Le Baisodrome - Dévergondages 08
LE BAISODROME - Dévergondages 08
Lors dun récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
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« La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux. » Honoré de Balzac
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime dun chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle le retrouve incidemment dans un restaurant où elle dîne avec son mari et sa fille, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes du restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain 10H, lui précisant ses instructions, il la veut sans sous-vêtements quand ils ont rendez-vous ; pas de soutien-gorge ni de culotte.
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Dans laprès-midi, après avoir récupéré les vêtements, ainsi que les deux sacs de voyage, dans lesquels ils ont été rangés, le couple se dirige vers lappartement prévu pour servir à réceptionner justement cette garde-robe.
En prenant le cours Georges Clémenceau, après la place Gambetta, Edmond tourne à gauche, juste après les dix hectares du Jardin Botanique, sengageant dans la rue dAviau, puis, tout de suite à droite dans la rue Ernest Godard, en longeant les archives départementales de la Gironde. Au bout de la rue, il sengage à lintérieur dune grande place ronde. Des arbres et des candélabres à lancienne sont disposés autour de cette place dénommée Mitchell ; les immeubles anciens se répartissent en un à trois étages au plus. La Mercédès se gare dans le créneau, dun des nombreux emplacements se trouvant tout autour de la place. Il faut vraiment savoir en sengageant dans la petite rue qui fait face au Jardin Botanique, que cette grande place existe, enchâssée entre les immeubles.
Edmond descend et vient ouvrir galamment la portière de sa passagère. Celle-ci, qui a enfilé la jupe très courte et évasée que vient de lui acheter Edmond, ne peut que déployer ses cuisses, et même un peu plus au regard dEdmond et de deux passants qui se trouvent là par hasard. Surtout que le notaire la retient par un bras lorsquelle vient de poser son pied droit sur la chaussée. Au lieu dun rapide mouvement de ses jambes, elle se trouve immobilisée, les cuisses largement écartées et le minou bombé, exposés aux regards incisifs des trois hommes. Malgré la honte qui la envahie depuis les essayages, Odile sent encore une fois son abricot shumidifier malgré le rouge qui envahit ses pommettes.
À ce moment, Edmond lapostrophe :
- Eh ! Bien ma chère, vous rêvez. Voici limmeuble qui mappartient, il date du début du XXe siècle et ne fait que deux étages, mais il a un grand avantage, il possède deux garages pour le premier et le second étage. Allons voir lappartement du premier.
En montant lescalier, Edmond qui se trouve derrière elle, glisse ses mains sous sa jupe et enveloppe ainsi les globes charnus des fesses nus quil triture sans vergogne. Odile ne peut se soustraire aux agissements du notaire, qui en profite, écartant les poils de la toison pubienne, pour glisser ses doigts dans la fente entrouverte, trouvant aussitôt la mouille qui déborde déjà des lèvres vaginales. Arrivé sur le palier, Edmond dégrafant sa braguette et sortant son vit prestement, retrousse la jupe dOdile, il la fait se pencher en avant dune forte poussée, puis, sans coup férir, il enfile son pieu entre les fesses de la trop prude Odile qui na même pas le temps délever des protestations.
Dans cet immeuble bourgeois, elle est paniquée à lidée que quelquun pourrait descendre de létage supérieur. Elle se retient sur la porte de lappartement quelle sait vide, puisque cest celui quEdmond veut lui faire visiter. Sa jupe relevée entièrement jusquà sa nuque, révèle, elle en est bien consciente, une partie de son dos nu, mais surtout ses fesses, ses cuisses et le vit dEdmond engagé dans sa vulve dont les lèvres sont retroussées au maximum. Malgré la peur et lhumiliation de sa position, Odile sent le plaisir monter dans son ventre, progresser jusquà la pointe de ses seins, durcis par lexcitation et une vague de jouissance la saisit, la faisant gémir jusquau hurlement final, lorsquEdmond lâche son foutre tout au fond de la matrice dans un « Han », vigoureux.
Prestement, celui-ci se rajuste et ouvre la porte de lappartement. Odile, encore confuse et rougissante, rabaisse sa jupe et regarde la pièce où elle vient dentrer. Ses jambes sont très flageolantes et elle sent le sperme mélangé à sa miction qui sécoule entre ses cuisses, la rendant très mal à laise.
Dans ce vieil immeuble, les travaux quavaient fait effec le vieux notaire semblaient inconcevables. Sur une surface dau moins cent mètres carrés, il avait de toute évidence fait abattre toutes les cloisons de cet appartement de quatre ou même cinq pièces, pour en faire un loft très moderne en comparaison de la façade ancienne de limmeuble. Cet espace possédant une seule cloison au fond de la pièce, où une porte coulissante donne sur un minuscule WC et de lautre côté, sur la salle de bains assez vaste avec le même genre de fermeture. De lautre côté, à lentrée, un bar-cuisine à laméricaine qui se ferme par un rideau à enrouleur commandé électriquement. Sur le mur face aux six fenêtres, un mur bibliothèque et multimédia revêtu de teck, dans lequel se dissimulent des placards et un dressing dont les ouvertures paraissent invisibles. Un grand lit rond, rempli de coussins multicolores, avec un baldaquin permettant de le fermer entièrement ; deux canapés et deux fauteuils en cuir, une table ovale pour quatre personnes et les chaises baquets assorties. Tous ces meubles de couleur blanche, ainsi que le cuir des canapés.
