La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 477)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°473 - Toujours chez Monsieur le Comte -
Les deux esclaves furent installés et harnachés dans les hampes des sulkys, leur dressage allait pouvoir débuter. Dabord ce fut pour soumis compelled MDE et Maïko, une première mise en jambes, ils durent tourner dans la carrière selon le rythme imposé par Monsieur le Comte et sa longe de cuir au bout de la chambrière. Elle venait caresser leurs culs ou leurs épaules, afin daccélérer ou ralentir leur déplacement. Elle les touchait simplement pour créer limpulsion et sans doute les décontracter. Mais les deux esclaves nétaient pas dupes, cet instrument pouvait également les châtier sévèrement. Monsieur le Comte maniait la chambrière dune façon naturelle et décontractée, il la faisait vibrer par des gestes courts et rapides juste pour attirer lattention des deux esclaves tournant en rond. Lobjectif de cette première leçon était de leur faire comprendre que par ces légers attouchements, linstrument nétait pas ment une agression mais plus une aide pour leur dressage. Ce nest quaprès une trentaine de minutes, que Monsieur le Comte prit place dans le sulky tiré par soumis compelled MDE. Il invitait son Très Cher Ami Monsieur le Marquis à sinstaller sur celui tiré par Maïko.
- Nous allons enseigner à ces deux esclaves quelques figures, sans le moindre mot, juste en tirant sur leurs mors. Vous qui êtes un cavalier accompli mon Cher Marquis vous ne devriez pas avoir de problème particulier.
- Je vous suis Cher Ami avec un grand plaisir !
- Commençons par le cercle et la volte !
- Entendu
soumis compelled MDE comprit très vite, la volte était un petit cercle de dix mètres de diamètre, alors que le cercle était une figure de plus grande taille. Puis on enseigna aux deux esclaves le huit de chiffre, une figure comportant deux voltes de diamètre identique, ceux-ci étant tangents au milieu du huit. Monsieur le Comte savait redresser celui transformé en cheval, un instant en tirant sur le mors avant de lui imposer la direction au milieu de la figure.
- Ce nest pas trop mal pour une première, nous pourrons poursuivre léducation de ses deux esclaves demain, pour lheure je vous propose Cher Marquis de les faire se défouler un peu. Pour ce faire, une petite balade sur mes terres, me semble propice, Quen pensez-vous ?
- Oui vous avez raison, Très Cher.
Alors les deux esclaves sortirent de la carrière, trainant derrière eux les sulkys sur lesquels étaient assis les Maîtres. Ils reçurent lordre davancer au pas, puis ils durent trotter un peu, dans les chemins rocailleux, et lorsquils arrivèrent sur une petite route bitumée et ombragée, ils eurent lautorisation de galoper
. Bien quépuisé, lesclave MDE était quelque peu grisé par ce galop. Les rênes lui claquèrent le dos, pour le motiver encore. Une course effrénée sengageait, les deux sulkys côte à côte, se défiaient. soumis compelled MDE prit rapidement une longueur davance sur Maïko. Il entendait ses pieds claquer le sol et les grelots attachés à ses couilles tintinnabuler. Quel spectacle !
- Votre esclave-cheval Monsieur le Marquis est bien plus résistant et bien plus rapide que le mien !
- En effet Monsieur le Comte, il a su prouver sa motivation, je suis fier de lui ! Reprit le Maître.
- Dommage toutefois quil ait perdu son plug au cours de cette longue chevauchée !
- Oui, effectivement !, Il devra être puni pour cela !
Suants, transpirants, haletants, les deux esclaves reprirent au pas, le chemin de lécurie. Alberto les débarrassa des accessoires et de leur attelage, puis les entraina juste à côté, dans un petit local, les fit mettre à genoux face à un abreuvoir empli deau fraiche. Ils purent boire à volonté, ayant été autorisés à se désaltérer.
Le rapport fut de courte durée ce soir, et seuls deux esclaves durent quitter les rangs pour être punis : Maïko et soumis compelled MDE ! Monsieur le Comte reprocha à Son esclave, son manque de ténacité lors de la course effrénée, et à soumis compelled MDE de navoir su retenir son plug pendant cette course. Tous deux furent attachés en croix, dos à dos sous le portique métallique, Alberto leur ôta leur cage de chasteté, puis il désigna un esclave à quatre pattes. Le chien soumis dominé sapprocha près du garde, lui baisa les pieds, puis se redressa et se positionna en attente. Alberto lui fixa un ordre, en espagnol que soumis compelled MDE ne comprit pas. Lesclave quitta les lieux et revint au bout de cinq minutes, tenant dans chacune de ses mains, un gros bouquet dorties.
