Harcelé Et Envouté Par Une Gamine (2È Partie)
Je pars et je vais à la piscine, besoin déteindre lincendie qui brule dans mon slip de bain. Jai pris la bonne décision. Inès est belle, envoutante, jai envie delle, mais il faut la fuir, elle est sûrement ma perte. Laprès-midi, nous partons avec mon épouse. Je ne veux pas rester au village et risquer de croiser cette . Quelle serait sa réaction ? Naurait-elle pas envie de raconter à ma femme que jai voulu la violer, pour se venger de moi ? Donc on passe laprès-midi ailleurs. Je suis préoccupé, ma femme sen rend bien compte
- Cest la gamine de la piscine qui ta troublé comme ça ? Remarques, elle est plutôt bien roulée
Donc, elle a vu son manège hier
Cest vrai que je narrête pas de penser à elle. Je me dis quà la soixantaine, je suis peut-être passé à côté dun bon coup. Je naurais sûrement plus loccasion de tomber une jeunette
Dans lintimité de notre chambre, ma femme se fait câline, et nous faisons lamour, mais quand je pelote ses seins lourds, cest les obus dInès que jimagine caresser. Quand nos langues batifolent, cest la langue inexpérimentée dInès que jattire dans ma bouche
.
Lendemain matin, comme tous les jours ma femme va faire sa rando. Moi je naime pas ces balades en groupe, je préfère leau. Mais aujourdhui, cest à la piscine que je vais me baigner. Je prends donc ma serviette, ma crème solaire
et je vais au lac ! Cest une force incontrôlable que me fait prendre la direction du lac. Finie, oubliées mes belle promesses, je retourne en enfer ! Jai Inès dans la peau.
Arrivé sur la petite plage, je me dirige immédiatement vers le bosquet quelle ma indiqué hier. Elle est là, encore plus belle, encore plus aguichante que jamais.
Un immense sourire éclaire son visage. Elle est rayonnante. Je fonds littéralement pour cette gamine. Elle a fait main mise sur mon esprit. Je suis à sa merci.
- Bonjour mon chéri, jétais sûre que tu viendrais !
Elle se jette à mon cou et moffre ses lèvres brûlantes que je cueille avec délice.
- Vite, Mets-moi d e la crème sur mon dos.
Elle sallonge sur le ventre et comme la veille je lenduis de crème, sur le cou, les épaules, le dos, le creux des reins. Sa peau bronzée est si douce, elle sent si bon
Jarrive au niveau de lélastique du slip. Je nhésite pas une seconde et je tire le maillot vers le bas, découvrant entièrement ses fesses. Elle a un splendide petit cul, blanc qui tranche avec le bronzé du reste de son corps. Deux magnifiques globes ronds séparés par un sillon profond. Je continue à faire glisser la culotte et je lôte entièrement. Inès est complètement nue, totalement offerte. Je commence à caresser ses miches, elles sont bien fermes. Je les embrasse et les écarte un peu, dévoilant ainsi son petit anus serré. Je ne peux mempêcher de le masser, faisant soupirer daise ma jeune maîtresse. Elle ouvre delle-même son compas, libérant laccès à son abricot. Dune main, je viens explorer ce trésor quelle moffre. Jinsère un doigt dans sa petite fente. Inès se retourne sur le dos, je vois enfin entièrement son sexe. Son pubis est recouvert dun léger duvet brun, le même que sur sa vulve. Je masse lentement ses lèvres charnues. Inès est aux anges. Ma bouche vient vite remplacer mes doigts sur son petit con. Ma langue pénètre lantre interdit. Je décalotte je capuchon de son clito et le titille de la pointe de ma langue. Inès se tortille dans tous les sens. Sa respiration sest accélérée.
- Hummm, cest bon. Depuis le temps que jen ai envie ! Encore, lèche-moi encore !
