Mes Premières Fois En Travestie. Chapitre 3 : Instant De Vérité
Je me suis approchée de lui lentement en minaudant et en exagérant légèrement mon déhanché. Il fallait que sois convaincante. Je lui ai dit : « je suis Soline, la petite sur dAurélie. Tu sais, ça fait un petit moment que je te regarde. Tu ne me laisses pas indifférent
» Un peu de drague ma semblé opportun pour lancer le jeu.
- Soline ? tu es aussi craquante que ta frangine. Vous vous ressemblez beaucoup.
- Oui mais tu la préfères pas vrai ?
- Non, pas du tout. Tu es plus de mon âge. Et toi aussi tu me plais.
Jétais maintenant à 50cm de lui et jai croisé mes avant-bras autour de sa nuque essayant dêtre aussi provoquante que possible : « cest vrai ? Moi aussi je te plais ? »
En guise de réponse, il a juste posé ses lèvres sur les miennes dans un mouvement rapide et bref avant de me regarder droit dans les yeux. Il venait de me donner un baiser ! En signe de consentement, jen ai fait de même sans aucune gêne et en laissant même trainer un peu plus le contact de nos bouches. Il avait maintenant mon rouge à lèvre imprimé sur les siennes comme une trace indélébile
Il ma alors saisi par la taille, ma plaquée contre lui et a plongé sa langue dans la mienne. Il ma fait chavirer : il était en train de membrasser avec fougue. Comment résister ? Moi, jeune demoiselle depuis peu, jétais en train de me faire rouler une pelle par un mec pour de vrai! Jétais au bord de défaillir. Son étreinte était vigoureuse et son sexe déjà tout dur cherchait le contact de mon corps. Jai senti ses mains plus pressantes descendre sur mes fesses, passer sous ma robe et me presser contre lui. Il me serrait fort et ses doigts frôlaient mes bas, mes jarretelles, mes cuisses
Je lui susurrais : « cest pour toi que je me suis fait belle, même en dessous
». Jétais en train de le rendre fou. Exactement comme je lavais prévu. ! Il membrassait maintenant dans le cou, me léchouillant sous le menton tout en continuant de me plaquer contre lui et se frottant sur mon ventre.
Ny tenant plus, je lai un peu écarté pour déboutonner son pantalon et passer ma main dedans. Jai commencé à le caresser à travers son boxer puis jai plongé dedans pour le saisir réellement. Sa verge était si chaude et ses bourses si douces ! Je lui câlinais lentement la bite alors que ses lèvres cherchaient toujours à me couvrir de baisers. Jai alors commencé à lui ôter son tee-shirt en le remontant. Il a fini de lenlever tandis que je lui embrassais le torse, lui donnait des petits coups de langues sur les tétons, le couvrait de bisous sur la poitrine. Fred était plutôt musclé, surtout des épaules. Mon Dieu, que cest beau un homme quand on est une femme amoureuse
Lentement ma langue est descendue sur ses abdos jusquà ce que je sois accroupie devant lui. Jai fini de lui baisser son pantalon : enfin lobjet de mes convoitises était dressé devant mon visage nattendant plus que moi. Dune main, je lui ai pris tout doucement les couilles et de lautre jai commencé à le branler très lentement lui titillant le gland du bout des lèvres. Je voulais être parfaite. Quil comprenne que javais autant envie que lui de le sucer ! Je me suis un peu enhardie et cétait maintenant à son prépuce que je roulais des galoches. Jenroulais ma langue tout autour, je lui lapais le frein par dessous en lui jetant des regards plein de tendresse. Lui aussi me regardait faire. Il serrait les dents. Mon pauvre chéri ! Ce devait être insupportable de plaisir ce que je lui faisais. Pourvu quil ne craque pas. Jai finalement fini par glisser délicatement tout le long de sa colonne de chair jusquà lavoir entièrement dans ma bouche. Le nez collé à son pubis, son gros machin memplissait la gorge. La mâchoire écartée, ce nétait pas vraiment agréable mais si excitant à la fois. Le saisissant par les hanches je me suis mise à le pomper avec ardeur, alternant les rythmes, insistant parfois sur son nud turgescent, vrillant aussi ma bouche autour de lui et reprenant mes va-et-vient saccadés.
-Putain mais tes une vraie salope ! Taimes ça bouffer des bites ! Vas-y , suce moi bien ma Soline, fais moi du bien !
Il mavait appelé « Soline » ! Ça a été comme un coup de poignard et jai redoublé dardeur.
Ses gémissements se sont transformés en râles jusquà que je le sente se raidir et son bout enfler étrangement. Pas de doute, il allait mhonorer dici quelques secondes. Je lai branlé comme une damnée aspirant de toutes mes forces le reste de sa queue et, dans un cri bestial, il a déchargé sur mon palais, secoué de spasmes impressionnants! Ne voulant pas le lâcher, jai dû avaler une bonne partie de son sperme brulant. Je sentais le reste couler à mes commissures. Oui, jétais salie par sa semence. Javais goûté au fruit défendu. Jétais sa petite garce
-Tes incroyable ! Quest que cétait bon. Tes vraiment douée
Jétais peut-être douée mais pas satisfaite du tout. Si lui avait joui et que son sexe ramolli était couvert de veines saillantes, le mien était bien dressé et me faisait même mal. Je nétais pas venu uniquement pour une fellation ; jen voulais plus. Beaucoup plus. Ma condition première sait bien quil faut du temps pour se remettre dune éjaculation. Mais si Fred pensait que je nétais venu que pour le sucer, quel gâchis! Hors de question de sarrêter là. Jai ouvert la fermeture éclair de ma robe et je lai laissé négligemment tombé sur mes chevilles. Voilà, jétais devant lui en soutien-gorge et porte-jarretelles, debout devant mon homme avec mes bottines, mes bas et toute frissonnante. Je me suis assise sur le canapé et jai baissé ma culotte. Le beurre que je métais introduit avait fondu. Elle était maculée de taches blanchâtres et je sentais mon illet tout graisseux. Jai relevé les cuisses et devant mon amant interloqué, jai commencé à me caresser la raie.