Messieurs les Marquis et Comte sétaient approchés. Ils avaient tous deux chaussés une paire de gants. Chacun deux, attrapèrent une brassé dorties en les montrant ostensiblement aux deux chiens punis.
- Tu comprends bien que tu dois être puni Mon chien ! sexclama Monsieur le Marquis
- Oui Maître Vénéré.
- Tu connais les bienfaits de lurtication sur la peau, Mon chien.
- Non Maître Vénéré
- Alors je vais ten faire découvrir lefficacité.
Le Maître glissa alors sous les cuisses écartées de soumis compelled MDE, la poignée dorties, jusquà ses couilles. Dès le contact sur sa peau, le chien MDE sentit naître une vive démangeaison suivie dune chaleur mordicante. De petites vésicules rougirent ses attributs mâles et lirritation fut vive et douloureuse.
- Que tavais-je prédit mon chien
Cette merveilleuse plante est faite pour lutter contre limpuissance et latonie. Tu vois chien, lortie restitue la fonction érectile, fonction certes point trop utile pour ta condition de chien, jen conviens.
Les orties caressèrent encore le corps des deux esclaves, essentiellement sur les zones les plus érogènes ; leurs raies anales et leurs seins, puis les Maîtres abandonnèrent leurs bouquets en les plaçant entre les dos accolés des deux chiens.
- Vous attendrez ainsi, pendant que vos congénères se doucheront. Je vous préviens, si je retrouvais la moindre branche dorties à terre, il vous en cuirait !
Les deux esclaves furent abandonnés à cette situation, certes pénible mais ô combien excitante de plaisirs maso et ils restèrent là sans bouger, leurs dos bien plaqués, écrasant ces plantes urticantes : de bien douloureuses brûlures éveillant toutefois les sens de ces deux chiens excités. Ce nest quau moment du repas, quils furent libérés, et leur sexe de nouveau encagé. Ils regagnèrent la meute et prirent leur repas à quatre pattes au milieu de leurs congénères. Le repas fut copieux avec des grosses pates et de la viande bouillie. Une fois rassasié, soumis compelled fut enfermé seul, à lécart, dans une grande cage. Quallait-on lui réservé pour cette soirée ? Il resta là longtemps, très longtemps jusquau moment où il entendit la porte du bâtiment souvrir. Monsieur le Comte lui-même venait vers lui.
- Prosterne-toi à mes pieds chien, je veux te voir coucher à même le sol, membres en croix.
Lesclave MDE soffrit dans linstant. Sans attendre, Monsieur le Comte dégrafa sa braguette, sortit son membre et pissa longuement sur le corps offert de soumis compelled MDE. Une fois sa miction terminée, il ordonna à lesclave de se positionner en levrette et de laper la pisse au sol et de tout ingurgiter.
- Allez suis moi chien, selon la volonté de Monsieur le Marquis dEvans, tu es à ma disposition ce soir.
Sitôt arrivés dans une grande pièce sapparentant à un donjon, soumis compelled reçut lordre de se coucher à plat dos sur le sol. Monsieur le Comte sortit plusieurs cordes puis commença à tisser des entrelacs sur le corps offert du soumis MDE. Très vite il saperçut que Monsieur le Comte était un expert en Shibari (art japonais), très vite il perçut une forme de déconditionnement. Monsieur le Comte voulait mettre fin aux postures et aux faux-semblants, il voulait voir soumis compelled MDE ne se cachant plus derrière un arsenal dattitudes qui lui donnaient limpression dexister en tant que personne. Il voulait que son bondage vise à briser les défenses du chien MDE, que ce ne soit pas une sorte dart décoratif visant à sublimer son corps. Il voulait enseigner à lesclave MDE la beauté. Et la beauté se trouvait lorsque le corps adoptait des postures non-naturelles, cétait quand on lui faisait prendre, grâce à la corde, des poses étranges et contrefaites. Encordé dune manière méthodique, immobilisé et ainsi humilié soumis compelled MDE, le corps tordu et déformé, sentit toutes sortes de sentiments lenvahir mais son esprit au fil du temps, se libérait de choses contradictoires et se pacifiait. Il glissait doucement, perdant pied et sabandonnait, privé de tous moyens vers une étrange énergie, lénergie du désir
(A suivre
)
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