La Kermesse En Folie
- Nous allons nous emmerder a cette soirée humoristes amateurs
- Je sais Éva, mais il faut bien faire semblant de nous intéresser a la vie de notre bourgade
- Surtout que te connaissant tu va ronfler dés les premières minutes, comme au cinéma !
- Je vais faire un effort, jai toujours en tête ce fantasme du spectateur voyeur !
- Oublie ça ! montrer mes fesses et me faire peloter par un inconnu ne mintéresse pas
- Hélas je le sais ! ensuite nous irons boire un verre à la buvette
Évidement comme a notre habitude nous arrivons en retard il ne reste plus que des places a la dernière rangée, un homme se lève pour nous laisser passer, je me retrouve bloquée entre Gabriel mon mari et cet homme en short a la chemisette ouverte sur un tapis de poils drus
Il a une fâcheuse tendance à prendre ses aises, son coude prend tout laccoudoir et son genou vient tutoyer le mien malgré que je me serre au maximum, ça commence bien...
Quest-ce que javais dis, Gabriel savachit sur son siège afin que sa nuque appuis sur le dossier, les mains croisées sur son ventre, dans trois minutes il dort, fort heureusement il ne ronfle pas, sinon nous nous ferrions éjecter vite fait !
Sur la scène des gus se démènent pour amuser le public, moi je me fais chiiiiee
....mais ? Je ne rêve pas ? Une main audacieuse cherche mon bras
le genou se fait plus insistant
mon mari dort... Le fantasme du voyeur surgit a mon esprit, personne ne peut nous voir dans ce recoin de salle
A force dêtre contracté mon genou se relâche, et peut être pour une autre raison... le contact de sa peau mélectrise, un frisson délicieux mêlé dinterdit et de désir traverse mon corps, y compris ma chatte qui fait une bulle liquide dans son brésilien étroit
La main senhardit et caresse mon avant bras du bout des doigts jallonge mon bras sur laccoudoir, mes genoux sont à présent entrouverts, a coté une respiration paisible me rassure, la main glisse de laccoudoir a ma cuisse, il se tourne vers moi cherchant sans doute un consentement dans mon regard, je ne lui montre pas mais il est là
Je devine quil va chercher à palper un sein dans un éclair de folie, en feignant me gratter le cou je dépatte subrepticement deux boutons du haut de ma robe et je reprends une pose décontractée mais tout mon corps piaffe dimpatience, lhomme aux aguets sest aperçu de léchancrure béante, la main vient lentement de mon épaule se poser carrément sur mon sein gauche, les doigts font leur passage dans le bonnet jusqu'à trouver le téton dressé
Comme un bonheur ne vient jamais seul et que le temps est compté lautre main passe sous ma robe, il retire ses genoux afin que je puisse ouvrir les miens, mais ça coince ! les doigts cherchent à tirer sur le tissu bloqué sous moi
je dois le faire.
- Tend la main et branle-moi
- Quoi ?
- Tu as bien compris, masturbe moi la bite pendant que je te fais du bien a la moule
Mes doigts se referment sur un tel manche quils nen font pas le tour, je manipule la peau a fond de haut en bas, elle se raidit a intervalles réguliers dans ma paume, je suis heureuse quil aime ma façon de branler
Jai faillis hurler lorsque les lèvres de ma vulve se sont séparées, une main aux seins, une autre a la chatte je suis comblée au-delà de mes espérances, par contre jai limpression que la salle entière perçois les clapotis produits par mon vagin, je ne sais plus quoi faire jouvre et je referme les cuisses sur sa main qui me travaille délicieusement la moule, il sait dénicher tous mes points sensibles, jusqua ce quil sente mon vagin couler et se contracter sur ses doigts preuve de mon orgasme péniblement silencieux
Soudain mon inquisiteur jouis copieusement dans mes doigts, il retire ses mains me laissant dans un désarroi invraisemblable, paniquée je ne sais que faire de mes doigts englués, je fourre ma main coupable où je peux, ce qui la fait reculer cest la lumière qui revient lentement inondant la salle, ça va être lentracte, il murmure une phrase que jai de la peine à décrypter mais qui est pourtant claire
- Je tattends aux toilettes a la fin de la pose
.
