Margot

Je connais depuis mon enfance celle qui est dans mon lit ou plutôt dans le lit conjugal. Nous faisions l’amour dès notre jeunesse. Nous avions 16 ans à l’époques. Ca avait commencé par des descriptions de nos masturbations, puis classiquement par des caresses devant l’autre et enfin les caresses données à l’autre et finissant par des 69 que nous aimions bien. La vie nous a séparées, chacune a suivi son destin. Margot est restée célibataire portée sur les femmes et moi je suis tombée follement amoureuse de mon mari.
Nous nous sommes revues par hasard un après midi. Je lui ai demandé de venir à la maison. Elle a évoqué perfidement nos souvenirs, surtout ce qui me plaisait beaucoup, les 69 entre nous. Margot m’a excitée volontairement pour que je puisse recommencer au moins une fois avec elle. C’est pourquoi nous sommes couchées ensemble.
Je ne regrette pas ce que nous faisons, elle a beaucoup amélioré ses façons: elle m’a appris des détails qui font qu’un séance se transforme en œuvre d’art dont le corps se souvient longtemps.
Nous n’espérons qu’une chose: que mon mari de nous surprenne pas. Il y a peu de chance, il est en tournée jusqu’à demain soir. Je ne craints pas qu’il me gronde, ce n’est pas son style, j’ai peur simplement qu’il s’en prenne à Margot en la mettant dehors. Il connait mon passé de lesbienne: nous n’en parlons jamais.
Je me trouve bien près d’elle, nue comme elle avec une main sur son ventre et son bras autour de mon cou. Je trouve qu’elle est encore plus caressante qu’avant.
- Tu as eu beaucoup de filles ?
- Après toi, bien sur. Je ne baise que des femmes et je me branle souvent.
- Moi aussi je me branle.
- Et ton mari sait que tu te touches ?
- Bien sur, il aime me voir faire: il se le fait aussi devant moi. C’est excitant de le voir avec sa main autour de sa bite qui va et vient. J’aime voir son sperme sortir du méat, gicler bien haut, des fois sur moi.
- Tu as des jouets ?
- Bien sur je m’en sers quand je suis seule, sans sa bite.


- Tu aime de faire baiser par cet homme ?
- Bien sur, c’est agréable.
- Et avec moi ?
- Ce n’est pas pareil, tu es une femme.
Je finis cette phrase quand la porte de la chambre s’ouvre, Victor est rentré. J’ai peur de la tornade, de sa vengeance. Il nous regarde, surtout moi, il examine le corps de Margot.
- Elle est pas mal ta copine, tu aurai du me dire que tu la voyais.
- Ce n’est pas ce que tu crois.
- Bien sur je te vois nue à coté d’une autre femme et ce n’est pas ce que je crois.
- Nous venons de nous retrouver tout à l’heure et nous nous sommes excitées tellement que nous avons baisé.
- Alors je dois faire quoi, une croix sur notre amour, sur nos baises. Tu veux sans doute que je la lui mette au cul ?
Margot se mêle à la conversation:
- Pourquoi pas, j’aimerai bien que vous me la mettiez au cul, j’aime aussi.
Victor est désarmé, désarmé et excité. D’abord voir sa femme avec une autre ne le laisse pas indifférent ensuite l’acceptation de Margot. Il sort de la chambre pour y revenir 2 minutes après totalement nu, la bite bien droite. Il s’assoit à coté de Margot, l’embrasse sur la bouche. Je peux voir leur deux langues s’enrouler dans leur bouches. Une main de Victor caresse, comme il me le fait, c’est-à-dire très bien les seins de mon amante. Je vois que la main de Margot prend la bite de mon mari. Elle ne le branle pas: elle la tâte simplement depuis les couilles jusqu’au gland.
Le baiser achevé, Victor se lève pour se mettre entre nous. Il m’embrasse aussi. Sa caresse sur mes seins me mets dans tous mes états. Margot se tourne pour venir poser sa main sur ma chatte. C’est agréable d’avoir la main de son mari sur ses seins, sa langue dans la bouche et la main de mon amante sur mon sexe. Je mouille terriblement. Victor sait ce que me fait Margot: il la laisse me donner du plaisir. Quand je jouis, il fait mettre Margot en levrette, lui crache sur l’anus, en venant derrière elle.
Il me demande de diriger sa bite vers le petit trou de ma copine, ce que je fait en étant excitée par mes mouvements. Je me mets à genoux et pour mettre en place la queue et pour voir surtout une bite faire son entrée dans un cul. Quand il me sodomise, je ne peu jamais voir comment il fait. Je la vois entrer très lentement, l’anus s’ouvre doucement: Margot pour le moment ne dit rien; elle serre les dents. Quand l’anus et grand ouvert la bite entre facilement. Je vois les couilles toucher les fesses. Enfin Margot s’exprime:
- Il y a longtemps que je ne mettais pas fait mettre comme ça.
- C’est bon au moins ?
- Pas au début, maintenant oui, c’est bon!! Viens sous moi pour que nous fassions un 69.
- Fais ce qu’elle te demande.
Ce que Victor veut je le fait d’autant plus que j’aime bien ça. Avec lui c’est aussi bon, sauf que j’ai une queue dans la bouche et du sperme ensuite, alors que là j’ai un vagin et de la cyprine. Je m’installe vite pour avoir sa langue dans ma chatte. Pour aller sur la sienne je passe sous les couilles de mon mari. Je vois de très près les allers et venues de la pine dans le cul. Je suis obligé de suivre les mouvements du cul de Margot. Nous gémissons tous, y compris Victor que ne le fait jamais. Je vois sa queue quand il a un orgasme. Il sort des fesses de Margot, je ne sais pourquoi j’ai envie de le sucer. Il reste à genoux derrière les fesses de Margot, sa bite est un peu plus basse: dans ma bouche. Outre le gout de son sperme je sens un autre gout, celui d’un cul.
Victor va chercher mes jouets et choisit celui qui convient. J’ai un gode double dont je me sers pour les doubles pénétration quand je suis seule, sinon, il m’encule et je me met un autre gode dans la chatte.
Il nous fait installer sur le lit, presque fesses contre fesses. Il entre un bout du gode dans chaque vagin. Quand il nous l’a mis à chacune, il le prend en main pour faire les mouvements d’une baise normale. Il avait débandé après la sodomie, il commence à bander à nouveau.
Il m’enjambe pour me donner sa bite: il continue à nous baiser avec le gode. Je tiens sa queue dans ma main, la mordille tout le long de la colonne et enfin la léche avant de l’avaler. Il ne peut pas savoir le plaisir que j’ai d’avoir son sexe dans la bouche: je le domine complètement. Ma langue lèche le gland et mes lèvres l’entoure. Je les fait coulisser autour de sa bite, j’attend avec impatience l’éjaculation. Quand elle arrive je la garde en bouche un bon moment pour déguster son sperme que je sirote.
Je ne pensais jamais que Victor accueille Margot de cette façon. Quand à Margot elle m’a faite marcher: elle n’est pas lesbienne, elle n’est que bi, comme moi. Ayant été démasquée, elle ne veut plus nous voir, sauf que Victor trouve qu’elle baise bien; elle vient à la maison les nuits qu’elle veut.

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