Au Cinema Suite 7
Je ne sais pas combien de temps jai pu dormir, mais javais toujours le voile sur les yeux.
Bien reposée, je me suis étirée sur les draps de satin pour me dégourdir les membres, ce contact sur ma peau nue était des plus agréables et je savourais linstant en me remémorant cette incroyable orgie dont javais été la victime consentante.
Jamais je naurais pu imaginer vivre une telle débauche, me faire prendre par huit hommes à la suite, en retirer un réel plaisir et en jouir à chaque fois.
Et puis ce gros pervers avec son sexe disproportionné, comment mon corps a-t-il pu accepter une telle dilatation, certes lexcitation était immense, mais tout de même.
Ces pensées coquines ravivaient le désir en moi et je me surpris à parcourir langoureusement mon ventre et lintérieur de mes cuisses avec mes mains.
Plus je repensais à cette bite énorme et plus javais envie de lavoir de nouveau en moi, de me sentir profondément et totalement remplie.
Mes mains caressaient ma vulve et je commençais à rouler des hanches pendant que mes doigts senfilaient entre mes lèvres humides.
Serait-je devenue une de ses salopes toujours insatiables, mont-ils transformé à ce point pour que je ne sois jamais satisfaite et que mon corps me réclame toujours plus de plaisir.
- Et bien, il était temps que jarrive.
Surprise par cette irruption, jai néanmoins reconnue la voix de Marc, il était surement entré en douceur sans faire de bruit, mais avec lui jétais maintenant très à laise et jai décidé de poursuivre lexploration de mon intimité malgré sa présence.
- Humm
Marc
quest ce que vous me faite
ce que je suis
devenue
Marc ma attrapé les mains pour les bloquer fermement au-dessus de ma tête et il sest approché en posant son autre main sur mon ventre.
- Emilie, nous ne faisons que dévoiler votre vraie nature, cette quête du plaisir est en vous, il nous suffisait de la libérer.
Sa main était chaude et sa caresse sur mon ventre tellement agréable.
- Hum
Marc
faite moi jouir
je vous en prie.
- Doucement, chaque chose en son temps.
Il me demandait de patienter et pourtant il ma aussitôt glissé deux doigts dans la fente jusqu'à venir me toucher le clito, geste qui ma complètement électrisé.
- Hum
vous le faite exprès
cest de la
.
Au même moment jai ressenti une autre présence près de nous, la personne sest approché et sest assise sur le lit juste devant moi.
Connaissant bien Marc et ses idées perverses, je mémoustillais davance des nouveaux plaisirs quil allait me faire découvrir.
Avec sa main, Marc me fit écarter les cuisses au maximum tout en caressant la chair délicate de mon entre jambes.
Jadorais vraiment cette façon quil avait de moffrir, respectant ce savant mélange de surprise, de crainte et de curiosité, sans savoir vraiment pourquoi javais une totale confiance en lui.
Marc a posé son visage contre le mien et tout en me donnant de langoureux baisés il me chuchotait doucement :
- Nous allons vous faire jouir rapidement car le Maître nous attend
Il navait pas fini sa phrase que jai senti la chaleur et lhumidité dune langue me parcourir la fente, remonter lentement pour venir déposer un profond baisé sur mon bouton déjà éclos.
Cette langue à poursuivit sa fouille baveuse en parcourant tous les recoins de mon intimité, de haut en bas jusqu'à mon petit trou pour remonter lentement en titillant les muqueuses avec dagréables vibrations.
- Laissez vous aller, libérez votre plaisir
Marc me maintenait toujours les bras au-dessus de la tête, continuait à me parler et maintenant me caressait les seins en faisant rouler les tétons sous ses doigts agiles.
La bouche de lintrus avalait ma cyprine à chaque aspiration du clitoris, ses coups de langue bien appliqués me faisaient déjà frémir de bonheur et je savais que le plaisir ne tarderait pas.
- Montrez moi a quel point vous aimez être fouillé
Marc ma pénétré la bouche avec sa langue, mélangeant nos salives tout en continuant ses chuchotements et en me pinçant les tétons de plus en plus forts.
