Beau-Papa And Co : Chapitre 1 : Une Rencontre Pas Si Innocente.
Chapitre 1 : Une rencontre pas si innocente.
Le jour de ma rencontre avec Christelle, ça été, non pas le coup de foudre, non, ça été bien plus puissant, plus fort, quelque chose dénorme, le BIG BANG. En un regard, nous étions unit, moins dune minute plus tard, nous nous embrassions, une demi-heure plus tard, nous étions dans mon studio à baiser comme des malades. Et depuis ce jour, cest quand on en a envie et peu importe le lieu ou lheure. Mais ce nest pas moi qui vais vous raconter cette rencontre qui allait faire de Christelle et moi, des
- Oh et puis non, vas-y ma belle, raconte.
- Avec plaisir, mon baiseur adoré.
Comme Alain vous la écrit, ma rencontre avec lui, ça été baise à tout va dès les premières secondes. Depuis, je suis raide dingue de mon homme, de mon baiseur, de mon enculeur. Lui, le laisser partir, cest hors de question. Il faudrait être conne pour le larguer. Dans sa tête de vicieux, les idées fusent pour me faire jouir, pour quil prenne son pied, pour que nous prenions le plaisir là où il est, peu importe le lieu, lheure. Un peu plus de quatre mois après notre rencontre, jai rencontré son paternel. Un homme par qui
- Hé, tout cool, ma petite salope, on a tout le temps.
- Tu as raison, mon biquet damour.
Donc, la rencontre se passe dans un centre commercial, le plus naturellement du monde. À cet instant, tout ce que je sais de ce père, cest quil est artiste international. Il est immensément connu en Asie et fait de très fréquents voyage au Japon surtout. Donc, avec Alain, nous y étions pour nous offrir de quoi agrémenter nos envies de plaisirs dans un sexshop situé au sous-sol de ce centre. Cest là que le père dAlain, lui, entrait par le parking souterrain. Gêné, oui, nous létions, Alain et moi, en le voyant. Pour moi, cétait la première fois que je voyais le père de mon aimé. Un homme solide, grand, distingué et, ma foi, comme mon Alain, immensément beau.
Christian, tout sourire, nous donne rendez-vous dans lun des bars du centre. Cela dit, il me dit, de sa douce voix grave et rauque, que je suis certainement la plus ravissante des petites amies de son fils. Alain lui promet de faire vite. On le regarde monter sur lescalator. Une fois quil a disparu, on senfile dans ce lieu de perdition. Il ne nous faut guère de temps pour trouver notre bonheur. Il y en a même plusieurs dans notre sac. En sortant, Alain court mettre le tout dans le coffre de son scooter et revient au sous-sol. Le temps quil retrouve son souffle et nous rejoignons le bar non sans quelques caresses et un long et merveilleux baiser volcanique. Cest vrai quoi, quand je suis près de mon Alain, je me sens toute chose, prête aux pires folies. Pour tout vous dire, il pourrait me coucher sur le sol, là, dans ce sous-sol et me baiser que je serais partante. Cest dire combien je suis folle de mon Alain. Au dit bar, Christian nest pas encore présent. Daprès Alain, son père ne devrait tarder car, ses courses se font selon une liste et un ordre précis. Et en effet, il arrive après une petite quinzaine de minutes, deux gros cabas accrochés à ses mains solides.
Après un café, on se quitte non sans être invité chez mon futur beau-père. Sa voix grave, rauque quand il me répète que je suis ensorcelante, me met sens dessus dessous. Et le contact de sa main sur la mienne ne me chavire que davantage.
Une fois dans notre studio, cest moi qui prends les commandes en le menottant de lun de nos achats et lui faisant un torride striptease. Ensuite, je mempale lentement sur sa biroute, très lentement et en même temps que je menfonce ce plug dans mon anus. Je suis immédiatement sur le point de jouir. Pourtant, je me retiens encore. Je le sais sur le point de jouir, mon Alain. Je serre la base de sa queue, lembrassant langoureusement et je recommence autant de fois quil le faut.
Maintenant, je ne rêve que dune chose, être prise par le père et le fils. Oui, cet homme vigoureux me donne de violentes envies de jouir sans fin.
