La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 475)
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré Suite de l'épisode N°465 -
Au légendaire Château du Marquis dEvans, cest lagitation depuis les premières heures de la matinée, car tout le monde se prépare pour le retour du Maître Vénéré attendu le soir même en compagnie de ses deux invités professionnels. Dans tous les coins, on nettoie, on range, on astique, on frotte, on fait briller chaque recoin. Les uns saffairent en cuisine pour aider Marie la cuisinière, telle autre garnie de fleurs fraîches les innombrables bouquets des pièces dapparat. Dans les écuries, on nettoie les box et on panse les chevaux qui en raison de la froidure dhiver dorment recouverts dune chaude pelisse, la même que celle qui est remise à tous les esclaves mâles qui nont pas eu la faveur de pouvoir coucher au chaud dans lun des cachots des soubassements de la luxueuse demeure et qui dorment soit dans les box des pony-slaves sur de la paille, soit dans le chenil qui bien quil soit en dur et couvert, à labri du gel et du vent, ne bénéficie daucun confort et même pas de la protection des épais murs en pierre des fondations du Château, celles-là même sur lesquelles sont adossées les cellules fermées.
Cest Walter, Le Majordome, celui qui agît en Maître par substitution en labsence du véritable Maître des Lieux qui en personne vient de descendre rejoindre le cachot N°4. A lintérieur, le chien soumis compelled MDE attend depuis laurore, un peu inquiet de voir que personne nest encore venu le chercher alors quil avait bien entendu le remue-ménage de tous les autres esclaves réveillés de bon matin, ayant juste cru discerner dans les propos de lun des gardes « non laisse !, celui-là est retenu pour la journée, et on doit le laisser tranquille avant son départ » sans même être assuré que ce soit bien de lui dont on parlait dans les couloirs. Il sest demandé ce quil avait bien pu faire pour être ainsi obligé de rester à lécart, craignant plus une sanction pour mauvaise conduite que linverse, ne voyant pas dans son comportement ce qui aurait pu déjà justifier le moindre traitement de faveur du petit dernier admis dans les cachots.
- Lorsque je suis entré dans ta cellule, tu étais encore allongé sur ton lit à cette heure avancée de la matinée. Tu penses que cest le Club Med ici, et que tu es là pour passer tes journées à te prélasser dans un bon lit douillet.
- Monsieur Walter, je vous prie de bien vouloir mexcuser si jai cru bon de me recoucher sur la paillasse voyant que personne ne venait me chercher et nayant reçu aucun ordre contraire des gardes qui ne sont pas venus me chercher ce matin.
- Ne pouvais-tu donc pas attendre à quatre pattes derrière la porte comme un bon chien se doit de le faire. Tu seras puni à ton retour pour ce manquement à la règle. Je vais faire retirer ta paillasse pour une huitaine de jour et la remplacer par un banal carton, cela tobligera à coucher à même le sol. Et je ne veux plus jamais entendre de blabla de ta part, infâme cabot feignant qui se la coule douce à faire la sieste toute la matinée. Crois-tu vraiment que les gardes sont là à ton service pour te dire ce que tu dois faire à chaque seconde ? La vérité toute simple est que tu navais reçu aucun ordre tautorisant à te recoucher.
- Oui, Monsieur Walter, Vous avez raison, je suis désolé.
- Si-len-ce, le chien ! Jai toujours et tous les jours raison. Je nai pas besoin de toi, bon à rien, pour me le faire savoir. (dune voix lente et presque ânonnée)
En même temps, compelled MDE reçoit quelques coups de cravache sur la croupe qui marque chacune des syllabes de la dernière phrase du Majordome. La journée commence mal pour lesclave qui vient de récolter sa première punition. Il baisse la tête humblement en signe dacquiescement, regrettant davoir eu la faiblesse de retourner sallonger pour ne pas risquer de se salir et pour profiter du moindre laps temps de repos qui lui était accordé, avait-il pensé en se disant que le reste de la journée risquait dêtre plus éprouvant pour lui physiquement.
- Jespère au moins que tu es propre le chien, car je nai pas de temps à perdre avec un bâtard de ton espèce.
- Monsieur Walter, comme tous les matins en entendant la cloche, jai pris la douche froide dans ma cellule.
- Pas besoin de me préciser que la douche est « froide ». Crois-tu que lon prépare des bons bains chauds parfumés aux huiles essentielles pour les clebs comme on peut le faire pour les Gentes Dames de haut rang reçues dans ce Château lorsquelles y sont invitées par le Châtelain en personne. Je prends cela comme un reproche injustifié à légard de Monsieur le Marquis dEvans qui ta pourtant gratifié dun très bon cachot alors quIL aurait pu te laisser croupir encore longtemps dans le chenil avec la meute du cheptel. Tu ne sauras donc pas reconnaître à sa juste valeur la chance que tu as, la même dailleurs que certaines de tes surs de soumission MDE qui ont aussi eu le privilège dêtre enfermées par Monsieur le Marquis dans lun de Ses cachots à demeure.
- Mais si Monsieur Walter, je suis tout à fait conscient de la distinction dont je bénéficie et que je ne mérite sûrement pas.
- Suffit le chien ! Je ne tai pas donné la parole autrement que pour me répondre quand je tinterroge.
