Sarah 1
Dés le début de ma première année à la fac, je compris que mes "années fac" allaient être délicieuses. D'abord parce que rapidement, je pris goût aux cours qui m'étaient dispensés, et prenait même du plaisir à accomplir le travail que l'on me demandait de réaliser, ensuite parce que j'étais entouré de belles étudiantes qui ne demandaient qu'à passer de torrides moments avec moi... Ainsi, rien que les deux premières semaines de la fac, je m'étais déjà envoyé en l'air avec deux belles filles.
Une nouvelle occasion se présenta au cours de la troisième semaine : l'un de mes professeurs me donna un devoir à réaliser chez moi, et me mis pour ce faire en binôme avec une jolie étudiante qui suivait le même TD que moi : Sarah, une fille de taille moyenne aux très longs cheveux châtains, retenus par un chignon, dotée d'un beau visage, d'une bouche sensuelle et d'une belle poitrine (95C). J'étais ainsi très content d'être mis en équipe avec elle...
A la fin du cours, Sarah s'approcha de moi et me proposa qu'on se retrouve chez elle pour bosser notre devoir. J'acceptai avec enthousiasme, tout en m'interrogeant : j'avais l'impression d'avoir déjà entendu sa voix, mais où ?
J'eus la réponse lorsque nous arrivâmes chez elle : elle habitait dans les logements étudiants non loin de la fac... et était voisine avec Francesca, une belle italienne avec qui j'avais couché une semaine plus tôt. C'est là que j'avais déjà entendu la voix de Sarah : elle était venue se plaindre à Francesca du bruit que nous faisions et qui l'empêchait de travailler... Savait elle que j'étais le responsable de cette gêne ? J'espérais que non !
Une fois dans son logement étudiant, nous constatâmes très vite que son bureau n'était pas assez grand pour que nous y travaillions tous les deux. Elle me proposa donc de nous installer sur le lit. Nous travaillions depuis une heure lorsqu'elle me proposa de faire une pause. Elle me dit :
"Je suis contente, on avance bien.
"Oui, répondis je, on a bien bossé déjà."
"C'est cool, parce que ces derniers temps j'ai eu un peu de mal à bosser : ma voisine s'est récemment tapée un mec et a gémi super fort pendant des heures ! Impossible pour moi de me concenter !"
"Ah mince ! Et tu sais avec qui elle était ?"
Sarah me regarda droit dans les yeux avec un petit sourire et me dit :
"Oui je sais. Elle était avec toi..."
Je rougis et dis :
"Ecoute je suis désolé Sarah, mais bon on s'était lassés emporter et..."
Elle m'interrompit en me mettant un doigt sur ma bouche, et me souriant elle me dit :
"T'as pas à t'excuser. Le vrai problème, c'est que ça m'a vachement donné envie de vous entendre gémir comme ça, j'avais grave envie d'être à sa place, gueuler moi aussi et te faire crier !"
Je me raidis, comprenant où elle voulait en venir.
Elle m'attrapa par la nuque, et m'attira contre elle, m'embrassant doucement, testant ma réaction. Je lui rendis son baiser sur le même ton, ne souhaitant pas commencer trop fort directement. Sarah avait cependant d'autres idées derrière la tête : elle augmenta bien vite le rythme de notre baiser, jusqu'à nous rendre hors d'haleine tous les deux. Elle me sourit, et me dit :
"Ceci dit je devrais quand même te faire payer pour m'avoir excitée à mort en baisant ma voisine..."
Avant que je ne puisse dire un mot, elle me plaqua contre le matelas, et me tint par les épaules, comme si nous étions dans un match de lutte.
Je me débattis un peu, mais elle me tint fermement plaqué, et je ne parvins pas à me libérer de son étreinte. Me souriant d'un air coquin, elle se pencha sur moi et m'embrassa à nouveau, avant de se redresser et retirer son t-shirt, dévoilant un soutif noir. Je voulus me redresser pour lui embrasser le corps, mais elle me plaqua à nouveau contre le matelas. Elle me retira ensuite mon t-shrit, et me dévora le corps, léchant mes abdos et pectoraux avec délectation.