Le samedi soir, pour me rendre chez mon futur beau-père, je me mets ma courte robe sexy, mais sans plus. En dessous, un tout petit string et à mes pieds, mes plus hauts talons, sans oublier des bas noirs à couture et auto-fixant. Alors que je sangle mes chaussures ouvertes, mon Alain en profite pour me remplir ma chatte déjà branchée plaisir. Et comme jaime sa belle queue en moi, je mappuie contre le mur et en avant la fanfare. Il me prend dun coup sec ou presque. Sa bite passe rapidement dans mon cul après mavoir retiré mon plug. Oui, depuis le centre commercial, jen porte un en permanence, même au boulot. Il me bouscule et jaime me sentir prise ainsi. Derrière la porte dentrée de notre nid damour, il me fait hurler de plaisir avant de lentement se retirer. Sil na pas joui, cest quil se préserve pour notre retour. Mais moi, ce saligot ma mise en appétit et je le retourne avant quil ne me cache son zob dans son boxer. Sa queue dans ma bouche, je me régale de son gout, de son odeur. Lenfoiré, sa queue sent mon cul et le simple fait de penser à Christian me forçant à la lui lécher, me fait jouir en même temps que mon amoureux. Je me sens soudainement une salope de la pire espèce.
En chemin, je me rends compte que Christian vit entre notre nid damour et mon travail et pile au milieu. Comme la distance me semble longue, que je nai pas trop lhabitude de marcher longtemps en haut talon, sur un banc, je me repose un moment en massant mes chevilles.
Cest en ascenseur que nous montons. Le temps de monter, mon Alain me tripote et cest tellement bon quil arrête juste avant que je ne jouisse et heureusement pour les locataires. Depuis que je porte ce plug, jadore quand il me le tripote, mon Alain. Pour un peu, en le sentant me chauffer à blanc, je pourrais croire quil va moffrir à son paternel, ce salaupio. Oui, comme un jouet quon offre à un môme. Cela dit, lidée ne serait pas pour me déplaire si mon Alain me baise avec son paternel. Devant la porte de Christian, jarrête Alain qui allait sonner. Je ne me sens plus aussi sûre de moi, jai soudainement peur de cet homme. Il sonne, entre en me tirant à lintérieur dun appartement très moderne. Il est là, devant moi, dans un magnifique costume trois pièces et une jolie cravate assortie. Mais mon regard sabaisse vite au niveau de sa braguette et ma foi, cela forme une belle bosse, même sil ne bande pas, du moins, pas encore. En le toisant, je devine un homme classe, un homme qui sait shabiller, entretenir son corps. Il me toise de la tête au pied avec un sourire en coin très égrillard. Une chose est certaine, je ne lui déplais pas quand il me tend son bras que je prends tout sourire. Galant jusquau bout des ongles, il mentraine dans une visite guidée de son grand appartement en duplex. Mon bras au sien, il pose son autre main sur la mienne, la caressant délicatement. Sil savait que mon string ne va pas pouvoir absorber ma mouille sil continue, mon dieu. Une chose me surprend au cours de cette visite, cest le faible mobilier, une décoration sommaire, très japonaise. Cet homme semble avoir des gouts très japonais et simple à la fois. Il y a de très nombreuses estampes dans toutes les pièces. Pour certaines, très coquines, même fétichistes pour quelques-unes et pas des moindre. Cest quand il me montre sa chambre que je découvre quil dort sur un futon tout simple. Il est même enroulé contre le mur.
- Je vous vois surprise, ma chère. Si je vis ainsi, cest à la suite de mes nombreux voyages au Japon. Jy ai pris gout. Vous voyez, Christelle, mon premier voyage dans ce pays était professionnel. Jy ai donné, et jen donne encore, des spectacles dhypnose. Je my suis même fait des amis. Ils sont venus chez moi, ils mont invité chez eux. À chaque fois, jy ai appris quelque chose. Voyez cette estampe, très coquine sil en est. Elle représente Mariko Miyazaki solidement attachée à un être mythique. Une amie très chère à mon cur qui me la offerte lors de lun de mes voyages. Cest elle, la femme peinte, elle sest peinte ainsi parce quelle me donne des cours de Shibari et que nous nous comprenons, tous les deux.
- De quoi ?
- Le Shibari ou, communément appelé bondage par les crétins qui prétendent tout connaitre du Japon. Un Japon que je connais à peine après plus de vingt ans, cest dire. Mon amie Mariko a su me faire aimer cet art que nous aimons partager ensemble. Bien, Alain, peux-tu me sortir le vin blanc, mon grand.
- Dis, comment elle va, Mariko ?
- Oh très bien, oui, très bien.
Ce que je ne comprends pas, cest quun homme tel que lui, avec un charisme si grand, vit seul dans un si grand et luxueux duplex. Je dis ça, mais si cela se trouve, Mariko est peut-être sa petite amie, après tout. Oui enfin, ce que jen dis. Moi, pour le moment, je suis accrochée au bras dun homme aussi beau et attirant que mon Alain.
- Vous savez, cest Alain qui soccupe de mon appartement durant mes absences. Alors, si jai un conseil de père à vous donner, accompagnez-le lors de ma prochaine absence. Il vous fera découvrir les charmes de lAsie sans bouger dici. Je lui en ai révélé quelques-uns.
