Stéphanie... 02 / 02
Le jeu.
Souvenez-vous ! Je m'appelle Stéphanie, Stéphie pour les intimes. Pour trouver un peu de fraîcheur, par ce 14 juillet caniculaire, je m'étais programmée "une toile" dans un cinéma climatisé, j'y ai fait, une rencontre imprévue et "très chaude". (Lire : Stéphanie... 01 / 02 : Une rencontre fortuite) Invitée par Manon, "pour boire un verre" chez elle après nos ébats publics, voici la fin de cette journée un peu particulière....
L'appartement de Manon situé en centre-ville est vaste, lumineux, agencé et décoré avec raffinement. En cette fin d'après-midi caniculaire, très confortable, avec sa climatisation. Ses premiers gestes en arrivant est de mettre une musique d'ambiance douce et de nous servir des rafraîchissements qui sont les bienvenus. Tout en les sirotant, nous faisons plus amples connaissances. Entre rires et confessions, nous nous trouvons des affinités qui nous rapprochent. Comme par exemple celui de notre homosexualité.
Nous parlons également de nos vies. Manon sortait dune histoire sans lendemain, malgré des nuits torrides dont elle me détailla les moments les plus osés. La mienne, solitaire ces temps derniers. Je navais pas de compagne actuellement, et peu d'aventure depuis de longs mois.
C'est dans une ambiance détendue qu'elle me propose "d'aller se faire un resto", manière de finir cette agréable journée ensemble, J'accepte avec plaisir, tant la présence de Manon m'est agréable ! Mais avant de ressortir dîner, notre après-midi ayant laissé des traces et des effluves, elle propose de passer ensemble sous la douche.
J'étais déjà sous le jet, de dos, quand Manon est venue me rejoindre. Ses mains se sont posées sur mes hanches. Elle déposa un petit baiser à la base de mon cou. Je me tournai vers elle. Ma tête au creux de son épaule, elle posa un baiser sur ma joue libre, souleva mon menton et m'embrassa avec douceur.
Chacune savonnant l'autre, insistant bien sur nos nénés, et surtout nos minous et nos touffes, qui avaient besoin d'un bon nettoyage, barbouillées par la cyprine de cet après-midi.
Nos corps serrés l'un contre l'autre, partageant l'eau de cette douche pour se rincer. Je sentais ses seins collés aux miens, son ventre chaud, ses cuisses caressant mes cuisses, son pubis qui se frottait au mien. Ses lèvres contre les miennes, venues quémander un baiser, puis nos bouches se sont ouvertes pour laisser nos langues s'amuser.
Elle coupa l'eau, sécarta de moi en souriant, prit ma main pour sortir de la douche. Me tendit une serviette pour que je l'essuie. Puis à son tour m'a aidé à me sécher. Passée derrière moi, elle m' embrassa derrière les oreilles, mordillant mes lobes tout en promenant la serviette sur mes seins et le bas-ventre. Je commençais à fondre ! dans le miroir, Manon me souriait. À voir son sourire, et ses gestes tendres, elle avait une idée derrière la tête. "Quoi ? Que va-t-elle inventer ?" À peine me suis-je posée la question qu' elle me poussa vers sa chambre.
Me fît asseoir sur le bord du lit et entama une danse lascive devant moi. Elle était très séduisante, avec son corps mince et bronzé. Ses mains dans ses cheveux noirs qu'elle ébouriffait en se déhanchant. Des mains qui descendirent sur ses petits seins en forme de pommes et aux tétons très longs... Puis sur son ventre plat pour finir, jambes écartées, en caresses sur son minou orné d'un triangle noir, qui s'harmonisait à merveille avec sa peau matte. Je commençais à me sentir à nouveau très humide. Elle se dirigea vers la table de nuit et levant ses jolis yeux noir vers moi, elle me dit "on va jouer !" .
Manon sortit du tiroir deux longs vibromasseurs un rose et un noir, s'assit à côté de moi, me tendit le rose. Ses lèvres ont pris les miennes, sa langue est entrée dans ma bouche. Je fermai les yeux sous ce baiser langoureux. Puis se détachant de moi, avec des yeux rieurs m'explique "sa règle du jeu".