-Hum
vous
aimez ça
.hum
être
dévoré
.hum
La puissance des mots crus et lapplication de cette langue qui me fouillait lintimité ont eu raison de mon dernier rempart, la décharge explosant plus rien ne pouvait la retenir.
Je voulais crier ma jouissance mais la bouche de Marc men empêchait, mon corps gigotait telle une anguille mais les mains de Marc me retenaient toujours fermement.
Et cette bouche qui continuait à me lécher en savourant tout mon jus, pendant que lexplosion de sensations se propageait dans tous les recoins de mon âme.
Encore quelques soubresauts sous les derniers coups de langue et mon corps sest affaissé pour se détendre, enfin rassasié.
- Vous êtes vraiment incroyable
Marc ma légèrement soulevé le voile des yeux afin que je puisse apercevoir le propriétaire de cette langue si agréable.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir ma nouvelle amie qui sessuyait le menton et les lèvres avec son avant bras, récupérant au passage le surplus de cyprine qui coulait encore sur son beau visage.
Je venais de jouir sous la langue experte dune jolie femme, cétait là aussi une première pour moi et je ne regrettais pas cette formidable sensation.
Marc a reposé le voile sur mes yeux en me disant :
- Il faut y aller, nous sommes en retard et le Maître naime pas ça.
Il ma aidé à me relever, toujours nue et offerte à la vue de tous, nous avons traversé les couloirs et descendus les escaliers pour nous arrêter enfin.
Jétais désorienté, sans savoir où je me trouvais exactement, laissant Marc me conduire par la main où bon lui semble.
Marc ma lâché là, me laissant nue et seule, surement sous les regards de tous ses pervers qui allaient me faire de nouveau la fête.
Mais le silence était total et je ne ressentais aucune présence sinon celle de Marc qui devait encore se tenir à proximité de moi.
Soudain, des cliquetis de chaînes en acier que lon manipule juste à coté, puis de nouveau le silence pour enfin sentir sa main reprendre la mienne.
Le voile sur les yeux me faisait perdre toute notion de lespace autour de moi et seuls les bruits morientaient dans mes ressentis avec toutes les déformations inimaginables favorisées par mon imagination.
Soudain Marc ma poussé de face contre un objet en bois, il ma levé le poigné gauche pour lattacher solidement avec les fameuses chaînes au bruit si caractéristique.
Ensuite il a fait de même avec le bras droit et enfin il ma écarté les jambes pour me les attacher à leur tour, je me suis retrouvé les quatre membres en croix exactement comme sur la potence que javais aperçu dans le grand salon.
Je me laissais faire comme une vraie soumise, malgré la crainte qui me tiraillait le ventre, le plaisir de lhumiliation prenait encore le dessus.
Jétais complètement bloquée face contre le bois tiède, laissant ainsi mes fesses cambrées et écartées à la vue de tous.
La position était inconfortable et très humiliante, heureusement que jétais bien attachée car je naurais pu tenir très longtemps ainsi écartelée.
Le silence pesant sest de nouveau installé dans la pièce et je nai pas pu me retenir de clé mandé la présence de Marc.
- Marc
vous êtes là
je vous en prie
répondez moi
Pour seule réponse, jai entendu le sifflet des lanières de cuir qui sont venues me réchauffer les fesses avec un claquement sec.
- Aie
non
je vous en prie
La douleur était vive et je nai pu empêcher mes yeux de larmoyer tout en crispant mes fesses pour prévenir déventuels coups à venir.
- Vous êtes en retard
Jai reconnu la voix sévère du Maître des lieux, il fallait donc mattendre au pire.
De nouveau le sifflet des lanières découpant lair sur leur passage et un nouveau claquement sec libérant une forte douleur sur mes fesses.
- Aiiieeee
non, je vous en supplie
ça fait trop mal
- Il fallait y penser avant de me contrarier
Et un nouveau claquement raisonna dans la pièce
- Haaaaaaa
non
.non
jai trop mal
pardonnez moi
je le ferais plus
Les lanières sont de nouveau venues claquer sur mes chairs meurtries
- Que je vous y prenne encore, à jouir pendant que jattends
- Haaaaaa
non
non
promis
je ne le ferais plus
- Moi je pense que vous aimez la douleur et les punitions
- Non
.non
ce nest pas de ma faute
je ne le ferais plus.
