La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 480)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°477 - Jeux pervers et machiavéliques suivit d'un dressage intense -
soumis compelled MDE resta ainsi de longues minutes, suspendu à ce cordage telle une araignée à son fil. Malgré des crampes et des douleurs musculaires, le chien MDE prenait du plaisir et excité à se sentir contraint, assujetti et asservi. Il était là, à disposition, entravé, et sous lautorité de Monsieur le Comte, parce que Le Maître en avait décidé ainsi ! A peine venait-il dêtre détaché quil vit entrer cinq esclaves enchainés précédés du garde Alberto. Ils sinstallèrent, côte à côte, sagement, debout, en position dattente. Alberto leur ôta les cages de chasteté. Les cinq queues libérées se redressèrent aussitôt. Le soumis MDE fut attrapé brusquement pas Alberto et placé sur un tréteau, le ventre posé sur une planche de bois étroite, recouverte dun simili cuir noir. Ses membres furent attachés aux quatre pieds du tréteau. Un lien passa sous son ventre, pour maintenir ses lombes cambrées et son fessier pointé vers le haut. Ses couilles furent, elles aussi, nouées avec un cordage afin de contraindre soumis compelled MDE à limmobilisme parfait. Monsieur le Comte caressait lesclave MDE, ses mains glissaient sur ce corps offert, ses doigts effleuraient sa raie. La queue du chien MDE senflammait au contact de ces caresses, mais se heurtait aux parois de la cage de chasteté. Le désir se mêlait à la contrainte.
- Ces cinq chiens ont les couilles pleines. Elles nont pas été purgées depuis plus dun mois
.(Monsieur le Comte se tut quelques secondes)
Puisque je tai à disposition, autant que jen profite, tu vas servir de vides couilles...
Telle était la décision de Monsieur le Comte, mais décision sans doute un peu trop simple, et pas suffisamment vicieuse et humiliante.
- Nous allons jouer avec toi ma petite chienne, tu vas prendre ces cinq queues et dans ton cul et dans ta bouche de salope, mais sans les faire juter.
- Oui Monsieur le Comte
Avec un feutre dans les mains, Monsieur le Comte sapprocha de Ses esclaves et nota un numéro de un à cinq sur chaque poitrine.
- Tu vois chien, chacun de mes esclaves porte un numéro inscrit sur la poitrine. Par ordre chronologique, les cinq esclaves vont se faire sucer et vont tenculer. Pour ça, tu vas avoir les yeux bandés. Ensuite, suivant un ordre aléatoire, toi toujours les yeux bandés, ils viendront de nouveau se faire sucer et te prendre par le cul. Il te faudra alors reconnaitre chacune de leur queue. Tu annonceras haut et fort, le numéro qui te semblera correct. Bien sûr, en cas derreur, je serai contraint de tinfliger dix coups de badine sur le cul ! Est-ce bien compris ?
- Oui Monsieur le Comte.
Le jeu était parfaitement machiavélique
Comment reconnaitre un sexe turgescent, dun autre sexe bandé ? Mais soumis compelled MDE neut pas le temps de réfléchir plus longtemps. Déjà la queue de lesclave numéro un se posait sur ses lèvres.
- Hume là, respire là bien cette tige, prends la ensuite en bouche, tente de retenir sa forme, son gout, son veinage, la taille et lépaisseur du gland, je taccorde trois minutes pas plus
Le soumis MDE tentait de simprégné de ce sexe qui senfonçait en lui. Puis cette queue pénétrait ses chairs intimes, senfonçait entre ses reins, le dardait copieusement. Ce fut au numéro deux de se présenter, il semblait à soumis compelled MDE que cette queue était plus fine mais plus longue. Oui cétait limpression quil avait lorsquil se fit prendre en enculade. La troisième sentait lurine, la quatrième était beaucoup plus épaisse que les trois précédentes, soumis compelled MDE eut limpression quelle lui déchirait son anneau intime lorsquelle le fourra profondément et sans ménagement. La cinquième ressemblait étrangement à la première, bien difficile pour le chien MDE de noter une réelle différence. Et puis
tout sembrouillait dans sa petite tête de cabot
Il lui fallait réfléchir, penser tout en se faisant fourrer ! Pas simple comme situation.
- Bien voilà, tous mes chiens tont monté et bien enculé
maintenant à toi de jouer salope ! reprit Monsieur le Comte.
Lesclave portant le numéro trois fut choisi. Monsieur le Comte lui fit signe dapprocher. Il pointa sa queue raide sur les lèvres de soumis compelled MDE. Celui-ci la flaira longuement, glissa sa langue sur le gland puis lavala. Au bout de trois minutes seulement, lesclave de Monsieur le Comte se retira, passa derrière soumis compelled MDE et lencula sauvagement tel un bourrin, pendant 3 minutes encore.
