Singapour - Partie 1
SINGAPOUR (Une histoire de lesbiennes). Première partie.
Cette histoire se passe quelques années après la fin de la dernière guerre, sur un navire dune des routes commerciales entre Penang en Malaisie et Singapour. Tous les personnages sont fictifs.
À chaque mois Éveline allait faire son shopping à Singapour et amenait une de ses servantes avec elle. Le voyage prenait quelques jours selon la météo et habituellement les deux femmes passaient au moins une nuit sur le grand navire en bois motorisé qui transportait aussi des marchandises et de 50 à 100 passagers. Éveline était Française et avait rejoint son frère, qui avait fait son service militaire en Asie, pour aider à gérer les rizières. Malheureusement, quelques mois après son arrivé, son frère mourut dune morsure de serpent. À 30 ans, Éveline se retrouvait avec une grande plantation qui employait surtout des femmes.
Nellie était une institutrice qui était venue en Malaisie après la guerre pour chercher laventure. Elle avait été enseignante dans une école privée pour filles près de Paris. À 45 ans, elle voulait voir comment vivait le reste du monde. Elle enseignait au lycée dans le village voisin de celui dÉveline mais les deux femmes ne se connaissaient pas. Comme cétaient les vacances scolaires, Nellie en avait profité pour aller faire des emplettes et avait amené une de ses servantes pour laider avec la langue. Ces quatre femmes allaient se rencontrer dune façon originale sur un navire qui les transportait à Singapour.
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Elles montèrent à bord du navire tard dans la soirée puisque le voyage se ferait quand la mer serait à son plus calme. Les femmes et les hommes étaient séparés. Les hommes et léquipage dormaient sur le pont tandis que les femmes dormaient dans la cale sur des matelas de bambou recouverts dune mince couche de coton.
Éveline portait une longue robe de coton beige qui se boutonnait à lavant. Comme cétait la coutume, cétait la seule pièce de vêtement qui couvrait sa nudité. Ses petits seins nétaient à peu près pas visibles à travers le tissu mais ses fesses libres bougeaient comme deux globes quand elle marchait sur le navire. Éveline était rousse et, même après avoir passé toute une journée sous le soleil, son visage et ses bras étaient presque blancs. Ses cheveux roux fascinaient encore la population locale. Farah, sa servante de 19 ans, était courte et mince comme la plupart des femmes de ce pays. Son visage était osseux et sa grande bouche montrait des dents dun blanc étincelant (ce qui était surprenant).
Farah choisit un endroit sur le matelas de bambou et se coucha sur le côté, se préparant à dormir. Éveline se plaça derrière elle et aurait placé ses bras autour de Farah sil navait pas fait aussi chaud. Les deux femmes étaient déjà en sueurs. Les cheveux roux dÉveline lui collaient au visage et au cou et elle les repoussait constamment. Malgré la chaleur, Farah recula de quelques centimètres et son corps toucha celui de sa maîtresse. Éveline lembrassa dans le cou. Les femmes continuaient de sempiler en rangées dans ce dortoir improvisé. Une femme malaisienne, du même âge que Farah, se plaça à côté delle et orientée de la même façon. Sa maîtresse se plaça ensuite à ses côtés.
Nellie était blonde et sa robe était dun coton blanc plus fin et plus mince que celui dÉveline. Il avantageait ses formes, surtout ses gros seins et ses fesses rondes. Elle avait déjà déboutonné le côté de sa robe quand elle sétira sur le matelas, le dos contre la poitrine de Najwa, sa servante. Les deux couples, rangés comme dans une boîte de sardines, ne se connaissaient pas on verra plus tard que les deux servantes se connaissaient -- et ne se parlèrent pas.
Les femmes sentirent le mouvement du navire lorsquil quitta le port. Il faisait sombre dans le dortoir mais de temps en temps un rayon de lumière pénétrait lorsquon ouvrait une porte ou levait un objet qui bloquait un hublot.
Éveline sentit que Farah glissait lentement vers Najwa, lautre servante. Le mouvement des silhouettes et le son que faisait le coton frottant sur le coton suggéraient à Éveline que Farah touchait lautre fille, ou peut-être était-ce Najwa qui avait initié le contact. Éveline savait que les émotions de Farah avaient quelquefois le dessus sur son jugement. Elle mit les mains sur les épaules de Farah et lui chuchota quelque chose à loreille. La servante tourna la tête et dit Pas de souci ».