- Pardon ?
- Oui, comme dormir sur un futon, cest si tellement agréable, ma chère Christelle. Enfin, merci mon grand. Je vous en prie, prenez place, ma ravissante Christelle. Ne soyez pas timide, je ne mange jamais personne que jinvite. Alain, ton apéro de la dernière fois, il a fait des émules. Les Carlos ont tenté de le refaire, et ça a raté.
- Cela ne métonne même pas, papa. Sa femme est si gauche avec un couteau en main. Pourtant, si tu te rappelles, je lui avais montré comment si prendre.
- Ah ça, cest une vérité. Enfin, le pauvre Juan, il en a eu pour une semaine à sen remettre. Bon, mes s, santé et que longue soit votre union.
- Santé à vous, Monsieur Christian.
- Au diable, le monsieur. Tiens, vu quon se connait déjà un peu mieux, je te demande de me tutoyer et de te sentir chez moi comme chez toi, daccord ?
- Tu sais, papa, Christelle travaille dans cette nouvelle superette. Tu sais, celle près de ton bar favori.
- Mais ça fait loin de chez vous, ça.
- Ce nest pas grave, jadore marcher.
- Ben oui, parce que sinon, il faut être maso. Cela dit, Alain possède une clef de mon appartement. Christelle, je te supplie de venir ty reposer si tu te sens fatiguée.
- Merci, cest très gentil de ta part.
Les minutes sécoulent et la voix de cet homme me met presque en trance. Je repousse même la main de mon Alain, de peur de jouir instantanément. À table, enfin, je me retrouve face à ce père qui me plait de plus en plus. Il se fait galant avec moi, attentionné même. Nous mangeons japonais et cest un délice, surtout que cet homme a tout cuisiné lui-même. Maintenant, vous redire tous les noms de son long menu, je ny parviendrais pas alors, ne men veuillez pas.
Au moment du café, cest sur cette vaste terrasse que nous le buvons. Cette fois, je massois près de ce père. Cest un père qui aime son fils, qui lui a sacrifié une bonne partie de sa vie. Je les découvre encore plus complice et ça me plait. Je ne sais pourquoi, quand Alain me fait un signe de tête, je me rapproche encore davantage de cet homme. Mais sans me coller à lui, je ne suis pas encore comme ça. Cela dit, je sais que je lui plais, son regard posé sur mes formes me le prouve. À un moment, pendant un cours instant, jai même vu sa main hésiter, elle voulait se poser sur ma cuisse. Il naurait pas fallu, car je jouissais sur le champ. Oui, depuis que je suis arrivée, je suis perpétuellement proche du court-circuit, de lexplosion en présence de cet homme aussi beau que mon Alain. Arrive lheure de quitter ce père. Cette fois, je me hisse sur la pointe de mes pieds pour baiser les commissures de ses lèvres. Là encore, il sen est fallu dun cheveu que je ne lembrasse goulument en me jetant sur lui. En sortant derrière Alain, sa main se pose très brièvement sur ma croupe. Ma main sur la sienne, mon regard plongé dans le sien, pendant quAlain appelle lascenseur, la messe est dite. Je crois même que nous nous sommes tout dit durant ce regard soutenu. Christian me sourit, me fait un petit signe dadieu et la porte se referme sur un homme que je qualifierais déjà de merveilleux. Dans lascenseur, je me sens toute chose. Collée à mon amant, mon genou coulisse le long de ses jambes, jai envie dêtre méchamment baisée. Sa main sur ma culotte, son majeur sur mon plug, il peut juger de mon état dexcitation. Je crois que je me suis parfaitement faite comprendre. Mon baiseur mentraine dans un recoin sombre dune ruelle. Pressé, il soulève ma robe, tète mes seins, sa main laboure ma chatte pendant que je sors ce zob et le guide dans mon con. Il me pilonne debout, ma jambe droite relevée. Je ne suis pas longue à venir, tellement je suis chaude. Il me baise avant de me retourner, de me retirer mon plug et menculer sauvagement. Je jouis encore et il se vide dans mon cul. Ensuite, ce pervers menfonce ma culotte dans ma chatte baveuse et me remet mon plug dun coup sec et me voilà encore à jouir. Il mentraine dans un fou rire dément. Nous devons même nous arrêter pour rire, collé lun contre lautre. Alain mapprend que mon futur beau-père a tout vu dune fenêtre de son duplex et nous rions de plus belle. Tout en riant, cette nouvelle mexcite que davantage. Pour la toute première fois, jai été vue en train dêtre baisée, miam !