- Alors je técoute chien, à qui appartient cette queue ?
soumis compelled MDE hésita quelques secondes :
- Je dirai que cest lesclave numéro trois Monsieur le Comte.
- Bien le chien, parfait.
Les quatre autres esclaves se succédèrent et pénétrèrent soumis compelled MDE par tous les trous. Par chance sans nul doute, lesclave MDE ne se trompa point et reçu les félicitations de Monsieur le Comte ! Ouf, soumis compelled MDE venait déchapper à la badine ! Enfin, cest ce quil croyait
Alors quil reprenait son souffle, les cinq esclaves de Monsieur le Comte furent branlés chacun leur tour par Alberto. Ils purent se soulager et jouir à grand bruit. On ôta à soumis compelled MDE le bandeau de ses yeux. Lorsquil revit clair, il aperçut cinq verres contenant du foutre déposés près de lui. Monsieur le Comte en prit un, lapprocha de la bouche de lesclave MDE et lui fit boire le contenu.
- Daprès toi chien, à qui appartient ce jus impur ?
Le chien MDE, la bouche engluée de sperme, parfaitement humilié, annonça un numéro totalement au hasard :
- Au numéro cinq Monsieur le Comte
Sans rien dire, le Maître des lieux posa le verre aux pieds de lesclave en question, puis attrapa un second verre, le présenta aux lèvres de lesclave MDE.
- Et celui-ci ?
- Au numéro deux Monsieur le Comte.
Et lopération fut renouvelée trois fois encore et lorsque soumis compelled MDE eut ingurgité lintégralité des semences, les verres furent retournés.
- Si je compte bien, il y a quatre erreurs, quen dis-tu chien ? Interrogea Monsieur le Comte tout en caressant le cul de lesclave MDE.
- Oui Monsieur le Comte.
soumis compelled MDE craignait la sentence, il fit un rapide calcul, quarante coups de badines ! Comment allait-il supporter ce traitement ?
- Je vais être indulgent chien, quatre erreurs te vaudront quatre coups de badines seulement, mais quatre coups sans concession. Es-tu près à les recevoir, là, immédiatement devant tes congénères.
- Oui Monsieur le Comte, je suis près. Merci pour votre indulgence.
- Alors je ne veux pas tentendre, je veux simplement voir ton corps frémir, je veux te voir accepter ce douloureux mais aussi délicieux traitement. Cest pour ton bien, chien que je timpose la rigueur.
- Oui Monsieur le Comte, je le sais et vous en remercie humblement.
La badine claqua à quatre reprises le cul tendu de lesclave MDE, laissant à chaque fois de belles traces rouges ainsi que de terribles boursouflures. Mais soumis compelled MDE avait serré les dents et aucun son nétait sorti de ses entrailles
Il avait réussi et en était fier
oui une vraie fierté, dappartenir.
Les cinq esclaves quittèrent la salle, emmenés par Alberto. Monsieur le Comte contemplait lesclave MDE toujours attachés, le caressait :
- El perros ! El perros caliente !
Ses mains attrapèrent les lobes fessiers du chien MDE, les lui écartèrent. Il examina de près son intimité, puis il dégrafa son pantalon, le fit descendre à ses chevilles, glissa son slip sous ses testicules et poussa son sexe déjà dur et turgescent entre les reins de soumis compelled MDE.
- Je veux que tu conserves en toi, toute la nuit, mon divin nectar !
Peu de temps après, soumis compelled MDE était détaché par Alberto et conduit dans les écuries de Monsieur le Comte. Il passa la nuit dans un box à chevaux vide, tout près des étalons, avec sa cage de chasteté posée et son collier autour du cou. Une chaîne était cadenassée à son collier, l'autre extrémité était verrouillée à un anneau dans une poutre en bois de la structure. Le chien MDE sendormit rapidement sur un bon matelas de paille fraiche. Il fut réveillé deux ou trois fois dans la nuit par les chevaux piaffant près de lui mais aussi par ce Tampax qui lui maintenait lanus entre-ouvert. Quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit planté debout devant lui, un homme grand, aux cheveux noirs, denviron une cinquantaine dannées, le visage avenant légèrement marqué par les années. Il devait faire près de deux mètres avec une carrure de rugbyman. Il était en loccurrence habillé en cavalier avec des bottes déquitation en cuir noir montant jusquau-dessous du genou. Au-dessus, une culotte de cheval bicolore en peau lui serrait les cuisses et les hanche et une casaque serrait son buste charpenté. Il portait une bombe sur la tête.
