seul coup très à létroit dans mon slip. Son sexe est complètement bandé maintenant, je ne peux plus le calotter et il atteints une beau 18 cm. De mon coté, cette barre dans mon slip nest plus seulement gênante mais douloureuse et je décide de foncer dans ma chambre pour me soulager, mais je narrive pas à me résigner à lâcher son sexe. Je me lève en le tenant toujours puis arrête ma branle pour lui remettre son caleçon quand soudain son bras se pose sur le mien, « continue ! ». Je balbutie un « tes sûr ? » auquel il répond « oui, vas y, cest trop bon »jôte mon t-shirt, mes chaussures et mon short, et seulement vêtu de mon slip déformé de désir, je reprends son sexe en main et il gémit de bien aise. Je nai seulement le temps de le branler que quelques secondes quil me demande daller verrouiller la porte. Je me lève et tandis que je verrouille la porte, sa main ségare sur mon sexe. « Tes en forme toi aussi ». Je massois sur le lit et reprend son sexe, il se redresse et alors que nous nous regardons dans le fond des yeux, nos torses se rapprochent et nos lèvres se fondent dans un baiser.
Je létreints fermement et il fait de même tandis que nous échangeons un deuxième baiser, puis un cinquième puis je ne sais plus combien. Jai toujours son sexe en main même si je le caresse plus que je ne le branle, il me caresse aussi a travers mon slip que je nai pas enlevé et de son autre main caresse mon dos, remonte vers ma nuque et soudain, tout en faisant virevolter sa langue dans ma bouche, y exerce une poussée plus forte que les caresses antérieures, une poussée sur la nuque qui na quune signification, il veut que je le prenne en bouche. Je me redresse, ôte enfin mon slip et magenouille sur le lit entre ses jambes.
Je saisis de nouveau son sexe et tandis quil se laisse tomber sur loreiller je pose mes lèvres sur son gland parfumé. Ivre de désir, je fais fi du goût particulièrement fort que japprendrai à aimer avec les années, et laisse mes lèvres et ma langue se déchainer sur son sexe. Il est aux anges et me susurre son bonheur. Il mencourage aussi et bientôt explose de jouissance dans ma bouche. Cest une première fois pour moi hors des toilettes de la fac et avec quelquun que je connais un minimum, aussi je décide daller plus loin que dhabitude et au lieu de recracher, javale sa semence. Elle est abondante et visqueuse, son goût est fort, légèrement amer. Trois grosses giclées pour commencer puis un filet régulier mais moins abondant qui séchappe de son méat.
Il mattire à lui et membrasse, me serre fort contre lui et nos sexes se mêlent, le sien qui décroît et le miens toujours dur. Il sen saisi et me branle doucement dabord, puis de plus en plus fort, je gémis. Il membrasse encore puis me dit « à ton tour », il se penche entre mes jambes et je sens une chaleur humide envelopper mon sexe. Je sens la succion de sa bouche et les vas et viens de ses lèvres. Une chaleur irradie entre mes reins et remonte dans mon ventre. Jai seulement pénétré vaginalement 2 filles dans ma vie, jamais homme ou femme ne ma sucé. Dordinaire cest moi qui suce. Cest donc ça quon ressentit tous ceux que jai pris en bouche ? Quelle extase !! Une extase qui arrive bientôt dailleurs. La chaleur qui avait atteint mon bas ventre saccompagne de soubresaut en moi, puis un vague de plaisir remonte à toute vitesse le long de mon sexe et dans un cri de bonheur jexpulse mon sperme dans sa bouche. Il le recueille en entier lui aussi mais navale pas. Mayant nettoyé à coup de langue, il se lève, sapproche du lavabo et recrache mon jus. Il se rince la bouche et en profite pour pisser. Dabord surpris de ce manque de pudeur, je finis par me dire quaprès ce quon vient de vivre, la pudeur nest plus de mise. Ayant besoin moi aussi je le rejoins et pisse de concert avec lui dans le lavabo.
Tandis que je me soulage à ses coté, il me sourit et membrasse. Secoue sa dernière goutte, attends que jai secoué la mienne et me prend par le sexe pour ramener au lit. Nous nous enlaçons et nous couvrons de baisers, les yeux pleins détoiles. Il me murmure à loreille « merci, cétait bon tu sais, je suis bien avec toi, reste, on va dormir ensemble ». Jacquiesce. Oui je vais dormir avec lui. Oui le week end ne fait que commencer, jai bien lintention de ne pas quitter ce lit avant lundi matin !! Il rit «je te donnerai du plaisir jusque là alors », à mon tour de rire « prétentieux ! Encore une pipe comme celle que je tai fait et tu sera vidé ». Je caresse ses fesses, je ny avais pas encore touché, mon dieu quel bonheur ! Elles sont douces et fermes, dures comme de lacier mais au contact aussi doux que du velours, pas poilues, juste légèrement duveteuses, une peau de pêche !! J e les caresse sans men lasser et nous nous endormons ainsi enlacés, la tête sur la poitrine lun de lautre.