À peine la porte de notre studio fermée à double tour, Alain me couche à même le sol et me saute. En plus de me sauter, il me baise, mencule. Il me force à lui sucer sa bite sortant de mon fion, tenant fermement ma tête et jaime ce que je ressens en moi. Il me baise ainsi jusquà laube, me faisant hurler mes orgasmes. Il me vide ses couilles dans mon corps. En me couchant, je me sens merveilleusement heureuse, remplie du sperme de mon Alain. Ma bouche près de son oreille, je lui clame tendrement tout mon amour.
Trois semaines plus tard, rebelotte. Je crois que Christian en pince sérieusement pour moi. Même que mon Alain me choisit ma tenue en me déclarant bille en tête quil veut que je plaise à son père, que je lallume même. Les idées vicieuses de mon Alain, cest ça qui entretient notre amour, le fait grandir au fil des jours. Et donc, jupe courte, évasée, un petit string couleur chair, pas de soutif, mes talons les plus haut, style sandalette et, lenfoiré, il mimpose délicieusement un petit collier de cuir tout fin avec un cur fantaisie en guise de médaillon. Comme nous sommes en aout, nul besoin dun manteau. Du studio jusquà chez son paternel, mon Alain garde sa main sur mon cul, dévoilant mes fesses. Je ne vous dis pas la gueules des passants que nous croisons.
- Je sais à quoi tu penses, ma chérie, à mon père et moi te tringlant à tout va.
- Lui, cest toi à ton âge et il a encore de très beaux restes. Si tu es comme lui à 40 balais, putain de dieu, on na pas fini de senvoyer en lair, tous les deux.
- Tes quune salope, mon amour.
- Et toi, un merveilleux baiseur bien vicelard. Dis, pourquoi tenfonce pas ton doigt.
- Comme ça !
- Ouiii, jadore avec le plug.
À peine chez Christian, je massois sur une chaise uniquement en bois et mon plug fait plong quand je me pose. Ce bruit attire rapidement Christian près de moi.
- Ma chère Christelle, il y aurait-t-il un souci ?
- Non, aucun, cest juste mon plug qui a tapé la chaise.
- Oh, un plug. Ok !
Je le sens tout chose en apprenant ce que je porte dans mon cul.
En le regardant me fixer mon corps, je sais maintenant tout de ses invitations. En plus de nous avoir vu baiser sauvagement comme des porcs, je parie quil rêve comme moi, de me baiser sans limite, sans tabou. Je me sens toujours plus attirée par cet homme et sa prestance. Il y a peut-être cette envie de lui faire lamour comme pendant ma courte période où jétais amoureuse de mon père. Et puis, devant cette complicité père fils, lidée de me retrouver prise par les deux, fait son petit bonhomme de chemin. Enfin, il y a eu cette petite confidence adressée à mon Alain. Oui, javais bu un peu trop, je me suis laissé aller à lui dire le fond de ma pensée à mon Alain, ma main sur sa braguette. Jai senti son excitation en entendant lui dire que je les voulais en moi, père et fils. Au moment de rentrer, Christian, cette fois, me colle carrément sa main sous ma robe, caresse mes fesses, glisse son majeur sur mon anus, sur mon plug, sa bouche baisant mes lèvres sans chercher à aller plus en profondeur. En fait, cest moi qui force sa bouche. Ce baiser est tout aussi volcanique quavec mon Alain. Il me glisse avoir aimé me voir prendre dans cette ruelle par son rejeton. À ce moment des confidences, sa voix, ses mains, ce tout me fait fondre davantage. Lors de cette soirée, il me semble avoir compris pourquoi mon Alain partait toujours un peu en avance. Cest que jai surpris un clin dil complice entre eux. Mais cette fois, comme lascenseur était en panne, jai eu tout le temps dimaginer ces deux hommes me prendre de partout en descendant les six étages de limmeuble. Près de mon Alain, je le vois sourire, et ce nest pas son mignon sourire damoureux. Non, celui-là est comment dire, fripon, polisson, comme sil savait ce quil y avait eu trop brièvement entre moi et son père. Je lentraine dans cette ruelle, retire prestement ma robe, me pose sur ce banc, jambes repliées, écartées. Sa bite dehors, cest sa langue qui me bouffe tout de ma chatte à mon cul avant de menculer, de me baiser et sous le regard de son paternel qui nous matte de la fenêtre dune chambre. Je ne cesse de fixer cette fenêtre. Même si je ne le vois pas, là, je donnerais cher pour sentir sa belle bite me posséder. Quand je jouis, je fixe encore cette fenêtre. Cest à ce moment quil allume brièvement la lumière et me fait un signe, en fait, il applaudit.
À peine dans notre studio, cest moi qui prends les commandes. Je lui fais lamour en pensant à deux brutes qui me souillent, me violent, me force à des choses brutales avec eux. Pendant un bref instant, je me vois même être cruellement fessée et je jouis si fort que tout le quartier a dû mentendre.
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