Avant que soumis compelled MDE ne puisse dire un mot, il sapprocha de lui, et de la main gauche, vint prendre sa mâchoire, serrant fortement ses joues entre le pouce et lindex. La douleur de la pression et la surprise de laction prirent lesclave MDE de court. Par réflexe, il ouvrit la bouche. Linconnu en profita pour lui fourrer un bâillon-mors entre les dents. Sitôt après le bâillon était bouclé derrière sa nuque. Lhomme se déplaça ensuite jusquà lanneau qui retenait la chaine en acier du collier du chien MDE et défit le cadenas qui la verrouillait à la poutre. Il saisit la chaine à mi longueur et, toujours sans mot dire commença à tirer lesclave MDE vers lextérieur du box. soumis compelled MDE se laissa guider et lorsquil sortit du bâtiment, la lumière du chaud soleil fit un peu mal aux yeux. Il dut les fermer quelques instant avant de saccoutumer à cet éclat. Cest à ce moment précis que soumis compelled MDE aperçut Monsieur le Marquis dEvans et Monsieur le Comte assis sur une chaise de jardin à lombre des platanes à proximité dune petite table en fer forgée. Ils buvaient tranquillement un breuvage ambré dans un verre. Linconnu prit enfin la parole, dune voix rauque, profonde et avec un fort accent :
- On va pouvoir commencer lentrainement !
On attacha dans le dos les avant-bras du chien MDE.
Non loin de la table ou les Maîtres étaient installés, trois autres esclaves étaient harnachés comme soumis compelled MDE, bâillons-mors leur muselant la bouche, et colliers verrouillés autour du cou. Ils étaient positionnés autour dune sorte de roue dentrainement, formée de quatre larges tiges de bois partant en croix dun axe central qui semblait mécanisé. Leurs colliers étaient enchainés à la poutre quils avaient devant le nez. Le quatrième emplacement était réservé à soumis compelled MDE, son collier fut attaché à la quatrième branche de la roue. Linconnu sortit une petite télécommande de sa poche et appuya sur un bouton. La large roue commença à tourner lentement. Les esclaves neurent dautre choix que de suivre le rythme de la machine et donc de commence à marcher en cercle dans cette terre battue. La vitesse nétait pas excessive, juste léquivalent dune marche un peu rapide. Alors que le premier soumis passa à proximité de linconnu, celui-ci lui appliqua rapidement trois solides coups de cravaches sur larrière-train exposé. Celui-ci se mit à gémir un peu sans toutefois perdre le fil de la marche. Il fit de même avec les trois esclaves suivants et à chaque fois quils passèrent devant lui. Les quatre esclaves marchèrent encore longtemps, une bonne dizaine de minutes, suffisamment longtemps pour rosir leurs postérieurs.
Cette fois-ci, la cadence imposée par la machine ne permettait plus aux esclaves de marcher, ils durent trotter mais ils recevaient toujours sur leur cul un coup de cravache à chaque passage devant linconnu. Les fesses de soumis compelled MDE commençaient sérieusement à se teinter, son cul senflammait. Il sentait aussi la sueur perler sur tout son corps et son souffle devenait plus difficilement contrôlable, surtout avec ce mors lui barrant la bouche. Il avait soif ! Mais pour lheure pas question détancher cette soif, la machine accélérait encore le rythme. Plus question de trotter, mais bel et bien avancer au pas de course. Soumis compelled MDE commençait à être exténué, il était en nage et malgré son habitude aux efforts physiques, il se sentait fébrile. Mais les coups reçus à chaque passage lui faisaient reprendre ses esprits et se concentrer sur sa course. Enfin la terrible roue sarrêta subitement. Les quatre esclaves dans leur élan se heurtèrent tous à la barre de bois devant eux. Linconnu reprit pour la deuxième fois la parole :
- Léchauffement est terminé, on va pouvoir passer à lentrainement !
Rapidement les esclaves furent sortis de linfernale roue et attachés tous les quatre, côte à côte à une clôture. Le sol avait été préalablement détrempé, la terre était boueuse, froide et gluante.
- On va travailler le pas espagnol, quand je sifflerai vous lèverez bien en cadence les pieds, les genoux bien hauts, je veux quils remontent jusquau bassin !
Déployant les efforts imposés, soumis compelled MDE, comme les autres soumis, sappliqua à adopter vigoureusement le pas non naturel dicté au coup de sifflet. Et lorsque les genoux nétaient pas relevés suffisamment haut, linconnu distribuait généreusement une volée de coups de cravache sur les fesses déjà endolories des esclaves. Exténué, soumis compelled MDE déployait des trésors deffort pour obéir de son mieux. Il se savait regardé par le Maître, il ne voulait pas le trahir mais bien prouver que ces efforts étaient pour Lui, rien que pour Lui. Et le Maître regardait bien Son chien. Ce nétait plus des perles de sueur qui coulaient de son front mais dépaisses gouttes qui ruisselaient le long de son corps.
- Stop et à genoux les chiens !
Soumis compelled MDE, comme ses congénères sagenouillèrent dans cette boue humide et épaisse, souillant encore un peu plus sa peau. Le chien MDE ne ressemblait plus à rien, mais bien quhumiliante, la posture à genoux dans la gadoue, lui offrait enfin un peu de répit.
(A suivre
)
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