Vrp 1° Partie
V R P. Représentante en produits industriels. Dit comme ça, je me sens une autre femme. Je suis sur le sentier de la guerre du matin du lundi au vendredi soir. Ce qui ne signifie pas que je reviens à la maison en fin de semaine, je peux me trouver à l'autre bout de la France, je reste sur place. Je ne me plains pas, d'un coté je suis libre, de l'autre j'ai des avantage : je fais ce qui me plaît toujours, voyager, prendre du bon temps, enfin le soir et la nuit, parce qu'après c'est le job, le job, le job. !!!!!
Il est rare le soir où je reste seule. Je ne suis pas différente des autres : j'aime certains penchants de la vie avec ce qu'elle donne de meilleur. Je vais essayer de raconter ma semaine :
Lundi :
Ma journée démarre bien, je sors de la boite avec une belle commande, mes commissions augmentent bien pour le début de la semaine. Je suis fière de moi d'avoir bien vendu ma marchandise. Je descends encore dans cet hôtel. Il n'est pas extraordinaire comme confort, pour une nuit je me contente d'une simple douche avec sanitaires. Le lit est correct, la chambre au calme, ce que je demande toujours. Le restaurant est plein quand j'y arrive. Le patron qui me connaît un peu me propose de partager une table avec un monsieur.
Je suis bien tombée : mon voisin est du genre calme, la quarantaine, bien mis. Nous bavardons de tout. Il me fait bien un peu de plat, l'inverse ne m'aurait pas plut. Il évite surtout ces « vous être belle, je passerais bien la nuit avec vous ». Il le pense sûrement, comme moi. N'empêche que c'est vrai, je me le ferrais bien. Il me plaît bien. Il me propose un café en fin de repas. J'accepte : nous flirtons bien un peu. La salle se vide. J'ai de plus en plus envie de lui, disons que j'ai envie de tirer un coup.
Nous montons ensemble vers les chambres. Il s'arrête sur le palier du premier, me prend dans ses bras pour m'embrasser, je résiste un peu et cède devant son « instance ». Il embrasse fort bien, sa langue sait exactement ce qu'elle doit faire et quand.
Chez toi ou chez moi ?
Où tu veux.
Ainsi en moins de 10 minutes nous choisissons notre nid. C'est chez moi : je préfère, j'y ai mes affaires (préservatifs, godes, gel spécial) Il attend un moment avant de poser ses lèvres sur moi. Il est du genre patient, tant mieux. Je lui fais enlever sa veste qu'il pose sur une chaise. Sa chemise bien repassée montre un homme d'ordre. Il vient à nouveau m'embrasser. Son baiser est délicat, on dirait presque une fille. Sa langue par contre ne fait pas de cadeaux, elle entre profondément.
Il bande de plus en plus. J'hésite beaucoup à le lui toucher. J'attends qu'il commence. C'est ce qu'il fait en changeant sa bouche de place, il me caresse les épaules et descend doucement vers la poitrine. Il se presse contre moi, je le sens d'avantage. Je ne l'ignore plus en me collant à lui. Une main est sur une fesse qu'il pétri doucement. L'autre descend toujours, il la mise sur le pubis. Il monte le bas de la robe avec ses deux mains opposées. Je le laisse faire, je commence moi aussi à toucher son pantalon:quand il pose sa main sur le haut de ma jambe qu'il dévie vers mon intimité, je n'hésite plus je prend sa queue à pleine main, je la masse. Elle grossit encore. Cette fois j'ai envie qu'elle entre dans ma chatte.
Il arrête tout pour me sortir de la robe. Il est un peu étonné de me voir simplement avec un string. Il le fait tomber, je suis nue, totalement nue devant lui encore habillé. Je m'attend à ce qu'en se relevant un peu il fasse un arrêt de politesse sur le pubis. Il se met nu à son tour. Je ne regrette pas le bonhomme. Il a une bite bien droite, pas énorme, comme je les aime avec des couilles peu poilues, bien membré, pas un athlète non plus, un type normal. Il me couche doucement sur le lit. Par conte maintenant il me caresse partout à la fois. Je vais être sa maîtresse, il faut qu'il en profite de suite.
Il est entre mes jambes, sa tête tendue vers mon sexe. Il met en route sa langue. Il me lèche entre les cuisses en passant de l'une à l'autre avant d'aboutir à son but. Il est doux quand il me lèche partout le sexe en entier en revenant là où il m'a déjà caresser. Bon bouton est consentant quand il le lèche encore. Il me fait jouir sans cesses. Il va me prendre pour une nymphomane.
Il passe la langue dans le sexe, heureusement qu'il va plus bas. Il lèche toujours en arrivant sur le petit trou. Il sait bien lécher le périnée, pour aboutir à cet endroit sensible comme le mien un de mes favoris pour jouir. Sa langue met longtemps pour entrer. C'est comme une petite bite en plus agile. Mon cul se laisse faire. Mon être répond par un autre orgasme.
Il vient sur moi, je sens que le bout de sa bite veut entrer. J'arrête tout pour lui mettre avec la bouche la protection. J'ai le temps pour le goutter un peu (il sent le fauve en rut) et le sentir : comme un reste de pisse. Je garde la pine dans la main pour le diriger. Je fait quelques aller et retour sur la chatte. Je ne saurais le faire longtemps, je jouirais encore !
Enfin il me baise. Son morceau écarte mon vagin. Il est lent dans sa pénétration. Je ferme les yeux, perdue dans le plaisir. Nous entamons ensemble les va-et-vient. Notre couple est uni dans le plaisir qui monte. Je jouis bien avant lui. Il me tourne. Sans rien dire je sais ce qu'il vise. J'en ai envie aussi de ce coté.
Il passe sa pine dans la rangée des fesses. Je sens son bout mouillé par ma cyprine venir lentement sur mon anus. Il se pose dessus sans entrer. Il m'embrasse sur la nuque, me lèche les épaules, les aisselles. Il écarte l'anus lentement. Il sait sodomiser. Je sens mon cul s'ouvrir seul quand il entre. C'est encore meilleur avec lui. Il est dedans, il s'y loge, je prends mon pied. Je réalise à cet instant que j'ai oublié le gel spécial. Je part dans un orgasme gigantesque. Lui aussi jouit, je sens son éjaculation. Je ne voudrais pas qu'il sorte de mon corps. Hélas, la nature masculine ne m'écoute pas ; il est débandé en sortant de moi. Je ne peux que lui retirer le morceau de plastique pour le prendre 5 minutes dans le bouche pour essayer de le ranimer. Je sais que c'est sans espoir. Il se rhabille pour partir avec un dernier baiser.
J'ai encore envie : je me sert du gode que je me met dans le cul pur revenir sur ce qu'il n'a pas pu terminer. Je jouis une dernière fois de la nuit.
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