"T'as un super corps bébé, me dit elle."
"Merci, le tient a l'air pas mal, dommage que je puisse pas en profiter !"
"C'est ta punition me rétorqua t elle, tu seras condamné à mater sans pouvoir toucher !"
Sur ce, elle me retira mon pantalon, et glissant sa main dans mon caleçon, me branla vigoureusement m'arrachant un cri de plaisir. Satisfaite, elle me retira ensuite mon caleçon, avant de se retirer du lit et de me faire un magnifique strip tease, enlevant son soutif, puis son jean et sa culotte, se retrouvant nue devant moi.
Touujours souriante, elle revint vers le lit et s'agenouilla devant moi, puis, elle saisit mon sexe et le cala dans sa généreuse poitrine, avant d'entammer des vas et viens avec. Je frémis de plaisir et d'excitation, et serrai le drap pour contenir la jouissance qui montait en moi. Sarah continua de me r avec ses seins ainsi pendant diz bonnes minutes, avant de s'interrompre.
Elle se redressa ensuite, et vint sur moi, me plaquant à nouveau contre le matelas. Elle saisit à nouveau mon sexe, et s'empala sur moi, puis entamma des vas et viens, d'abord doucement, afin de tâter le terrain et de tester mon endurance, puis accélérant progressivement le rythme. Comprenant que si je laissais les choses se faire, je perdrai complètement le contrôle de la situation, je me redressai, bien décidé à reprendre les choses en main, mais Sarah me plaqua à nouveau contre le matelas, et se mit à brutalement accélérer le rythme de ses vas et viens, détachant également ses cheveux qui tombèrent en cascade autour d'elle, lui donnat un air sauvage. Le plaisir monta rapidement en nous, et nous nous mîmes à gémir à l'unisson. La vision que m'offrait Sarah était presque aussi plaisante que ce qu'elle me faisait : ses longs cheveux voltigeaient en désordre tout autour d'elle, lui donnant un air de sauvageonne, ses seins se balançaient devant mon visage, m'hypnotisant presque, et outre tout cela, le plaisir montait en moi en vagues brulantes à chaque coup de rein de Sarah.
N'y tenant plus, je me redressai, et embrassai avec déléctation les magnifiques seins de Sarah, admirant leur fermeté et leur rondeur. Sarah gémit et oubliant que j'étais censer regarder et ne pas toucher, me colla la tête dans sa poitrine, me donnant l'impression que j'étais au Paradis. Quand elle estima que j'avais suffisament honoré sa belle poitrine, elle me rejeta sur le matelas, et reprit ses vas et viens, plus sauvagement que jamais gémissant à pleine voix et faisant taper son lit contre le mur : si Francesca était dans sa chambre, elle devait tout entendre, la pauvre !
A ce moment, je me repris un peu : la situation avait "dégénéré" si vite, que jusqu'à présente j'avais été pris par surprise, et n'avais rien pu faire. Mais revenant de ma surprise, je décidai de prendre les choses en mains une bonne fois pour toutes. Je me redressai d'un coup, décidé à renverser Sarah, celle ci, surprise, voulut à nouveau me plaquer contre le matelas, mais rapide, je saisis ses mains, et l'arrêtai en plein geste. Sarah se débatit mais je la renversai et ce fut moi qui la plaquai contre le matelas.
Très excité, je pénétraiSarah et la baisai en missionaire, entammant des vas et viens sauvages, décidé à lui faire autant de bien qu'elle m'en avait fait. Sarah m'agrippa la nuque et gémit de plaisir tandis que je la baisai avec intensité. J'allais et venais en elle à un rythme très élevé, entrant profondément dans son intimité, la regardant droit les yeux, ravi que j'étais de la mâter un bon coup. J'en profitais également pour lui masser les seins, et l'embrasser langoureusement. Sarah appréciait énormément et ne tarda pas à pousser de grands cris de plaisir.
"Ah putaiin ! Vas y niique moi c'est trop BON ! Criait elle."
Fier de moi, je la retournai et la pris en levrette. La saisissant par les hanches, je me mis à la baiser a avec force, admirant son magnifique corps se tordre de plaisir. Sarah aggripa les draps gémissant plus intensément que jamais.