Je nai pas limpression davoir dormi beaucoup et cest un fait en reprenant mes esprits quil fait toujours nuit. Je comprends très vite ce qui ma réveillé, mon beau Florent, pris dune fringale nocturne, me rend la monnaie de ma pièce en profitant de mon sommeil pour r de ma virilité. Je suis, bien sûr, consentant, et puisque réveillé, je lui propose un 69 qui nous permettra de nous régaler tous les 2. Il accepte, se met tête bèche et nous recommençons à nous aimer. Tout au bonheur de sucer et dêtre sucé en retour, je ma laisse aller complètement et ne prête pas garde aux caresses des doigts de Flo qui vagabondent tantôt sur mes couilles tantôt le long de ma raie.
Nos ébats se poursuivent ainsi mais les doigts de Flo sattardent de plus en plus sur ma raie et même sur mon petit trou. Dabord du bout du doigt, puis voyant que je ne le repousse pas, cest bientôt son doigt entier qui saventure en moi, provoquant des soubresauts de plaisir dans mon membre viril. Soubresauts dautant plus marqués que Flo, tout au plaisir de me doigter en oublie de me sucer, il couvre mon gland de baiser mais ne me suce plus. Il retire son doigt, lenduit de salive et le replonge en moi. De nouveau une vague de plaisir me traverse. Je comprends alors que ça y est, le moment que javais tant attendu est arrivé, je vais me faire dépuceler cette nuit, par ce merveilleux garçon. Ce ne sera pas dans des chiottes glauques par un parfait inconnu qui se rebraguettera à peine il aura juté, non ce sera avec un garçon gentil et sensible, dans un lit où nous nous sommes déjà donnés beaucoup de plaisir, et ce sera suivi dune nuit enlacés comme de tendres amants.
Cette pensée lève mes dernières appréhension, et tandis que Flo dont le doigt me visite toujours recommence à me sucer goulument, je sors son sexe de ma bouche et lui dit « jai envie que tu me prennes» « tes sûr » « oui, je veux que tu sois le premier ». Il me bascule sur le dos et membrasse très tendrement, puis plongeant son regard dans le mien il me dit « ça va être bon, je te promets ». Il se glisse alors entre mes jambes et recommence à me doigter. Il senduit régulièrement le majeur de salive et le replonge dans mes entrailles, les écartant toujours un peu plus.
Bientôt, ce sont deux doigts qui me caressent, et je sens en moi monter un appel que je navais jamais vraiment ressenti, lappel de la chair qui vous pénètre et vous remplie, qui vous complète. Et le fait est que je me sens sinon vide, du moins incomplet, il y a un manque en moi qui doit être comblé, et ce manque est dautant plus fort que les doigts de Flo coulissent en moi. Sentant que mon anus se dilate, il se redresse et me demande de le sucer pour quil soit bien raide. Je le reprends en bouche et il ne tarde pas à grossir et à durcir sous mes caresses encore plus enfiévrées quavant.
Il me demande alors de me retourner et je me présente alors à lui à quatre pattes sur le lit, le cul tendu vers lui, il se lève fouille dans les poches de son jean et att une capote. Il se remet à genoux derrière moi, sapproche entre mes jambes quil écarte, me crache sur le petit trou puis enfile la capote, il matt alors par les hanches et me bascule vers lui. Son sexe effleure mon trou il se penche et membrasse dans la nuque puis positionne son gland et me dit « respire fort et pousse ». Je mexécute et je sens alors son sexe entrer en moi. Pas tout en fait en moi en fait, son gland est entré de quelques cm et force sur mon sphincter. Je sens une légère brulure puis une douleur plus vive. Il le comprend et sarrête « ça va ? » «Oui ». Il se retire, puis repositionne son gland à lentrée de mon cul, me recommande de souffler fort et de pousser sur sa bite. Jobéis et alors quil senfonce, la douleur revient mais moins forte. Il simmobilise, attend quelques secondes, puis pousse à nouveau et alors quune troisième fois la douleur reparait, elle est vite éclipsée car je sens mes parois céder et son sexe senfoncer en moi bien plus profondément que je ne laurais imaginé. Je sens les poils de son pubis sur mes fesses et il arrête de pousser. Ca y est, il est en moi. Il me demande si ça va, je lui réponds oui, alors il sagrippe fort à mes hanches et commence un va et viens, lentement dabord puis sentant que je noffre plus de résistance, il accélère.
Sentant ses couilles qui viennent claquer contre les miennes je suis comme frappé par la foudre : je suis en train de me faire enculer, pour la première fois de ma vie et jaime ça !