- A quand remonte ton dernier lavement anal ?
- Ce matin, Monsieur Walter, au réveil juste avant la douche.
- Alors ! écarte tes fesses à laide de tes deux mains, que je puisse faire linspection avant de te laisser partir.
Walter fait le tour de compelled MDE qui sest courbé tête au sol en levrette, en redressant son postérieur au maximum. Le Majordome se penche pour vérifier létat de la raie anale du chien qui se sent fouillé jusque dans son intimité lorsque le fidèle domestique du Marquis dEvans introduit consciencieusement un, puis deux doigts, dans son petit trou pour en vérifier lélasticité et la propreté. Walter fait jouer ses doigts dans tous les sens pour écarter la rondelle suffisamment et glisse juste après avoir retiré sa main un long plug large en métal, sans se priver au passage de fesser généreusement la croupe trop délicieusement offerte.
- Voilà de quoi te garnir jusquà ce que tu puisses servir à quelque chose dutile !
Le Majordome att entre ses cuisses la nouille encagée du chien pour en vérifier la fermeture et soupèse les deux couilles bien pleines de lesclave quil pince fortement jusqu'à ce quil entende un petit gémissement que compelled MDE ne peut retenir tant la pression exercée est puissante.
- On se tait le chien ! Tous les mêmes, incapables de me laisser faire mon inspection correctement jusquau bout, sans mobliger à jouer de la cravache pour obtenir le silence.
Walter fait siffler la cravache dans lair et la laisse sabattre sur les testicules gonflées de lesclave qui se met à hurler sous la douleur de limpact.
- Jai dit « silence » et je ne le répèterais pas une fois de plus. Donc, cest très simple, ou tu te tais tout seul, ou je continue en doublant à chaque fois pour tapprendre à te taire.
La cravache vient à nouveau heurter par deux fois les boules si sensibles du chien-mâle, à tel point que ce dernier a limpression quil va presque en tomber dans les pommes. Mais il a serré les dents presque à sen défoncer la mâchoire pour ne laisser échapper aucun son.
- Voilà qui est mieux ! Je tautorise à déposer un baiser en guise de remerciements sur la main qui ta puni et noublie pas aussi avec ta langue de cabot de lécher pour les nettoyer mes doigts que je tai dû te fourrer dans le cul (avec un petit rire sarcastique qui vient renforcer lhumiliation de la contrainte)
Le Majordome enfourne profondément les deux doigts dans la bouche de compelled MDE, marquant son emprise de Domination sur celui qui a volontairement choisi de nêtre plus rien quun slave docile. Walter quitte le cachot attrapant la laisse et se dirige vers le garage du Château où lattend une belle voiture de luxe noire de laquelle sort un chauffeur en livrée.
- Re-bonjour, Monsieur Walter. Je suis venu chercher le chien de Monsieur le Marquis dEvans. Je ne sais pas pourquoi je nai pas pu lemmener directement avec moi ce matin en même temps que la chienne Thaïs MDE. Cela ma obligé à faire deux fois la route, aller et retour à chaque fois.
- Serais-tu en train de critiquer les ordres que tu reçois, car2MDE. Noublie pas que ce nest pas parce que tu portes une casquette et un costume de travail que tu es autre chose toi aussi quun chien-esclave au service de Monsieur le Marquis dEvans. Je vais faire remonter tes remarques à ton Patron et Maître qui saura apprécier de voir combien tu respectes le bien-fondé de ses exigences.
- Non, Monsieur Walter, je vous en prie ne dites rien. Je navais pas dans lintention de critiquer les ordres reçus, je pensais seulement aux économies dessence et de temps. Je suis au service de Monsieur le Marquis dEvans et je pense le servir de mon mieux.
- Et bien, je trouve que tu penses trop pour quelquun de ton espèce. Contente-toi dobéir sans rien dire et cela te sera plus profitable. Je me demande si un petit séjour au chenil pour reprendre ton dressage ne serait pas adapté pour te réapprendre les bonnes manières que tu as dû finir par oublier à force de te prélasser, assis toute la journée dans le fauteuil confortable en cuir dune voiture de luxe, à balader les relations professionnelles du Grand Président Directeur Général. Tu es pourtant passé entre mes mains à tes débuts. Alors, tu ne te rappelles pas que je ne suis pas quelquun dont on peut acheter le silence ou la pitié avec quelques jérémiades ?
Le chauffeur baisse la tête avec humilité et ouvre la porte arrière du véhicule, sachant bien quil écopera dune punition pour avoir trop parlé sans modérer ses propos, lorsquil sagit pour lui juste dexécuter les ordres. Le Majordome fait se redresser le chien-mâle et le poussant vers la voiture ouverte, il invective.
- Entre le chien, et installe-toi sur le siège du centre. Je vais tattacher, car les ceintures sont obligatoires pour ton trajet en pleine ville à fortiori. Monsieur le Marquis est respectueux des règles du code de la route et il veille à ta sécurité.
compelled MDE se demande bien ce qui va lui arriver par la suite et en quel endroit il va être conduit
. Il est entièrement nu à lexception de sa cage de chasteté et du plug qui lui emplit lanus
(A suivre
)
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