"Putain je comprends pourquoi Francesca hurlait comme ça ! T'es un super amant !"
"Merci, mais c'est aussi parce que je tombe sur de supères nanas comme toi que je suis doué !"
Sarah me sourit, puis me dit :
"Je vais prendre une douche, histoire de me débarbouiller. Quand je reviens, il va falloir que je te punisse pour m'avoir touchée"
Me souriant d'un air coquin, elle parti vers la salle de bain. Comprenant que si je laissai les choses se faire comme elle l'entendait, j'allai passer un "mauvais quart d'heure", je me levai, et me jetai sur elle. Je la portai, et la plaquai contre le mur, puis la pénétrai et la baisai ainsi contre le mur. Nous étions collés, presque soudés l'un à l'autre, Sarah m'enlaçait de ses bras et de ses jambes, et m'embrassait furieusement descenadant ensuite sur mon cou, puis me mordant le menton et l'épaule, tandis que moi, je la pressais de mon poids contre le mur, allant et venant en elle à un rythme aussi élevé que possible, le plaisir me faisant trembler sur mes jambes, et lui massant les seins avec grand plaisir. Au bout d'un moment, fatigué de la soutenir, je la portai vers le bureau, envoya valser toutes ses affaires entrerposées dessus, et l'étalai sur son bureau, la prenant en levrette. La tenant fermement par les hanches, je me mis à la limer avec vigueur, allant et venant en elle sauvagement, lui arrachant des gémissements d'extase. Décidé à en rajouter, je lui claquai les fesses, ce qui lui arrachait de petits couinements. J'étais ravi : cette coquine voulait me punir, et voilà maintenant que c'était moi qui la corrigeais !
Ravi de la situation, je voulus la baiser dans un endroit plus confortable, et l'emmenai sur son lit, où je la jetai sans ménagement. Je vins sur elle et la pris à nouveau en missionaire, et commençai mes vas et viens, mais je sentis soudain un changement d'attitude chez Sarah : elle se redressa, et me renversa soudainement, avant de s'installer à califourchon sur moi, son sourire coquin revenu sur ses lèvres. Je voulus la renverser, mais elle me tint plaqué contre le matelas, et entamma des vas et viens, allant tout de suite à un rythme élevé, visiblement décidée à me faire défaillir sur place. Allant et venant d'avant en arrière, elle me baisait comme une possédée, me faisant frémir de tout mon corps, faisant danser des étoiles dans mes yeux, et m'arrachant de grands cris de plaisir, me menant très rapidement au 7ème ciel. Sarah tout en me baisant, me tenait les bras par les coudes, mais comprit bien vite que c'était inutile, tant j'étais mis KO par ses délicieux vas et viens. Elle relâcha donc son étreinte, se redressa et tout en continuant ses diaboliques coups de reins, remit un peu d'ordre dans sa chevelure de sauvageonne, et changea ses coups de reins : elle allait à présent de gauche à droite, ondulant du bassin me procurant de nouvelles mais toujours aussi excises sensations. Elle accéléra progressivement le rythme, jusqu'à finalement avoir raison de ma résistance, et me faire avoir un immense et délicieux orgasme.
Haletants, nous nous effondrâmes tous deux sur le lit, épuisés mais heureux. Lorsqu'elle eut repris son souffle, Sarah me dit :
"T'es un sauvage toi ! Je sens que si je te laisse libre de tes mouvements, je pourrais pas te baiser en paix."
Je ne compris pas de quoi elle parlait, jusqu'à ce qu'elle ouvre son placard, et en sorte une paire de menottes... Je pensai un temps à me débattre, mais finalement, j'eus très envie de me laisser attaché par Sarah : elle était de tout évidence sauvage et coquine, et je ne doutais pas qu'elle me ferait le plus grand bien une fois que je serai totalement à sa merci. De plus ce n'était pas la première fois que j'étais attaché, Katherine m'avait fait cela à plusieurs reprises, et j'avais à chaque fois grandement apprécié. J'étais aussi curieux d'être ainsi menotté par une autre fille que Katherine.