- Marc, préparez moi cette petite pute cest lheure de sa nouvelle leçon
Jétais heureuse que les coups se soient arrêtés, les fesses en feu et le cur accéléré jattendais avec appréhension la suite des évènements.
Jai senti quelquun me décoller le ventre du bois pour placer un objet sur lequel est venu sappuyer ma vulve, cétait surement Marc qui suivait les ordres du Maître.
Puis jai ressentie que lon métalait délicatement de la crème sur les fesses, une sensation de fraicheur apaisante sest propagé sur ma peau meurtrie.
La main appliquait le baume tendrement passant dune fesse à lautre, profitant parfois de simmiscer dans le sillon séparant les deux globes laiteux.
Cest sans surprise que des doigts se sont immiscés jusqu'à mon petit trou pour y étaler aussi cette crème visqueuse, forçant le passage pour en mettre un peu à lintérieur.
Je sentais ce plaisir puissant revenir en moi, comme à chaque fois il me prenait par le ventre pour se propager rapidement à lensemble du corps, ma fente devait être toute mouillée car je la sentais perler entre mes cuisses ouvertes.
La main baladeuse me caressait toujours tendrement comme pour apaiser la douleur encore présente.
Mais de plus en plus, elle venait se frotter discrètement jusqu'à ma vulve pour y puiser la cyprine poisseuse quelle mélangeait aussitôt à la crème pour mieux me pénétrer lanus.
Je sentais les doigts entrer et ressortir lubrifiant mon conduit anal à chaque nouvelle pénétration, de mieux en mieux huilé il acceptait maintenant et sans aucune douleur jusqu'à trois doigts en même temps.
Au même moment jai ressenti comme des mouvements au niveau de la vulve, cétait le fameux objet que lon avait placé un peut plus tôt, il venait de sanimer comme par magie et émettait de puissantes vibrations qui venaient troubler mon clitoris.
La sensation était délicieuse au point que jappuyais mon bassin vers lavant pour pouvoir ressentir plus intensément la monté du plaisir.
Les doigts me fouillaient toujours, passant sans aucune modération de mon petit trou à ma chatte et dans lesquels ils pénétraient très facilement.
Sous laction du plaisir, mes chairs shabituaient et se dilataient de plus en plus, on menfilait maintenant jusqu'à quatre doigts dans le cul sans que je fasse la grimace.
Je me laissais emporter, soumise et offerte selon leur bon vouloir.
Vivant le moment comme une véritable récompense après cette douloureuse punition, totalement convaincue de lavoir bien mérité je cherchais à me racheter par tous les moyens.
Avec toutes ces sollicitations, le plaisir sinstallait durablement dans mes entrailles et jondulais maintenant mon cul pour pouvoir me frotter plus fort sur cet appareil qui me burinait.
Surement pour atténuer la monté du plaisir on ma posé deux pinces sur les tétons durcis, la douleur vive mais pas insupportable ma fait redescendre lexcitation dun cran tout en accentuant la perversité de lhumiliation.
Jétais prête à tout accepter pour le plaisir de mon Maître à la seule condition quil me fasse mourir de plaisir.
- Alors Emilie, est ce que je vous régale ?
Cétait donc bien Marc qui me préparait si délicieusement, cela ma donné lenvie de faire des efforts pour ouvrir le plus possible mes orifices intimes et lui faciliter la tache.
Au bout de quelques minutes, il ma introduit un tube dur et moelleux à la fois, malgré un diamètre plus que correct, jai laissé mon conduit anal accepter lintrus que Marc commençait déjà à faire aller et venir doucement, tel un piston.
A chaque sortie de lengin il remettait une couche de crème et de cyprine pour alimenter limportante lubrification nécessaire à lentrée des artistes.
