Harcelé Et Envouté Par Une Gamine (1Ère Partie)

Eté 2013, il fait très chaud dans la Drôme ce mois de juillet. Je passe mes congés dans un village de vacances qui possède une magnifique piscine.
Cet après-midi-là, je suis sur le bord de la piscine, ma femme se baigne… Une jeune gamine (je lui donne 18 ans), s’assoie à côté de moi.
- Bonjour, il fait drôlement chaud aujourd’hui. Vous êtes au village ?
- Bonjour, non je suis au camping…
Je reluque un peu mieux cette jeunette qui me parle comme à un copain. Elle est plutôt mignonne, assez grande, mince, déjà bronzée, vêtue d’un petit maillot de bain aux couleurs vives qui cache à peine une jolie poitrine et un beau petit cul.
- Vous êtes seul ? Je peux rester là ?
- Ben non, ma femme est dans l’eau. Tu n’as pas de copains de ton âge ?
- Pffft, des gamins, ils sont débiles ! Vous me trouvez comment ?
- Ma foi, je vous ai pas bien regardé (menteur !!!), vous êtes une jolie jeune fille.
- En maillot, ça va… mais nue devant ma glace je me déteste !
La conversation prend une tournure qui me déplait aussi je coupe court.
- Bon je vais me baigner, bonne journée mademoiselle.
- Je m’appelle Inès ! Le matin je vais me baigner au lac, vous connaissez ?
- Oui, j’y suis déjà allé…
Sur ce, je plonge dans la piscine … et Inès en fait autant. Elle tourne autour de moi, elle m’envoie de l’eau, elle me met la tête sous l’eau, elle se frotte à moi. Je rejoins ma femme espérant calmer les ardeurs de cette gosse en chaleur. Cette fois-ci Inès lâche prise mais me rappelle que demain matin elle va au lac !
L’après-midi se termine sans incident, mais au lit, en faisant l’amour à mon épouse je ne peux m’empêcher de penser à Inès et à son jeune corps d’ado…. Le problème c’est que moi j’ai presque 60 ans !
Le lendemain, ma femme va en randonnée avec d’autres femmes du camping. Depuis que je suis levé je n’arrête pas de penser à Inès. Mais non, je vais aller à la piscine où retrouver des copains du camping et faire une pétanque… Surtout éviter le lac !
Evidemment, mes bonnes résolutions tombent à l’eau et me voilà avec ma serviette de bain, mon tube de crème solaire sur le chemin du lac ! Je peux encore faire demi-tour et aller à la piscine.

Rien à faire je ne résonne plus et c’est sur la petite plage aménagée au bord de ce charmant lac que je pose ma serviette. A quelques mètres de moi des bras s’agitent. C’est Inès qui me fait signe, elle est là à 25 mètres de moi. Ni une ni deux, je prends ma serviette et vais m’installer à côté d’elle. Elle est encore plus craquante que la veille dans son petit bikini à fleurs.
- Bonjour, j’avais peur que tu ne viennes pas (tiens elle me tutoie maintenant) !
- Bonjour Inès, c’est plus calme qu’à la piscine ici et il y a de l’ombre (belles excuses !).
- Au fait, tu t’appelles comment ? On se fait la bise ?
- Moi c’est Alian, d’accord pour la bise.
Inès se jette alors à mon cou et me claque 2 gros baisers sur chaque joue. Je sens son jeune corps contre moi et je ne peux m’empêcher de bander un peu. Elle s’allonge sur le ventre, me tends son ambre solaire et me demande :
- Tu m’en mets sur le dos ?
Je commence à badigeonner les épaules de la demoiselle. Sa peau est douce, je la caresse plus que je la masse. Mes mains descendent lentement sur le dos. Sans prévenir, Inès dégrafe son soutien-gorge.
- C’est plus pratique comme ça !
Bon, je continue donc à enduire le dos de la jeune fille. J’avoue que j’y prends plaisir et je déborde sur le côté près de ses seins, puis sur la cambrure des reins. Elle m’excite la coquine ! Me voilà presque à la lisière du slip de bain. Surprise ! Inès me devance et roule le haut du maillot, découvrant la moitié de ses fesses. Je sais que j’ai tort, mais je ne peux m’en empêcher et je masse ce petit cul qu’elle m’a partiellement dévoilé. Il ne faut pas que j’aille plus loin. Je me ressaisi et j’arrête là mon tartinage.

