Ma Première Fois À L'Hôtel 2

Je ne pu m'empecher d'avoir un début d'érection à la vue de ce corps qui me présente des hanches aussi large que celles de Cherokee la star américaine de films x, une V bien en chair comme je les aime et de surcroit rasé. Je m' approchai de Marie comme un belier attiré par une feuille verte et sans mot dire, commence par l' embrasser. Que c'est bon de sentir sa langue dans ma bouche. Ces lèvres sont de véritables fruits de plaisir. Je mit ma main droite dans son décolté pour m'ocuper de ses lolos tandis que la gauche prit le chemin de ses cheveux. Qu 'est-ce que sa peau est bonne à toucher ! Je lui donne maintenant des baiser au cou, elle ne reste pas indifférente et me caresse les oreilles. Je lui enlève son décolté et ce qui apparurent doublèrent mon exitation. Je lui fit signe de monter sur le lit. Ce qu'elle fit. Je montai aussi et ne perdit pas le temps pour retrouver la douceur de ses seins. Ma langue s'attaqua à son auréole mamaire droit sur lequel, je fesait des cercles avant que ma bouche n'engloutisse ses mamelles. Durant ce temps , ma main gauche s'occupait de son côté de l'autre sein par des caresses qui ne laisse pas indifférente ma bénévole qui me caresse le dos tout en laissant échapper son plaisir. Ma main droite quand à elle ne perdait pas de temps pour caresser son bas-ventre et son pubis aussi lisse que la peau d'un nouveau né. Marie me demanda de me lever, ce que je fit aussi vite qu'un boa saisissant sa proie. Marie me coucha sur le dos et monta sur moi. Sa langue infiltra ma bouche et elle commence par me rouler une perle au momemt oú ces mains me parcourait la poitrine. Elle me pinça subitement le téton droit puis je sentit sa bouche quitter la mienne pour se poser sur le téton pincé. Elle me le suce si bien que que je fut traversé par un frisson. Elle me sourit et me dit:
- Je vois que je te fait du bien comme tu m'en a fait tout à l'heure.
La seule chose que je réussi à faire est de répondre à son sourire.

Je vois maintenant son visage prendre le chemin de mon entre-jambe et je vois une main se saisir de ma braguette et ouvrir ma fermerture éclaire. Je sentit la chaleur de sa paume sur mon boa qui doubla de taille. Marie me branlait avec douceur faisant accen mon désir. Elle se lêve maintenant puis m'enlève mon pantalon et mon boxer. Je me dé charge de ma chemise dont les boutons étaient défaits quelques minutes auparavant par ma branleuse aux doigts de fée puis me recouche. La meuf aux larges hanches recommenca sa branlette mais avec plus de vigeur. Elle serra ma bite un peu serré à la base puis descendit la tête sur la bête. Je sentit ses lèvres glisser doucement sur ma bite puis, une main toucher mes couilles et les caresser. Ce traitement amplifie mon plaisir ce qui me fit mettre une main dans les cheveux de Marie et défaire sa queue de cheval. Marie accentue maintenant ses vas et vient s tout en léchant de temps en temps la tête du boa. Qu'elle pipe d'enfer me fait cette meuf! La vue de ses lèvres allant et revenant sur mon membre m'exitait tant. Ne pouvant plus résister d'ici peu à ce traitement, je tente de m'y soustraire et je réussi.
- Viens m'embrasser! Aussi tôt dit aussi tôt fait. J'en profite pour la retourner et attaquai ces nichons, jeux de langue, jeux de caresses, sucons, téton entre lèvres tantôt, téton pincé aussitôt, Marie ressemble maintenant à une femme en chaleur, très en chaleur. Ces gémissements m'encourageaient à faire d'avantage; Ce qui me dirigea à mettre la main à la cave. Je me déplace plus en bas pour bien faire le boulot . Je prit tout d'abord le temps de caresser son pubis lisse de ma main gauche; Ce qui emmena Marie à ouvrir ces jambes. Je n'en crois pas mes yeux. Cette nana n'a pas une fente entre les jambes mais plutôt un boulevard. Sa raie était aussi longue que la fermerture éclaire de mon pentalon et dégoulinait de jus. Je mit mon pouce droit contre son clito et entamai des cercles après l'avoir lubrifié de cyprine . Marie ne put s'empêcher de laisser un pétit crie.
Je me permit d'y conssacrer quelques minutes. Marie à présent ne gémissait plus mais miaulait. Tout en continuant les cercles, j'introduit mon doigt le plus long tout doucement dans la grotte. Oh! La vache, qu'est-ce qu'elle est chaude et humide cette grotte! L'entrée de ce doigt fut comme un coup de canon chez ma gourmande qui commence à onduler des reins et me supplie de mettre ma tige en elle. J'arrêtai les cercles, sortit mon doigt et donnai une tape sur le mont de Vénus puis mi aussitôt plus un mais deux doigts dans la cave à Marie. Elle me réclame encore plus. Mes doigts rentraient et sortaient de Marie comme un piston dans un cylindre. Je les lui mettait tout en prenant soin de toucher son bouton rose avec mon pouce. La donselle qui ne se retient plus depuis quelques minutes, rallant comme un moulin, commence par jouir sous mes doigts avec cris et hurlements. On aurait été chez moi que je serait obligé de lui baillonner la bouche. La nana a un orgasme hors du commun, la cyprine coulait comme une cascade, elle commence par taper sur le lit. Soudain, je reçu un jet aussi rapide que violent au visage; Mamamiya! la gonzesse était une femme fontaine. Ayant déjà eu droit à un tel phénomène assez sexy avec une amie, je continuait de plus belle pendant que la nana essaie maintenant de me dégager d'elle. Je dú enlever plusieurs fois ses mains qui tentaient de faire sortir mes doigts. Je sentit son corps vibrer et se blottir contre moi puis dans un mouvement d'abandon synchronisé avec un hurlement strident, Marie m' offrit un second orgasme aussi violent que dévasteur; ce qui fit de moi, un mec en cyprine. Je fit sortir mes doigts, carressai de mon pouce son clioris une dernière fois et prit la direction de la chambre de bain, oú je prit un bain afin de me défaire de tout ce jus intime qui coulait sur mon visage. Après quelques secondes dans la douche, je sortit et vit Marie écroulée sur le lit comme je l'avais laissé avant d'entrer dans la douche. La vue de cette meuf étendue sur le lit, cuisses écartées, nibards en l'air, les yeux à demi clos, redonna de la vigeur à mon dard, je m'approchai de mon pantalon, le prit, en sortit les capotes, habilla mon sabre de chair d'un, prit un morceau du chocolat que j'avais laissé à mon entrée dans la chambre sur la table de service et en veillant conquérant prit le chemin de la gloire charnelle, loin des problèmes de ce monde, sans une pensée pour ma meuf ni songer au titulaire de la grotte, son Joseph ou si vous voulez son mec.
Je m'en vais ainsi croquer le fruit défendu de Marie, la bien fendue
La suite vien

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