Je commençais à y prendre un réel plaisir au point que javais presque une préférence pour la pénétration anale qui me délivrait des jouissances beaucoup plus intenses au regard de mes expériences.
Marc à stopper le mouvement pour pouvoir appuyer sur une petite poire qui était reliée au tube en question, au fur et à mesure jai sentie lobjet grossir en moi.
Plus il pompait et plus cela prenait du volume dans le conduit, dilatant tout sur son passage il mécartelait carrément le trou du cul jusqu'à un diamètre incroyable.
- Heeee
Marc
cest trop
gros
doucement
Il stoppa le pompage, laissant mon orifice shabi au diamètre tout en tentant de le faire coulisser doucement pour réactiver le plaisir et estomper la douleur.
Jétais si bien lubrifié que malgré limpressionnant écartement, lobjet pouvait encore coulisser davant en arrière sans me déchirer.
- Emilie vous êtes trop gourmande
Les mots ravivaient systématiquement ma terrible excitation et Marc pu reprendre le pompage pour mécarteler encore un peu plus.
- Haaaa
oui
doucement Marc
cest bon
mais jai
mal
hum
- Détendez vous, le meilleur est à venir
Finissant sa phrase, il manipula un petit boitier qui accélérât aussitôt les vibrations qui mastiquaient le petit bouton depuis un bon moment, cétait vraiment trop bon.
Le clitoris ainsi sollicité et lengin gonflé à bloc qui me coulissait dans les intestins il naurait pas fallu que cela dure trop longtemps avant que ma jouissance nexplose.
- Et bien ma belle, on nattendait plus que moi à ce que je vois
Cétait la voix râpeuse de celui que lon appelle (la brute), celui qui est monté comme un taureau et qui ma labouré la chatte en me traitant comme une sa pute.
Bien que mon cur se soit considérablement accéléré au son de sa voix, je nétais presque pas surprise de lentendre dans de telles circonstances.
Il sest collé contre moi tout en resserrant les pinces qui me tiraillaient les tétons de façon à accen la douleur et pouvoir mieux contrôler mon plaisir.
Il ma vulgairement léché dans le coup avec sa langue épaisse et toute mouillée en remontant jusqu'à loreille où il ma susurré :
- Je vais te la mettre dans le cul ma belle, tu es prête pour le grand voyage ?
Sans le vouloir, mon état dexcitation et la puissance des mots crus mon littéralement fait jouir une première fois, libérant un véritable flot de cyprine.
Marc était passé de lautre coté, se métant face à moi, il pouvait ainsi me regarder tout en laissant le champ libre à la brute pour quil soccupe de mon cul.
Affrontant ma peur avec résignation et sachant que je ne pourrais empêcher cette prometteuse et douloureuse pénétration, jai opté pour essayer davoir le moins mal possible et pourquoi pas en retirer le maximum de plaisir.
Jai soupiré et serré les dents, puis en cambrant mes reins au maximum et je leurs est dit :
- Allez-y, je suis prête.
En véritable pervers, la brute continuait à me lécher le cou et la nuque tout en me retirant assez délicatement lobjet introduit qui dégonflait assez vite.
La délicatesse du geste ma surprise, aurait-il soudainement eu pitié pour mon cul délicat avant de le déchirer ou tout simplement ménageait il sa future victime consentante pour pouvoir mieux la faire souffrir.
Je lai ensuite entendu badigeonner son membre, en vidant et étalant le tube de crème sur toute la longueur, rien quau bruit et au temps quil a mit-ont pouvait imaginer la taille du sexe.
Après Il a prélevé toute la cyprine possible dans ma chatte pour la remonter entre mes fesses, libérant des petits clapotis tellement je dégoulinais.
Présentant lénorme gland à lentrée du conduit et à commencé à pousser tout en me disant :
- Cest le moment de vérité ma belle, ça passe ou sa casse
Bien décidé à réussir ce véritable exploit, je poussais moi aussi de mon coté, dilatant mes chairs plus que possible, tout en cherchant à oublier la douleur qui se présentait en me concentrant sur les vibrations qui me ravageaient toujours le clitoris.