- Quoi ??
- Que dit tu Éva chérie ?
- Ah tu te réveille enfin ?
- Cest bien ce spectacle ?
- Bofff, tu nas rien perdu, cest des ringards !
- Tu veux que nous partions ?
- Je ne sais pas, peut être dans un moment, avant je dois aller aux toilettes mais jattends quil y ait moins de monde, jai horreur de faire la queue
- Tas raison, je te connais tu y reste des plombes ! tien ? ton voisin est partit ?
- AH ? je navais même pas remarqué !
- Dans le noir il a lair bel homme pourtant !
- Il est quelconque !
- Pour une urgence ça peut le faire !
- Bon, ça fait un moment, jy vais, à tout a lheure chéri
- Prend ton temps !
Les derniers clients reviennent dans la salle, je pars dans les toilettes des femmes le cur battant a tout rompre, les mains rapidement passées sous leau pour me débarrasser de cette colle gluante et odorante, je vais dans un w c, claque la porte et tousse pour me signaler, des pas masculins résonnent aussitôt
- Tu es là ? Ouvre la porte
Je déverrouille, il entre et referme le verrou, collée conte la cloison je tremble comme une feuille, sûr de lui il dépatte sa braguette et sort son membre suffisamment de nouveau raide pour largement satisfaire une honnête femme
- Pose un pied sur les chiottes et relève ta robe, écarte tes cuisses de chaudasse
Mon mari me parlerait ainsi je le giflerais, mais subjuguée et décontenancée par ce langage de charretier et cette odeur durine qui règne jobéis, ses doigts crochètent mon brésilien et aussitôt il présente son membre décalotté a lentrée de ma grotte en eaux
- Tu va voir, cest mieux que des doigts !!
- AAAAAAAAAAAAAH !!
- Ferme ta gueule ! tu vas nous faire repérer
- Vous êtes gros
- Tu en redemanderas salope ! hoooooooouuuuuu tu es vachement étroite !
- Baisez-moi, je dois vite retourner dans la salle avant que mon mari ne vienne me chercher
- Ça vient
ça vient
.
Je naie pas atteint la jouissance mais davoir tiré un coup vite fais me comble largement, soudain des éclats de voix dans les toilettes couvrent les rires confus qui nous parviennent de la salle
- Éva ? Chérie ? Tu es là ? quest-ce que tu fous ? Vient vite voir qui jai retrouvé
- Heuu
je suis là jarrive
Je nai que le temps de rajuster mon fond de culotte trempé sur ma fente qui pleure encore le foutre, je sens la baise à quinze mètres, dans le couloir Gabriel mattend en compagnie de
mon amant de passage ! je prends appuis sur le mur pour ne pas mécrouler
- Tu sais qui était ton voisin de siège ? Tony ! Un copain de lycée ! Tony je te présente Éva, Éva, Tony !
- Dire que jétais assis à coté de la femme de mon meilleur pote !
- Meilleur pote
modérément ! ce salaud me piquait toutes les nanas que je soulevais !
- Ahhhhh
. Ce nétait pas bien dagir ainsi monsieur Tony !
- Cette époque est révolue, aujourdhui je lui demanderais la permission
- Tu veux baiser Éva ?
- Chéri !! je ne suis pas de la marchandise !
- En tous cas je ne dirais pas non ! je vous offre un pot, à moins que vous ne vouliez revenir dans cette salle merdique
- Chérie ?
- Comme tu veux Gabriel
- Je te sens en forme ce soir mon amour, cest bizarre, je dirais même que tu sens lamour
- Cest certainement les relents des WC ... partons dici
- Jadore ta femme mon vieux, elle est super ! allons-nous assoir à la terrasse de cette buvette, un digestif ça vous dit ?
- Un petit remontant ne me ferait pas de mal !
- Alors vodka orange pour tout le monde
- Assied toi a coté de Tony Éva
- A tes risques et périls chéri
.
