Le Bois Des Queuteurs

A la périphérie de la ville de province prés de laquelle j'habite, il y a un bois connu de tous les homos et hétéros bi propice aux rencontres et surtout ou on peut en quelques minutes se soulager de toute tension palpable dans le pantalon. Bien pratique en période estivale ou beaucoup sont partis rejoindre le littoral. Il y a quand même quelques précautions à prendre car ce bois est situé prés d'un chenil et que les bénévoles vont y promener les chiens tout au long de la journée.
Cependant on trouve des mecs de tous ages et tous styles. Pas besoin de faire un dessin tout le monde sait pourquoi il est là. Le midi pendant ma coupure déjeuner j'y vais parfois, comme aujourd'hui.
Je me prénomme David, j'ai 50 ans suis bi actif poilu, je suis un mec relativement banal 1,75 pour 93 kilos. Crane un peu dégarni et je porte des lunettes, par contre je suis un gros queuteur, mon zob fait 19à 20 cm en forme, est épais et je suis endurant. Ce que je préfère c'est me faire sucer, palper et mettre mais depuis quelques semaines je me sens ouvert à plein d'autres choses.

J'arrive vers 13 heures et gare ma voiture derrière un autre véhicule vide en lisière du bois. C'est un bois pas trop touffu avec pleins de petites allées qui montent puis redescendent vers un champs de blé. Deux mecs sont ensemble et s’apprêtaient à partir lorsque j'arrive. Ils font demi tour, je comprends qu'il s'agit d'un couple, l'un milieu trentaine, le second petite cinquantaine. Ce dernier se retourne comme pour m'inviter à le suivre. De toutes façons je suis venu pour du sexe, mon plan q prévu sur internet de la veille s'est décommandé au dernier moment voilà une heure, j'ai du changé mes plans et je me sens plutôt frustré. Le plus jeune a pris un autre chemin avec un york dans les bras. Moi toujours prêt à rendre service, lorsqu'il s'agit de cul, je suis pendant quelques minutes sans précipitation, le mec, je sens mon zob qui se tend dans le boxer.

La situation m'excite. Il stoppe un moment un peu à couvert et se caresse l'entrecuisse, je m'approche et viens poser la paume de ma main droite pour tâter l'entrejambe. Ca me semble petit. Pendant ce temps lui a fait de même et commence à ouvrir ma braguette déjà prête à craquer. Deux,trois allers retours de sa main droite pour bien mettre mon zob en forme et c'est parti. Il me caresse vigoureusement la bite. Moi j'essaye d'extirper son vermicelle mais il refuse d'ouvrir sa ceinture CK. J'observe que deux mateurs nous regardent de chaque coté à distance et se caressent la braguette.
J'invite mon loulou à s'accroupir pour emboucher mon mandrin. Il ne se fait pas prier. Il est le corps plié en deux et je lui caresse la raie du cul au travers du jean. J'essaye de glisser ma main entre la peau et le jean , mais il ne semble pas décidé à me proposer son cul. Les voyeurs tournent pour profiter des différents angles de ma queue dans sa bouche. Elle suce bien la salope par petits à coups, pour venir la prendre sur toute sa longueur . J'appuie sur sa tête pour lui mettre en gorge profonde, mais pas de réaction de sa part. Sa bouche prend bien tout. Il salive un max ce qui me procure du plaisir. Je me dit qu'il me faudrait limer un bon cul.

Mes désirs vont vite être exhaussés. Un des deux voyeurs, la trentaine 1,80environ pour 70 kilos vêtu d'un jean et d'un tee shirt marine, approche. Je lui fait un signe de la tête, et tend ma main vers lui pour l'inviter à se rapprocher, car en plus il me semble comestible. Rien n'est à jeter ; brun élancé, barbe de trois jours , vingt huit, trente ans, mon type en fait. Il se caresse la braguette mais est surtout préoccupé à zyeuter ma teub qui entre et sors de la bouche du petit maniéré qui ne veut pas me donner son cul.
Le petit jeune me contourne et vient à point nommer toucher ma bite, il est fort aise de la sentir bien ferme et me demande si je veux le prendre, car il a bien compris que l'autre ne baisserait pas son fut. Je lui confirme que je veux fourrer un trou, il me questionne si j'ai un préso, et du Popper. Le préservatif et le sachet de gel oui, pour le Popper ce n'est pas mon truc. Il ouvre son jeans et me présente direct son beau cul. L'autre qui me suçait me dit :
-vas y , baises cette chienne, elle veut se faire fourrer.
J'introduis un doigt, puis deux dans son fondement après avoir déroulée la capote, et enduit son beau trou bien ouvert de gel. Il a l'habitude , je pense que le gel est superflu. D' ailleurs je vais m'introduire pratiquement d'un coup unique tellement son cul est distendu. C'est bien bon quand même , j'y vais à fond et ne me fais pas prier pour lui enfoncer de bons coups de mon manche bien viril. Il est le corps en deux et j'en profite pour attr ses mamelons et les titiller, ainsi que pour chopper sa pine et ses bonnes couilles bien grosses . L'autre mec lui écarte les fesses pour que je le prenne encore mieux et lance des :
ouaih, vas y bien profond, elle aime ça cette bonne salope. Fourres le bien avec ta grosse pine. Il veut ton jus...
Pour ma part je joue du bassin et ne suis pas avare des coups de reins bien menés et profonds.
- tu la sens ma bonne bite qui te ramone le fion. Tu aimes ça.
Il ne répond pas mais je sens qu'il acquiesce. Les autres observent toujours de loin et sont ravis du spectacle qui s'offre à eux, car le propriétaire du york c'est rapproché. Je claque le cul de mon partenaire bien ouvert, comme pour montrer que son cul est à moi, et att ses épaules pour le faire aller et venir sur mon vit. Il est en transe le garçon. Cela dure déjà depuis plus de vingt minutes. Au grand désespoir des autres qui espéraient me voir jouir plus tôt.

Je suis en transpiration et je sais que je ne larguerais pas mon sperme dans la capote. Je lui dit que je veux jouir dans sa bouche. Je suis sur qu'il a également une bouche aussi bonne que son trou. Il est ok . Je pense qu'il a eut son compte de coups de buttoir. Je l'ai bien limé, en tous cas.
Il me présente sa bouche bien ouverte pour que j'y mette ma queue après avoir ôté le préservatif. Oh putain je ne m'étais pas trompé, je suis tombée sur une super salope qui m'aspire le zgegg. Une bonne bouche à jus. Je vais prendre mon pied, avec lui. Il me caresse les couilles comme j'aime. J'en profite pour lui biffer ses joues avec mon braquemart, toujours aussi raide.

Ah, elle aime la bite, ça c'est certain, elle va me faire cracher. Je sens le plaisir monter en moi, mes jambes flagellent, signe de ma rédemption. Je branle la base de ma bite pour faire monter le niveau et je le laisse faire le reste et se jeter sur mon morceau. Il l'aspire, il aime le bon jus chaud. Je me répand dans sa bonne bouche, que c'est divin. Quelle jouissance, je viens de vivre. Il recrache une fois qu'il a bien tout pompé. Mon zob est nickel, pas une trace de foutre. Lui s'est astiqué le manche et a jouis pendant qu'il me pompait . C'était fantastique. Les voyeurs ont quitté leur point de vue. Nous remontons nos frocs. Je lui dit que c'était un super coup. Il me dit être là souvent le midi et qu'il remettra cela avec plaisir. Je pense qu'on ne tardera peut être pas à se revoir.