Les deux servantes bougeaient lune contre lautre et Farah avait glissé une main sous la courte jupe de Najwa. Éveline avait remarqué que lors de voyages précédents sur ce navire, il y avait eu quelques couples de lesbiennes qui avaient fait lamour. Comme elle était seule à ce moment-là, elle sétait contentée de regarder le spectacle. Farah et Éveline avaient des relations régulières à la maison. Deux raisons faisaient que la rousse hésitait : elles étaient dans un endroit public et Farah caressait la servante dune européenne quelle ne connaissait pas.
Au début cétait Farah qui caressait Najwa par derrière et lembrassait dans le cou, mais ensuite ce fut la servante de Nellie qui se retourna et se plaça face à Farah. Éveline observa les deux jeunes filles se relever la jupe et déboutonner leur chemisier. Elles commencèrent par se sucer les petits tétons puis à sintroduire le doigt dans la fente. « Mon Dieu, pensa Éveline, Il est trop tard maintenant pour les empêcher de baiser ».
Le mouvement avait réveillé Nellie qui sétait retournée sur le matelas pour voir ce que faisait sa servante. Ses cheveux courts blonds étaient collés à son front quand sa bouche souvrit sans quun son en sorti. Cétait un mélange de surprise, de honte et dexcitation.
Laissez-les »
Éveline releva sa robe jusquà ce que sa motte frotte contre les petites fesses de Farah. Elle pouvait sentir le bassin de Farah qui se balançait contre les doigts de Najwa et cest à ce moment-là que tout chavira. Éveline sentit le bout des doigts de Najwa toucher les lèvres de sa chatte. Tout en frottant la chatte de Farah avec son poignet, Najwa avait étendu sa main pour toucher la chatte dÉveline. La Française se mordit les lèvres pour ne pas crier et cacha son visage derrière le dos de Farah. Elle murmura quelque chose à loreille de sa servante. Nellie immédiatement se rendit compte de ce qui se passait.
Jen veux, dit-elle à Farah.
Farah glissa sa main entre les cuisses de Najwa et ses doigts pénétrèrent dans la fente de Nellie. Les deux Françaises se faisaient masturber par la servante de lautre. Hésitante au début, Nellie se laissa aller au plaisir. Pour Nellie, ça lui rappelait ses fonctions de superviseure de dortoir à lécole privée de filles. Elle avait isolé un lit quelle pouvait rapidement entourer de rideaux et y placer tout couple de lesbiennes qui faisait trop de bruit.
Éveline nétait pas dupe. Elle savait que Farah ne se contenterait pas seulement dun jeu de doigts et que quelle et Najwa voulaient se sucer. La maîtresse de la plantation se mit à genoux pour aider sa servante à se placer tête-bêche avec Najwa tout en demeurant couchées sur le côté. Comme les deux filles étaient à peu près de la même taille, elles se mirent rapidement à se sucer la moule. Chacune plia une jambe pour donner un accès plus facile à son amoureuse. Éveline déboutonna sa robe complètement mais ne lenleva pas.
Elle se blottit contre Farah, sa chatte poilue écrasée contre les fesses de la fille. Nellie observa sa compatriote, releva sa robe pour exposer sa chatte et se plaça dans la même position quÉveline avec Najwa.
Finalement les deux Françaises atteignirent un niveau dexcitation qui exigeait un changement de position. Elles étaient beaucoup plus grandes que les servantes et déjà placées en 69 de chaque côté des jeunes filles. Éveline prit linitiative de se mettre à quatre pattes et denjamber tout simplement le couple qui la séparait de Nellie. Tout en ne nuisant pas à ce qui se passait entre les servantes, Éveline rejoignit Nellie et sinstalla sur elle en 69. Les deux Françaises à demi-nu commencèrent à se lécher lentre-cuisses avec beaucoup dintensité. Les quatre femmes continuèrent à se sucer pendant plusieurs minutes avant que les deux servantes ne crient comme de petites bêtes et que les deux Françaises ne frissonnent de plaisir.
Toutes les femmes autour delles firent semblant de dormir. Farah et Najwa sendormirent dans les bras lune de lautre. Les deux Françaises, presque nues, couvertes de sueur et de cyprine, se retrouvèrent assises côte à côte.
Cest toi qui as commencé ce cirque, dit Nellie.
Moi ?, protesta Éveline
Tu as poussé les deux filles à se masturber, répondit Nellie
Farah a toujours besoin dune partenaire, expliqua Éveline
Des regrets ?, ajouta Éveline
De navoir pu se baiser chatte contre chatte, répondit Nellie
Attendons demain à Singapour, répondit Éveline
On se lèchera la rondelle aussi, ajouta Nellie en rougissant
Bien sûr, répondait Éveline en riant.
Les deux femmes sétendirent sur le matelas collant et sendormirent.
FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE
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