- Nous faisons l'amour et la première qui jouit à perdue et paye le resto ! .
- Oh, je vois ! Et en plus, Mademoiselle veut un duel au vibromasseur ! Et bien, je relève le défi, c'est Ok ! Répondis-je en rigolant,
Tout en tapotant le bout de son vibro contre le mien, elle reprit
-Je choisis la position : un 69 classique, et je te laisse choisir : tu veux être dessus ou dessous ?
-"Dessus, " répliquais-je.
Manon s'est allongée au milieu du lit, et moi, je suis venue à califourchon face à elle.
Je balaie une mèche de cheveux de son visage avant de prendre sa bouche pour un baiser enflammé. Mon cur bat la chamade quand je commence à caresser cette peau soyeuse, ses seins que je me mis à pétrir. Puis après un nouveau baiser langoureux, nous avons pris position tête-bêche.
En descendant vers sa foufoune, je laisse ma bouche et ma langue vagabonder sur ses tétons, son nombril, son pubis, tire sur sa touffe, lui arrachant ses premiers cris de plaisir.
Je sens ses mains sur mes nénés. Tordre et tirer sur mes tétons comme si elle voulait me traire. "Mmmm ! Ce jeu qui débutait, me plaisait".
Mes mains caressent l'intérieur de ses cuisses, puis les écartes. Ma bouche parcours son monticule juste au-dessus de la hampe de son clitoris. Mes doigts se déplacent sur ses lèvres roses. Un puis deux sont partis à la découverte de ses plis, ouvrant sa vulve comme un abricot bien mur.
Manon a déplacé ses mains de mes seins sur mes fesses. Les a écarté. Je sens ses doigts fouiller dans mes lèvres gonflées par l'envie, m'ouvrir le con. "Ohhh ! c'est doux et bon !" Sa langue à pris le relais, douce, humide, est entrée jouée dans mon puits à plaisir noyé de cyprine.
Je prends une approche différente d'elle. Je souffle sur son clitoris et avec mes doigts écarte ses petites lèvres autour de son entrée. Puis je glisse un, puis deux doigts, dans cet antre humide.
Manon a déplacé sa langue sur mon clito.
Je dois réagir au risque de ne plus me contrôler. Alors je glisse à mon tour le vibro dans sa vulve. Sa cyprine fait briller le jouet. Manon est aussi trempée que moi si ce n'est plus.
Le vibro de Manon a remplacé sa langue sur mon clito. Je sens les spasmes monter dans mon sexe. "Ohhh, !" Je gémis de plus belle ! Je ne vais pas pouvoir durer beaucoup plus longtemps. Ma chatte est en feu et je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Il faut que je me reprenne, me concentre encore plus fort sur la foufoune de Manon, sinon je suis foutue !.
Le bout du vibro contre son capuchon gonflé, j'ai glissé deux doigts dans la chatte dégoulinante de Manon, parcourant ses murs délicats.
-Oh !. Tu es tellement mouillée, cochonne ! ... ce que tu es bonne !
À ces mots, je l'entends gémir plus fort, émettre, même, un râle plus long. Je comprends de suite que ma voix et la puissance des mots ajoutés aux attouchements est peut-être la clé si je veux gagner ce match. Apres tout c'est bien elle qui a dit "tous les coups sont bons !"
Alors je change ma façon de faire. Ma bouche et ma langue s'occupent de ses nymphes, mes doigts mouillés de ses sécrétions ont glissés jusqu'à sa "petite rondelle", masse, pénètre, pendant que de l'autre main, je continue avec le bout du vibro à m'activer sur sa crête ... Relâchant par moments mes caresses buccales pour l'exciter de mes mots !
- Ouiii ! Ma puce, tu es si trempe... !
- Ohhh ! Je veux boire tout ton jus Manon !
- Mmmm ! Je veux que ton goût remplisse ma bouche
- Viens ! Viens ! Laisse toi aller Manon ! Vas-y ! Remplis-moi-la bouche de ton miel !
Manon gémit de plus en plus fort, tortille ses petites fesses sous mes gâteries, sa chatte déverse encore plus de crème.
- Mmmm ! Ta chatte est si bonne ma chérie !