- jai envie de toi mon amour. Jai vraiment envie !
- tu veux dire que tas envie de te faire enculer ???
-Non ! Jai envie que tu me baises ! Je veux être à toi entièrement
Joignant le geste à la parole, Jai commencé à me doigter le derrière :
-Regarde, je suis toute mouillée
Tu veux pas de moi ?
Bientôt, mon index a rejoint mon majeur suivi de mon annulaire.
Il sest assis à côté de moi, et en même temps quil ma embrassé, ses doigts ont remplacé les miens entre mes fesses
Javais sa langue dans la mienne, une de ses mains sur mon corps, qui me caressait de partout, et lautre plantée en moi. Pour lui aussi, cétait la première fois quil fouillait quelquun à lintérieur. Et il était très doué. Déjà seule, cétait très agréable. Mais sentir un autre le faire, vous remuer frénétiquement en dedans, cétait magique.
Jai senti comme de la chaleur menvahir le ventre à force de me faire fouiner de la sorte et le sexe de Fred avait retrouvé toute sa vigueur. Il était grand temps de passer à lacte fatidique. Je me suis approchée de son oreille et lui ai simplement soufflé : « viens maintenant, prends-moi. »
Il ma attrapé par le bassin pour me tirer un peu en avant, sest agenouillé entre mes cuisses et a guidé son chibre vers mon orifice : cest le moment de vérité.
Je sens le contact de son gland sur mon anus ; je sens quil est en train de pousser fermement pour simmiscer en moi. Sans men rendre compte, je force aussi pour mieux laccueillir. Il pousse encore et je suis en train de mouvrir. Je sens quil mécarte, quil me pénètre. Je suis emportée par lémotion. Je perds toute lucidité
Je suis à sa merci. Cest peut-être incroyable mais je néprouve aucune douleur, bien au contraire ! Jai lu beaucoup de témoignages qui disent que cest difficile la première fois mais ce nest pas mon cas : peut-être une prédisposition naturelle ?
Mon sphincter se referme sur son gland; il appuie ses mains sur mes épaules et me regarde droit dans les yeux. Il senfonce encore dans ma chair inexorablement.
Jai envie dun « temps mort » mais sentir ses coups de butoir contre moi ont raison de mon esprit : jai une nouvelle sensation étrange et fulgurante entre le fourmillement et lengourdissement. Cest plus fort que moi, je recule vers lui à chaque assaut anticipant ses coups de bélier pour quil me mette encore plus profond. Il prend un malin plaisir à accélérer et à profiter de mon derrière. Moi aussi je profite de sa rage masculine. Il me tient fermement par les hanches et senfonce en moi sans vergogne. Je suis littéralement en train de me faire défoncer : il me maltraite le cul massénant de grands coups agressifs. Mais plus il est violent, plus ça me chauffe et plus cest bon! Je suis à nouveau prête à me faire baiser. Je lui fais comprendre et lui crie mon désir : « Vas-y, baise moi. Bourre-moi bien à fond. Je suis à toi, je veux que tu mempales comme une chienne. Défonce-moi plus fort encore ! », et je me cambre au maximum. Mon rôle de femme nen est plus un. Je suis bien réelle et comme je viens de jouir, mon sexe est endolori : je profite dautant plus de ce nouveau sentiment : celui dêtre sa partenaire, sa chose
Je suis au septième ciel!! Encouragé par mes suppliques, il me maintient maintenant par la croupe et par une épaule. Il massène des coups si brusques que jai du mal à garder mon équilibre. Il sécrase à chaque fois sur mes fesses marrachant des cris de bonheur incontrôlables. Je suis contente de lavoir fait jouir dans ma bouche la première fois : je sais quil en est plus endurant. Ça nen finit pas, je suis dans un état second comme un peu saoule et surtout, cest comme si je prenais des décharges électriques qui me remontent dans la nuque à chacun de ses mouvements. Je suis irradiée de volupté : jen crie et jen pleure de joie! Tout mon corps est noyé dans un bonheur incommensurable !
Le plaisir anal est une réalité dépassant toute compréhension! Et lorsquà force de me déflorer si hargneusement, il a fini par craquer, déversant tout son amour en moi. En sentant son jus memplir le ventre, jai joui avec lui avec une telle intensité, que je me suis sentie totalement perdue.
En reprenant mes esprits, Jai juste réalisé que jétais allongée. Fred, couché sur moi, mécrasait de tout son poids, le corps couvert de sueur et sa queue encore planté en moi. Son souffle palpitant dans mon cou en disait long : je lavais épuisé ? Lui en tout cas mavait comblé bien au-delà de mes espérances. Je ne pouvais pas être plus femme dans ma tête et dans ma chair. Soline était née
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