Le Dressage De Noémie (1)
Cétait une belle journée de début dété sur Porquerolles. Le ciel était bleu indigo et une petite brise charriant lodeur des pins calmait lardeur du soleil. Une voiture savançait sur la route menant à une villa de bord de mer isolée des autres habitations de lîle. A son bord, moi-même, et Noémie, ma compagne.
Nous étions ensemble depuis plusieurs mois déjà, et notre entente était idéale : je métais montré attentif, dévoué, aimant, et elle était tendre et douce. Toutefois elle pouvait sentir une certaine réticence de ma part lorsquelle me questionnait sur mes fantasmes, mes désirs secrets. Je déviais le sujet, ou jadoucissais mes réponses, car je nétais pas sûr quelle puisse accepter cette part de moi-même.
Devant son insistance, je finis par céder et lui dévoilais, petit à petit, mon goût pour la domination et le sadomasochisme. Elle se montra dabord intriguée, puis tout-à-fait excitée par cette facette de ma personnalité. Elle neut de cesse, à partir de ce moment, que je linitie à cet art de la soumission. Il est vrai quelle avait du potentiel en la matière, Noémie. Car derrière sa crinière blonde, et ses airs de reine, je sentais quil y avait une délurée, une joueuse, en un mot, une petite chienne en devenir, que je me ferais une joie déduquer.
Ces vacances à Porquerolles seraient pour elle son initiation. Alors que nous sortions de la voiture, garée devant la superbe villa, je marrêtai devant elle, mes mains sur ses bras, et lui demandais :
- Es-tu sûre, ma chérie, de vouloir aller au bout ? Choisis bien, je te donne là une chance de renoncer. Mais si tu acceptes, alors tu mappartiendras, tu seras ma soumise. Comprends-tu cela ?
- Oui, et jaccepte avec joie.
Ce fut sa réponse, prononcée avec fougue, et une fierté qui voulait dissimuler le soupçon de peur quelle éprouvait. Je lembrassai, et murmurai à son oreille : « Je nen attendais pas moins de toi ».
Une fois nos affaires déchargées, je vins trouver Noémie dans notre chambre.
- Il est temps de commencer ton éducation, dis-je doucement. A partir de ce moment, tu es ma soumise, ma propriété. Si je te demande quoi que ce soit, tu texécutes. Discute mes ordres à tes risques et périls. Tu devras également mappeler « maître ». Déshabille-toi maintenant.
Noémie acquiesça de la tête, et sexécuta. Elle commença par retirer son chemisier blanc, puis son pantalon, qui moulait si bien ses fesses délicieuses. Elle faillit sen tenir là mais continua, ce qui à la fois me plut, parce quelle était obéissante, et me déplut, parce que jaurais bien saisi ce prétexte pour la corriger. Je savais néanmoins que ce nétaient pas les occasions qui allaient manquer dans les jours à venir. Son soutien-gorge rejoignit le chemisier par terre, dévoilant ses seins fermes.
Ils étaient généreux, sans être gros, parfaits pour la taille de ma main. Jaimais leur pâleur, Noémie le savait : combien de fois les avais-je pris en main, léchés ; combien de fois avais-je mordillé et pincé ses tétons roses et sensibles
Finalement elle retira sa culotte, qui glissa le long de ses jambes fines et longues. A voir le tissu déjà humide, je pris un air gourmand. Je dis à Noémie de se tourner pour me présenter ses fesses, rondes et douces. Elle se pencha en avant, pour que je voie bien sa chatte luisante de mouille, et son anus encore vierge, à la pensée duquel me venaient nombre didées exquises.
Satisfait de mon inspection, je laissai Noémie aller se rafraîchir. Il lui faudrait être en forme pour ce qui allait suivre.
***
Je décidai demmener ma jeune chienne en promenade dans le bois autour de la villa. Si jétais habillé, Noémie, en revanche, était entièrement nue, mises à part une paire de chaussures et la laisse attachée à son cou. Elle jugea utile de sen plaindre :
- Mais, et si des gens nous voient ? son assurance du début avait faibli et sa voix était bien plus timide maintenant.
Je secouai la tête en soupirant.