Odile est très surprise de la modernité de cet appartement, vis à vis de la vieille bâtisse au demeurant ; elle demande au propriétaire des lieux, la permission de se rendre à la salle de bains, car elle ne se sent pas toute fraîche. Bien quEdmond lait vue toute nue et quil vienne de la pénétrer, cul nu et en levrette sur le palier, elle senferme dans la salle deau et se déshabille. Elle sait quelle peut se changer, puisque dans le coffre de lautomobile dEdmond, il y a, dans les deux sacs de voyage, un nombre incalculable de vêtements et de sous-vêtements coquins quil a achetés pour elle.
- Auriez-vous la gentillesse Edmond, de mapporter les vêtements que vous avez eus lamabilité de macheter, afin que je puisse mhabiller décemment, car mes bas sont immettables et ma jupe est bonne pour le pressing.
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- Mais bien sûr, ma Chère. Voulez-vous, en mattendant, nous servir du champagne que vous trouverez dans le réfrigérateur.
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Odile sexécute, surprise de trouver des boites de foie gras, de caviar et de mets fins sous vide dans le réfrigérateur, ainsi quune douzaine de bouteilles de champagne Crystal de chez Roëderer, qui rafraîchissent avec du Gewurztraminer et dautres vins blancs dAlsace. Il y a aussi, dans les placards une vaisselle précieuse et des verres adéquats. En fait, lappartement destiné à servir de garde-robe à Odile, est parfaitement fonctionnel et servira, selon toute apparence de, disons le vulgairement, de « baisodrome », à lusage du vieux notaire, recevant sa proie consentante aux pires dépravations pense-t-elle
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LorsquEdmond revient avec les deux sacs de voyage, le couple sable le champagne pour fêter loccupation du loft par Odile. Ensuite, les deux amants rangent les vêtements et les accessoires dans les penderies. Puis, le notaire demande à sa maitresse de se mettre entièrement nue il la prie de se mettre sur le lit rond dans différentes positions, pendant quil la prend en photo, dans des poses plus pornographiques quérotiques. Odile se laisse faire, tout de même excitée en songeant quelle est une actrice se faisant photographier dans toute sa beauté mature de femme désirable (quelle femme, une fois sa pudeur primaire envolée, nest-elle pas flattée de se savoir admirée sous lil dun photographe qui sait sy prendre ? Je nen connais aucune).
Puis, Edmond, choisit dans les placards, un mini corset laissant les seins découverts dune couleur mauve quil lace très serré dans le dos de sa proie, à présent docile. Il lui demande de sagenouiller sur le lit, de se pencher en avant et de tenir ses fesses les plus ouvertes possible avec ses mains. La pauvre Odile sexécute, ne comprenant pas ce que son tourmenteur va lui faire subir. Soudain, elle entend le déclic de lappareil photo, soulagée que cela ne soit que cela.
Pourtant, Edmond nen a pas fini avec elle. Après avoir pris un certain nombre de clichés de la femme dans cette position humiliante sur le côté, puis, devant et derrière, il vient présenter un coffret de maroquin rouge devant les yeux dOdile qui peine à comprendre à quoi servent les trois objets métalliques ovoïdes, rangés sur du satin plissé, de couleur rouge également, au fond du coffret.
Edmond regarde Odile dun air goguenard, puis, sans autre forme, il lui annonce.
- Ma Chère, voici trois rosebud argentés qui sont le nec plus ultra des plug anaux. Bien que vous soyez à mon avis une oie blanche, vous ne pouvez ignorer quil ny a pas que le vagin quune bonne verge peut pénétrer, mais quil y a un autre endroit, votre adorable lune, votre postérieur ou votre rectum, appelez-le comme vous voulez.
- Je vous en prie Edmond, taisez-vous, vous allez me dire des choses effroyables
- Je ne peux vous cacher que mon intention est de vous initier à la sodomie. Rassurez-vous, ce nest pas pour aujourdhui. Par contre, je vais vous introduire le plus petit, le T1 de ces magnifiques objets dans votre joli et trop petit trou du cul, pour vous habi progressivement à supporter le membre que je veux introduire dans votre rectum. Vous le garderez jusquà ce que vous alliez dormir ce soir, et je veux que vous le remettiez demain matin, et pendant six heures minimum chaque jour. Dans une semaine, nous essaierons le modèle T2.