Lénorme gland violacé narrivait pas à passer la barrière de la corole malgré labondante lubrification, pourtant il forçait sans aucune délicatesse.
Cette résistance la plutôt énervé et Il ma saisi brutalement les seins en pinçant mes tétons de toutes ses forces ce qui ma déclenché un véritable cri de douleur.
- Haaaaaaaaa
.
- Espèce de salope, que tu le veuille ou pas, ça va rentrer jusquaux couilles.
Il sest mi à faire de touts petits va et vient avec sa queue pour me dilater et pour pouvoir prendre de lélan avant lassaut final.
La douleur était presque insupportable et heureusement que mon clitoris était plus que sollicité par les délicieuses vibrations sur lesquelles je me concentrais au maximum.
Lui, il continuait à mhumilier et à minsulter au creux de loreille
- Tu va voir ma pute, une fois quelle sera dedans tu va te régaler
- Haaaa
ça fait
trop
mal
.
Il reprit son élan et poussa dun puissant coup sec ce qui permit au gland de dépasser la première barrière en me foudroyant de douleur jusquaux larmes.
Haaaaaaa
.non
non
non
Il stoppa tout mouvement pour me permettre lacceptation de ce corps étranger et il se mit à me masser les seins tout en continuant à me lécher dans le coup et à me dire des mots très sales.
Tu vois que ca rentre ma belle, laisse toi faire
tu va prendre ton pied.
Mon cul était au bord de la déchirure et se sentais les palpitations de sa queue qui se gorgeait encore de sang pour mieux me remplir.
Il sest mi à bouger davant en arrière avec de tous petits mouvement pour éviter de me meurtrir trop vite, permettant ainsi à mes chairs de sacclimater et de lubrifier au mieux le reste du conduit anal.
- Tu sais que tu es vraiment bonne, cest trop bon de tenculer.
La perversité de ses paroles décuplait mon humiliation en mexcitant au plus haut point et Marc avait du monter encore dun cran les vibrations sur mon clito car le plaisir commençait à prendre le dessus.
Sa grosse bite coulissait déjà de quelques centimètres, prenant de plus en plus dassurance à chaque pénétration, il se voyait approcher de la victoire.
- Ho
mais cest que ma pute commence à aimer ça
- Haaaa
non
oui
mais
ça fait
mal
hum
- Oui, cest bien
écarte bien ton cul, oui
laisse moi te la mettre au fond
- oui
hum...mais elle
est
hum
trop grosse
jai
mal
- Mais non, regarde comme elle rentre bien, tu laime ma grosse queue, hein ?
- Oui
hum
elle est
grosse
Ses mouvements devenaient plus longs et sa queue coulissait déjà sur plus de quinze centimètre en dilatant toutes mes chairs dans la gaine anale.
Le mélange de douleur et de plaisir était tel que mon corps abandonnait toute force, je ne tenais plus sur mes jambes, je tremblais et frémissais de toute part.
Juste accrochée par les poignets je me laissais empaler de tout mon pois sur le lénorme pieux vivant qui maintenant me labourait le cul.
Sous la douleur mes larmes étalaient mon maquillage sur mes joues, alors que ma respiration saccadée et mes gémissements exprimaient mon état de femelle apeurée.
La brute sagrippait de plus en plus brutalement à mon corps, lâchant mes seins pour me contraindre en appuyant sur mes épaules, permettant ainsi à sa queue de gagner encore quelques centimètres.
- Putain, tu va la prendre
encore un effort ma belle
Je sentais tous ses puissants muscles qui se contractaient à chaque coup de reins, sa respiration de mâle en rut me chauffait la nuque que sa langue baveuse parcourait toujours.
- Han
han
han
tient ma pute
taime que je téclate le cul
Je serrais mes mains de toutes mes forces sur les chaînes qui me retenaient, me laissant divaguer au gré de ses coups de queue qui commençaient à me faire plus de bien que de mal.
- Haaa
sale pute, ça y est
jusquaux couilles
prend ça
Le salaud, il venait sur un dernier coup de reins un peu plus puissant que les autres de me lenfiler sur toute sa longueur et je sentais ses couilles chaudes qui ballotaient contre mes fesses.