- Noublie pas à qui tu tadresses.
Je vis la frayeur dans ses yeux quand elle réalisa quelle avait oublié mon titre lorsquelle mavait parlé. Jétais son maître à présent. Pour cet oubli, je fis à laide de la sangle de la laisse cinq belles marques rouges sur ses fesses rondes et blanches. Noémie ne cria pas -javais été gentil- mais ne put empêcher quelques larmes de couler.
- Pour ce qui est des promeneurs qui pourraient te voir, ne ten fais pas, la forêt est assez grande. Et de toute façon, une belle chienne comme toi est faite pour être admirée.
Voilà la réponse que je lui fis, un sourire lubrique sur les lèvres. Elle baissa les yeux, lair résigné.
Noémie marchait devant moi, à quelques pas. Je pouvais voir ses fesses en forme de cur qui se dandinaient et tressaillaient légèrement à chacun de ses pas. Les traces des coups de laisse commençaient à peine à sestomper et rosissaient sa peau fine. Jétais sûr quelle sentait encore leur brûlure, et quelle ne trouvait pas la sensation désagréable.
Cette petite promenade navait pas dobjectif précis, à part titiller les nerfs de ma délicieuse soumise. Elle sattendait peut-être à une entrée en matière plus brutale, à plus de violence de ma part, mais il était trop tôt, son dressage ne faisait que commencer. Toutefois je ne comptais pas le lui faire savoir, je préférais quelle continue à sinquiéter, à sinterroger sur son sort. Jaimais lincertitude que je lisais dans ses yeux implorants quand elle tournait furtivement la tête vers moi, pour sassurer que jétais satisfait de sa conduite.
Nous marchâmes encore, puis je me mis à sa hauteur, et, tout en continuant davancer, je caressais ses fesses, et glissais ma main entre elles. Je fis aller et venir mes doigts sur sa chatte chaude et de plus en plus mouillée, sans rentrer à lintérieur. Je voulais simplement lexciter un peu. Noémie gémissait, elle était très excitée. Cétait la première fois que je la touchais depuis notre arrivée, et le mélange de peur, de honte (elle marchait nue et en laisse dans les bois, quel changement pour cette citadine fière et parfois hautaine
jaimais lidée de briser cette fierté) et de désir -Noémie commençait à entrevoir son potentiel de salope- lavait rendue terriblement sensible et humide.
Bien sûr que non. Jattrapai sa main au vol.
- Non, petite pute. Tu es à moi maintenant. Ton corps mappartient, tu es mon objet, je ferai de toi ce que bon me semble, et cest moi qui tautoriserai à jouir si je juge que tu las mérité.
- Daccord
maître. Pardon, maître.
Je sentais que dire cela lui arrachait les lèvres. Il lui fallait encore shabi à son nouveau statut, mais cela viendrait. Je sentais une étincelle de défi dans sa façon de me répondre et cela me fit sourire. « Ne ten fais pas, chérie, bien assez tôt tu seras docile », pensai-je.
Je portai mes doigts trempés de son humidité vers sa bouche, mais elle détourna légèrement la tête. Je ninsistai pas, je comptais punir toutes ses petites insubordinations de manière exemplaire le soir venu. Noémie se rendit compte de ce quelle venait de faire -me désobéir- et voulut rattr ma main, mais jessuyais mes doigts sur sa cuisse. Jentendais bien lui rappeler quelle ne valait pas mieux que cela, une vulgaire serviette pour moi.
- Ca ne fait rien. Tu ne perds rien pour attendre cependant.
Je passai une main dans ses cheveux, et de lautre jappuyai sur son épaule pour quelle se mette à genoux. Je vis Noémie sourire et reprendre un peu dassurance : elle se retrouvait en terrain connu. Elle déboutonna mon pantalon et sortit mon sexe dur du caleçon.