- Manon laisse toi aller ! Jouis pour moi ! Jouis dans ma bouche ! Pour moi ... Laisse toi aller !
- Oh, oui ! Manon, tu sens comme je mouille pour toi, comment je t'inonde !
- Jouie, Manon ! Jouie !
Je sens à sa façon de mettre sa langue dans mon puits d'amour. La manière dont elle presse durement le vibro sur mon berlingot, que je lui faisais bien, que ma voix, mes paroles, ma jouissance qui monte et qui coule sur son visage faisaient leurs effets, mais ce n'était pas encore tout à fait suffisant pour la faire exploser.
Je fais un effort surhumain pour ne pas éclater tout de suite ! Avant elle ! J'ai trop envie de me laisser partir ! ... Jouir ! Me perdre dans un autre monde ! ... Avant de capituler, une dernière fois, j'essaye "de faire monter la pression dans le camp adverse"
- Oh coquine ! Rappelle-toi cet après-midi au cinéma comment tu as joui en public !
Comment tu as aimé ça ! Tout le monde te regardait vilaine ... Sale fille !
Manon laissa échapper un gémissement sourd et profond. Puis elle a déplacé sa bouche loin de ma chatte ... Et a criée ! Râlée ! Suppliée ! J'avais du mal à maintenir le vibro contre son bouton à plaisir tellement elle bougeait ! Mes doigts en elle continuaient à pomper dur, très dur !.
Manon est partie dans un orgasme démentiel ! Tendue à l'extrême, yeux révulsés ! Il lui a fallu plusieurs minutes pour calmer les convulsions qui s'étaient emparées d'elle et récupérer. Avant que je puisse sortir mes doigts et claironner fièrement ma victoire.
- On dirait que j'ai gagné !
Seulement ma chatoune était encore près de son visage. Alors sans me répondre Manon remet sa langue sur mon bourgeon. Il n'en fallait pas plus pour réveiller une envie latente.
Alors je me laisse aller au plaisir merveilleux donné par cette langue. Je suis vite prise de frissons. Je m'écroule sur elle, pose ma tête sur sa cuisse, ferme les yeux ... Et j'attends la délivrance !
- Ohhhhhhhhhhh ... !
Manon m'a rempli avec sa langue, qui fait des cercles dans mon vagin, qui pompe, qui lèche, pendant que ses doigts se sont emparés de mon clito et le masturbe.
D'un coup, je suis parti dans un orgasme somptueux. Les spasmes se sont emparés de ma chatte, mon corps c'est cambré, mes doigts de pieds se sont recroquevillés, et a mon tour, j'ai rempli la bouche de Manon de mes sucs intimes.
Dans les bras l'une de l'autre, nous nous câlinons, comblées. Tout en me caressant les cheveux, avec ses yeux dans les miens, Manon me demande :
- Alors, à quel resto veux-tu aller ?
- Mmmm ... ! Peut-être pouvons nous prévoir un changement dans la règle du jeu ...
- A quoi tu penses, de quoi as-tu envies ? Me répondit elle.
- Mmmm ... ! Laisse-moi réfléchir !... Je pourrai peut-être choisir le gage à t'infliger ?
- Ma foi ... si tu veux ! Je n'y vois pas d'inconvénient !
- Alors on reprend une douche ensemble, on commande des pizzas, tu nous ouvres une bonne bouteille de vin. Tout ça " pour nous retaper après tous ces ébats ... On revient au lit, et ton gage se terminera par la nuit complète à me faire jouir ! ...
Toutes les bonnes choses ont une fin, et après une nuit volcanique, je suis rentrée chez moi en fin de matinée, harassée, mais comblée, même si mon sexe, était là pour me rappeler la violence de nos ébats. Un 14 juillet qui restera dans ma mémoire... et pas pour son feu d'artifice ! ... Enfin ! ça dépend le quel ! (Hi ! hi !)
La suite ? La fête nationale étant un samedi. Ce week-end-là marquait la fin de mes congés d'été. Je reprenais le travail le lundi pendant que Manon partait en vacances.
Nous ne sous sommes plus revues ... Restait les souvenirs d' une belle rencontre, aussi éphémère qu'un papillon ! ...
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