Oui jaime ça, je le sais maintenant car il ny a plus de douleurs même si mon anus tire un peu. Il ny a plus de douleurs mais une sensation étrange à la place. A la fois agaçante et agréable, comme des chatouilles, quelque chose dont on ne veut pas que ça sarrête même si on est pas à laise. Et cest un fait que je ne veux pas quil arrête tant ses allers et retours en moi me font du bien. Ce nest plus une chaleur mais une vague de plaisir brulant qui irradie tout mon bas ventre depuis le fond de mon cul et remonte jusque dans ma poitrine. Jai débandé mais mes couilles sont dures et le plaisir est là, comme quand je me branle, comme quand il ma sucé tout à lheure. Son souffle saccélère et alors que lentement, sous ses assauts, nous quittons la position à genoux pour une position allongée, moi sur le ventre et lui sur moi, sa respiration courte et chaude viens caresser ma nuque tandis que sur mon dos, son cur bât la chamade. Il me besogne toujours et laisse échapper des gémissements étouffés. Je contiens les miens à grand peine et mord loreiller pour assourdir mon bonheur. Appuyé sur lavant bras gauche je lance ma main derrière moi et atteins ses fesses qui vont et viennent au rythme de son sexe en moi. Instantanément, la texture de ces superbes fesses, leur douceur me font rebander.
Mon sexe prit en étau entre mon ventre et le matelas est douloureux mais je nen ai cure car la bandaison à contracté mes sphincters et je sens désormais non seulement son sexe qui me pénètre mais en plus je le sens palpiter quand il est en moi. Son souffle déjà court devient rauque et ses allers retours moins réguliers mais plus brusques. La chaleur qui irradiait dans mon corps se retire, afflue vers mon bas ventre alors que tout mon corps se tends et tremble. Dun coup il se plante en moi plus profondément et plus brusquement que les autres fois et se raidit. Immobile il laisse échapper un cri moitié grognement moitié gémissement, puis me donne quelques coups de reins désordonnés, par à coup, avant de seffondrer sur moi à bout de souffle.
Dans le même temps, la chaleur qui avait regagné mon ventre à explosée pour se répandre dans mon corps tout entier au moment ou celui-ci se tendait complètement. Une douleur sourde a traversée mon sexe de bas en haut et pendant quelques instants jai lâché la réalité.
Reprenant mes esprits, je maperçois que je suis mouillé partout, ma sueur et la sienne, mêlées sur mon dos mes fesse et mes cuisses. Et mon bas ventre humide aussi, cette douleur fugace dans le sexe cétait moi qui éjaculais. Et toujours pris en étau entre mon corps et le matelas souillé, mon sexe baigne dans ma semence. Flo toujours essoufflé et toujours en moi reprend lui aussi ses esprits petit à petit. Il embrasse ma nuque puis bascule sur le flanc en magrippant pour que je reste collé à lui.
Il passe sa main sur mon corps et la dirige vers mon bas ventre pour saisir mon sexe quil caresse. Jesquive un mouvement de dérobade gêné par la manifestation visible de mon plaisir, mais ma tentative est vaine. Lorsquil empoigne mon sexe et découvre que jai éjaculé partout sur son lit il sécrie, visiblement ravi « tas joui ? Alors tas aimé comment je tai pris, ça a été bon ? Hein ? » Oui ça a été bon, je le rassure tout de suite, ça été merveilleux !!! Jamais je naurai pensé vivre un tel moment de plaisir. Il se retire de mon cul, me retourne et membrasse fougueusement, et métreint, nos corps se mêlent, nos sexes sont collés lun à lautre et seulement alors, il pense à enlever la capote. Ainsi il me caresse le sexe sans en avoir lair, puis la capote abandonnée sur la table de nuit il reprend mon sexe en main mais sa tentative est vaine, le plaisir quil ma procuré a été trop fort. Pour ce soir en tout cas, je suis vaincu. Je le lui dis puis saisi son sexe à mon tour, il est lui aussi flasque et à son tour me dit quil nen peut plus, quon a trop bien joui et que ce soir, pour lui aussi cest fini. On rigole enlacés, on sembrasse longuement, avant de sombrer dans le sommeil.
Au réveil, nous avons décidé de garder ce bonheur pour nous, de ne pas en faire état, de respecter le besoin de discrétion de chacun vis-à-vis des autres et toute la journée nous avons fait semblant de nêtre que de simples camarades. Nous avons refait lamour la nuit suivante puis chacun est rentré chez lui. On sest revus quelques fois à loccasion de séminaires ou de week end de notre club détudiants. On a recouchés ensemble lors de certaines de ces rencontres mais la vie à fait son uvre et nous nous sommes perdus de vue. Mais à jamais gravés dans ma mémoire il y aura la beauté et la franche gentillesse qui émanait de son sourire et le bonheur quil a été le premier à me donner. Pour tout cela, je lui dit merci.
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