Ses mains passaient sur ma queue, lérigeant encore un peu plus. Puis elle me prit dans sa bouche et commença à me sucer. Elle fit quelques va-et-vient, puis elle passa sa langue le long de ma hampe avant de me gober à nouveau. Dans le même temps, ses doigts fins massaient mes couilles. Cette catin savait sy prendre, javais toujours apprécié de voir quelle me suçait avec entrain, elle aimait cela. Je ne pus mempêcher de lui faire remarquer :
- Alors, soumise, je vois que tu nes plus si réticente maintenant. Où sont passés tes scrupules et ta peur de te faire surprendre ? Je vois que tu commences à devenir une bonne salope dévouée. Cest bien.
Elle leva vers moi des yeux rieurs, contente de voir que son travail était apprécié. Très bien. Je la laissai faire, appréciant son savoir-faire. Je voulais endormir un peu sa méfiance, lui faire croire que finalement je nallais pas être si dur avec elle, quelle pourrait se permettre de se rebeller.
Noémie continuait ses caresses, elle était désireuse de bien faire. Bientôt je succomberais sous ses coups de langue. Je ne cherchais pas à me retenir, pas à ce moment-là. Je jouis dans sa bouche alors que ses doigts continuaient de me caresser les couilles. Cétait divinement bon, se faire sucer ainsi par ma belle chienne nue et humide, en forêt. Jeus toutefois la désagréable surprise de la voir recracher mon sperme sur le sol. Cela me mit en colère mais je ne fis rien. Les comptes seraient soldés ce soir. Je la regardai dun air désapprobateur, elle se contenta de me sourire avec défi, et passa un doigt sur ses lèvres pour récupérer ce qui restait de sperme, et le lécha dun air gourmand.
« Cest cela, continue de faire la maligne », pensai-je. « Tu en seras pour tes frais ce soir ». Je ne dis rien toutefois, et dune tape sur les fesses, lui indiquai davancer. Nous rentrions.
***
Une fois revenus à la villa, jenvoyai Noémie se doucher. Elle en avait besoin, après avoir autant mouillé. De plus, vu son attitude, jétais sûr que cela allait se révéler intéressant. Jespérais bien quelle allait transgresser les règles une fois encore.
Et bien évidemment, quand jallai la voir sous la douche, je la trouvai en train de se caresser. Je la voyais, deux doigts dans la chatte, en train de se masturber avidement, tandis que son autre main était crispée sur son sein. Elle haletait rapidement, elle le voulait, cet orgasme, ma petite chienne. Ravi de ce que je voyais, jentrai brusquement. Noémie sursauta, tenter de cacher ce quelle était en train de faire, en pure perte. Je lui pris la main, sortis ses doigts de son sexe, et les léchai tendrement.
- Toujours aussi délicieuse, ma chérie. Mais je ne me rappelle pas tavoir permis de te toucher. Tu nes vraiment quune pute, au fond. Mais je te dresserai.
Dun ton froid, je lui commandais de se sécher rapidement. Ceci fait, je lui remis sa laisse autour du cou et lui dis de me suivre. Elle sexécuta mais je marrêtai dun coup.
- Où crois-tu aller comme cela ? Tu me désobéis et tu crois que tu peux marcher debout, comme une
personne ? Mais tu es une chienne. Et les chiennes vont à quatre pattes. Allez, soumise, exécute-toi.
Et Noémie sagenouilla puis me suivit ainsi, après un long moment dhésitation. Pour lequel elle payerait tout à lheure. Elle se sentait honteuse, avilie, mais en même temps elle obéissait, parce quelle souvrait peu à peu à sa nature profonde de salope docile et obéissante, désireuse de plaire à son maître. Et cette perspective la remplissait dune excitation indécente : elle était humiliée et maltraitée, et cela la faisait mouiller de plus belle.
Voilà ce à quoi elle songeait en avançant à quatre pattes sur les tapis jusquà sa destination.
Je la conduisis dans une pièce où plusieurs cordes tombaient du plafond. Je lui ôtais sa laisse, mais pas con collier, et lui liai les bras à une des cordes. Je tirai pour faire en sorte que ses bras soient au-dessus de sa tête. Noémie respirait plus vite, elle avait peur. A tort, pour cette fois.
- Alors, petite traînée, tu veux jouir ?
Cétait rhétorique mais elle répondit quand même, à ma grande surprise.
- Ouiii maître, je vous en prie, vous jouez avec moi depuis notre arrivée, je nen peux plus !