- Tout ce qui est fait devant moi ne me contrarie pas
- Nous somment dans la pénombre, jaimerais que ta femme sassoit sur mes genoux
- Chiche ! pourquoi pas Éva ?
Le bras passé derrière sa tête je massois sur ses genoux au risque de tacher ma robe et son pantalon avec la sauce qui séchappe encore de mon vagin, je ne rectifie pas mes cuisses largement découvertes et séparées, Tony a dailleurs posé une main sur lun deux sous le regard amusé de mon mari, un autre regard, plus intéressé celui-là plonge dans mon décolleté , ses mains savent comment sont fait mes nichons mais pas ses yeux !
La conversation se fait bon , surtout dirigée sur leurs conquêtes de jeunesse, tandis que la main progresse sous ma robe sans que cela ne perturbe Gabriel qui semble attendre quelque chose
- Chérie ?
- Oui Gabriel ?
- Tu sais, mon fantasme.
- Celui du voyeur ?
- Oui, réalise-le pour moi
- Et comment ?
- Laisse mon copain te toucher
- Là ? ici ?
- Personne ne verras rien, si tu savais comme ça mexcite de voir sa main entre tes cuisses, ouvre les encore
- Comme ça ?
- Aahhhhhhhhhhhhhhh bon-dieu ! vas-y Tony touche lui la chatte !!
- A condition quelle me touche la bite
- Cest daccord !
- Éva serais mieux à califourchon sur moi
- Faites-le
ôte ta petite culotte chérie
- Mais il va me
- Je men fous !
La culotte au sol rapidement ramassée par mon mari qui la hume sans rien dire
la robe en corole autour de mes fesses je fais face à mon amant qui vient dextraire sa queue de sa braguette, Gabriel a approché sa chaise pour ne rien rater de ce qui se passe, cest à dire le gland qui frotte mes lèvres aux poils agglomérés par le sperme récemment déposé en moi, il regarde attentivement autour de nous avant de pousser sur mon cul afin que je me rapproche du membre qui est maintenant bien dur
- Baise là
laisse Tony te prendre mon amour
- Oui Éva, emmanche-toi sur mon zob
Je me soulève légèrement pour massoir sur le pic qui ma ouvert la matrice il y a quelques minutes, jondule et resserre ma chatte sur le membre pour chercher à me satisfaire au plus vite, cette fois je veux mon orgasme et celui là au grand jour devant mon mari !
Les mains de mon amant posées sous mes fesses ne restent pas inactives, des doigts ouvrent mon petit trou déjà bien sollicité par la position écartée de mes lobes fessiers
Je profite à fond de ce membre qui me laboure les entrailles, ma chatte, loin dêtre tarie se déverse sur son pantalon, lorsque que je me relèverais il ne pourra pas cacher lauréole que je lui dessine ! Et moi je naurais pas à dissimuler à mon mari les traces de ma précédente pénétration sauvage
Je mords lépaule de mon amant pour ne pas hurler lorsque londe électrique de lorgasme traverse mon corps, cest les doigts qui mouvrent le cul qui viennent de déclencher ce torrent de lave et de bonheur
- Tu as déjà sodomisé ta femme Gabriel ?
- Non pourquoi me demande tu ça ?
- Parce que jai trois doigts dans son cul
- Tu veux lui faire ?
- Si elle est daccord pas de problème
- Pas ici, décharge-lui dans le ventre, ensuite nous irons dans la voiture pour plus de discrétion
- Laisse moi me concentrer ça vient
aaaaaaahhhhhhhhooooooooohhhhhhhhhhh, putain quelle est bonne
- Encore une que tu mauras soufflé mon salaud
- Mais celle-ci je la saute et je te la laisse !
- Explique-moi pourquoi sa petite culotte était imbibée de foutre avant que tu la baise ?
- Ah bon ?
javoue, je lai sautée dans les chiottes
- Ça cest fait comme ça ?
- Ça a commencé dans la salle pendant que tu dormais, je lui ai passé la main au cul et elle ma branlé avant de venir me retrouver dans les toilettes a la fin de lentracte
- Quelle salope tu fais Éva !
- La prochaine fois tu resteras éveillé ! bon ? ont va dans la voiture ???
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