Nous Nous Aimons

Je suis amoureux de ma voisine. Chose ordinaire ans dans la vie courante; sauf que pour moi c’est sérieux: je l’ai revu hors de l’immeuble dans un restaurant pas loin. Elle m’a donné envie d’elle: seule à occuper une table pas loin j’ai eu largement le temps de la regarder. Elle été assise face à moi. Nous avons pu nous regarder longuement. Elle se tenait fort correctement sans me faire d’ avance. C’est sans doute ce qui m’a accroché. Quand elle partait je partais aussi: je pouvais lui rendre service quand je lui tendais son manteau. Elle me remerciait gentiment en me proposant d’aller avec elle vers la cafétéria pour justement prendre un café. Nous l’avons bu ensemble: nous avons mis une bonne heure pour laisser deux tasses pleines.
On dit que les phéromones jouent énormément dans les relations hommes/femmes. C’est possible en tout cas pour nous ça a marché puisque j’ai pu l’inviter chez moi sans problème. Elle savait fort bien ce à quoi je l’invitais.
Le soir même elle toque à ma porte! Une fille vient chez moi avec des intentions malhonnêtes. J’en suis satisfait et l’embrasse sur la bouche avant même qu’elle entre. Je crois avoir affaire à une fille qui couche dès le premier soir. Tant mieux pour moi.
J’ai raison, elle est chez moi pour tirer un coup. Elle laisse ses lèvres sur le miennes, sa langue est en moi la première. Son pubis est contre moi aussitôt après. J’ai à peine le temps de lui prendre un sein qu’elle pose une main sur ma bite à travers le pantalon. Elle fait plus que la poser: elle me masse rapidement. Je ne me pose plus de question: elle en veux je vais lui en donner. Je la fait aller dans ma chambre. D’elle-même elle s’assoit sur le lit, arrive facilement à sortir ma queue, la met dans sa bouche et me suce avidement.
Je suis surpris et ravis. Sa fellation est des plus excitantes. Si elle continue ainsi elle va me faire jouir très vite. J’ai beau lui demander d’arrêter, elle ne le fait qu’à la conclusion finale, je lance ma semence dans sa bouche.

Ma bite reste en elle jusqu’à ce que je laisse ma dernière goutte partir. Pour elle ce n’est qu’une friandise.
Je ne redevient maître de la situation qu’après mon éjaculation. Je la fait lever pour la déshabiller: elle m’aide totalement. C’est tout juste si elle ne trouve pas que je suis trop lent. Une fois nue, elle s’attaque à moi. Je suis nu plus vite que jamais. Je sais comment la calmer: je la couche sur le lit, les jambes ouvertes, ma bouche sur sa fente. C’est à ma langue à la faire sauter en l’air. Son clitoris m’attire dès le début. Ma langue va sur lui et je le lèche sans arrêt jusqu’à sentir ses spasmes de jouissance.
- Oui continue, recommence sur mon clito.
- Tant que tu veux, ma belle.
Puisqu’elle en veut encore je recommence cette fois j’ai tout son bouton dans ma bouche. Elle recommence à jouir presque de suite.
Je change d’endroit, ma langue va visiter sa vasque à plaisir. Je ne lèche plus, je la baise carrément avec la langue. Je trouve assez vite ses endroits les plus sensibles. Je garde la langue dans son vagin et pose un doigt sur son anus; Je le sens s’élargir. C’est tant mieux puisque mon intention est de l’enculer plus tard. Ce qui m’étonne est la facilité avec laquelle j’entre. Elle doit être experte en sodomie. Je sors ma langue de son intérieur pour aller la lui mettre directement dans le cul. Elle bouge exactement comme je la lèche. Et quel plaisir de lui donner ce qu’elle aime sans doute le plus.
Il n’empêche que je bande comme un damné qui n’a pas eu sa ration de baise depuis des siècles. Je viens sur elle, m’étale complètement sur son corps pour lui mettre très près d’elle ma bite pleine encore de sève, malgré la fellation. Elle se retire juste au moment où j’allai la lui mettre.
Elle veut être sur moi, c’est à elle de baiser: je ne doit que jouir. Elle me retourne, m’enjambe et se met sur ma bite. Je ne sais même pas où elle va me mettre. La seule chose que je sais est que je bande et l’ai envie d’être dans son corps, devant, derrière, peut importe: l’entre jambes d’une femme est toujours bon à être pénétré.
Elle le sait bien puisqu’elle plante ma queue dans son vagin. Elle est pleine de douceur à l’intérieur et surtout elle connait fort bien la baise puisqu’elle sait ce qu’il lui faut pour ses orgasmes qu’elle fait passer en premier. Je peux voir toute ma bite quand elle se lève et la voir disparaitre en elle quand son corps se baisse. Je la sens surtout quand elle jouit. Elle gémit selon ses mouvements et pousse un léger cri quand elle arrive au bout d’une baise, quand elle jouit.
Elle m’impressionne même. C’est une e du sexe.
Quand elle estime avoir assez joui de son vagin, elle se relève à peine pour changer d’orifice. C’est bien là qu’elle est habituée: j’entre comme dans son con. Elle se fait mettre tout au fond de son cul. Ayant le reste de sa fente libre, elle caresse son clitoris en même temps. Cette fois les gémissements sont plus fort. Elle pousse un cri aiguë quand elle jouit et me fait sortir d’elle.
Ce n’est pas suffisant, d’autant plus que je n’ai pas encore joui. Elle se tourne pour faire un 69. Je reçois sur mon visage toutes sa féminité humide. Je lèche tout ce qui se présente: je la fais toujours jouir.
Quant à elle, ma bite devient un bâton de réglisse qu’elle mâchonne même. Je ne peux que me laisser aller sous sa langue et ses lèvres. Je n’arrive même pas à déterminer l’endroit où sa langue se situe sur ma pine. La seule chose que je sais est qu’elle me fait jouir encore dans sa bouche.
Est-ce que mon amour pour elle a disparu. Pas du tout: je l’aime encore plus: quelques jours après elle aussi avoue qu’elle m’aime: nous passons la nuit ensemble pour des noces avancées. Cette fois c’est moi qui la baise: je me régale dans son con.

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