Tout en devisant, Edmond sest déplacé vers les fesses quOdile tient toujours écartées avec ses mains crispées. Il lui appuie sur le dos afin que sa tête touche le drap, et que son cul soit bien dressé et plus à sa hauteur. Il admire la raie culière dans laquelle un fin duvet brun ourle la rondeur des fesses bien pleines. Prenant du gel dans un tube quil a apporté également, il enduit le tour de la rosace plissée de lanus de la belle mature. Celle-ci ne peut sempêcher de laisser couler des larmes sur son beau visage ; la honte de devoir tenir ses fesses écartées, pour que son derrière soit parfaitement accessible au regard et aux doigts de son tourmenteur.
Edmond ne perdant pas de temps, introduit son majeur enduit de gel dans lil de bronze qui se laisse violer facilement, il ressort son doigt et prenant encore un peu de gel, il en introduit dans le goulet étroit, ramonant la gaine rectale en appuyant sur la paroi vaginale.
Pour tranquilliser sa victime, il flatte de son autre main la vulve gonflée et entrebâillée par lécartèlement des fesses, et il fait glisser deux doigts dans le vagin dont les chairs frémissent sous les attouchements libidineux. Odile ne peut retenir un gémissement. Ses sens sollicités par les doigts qui sagitent doucement dans les deux cavités, plongent dans une onctuosité qui ne laisse aucun doute sur son émoi. Elle mouille et gémit de plus en plus.
Puis, Edmond prend délicatement le rosebud dont la couleur argent lance des éclats dans la pièce à léclairage diffus. Il lenduit dun peu de gel et le présente devant le délicieux petit anneau de Vénus. Le gel a assoupli la rosette plissée, tandis que le cylindre ovoïde sintroduit sans écorcher le moins du monde les sphincters ; le culot décoré dun rubis, venant se caler contre le trou du cul et formant ainsi un bouchon.
Edmond est passablement excité depuis quil joue avec sa proie dans lappartement et ne pouvant plus se retenir, il retire prestement son pantalon et son boxer, et, sans coup férir, il plonge jusquà la garde sa queue dure comme du bois dans la chatte dOdile. Celle-ci pousse un hurlement sous la violence de lassaut, surtout que la bite qui vient denvahir son vagin fait une pression incroyable sur le rosebud qui occupe son croupion.
- Ah ! Mon Dieu, vous méventrez Edmond ! Arrêtez ! Je vous en supplie !
Mais ses protestations ne durent pas. Elle continue à crier, mais, cest à présent de la jouissance quelle ressent, car tous ses sens sont sollicités. Elle a oublié sa peur dêtre vulgairement enculée, car le bâton de chair, ainsi que lolisbos en acier qui viennent denvahir ses entrailles les plus intimes ne lont pas éventrée. Déchaînée, comme une vulgaire putain, elle projette son cul au-devant de la pine qui la comble de toute sa vigueur tout en hurlant sa jouissance.
Le notaire se vide dans la matrice engluée de foutre et de cyprine, alors que la pauvre Odile qui nen peut plus, sécroule sur le lit, complètement épuisée. Elle sendort presque instantanément, son corps et son esprit ayant subi bonheur et douleur mélangés au plus haut degré.
Le notaire se relève. Il prend une douche, remet de lordre dans lappartement. Puis, il écrit un mot à Odile pour lui dire quil la laisse se reposer. Elle a les clés de lappartement et il y a une station de taxi à cinquante mètres pour quelle puisse récupérer sa voiture.
LorsquOdile reprend conscience, après avoir dormi presque deux heures, elle se réveille difficilement dans ce loft quEdmond a mis à sa disposition. Enfin plus à lui dailleurs, car elle a bien compris que cest à cet endroit quelle devra se plier à tous ses caprices. Soudain, elle ressent lobjet métallique de forme elliptique qui occupe son postérieur. Elle a dabord la tentation de le retirer dans un sursaut de dégoût, puis, elle se rappelle que le notaire lui a ordonné de le garder jusquau moment où elle devra se coucher pour dormir.
Déjà, dans le contexte de ce quelle pressent comme sa soumission, elle sursoit à son éjection. Puis, elle lit le billet dEdmond, elle se fait couler un bain chaud et se détend en réfléchissant à ce qui vient de se passer. Elle sait que sa vie est à présent définitivement différente de ce quelle a été jusquici. Elle se doute que le notaire va certainement lentraîner dans des situations, toutes plus perverses les unes que les autres. Elle sait quil va prochainement la sodomiser. Elle nose même plus songer à ce quelle a toujours pensé de cet acte infâme, considéré comme contre nature. Le doigt dEdmond dans son cul et lobjet en acier quelle vient de retirer pour le nettoyer et prendre son bain, ne lui ont pas été désagréable.
Elle ne peut nier quelle a joui énormément à la verge qui pénétrait son minou en même temps que le rosebud occupait son anus et quelle en a hurlé de bonheur. Elle se demande comment elle réagira lorsque le gros membre du notaire essaiera de sintroduire dans son petit endroit. Elle en a une peur bleue, mais en même temps, une curiosité malsaine la tenaille
À suivre
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