Ainsi donc, je me laissai attacher par Sarah sans protester.
"Voilà, comme ça tu seras plus docile, me dit Sarah une fois que je fus mennoté."
Souriante, Sarah vint ensuite sur moi, et m'embrassa doucement, avant de descendre sur mon cou, puis sur mon torse et mon ventre, m'embrassant langoureusement, réveillant doucement le désir en moi. Lorsqu'elle vit que je commençai à bander, elle me sourit à nouveau et dit :
"Bien tu commences à être excité. Je vais aller prendre une douche tranquillement, et revenir plus tard."
Elle me laissa ainsi, et partit se doucher, me laissant tout le temps de regretter de m'être laissé attacher par cette coquine... L'attente dura environ un quart d'heure, je passai tout ce temps à m'imaginer ce que Sarah allait me faire, et cela ne tarda pas à m'exciter au delà du supportable. Lorsque Sarah sortit de la douche, elle me trouva en pleine érection, et cela ne s'arrangea pas, lorsque je la vis nue les cheveux mouillés.
Souriante, Sarah vint vers moi et dit en désignant mon sexe en érection :
"Ah bien, je vois que tu es réveillé, on va pouvoir reprendre..."
Elle vint sur le lit, et d'un doigt caressa mon sexe de tout son long, en me regardant bien droit dans les yeux, je frissonnai de la tête aux pieds. Après quoi, elle se pencha sur moi et embrassa mon corps du bassin au cou en passant par le torse, m'incendiant littéralement. Lorsqu'elle se mit à me lécher l'oreille et à me mordiller le menton avec son sourire pervers, je me mis à haleter de plaisir. Elle me fit languir ainsi un bon quart d'heure, avant de se rapprocher de mon sexe. Très excité je lui dis alors :
"Vas y, j'en ai trop envie !"
"Justement, je vais te faire attendre encore un peu, me répondit elle avec un sourire démonique."
Et elle continua à m'embrasser partout sauf là où je le voulais le plus ! Ce ne fut que dix minutes plus tard qu'elle daigna enfin s'occuper de ma verge tendue au possible. Elle me prit en bouche et entamma une divine fellation, qui me fit crier immédiatement après m'avoir fait autant patienter. Je me tordis bien de plaisir, tandis que Sarah me suçait de haut en bas, et me léchait le gland à grands coups de langue. Je n'en pouvais plus, et craignis même de jouir dans la bouche de Sarah. Mais ce n'était pas dans les intentions de celle ci : interrompant sa pipe magistrale, Sarah vint sur moi et s'empala sur mon sexe, puis elle entama des vas et viens, mais à un rythme lent, afin de me frustrer, tout en me baisant sur ce rythme lent, elle me souriait d'un air provocateur.
"Tu aimes ça ? Tu aimerais que j'aille plus vite ?"
"Oui, j'aimerais que tu arrêtes tes conneries et que tu me baises pour de bon !"
"Supplie moi dit Sarah en poursuivant ses coups de reins lents."
Pendant un temps, je voulus refuser de la supplier, mais ses coups de reins me frustraient, ils éveillaient le plaisir en moi, mais loins de me satisfaire, ne faisaient que me titiller. Captiulant, je dis :
"Je t'en supplie Sarah, baise moi pour de bon !!"
Sarah sourit et s'exécuta. Elle accéléra le rythme de ses vas et viens, jusqu'à atteindre de nouveau un rythme élevé, dansant sur mon sexe avec délectation, gémissant à chacun de ses allers retours, son visage de coquine décomposé par le plaisir qu'elle se procurait sur ma verge tendue, tandis que moi, contraint de subir tout ce plaisir immobile à cause des menottes, je ne tardai pas à pousser de grands cris, et défaillais à mesure que le plaisir montait en moi. Je finis par avoir un monstreux orgamse, en même temps que Sarah, qui nous laissa étourdis l'un l'autre.
Après avoir récupéré, je quittai la chambre de Sarah, affrontai les regards hostiles des autres étudiants qui avaient du tout entendre de nos ébats, et rentrai chez moi, heureux comme jamais.
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