- Voilà ma belle, tu peux prendre le soleil sans risques !
- Allonges-toi c’est mon tour de te mettre de la crème.
Je me mets donc sur le ventre et laisse faire ma jeune masseuse. Face contre le sable, je ne la vois pas, mais je réalise qu’elle n’a pas dû rattacher son soutien-gorge.
Je suppose donc qu’elle est seins nus. Je n’ose pas me retourner et puis c’est si bon ces doigts féminins qui courent sur mon dos, je soupire d’aise ! Je sens les doigts qui descendent au bas des reins et soudainement, je sens mon maillot qui descend : Inès m’a presque entièrement découvert les fesses et elle les pétrit délicieusement. Elle ne le voit pas mais je bande dur. Ma bite me fait mal. Une petite claque sur mon cul badigeonné.
- Terminé ! tu peux te retourner !
Oui, mais si je me retourne elle va voir que je bande… Tant pis, je me mets sur le dos et là je vois la donzelle, assise en tailleur, seins à l’air, fièrement dressés. Deux magnifiques poires, deux nibards splendides terminés par deux beaux tétons bruns au milieu de toutes petites aréoles.
- Je te plais ?
- Tu es très belle Inès, trop belle même… Tu me fais tourner la tête !
- Humm, merci du compliment. Effectivement, je te fais je l’effet ! Caresse mes seins Alian, j’en ai envie depuis hier.
Je ne devrais pas, je le sais, mais je ne résiste pas et je pose mes mains sur ces jeunes roberts si arrogants. Je les malaxe : ils sont soyeux, fermes, si chauds. Je n’y tiens plus et je prends un téton en bouche. Inès se laisse faire. Elle a fermé les yeux et elle a passé ses mains derrière ma tête, appuyant ainsi un peu plus ma bouche sur ses seins. J’aspire, je gobe le téton droit que ma main fait saillir en pressant sur le sein. L’autre main ne reste pas inactive et pelote le nibard gauche. A ce moment-là, ce n’est plus le corps d’une gamine que je caresse, mais celui d’une femme tellement désirable que j’ai envie de posséder.
- Oui mon chéri, continues. Caresses encore mes seins, c’est si bon !
Je m’amuse encore quelques instants avec les mamelles de la jeune fille, puis j’ai perdu complètement la tête et je viens embrasser ses douces lèvres pulpeuses. Visiblement elle n’a pas trop l’habitude et j’ai du mal à insérer ma langue dans sa bouche. Je la couche sur la serviette de bain, ma langue s’enroule autour de la sienne.
La petite apprend vite, elle fourre aussi sa langue dans ma bouche, ses bras autour de mon cou me maintiennent fermement contre elle. Je sens ses nibards écrasés contre mon torse et là j’ai furieusement envie de la prendre de la faire jouir et de jouir en elle…. J’ai aussi envie qu’elle me suce la queue, qu’elle découvre le membre qui va la transpercer.
Je me détache donc de ma belle et j’ôte mon slip.
- j’ai envie de toi Inès, mais d’abord suce ma queue qu’elle soit bien raide.
- Je veux bien, mais c’est la première fois, alors guide-moi…
La première fois ? Cette révélation fait l’effet d’un électrochoc sur moi. Je réalise que je vais baiser une gamine mineure, probablement vierge… Je remets mon maillot en vitesse.
- Non Inès, tu es belle, tu es désirable, j’ai follement envie de toi, mais il ne faut pas. Excuses-moi ma chérie…. Je retourne à la piscine et je ne reviendrai plus ici…
- Et moi alors, qu’est-ce que je deviens ? Moi aussi j’ai envie de toi, comme une folle. S’il te plait fait moi l’amour…
- Non Inès, trouve un jeune de ton âge pour ça…
- Moi c’est toi que je veux. De toute façon demain je reviendrai. Je t’attendrai. Un peu plus loin dans le bosquet c’est encore plus discret…
- N’y compte pas Inès. Je suis marié en plus je pourrai presque être ton grand-père….

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