- Tu as raison, je te tourmente un peu.
Je lembrassai avec passion pendant un moment, tout en caressant sa chatte. Puis je descendis sur ses seins dont je mordillai le téton. Enfin, partant du nombril, je posai ma tête contre son pubis. Et je déposai un baiser sur son sexe tiède. Je sentis Noémie tressaillir. Je passai ma langue tout le long de sa chatte délicieuse un moment, mattardant sur les grandes lèvres.
Ensuite je collai ma bouche entière contre sa motte, lembrassant comme je lavais fait avec elle plus tôt. Noémie était fébrile, elle trépignait. Elle dégoulinait, dans ma bouche, contre ses cuisses. Elle gémissait, couinait. Et pendant que je la léchais, mes mains caressaient ses fesses, les pétrissaient. Je sentais que ma soumise était près de jouir : son ventre se contractait contre ma tête, elle cherchait à se coller encore plus à ma bouche.
Cest à ce moment-là que je mécartai delle, tout sourire. Elle, en revanche, était au bord des larmes. Elle frémissait de désir et dimpatience, elle aurait voulu plaquer ses mains sur sa chatte, se masturber une bonne fois pour toutes, se faire jouir une fois, puis deux, se doigter jusquà être rassasiée, mais elle était enchaînée. Elle me lança des regards furieux.
Jattendis quelle se calme et que son excitation redescende un peu. Moi-même, je bandais fortement, jaurais voulu la baiser, cette chienne haletante et trempée, mais je me contrôlai. Le moment nétait pas encore venu, et le maître devait faire passer le plaisir -ou le tourment- de sa soumise avant sa propre satisfaction.
Je revins me coller à sa chatte, cette fois je léchais son clitoris, je le faisais tourner dans ma bouche, je le mordillai gentiment, et comme la dernière fois, je mécartai delle au dernier moment, avant quelle ne jouisse. Cétait la quatrième fois que je lui faisais cela depuis que nous étions arrivés, et je pouvais voir quelle en devenait folle.
Je pris une chaise et massis en face delle, avec un air narquois sur le visage. Sa mouille encore sur ma bouche, je passai ma langue sur mes lèvres pour la taquiner. Elle leva sur moi des yeux humides et implorants ; elle en tremblait presque.
- Maître, je vous en prie, laissez-moi jouir comme la chienne que je suis, sil-vous plaît !
- Ah, je vois que tu commences à saisir comment tout cela est censé fonctionner. Très bien. Supplie-moi et peut-être que jaccéderai à ton désir.
- Daccord maître -plus dhésitation dans sa voix cette fois, elle sabandonnait à sa condition-, je vous en supplie, prenez-moi, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens, mais laissez-moi jouir !
- Continue
- Je suis une traînée, une catin, je suis votre soumise, maître, sil-vous-plaît, permettez-moi de jouir, je ne suis quune petite pute qui ne pense quau sexe, je mouille pour vous, je veux que vous me défonciez, que vous preniez ma bouche, que vous vous serviez de moi, je suis votre salope attitrée. Maître, votre petite chienne vous implore de la laisser jouir comme lanimal quelle est.
Noémie avait fait sa tirade en me regardant dans les yeux avidement, elle était folle dexcitation. Oubliées, ses réticences, tout ce quelle voulait à présent, cétait que son maître la laisse atteindre lorgasme. Jétais satisfait.
Je recommençai à la lécher, jembrassai sa chatte que jaimais tant, puis je la baisais avec ma langue, je rentrai en elle ainsi. Noémie se raidissait, criait maintenant sans retenue. Elle se collait tant quelle pouvait contre moi. Je pétrissais ses fesses en même temps. Et cette fois, je ne mécartai pas. Noémie hurla, jouit dans un râle de satisfaction : enfin ! Elle me trempa la bouche, jaimais cela. Tous ses muscles étaient contractés, elle haletait comme la chienne quelle était. Elle avait fini par jouir.
Je me relevai pour la détacher, puis lembrassai longuement. Cette fois, elle ne fuit pas. Elle apprécia de goûter sa propre mouille. Petit-à-petit, ses inhibitions tombaient.
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