Jintroduis plus profondément un doigt dans sa chatte, je ne sens aucune résistance, la petite salope nest plus vierge. Et dire quhier je lai fuis parce quelle ma dit que cétait la première fois. Elle sest bien foutue de moi la garce !
- Je croyais que tu étais vierge ?
- Non, je tai dit hier que je navais jamais sucé une bite.
- Tu as été violée alors ?
- Non, jen avais envie aussi. Jaurai seulement voulu quil soit plus tendre
Je nai même pas joui !
- Je vais te faire jouir moi ma chérie, tu vas voir ce que cest de faire lamour
et puisque tu nas jamais sucé, prend ma queue dans ta bouche.
Je mallonge sur ma serviette et enlève mon caleçon. Il était temps, ma bite commençait à être à létroit dedans !
Inès est venue entre mes jambes et a commencé par astiquer mon braquemart. Elle a entouré mon gland de ses lèvres.
- Vas-y ma chérie, descend le long de ma hampe, prend-la toute dans ta bouche.
Inès est obéissante, ma bite disparait presque entièrement dans sa bouche. Elle commence un lent balai de va-et-vient sur mon pieu qui ne cesse de grossir. Sans rien lui demandé, elle a pris mes couilles dune main et les malaxe divinement. Je suis au bord de lexplosion. Je ne veux pas quelle prenne mon sperme dans sa bouche. Pas maintenant. Pour linstant cest dans sa chatte que je veux jouir. Je la repousse donc délicatement et la fait se mettre sur le dos, cuisses largement ouvertes.
Jécarte ses grandes lèvres, découvrant ainsi son intimité profonde. Ma langue lape ses nymphes rosées. Sa fente est étroite et très serrée, son clito est à peine visible sous son capuchon de chair, mais dès que je le masse et le lèche, il grossit et bande comme une petite bite. Inès soupire bruyamment et se cambre sous mes caresses.
- Viens vite maintenant, fais-moi lamour !
- Patience ma belle, jai encore envie de me délecter de ton corps
Je remonte lentement vers son nombril puis vers ses seins.
- Tu me fais mal, Alian
- Excuses-moi ma chérie, tu es si belle, tes seins sont si beaux
- Prends-moi vite, jen peux plus, regarde, je mouille comme une folle.
Jai envie de la pénétrer maintenant. Japproche mon gourdin bandé à lextrême de son con dégoulinant et je lenglouti, centimètre par centimètre. Inès se raidi un peu. Elle ne ma pas menti, elle a juste été déflorée mais sa caverne damour reste très fermée. Ma hampe senfonce quand même dans son abricot bien mûr. Me voilà presque à fond. Un coup de rein et ça y est, ma queue est disparait totalement dans la fente de ma jeune maîtresse. Inès geint doucement. Elle se cambre et projette son pubis contre le mien pour que je la pénètre encore plus profondément. Ma bite envahi entièrement son vagin. Je commence une série de va et viens dans son con. Elle crie sans retenu. Pourvu quon ne nous entende pas !
Encore quelques coups de boutoir et Inès pousse un grand râle de bonheur. Elle a un violent orgasme. Le premier certainement de sa vie de femme. Elle jouit plusieurs fois de suite. Chaque coup de bite au fond de son con lui arrache un cri rauque, elle sabandonne totalement sans réserve. Sa chatte dégouline de sa cyprine. Je vais jouir moi aussi. Je devrais me retirer et lâcher ma purée sur son ventre ou sur sa petite gueule, mais non, je décharge au fond de son vagin, plusieurs longs jets de foutre épais et chaud.
Nos sens apaisés, nous restons enlacés un moment. Inès me sourit :
- Merci mon chéri, tu mas donné tant de plaisir. Je suis heureuse. Aujourdhui jai vraiment découvert lamour. Maintenant je suis une vraie femme, jai joui comme une salope !
Il a bien fallu se rhabiller et retourner au village. On sest quitté après un long et fougueux baiser. Demain, on se retrouvera au bord de notre lac, théâtre de nos ébats amoureux.
A suivre
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