Les Nuits Du Rond-Point

Cela fait trois ans que j'accompagne Lorenzo à son travail. C'est de l'autre côté de la ville. pour y aller, il faut prendre l'autoroute sud. A la sortie, il faut contourner un rond-point. A l'entrée du rond-point, sur la droite, un dégagement avec un arrêt d'autobus.
Dans sa boîte, on pratique les 3/8. Quand il est d'après-midi, il finit à 22 heures. La première fois, je suis allé le chercher tôt, et me suis garé devant l'usine. Il m'a dit que je devais me débrouiller pour arriver juste à l'heure de la fermeture, pour je ne sais quelle raison. La deuxième fois, je me suis arrêté sur le dégagement, tout feux éteints, en attendant l'heure. D'autres voitures stationnaient là, mais avec leurs lanternes allumées. Je ne les ai jamais vues bouger. Jusqu'à ce que Lorenzo soit de nuit.
Par curiosité, je suis retourné voir le manège sur le dégagement. Je me suis garé et j'ai attendu, les lanternes allumées. J'allais m'endormir, quand une voiture de police s'est engagée. Elle s'est garée derrière moi, et un agent est descendu. Il s'est approché de mon côté et a cogné à la portière. Il m'a fait signe de baisser la vitre :
- Monsieur, dit-il, veuillez descendre du véhicule...
J'ai obtempéré et il m'a tourné vers la voiture.
- Ecartez les bras...
Au lieu de passer ses mains sous mes bras, il m'a caressé le torse en descendant vers la taille. Une main s'est posé sur ma bite et il s'est collé contre mon cul. Son autre main s'est glissée entre lui et moi, et a caressé mon cul. Devant, ma bite avait grossi. Il aggripa ma ceinture et l'ouvrit. Il déboutonna mon pantalon et, saisissant aussi mon slip, il les fit glisser jusque sur mes chaussures. Il me prit par la taille et me courba sur le capot de la voiture. Ensuite, il ouvrit sa braguette et sortit son engin. Il écarta mes fesses et laissa couler de sa bouche un filet de bave. Il empoigna sa queue s'en servit pour lubrifier mon trou du cul.

Il posa ses mains sur mes épaules, et, doucement, il enfonça sa queue dans mon cul. Ma bite était raide. Ma respiration s'accélèrait. Quand il a commencé a bouger, je haletai déjà. Il accélèra le mouvement et son membre augmentait de volume. Quand il déversa son sperme dans mon cul, j'ai poussé un cri et j'ai déchargé, moi aussi. Le flic se retira et s'essuya avec mon slip. Il se releva et demanda :
- Qu'est-ce que tu faisais là ?
Je lui ai raconté pour Lorenzo. Alors, il a éxigé que je sois là tous les soirs, pendant les semaines de nuit.
La seconde nuit, j'ai eu une surprise. Le policier n'était pas seul. Son collègue vint se placer de l'autre côté de la voiture. Quand son chef s'enfonça dans mon cul, il ouvrit sa braguette et sortit son braquemart. Il colla le gland sur mes lèvres et poussa. J'ouvris la bouche, et il s'y introduit lentement, faisant des va et vient pour lubrifier son engin. Bientôt, les membres coulissaient dans mon cul et dans ma bouche, au même rythme.
Ils ont éjaculé en même temps. Celui qui était dans ma bouche, m'intima l'ordre de tout avaler. Dans le même temps, mon enculeur, qui avait la plus grosse bite, s'enfonça tout entier au fond de mon cul. Je sentais ses couilles se heurter aux miennes, et ses hanches étaient collées à mes fesses.
Celui qui avait pris ma bouche se releva et fit le tour de la voiture. Il me prit par les bras et me releva. Il prit ma place et se coucha sur le capot. Son collègue me poussa vers la voiture et dit :
- Enlève tes fringues et va t'empaler sur sa queue.
J'ai enlevé mes chaussures, mon pantalon et mon slip. Je suis monté sur la voiture et j'ai enjambé le flic. Je me suis mis à genoux et j'ai empoigné sa bite. J'ai posé le gland sur mon petit trou et me suis assis sur les cuisses du flic. L'autre s'est approché, a écarté mes fesses et s'est enfoncé en moi. Pendant qu'ils me baisaient, celui de derrière empoigna ma bite et me branla, jusqu'à ce que j'éjacule sur la figure de son collègue.
Ca a duré toute une semaine et je les ai jamais revus. Le soir, en rentrant chez moi, je lavais ou planquai mes vêtements, pour que Lorenzo ne se rende compte de rien.