Devant cette outrageante capitulation, toutes mes dernières barrières morales sont tombées et je me délectais dêtre ainsi possédé comme la plus vulgaire des salopes.
Mais le niveau dadrénaline était trop puissant, provoqué par cette incroyable monté du plaisir, le niveau inhabituel de la douleur accepté et lexcitation permanente.
Jai senti le mâle sexciter encore plus fort, me pilonnant à grands coups de bite pendant quil minsultait, mais mon esprit défaillait et je ressentais la pièce tourné autour de nous.
Je lai entendu hurler alors quil me remplissait le cul de son foutre chaud mais jai soudain eu un grand trou noir dans lequel je suis tombé, à bout de forces je me suis laisser partir sans pouvoir me retenir.
- Emilie
Emilie
vous mentendez ?
Jentendais cette petite voix douce, qui se rapprochait doucement.
- Emilie
comment allez vous ?
Mes paupières souvraient lentement, laissant apparaître la lumière tamisé sur les murs de la chambre.
Ma nouvelle amie était près de moi, me caressant délicatement les cheveux et le visage.
Jétais encore toute nue, mais javais mal partout, surtout au niveau des parties intimes
- Que mes til arrivé ?
- vous vous êtes évanouie, cest une brute épaisse, sans morale
- Jai encore très mal, est ce quil ma déchiré ?
- Non, rassurez vous, mais cétait incroyable
- Comment ça incroyable, vous lavez vu ?
- Heu
oui
nous étions tous là, javais peur pour vous
- Comment ça tous là ?
- Et bien, le Maître, Marc, les autres et puis nous les soumises
Dun coup je comprenais mieux le pourquoi du bandeau sur les yeux.
Comme la dernière fois elle me faisait ma toilette intime, mais avec beaucoup plus de douceur car mes chairs étaient encore rouge et toutes irritées.
- Vous me dite si je vous fais mal
- Non, ça va, cest très supportable, mais puis je vous demander
- Si
moi aussi, jy suis passé
cest ça que vous voulez savoir ?
- oui, mais je ne voulais pas vous
- Ce nest rien, oui
nous y sommes toutes passés
- Mais vous êtes si jeune, si mince
comment il a pu
- Le corps shabitus à tout, vous verrez, la prochaine fois, vous ne vous évanouirez pas.
Soudain Marc est entré dans la chambre
- Dit donc les filles on fait la causette ?
- Marc je vous en prie, elle est exténuée et endolorie
- Je sais, cest pour ça quaujourdhui cest relâche
Il sest assit près de nous en souriant
- Ma chère Emilie, vous allez vous habiller, ensuite vous appellerez votre mari pour le rassurer et enfin je vais moccupé personnellement de vous toute la journée.
- Marie va finir votre toilette et vous refaire une beauté
En ressortant de la chambre il ma regardé en disant :
- Je suis très fier de vous, vous êtes une femme merveilleuse.
Pleine de satisfaction, jai regardé mon amie dans les yeux pour lui dire
- Donc, je peu tappeler Marie ?
- Oui, mais faisons vite, il ne faut pas le décevoir
Après une bonne douche revigorante, un brin de toilette et de maquillage, jai enfin pu mettre une des petites robes que mon mari avait sélectionné pour moi.
En me regardant dans la glace, je me sentais bien plus belle et désirable que toute nue, les robes embellissaient mes courbes et effaçaient les petites rondeurs de la quarantaine.
Marie ma tendu des sous vêtements
- Non merci, Marc maime toute nue sous mes robes et puis je my suis habitué, pas toi ?
- Il faut que lont soit toujours prêtes, nest ce pas ?
Quelques minutes plus tard jai appelé mon époux, lui prétextant la fatigue du voyage et que je métais couché tôt pour le rassurer, tout en lui promettant de le rappeler plus longtemps dans la soirée.
Marc ma rejoint et nous avons traversé la maison entièrement vide, sa voiture était déjà devant lescalier, il ma galamment ouvert la portière et puis nous nous sommes engouffrés dans la profonde allée en direction de la ville.
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