La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 485)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°484 - L’ivresse de l’abandon -

Mais soumis compelled MDE ne resta pas dans cet état d’extase et d’euphorie très longtemps. Le Maître le rappela à l’ordre par une volée de coups de cravache sur les cuisses.

- Comment oses-tu chienne lubrique, te prélasser ainsi, avant même d’avoir remercié Monsieur le Comte, et avant même que tu sois autorisé à prendre tes aises !

Le ton était sévère, grave et tout autant cinglant que les coups portés.

- Viens te prosterner devant Monsieur le Comte, vient le remercier et lui baiser les pieds !

Honteux, sans mot dire, le soumis MDE avança rapidement à quatre pattes et exécuta à la lettre les ordres reçus du Maître. Il reçut encore quelques coups de cravache sur son cul relevé, puis d’instinct, il se positionna à genoux, tête basse, bras croisés dans le dos. Il fut attrapé par son collier, redressé et conduit à quelques pas d’ici, tout près d’un tronc d’un pin à moitié couché. Il fut placé au travers de ce tronc, le ventre appuyé sur cette écorce rugueuse, puis attaché, chevilles et poignets ensemble par le Maître avec l’aide de Monsieur le Comte.

- Ce chien va réfléchir ainsi à ses lacunes et ses inadmissibles erreurs ! Lança le Maître

Lui et Monsieur le Comte partirent, laissant là, l’esclave MDE dans cette posture autant humiliante qu’inconfortable. Combien de temps resta-t-il ainsi ? Longtemps, très longtemps… Certes la position était pénible, le souffle court car en appui sur son ventre, des crampes dans ses membres et ces mouches qui venaient courir sur ce corps offert, rendait la situation difficile, mais cela n’empêcha pas soumis compelled MDE à se consacrer à la méditation. Il était là par sa faute, uniquement parce qu’il n’avait pas respecté les règles de bases de l’esclave. Comment pourrait-il devenir celui qu’il souhaitait être sans cette autodiscipline qu’il devait en tout temps s’imposer ? Bien plus que l’inconfort c’était plus son égarement qui le troublait, un vrai malaise !

Perdu dans ses pensées, il vit arriver à grands pas Alberto, avec une sacoche en bandoulière.

Il passa derrière lui, sans plus de préambule lui écarta les fesses, posa une noix de lubrifiant sur son anus, glissa un doigt dans son fondement, puis un second. Il les fit aller et venir arrachant au soumis MDE, sans qu’il puisse les retenir de faibles gémissements de plaisir. Le soumis MDE se sentit s’ouvrir sous la poussée des doigts que perfidement Alberto prenait plaisir à écarter. Puis l’esclave MDE sentit poser sur son anus un objet au bout arrondi rendu glissant par le gel dont il était enduit. Doucement il poussa l’objet au fond des entrailles du chien. Il eut un tressaillement quand il sentit la partie bombée de l’instrument forcer l’entrée de son trou, mais point de douleur, l’objet glissa sans problème au fond de son ventre et y prit place. L’esclave eut une sensation d’écartement qui lui fut agréable, d’ailleurs il poussa un long soupir, il sentit sa queue se tendre et mouiller d’excitation. Insensiblement la sensation de dilatation augmentait, soumis compelled MDE comprit qu’il avait dans le cul un gode gonflable. Lentement, inexorablement le gode prenait du volume en lui et le dilatait exagérément. Il eut l’impression que son cul s’ouvrait démesurément. Alberto détacha le soumis MDE et le fit mettre debout. Maladroitement il se redressa, incapable de resserrer les cuisses et sa démarche fut fastidieuse, humiliante et obscène, le cul rempli rejeté en arrière, avec cette pompe qui lui pendait d’entre les cuisses. Il fut emmené debout, mains croisées dans le dos, près du Maître confortablement installé nu dans un transat au bord de la piscine.

- Approche chien, vient me pomper salope comme tu sais si bien le faire. Et si tu t’y prends suffisamment bien, tu auras le privilège d’avaler ma semence !

L’esclave MDE dut se mettre à quatre pattes, non sans mal, il prit le sexe encore flasque du Maître en bouche. Très vite, son phallus prit un beau volume, long et épais, il s’adaptait maintenant parfaitement aux contours des lèvres de soumis compelled MDE.


- Plus loin salope, enfourne-la tout entière ! Ordonna le Maître tout en plaquant d’un geste brusque la tête de Son esclave contre son ventre, tout en augmentant, d’une pression sur la pompe, la taille du gode qui l’enculait toujours.

Soumis compelled MDE sentit la bite dure du Maître heurter le fond de sa gorge, il eut un hoquet incoercible qui lui fit monter les larmes aux yeux, mais il continua à sucer, à s’appliquer. Il fit glisser sa langue le long de la hampe dure et tendue par une formidable érection, la fit tourner autour du gland turgescent. Il l’aspira, la suçota, l’avala et la lécha encore jusqu'à ce que cette impérieuse queue se mette à palpiter. Le soumis MDE accentua le mouvement de va et vient alors que le Maître augmentait graduellement la taille du gode fiché dans son cul. Pris par ses deux trous, soumis compelled MDE éprouva alors une sensation de plénitude absolue, alors sa bouche se fit encore plus profonde, plus gourmande. Il la prenait maintenant tout entier, s’activait encore. Le Maître ondulait son bassin pour encourager Son chien, faisant battre ses couilles contre le menton de Son esclave. Et puis… soudainement, soumis compelled MDE sentit les jets de sperme gicler, chaux et onctueux au fond de sa gorge. Il éprouva dans tout son corps un élancement, presque douloureux, tant il était intense de plaisir. Avec délice, tel un présent, le soumis MDE avala la douce liqueur que le Maître avait bien voulu lui donner

Le Maître joua encore un moment avec le cul de Son esclave, il dégonflait le plug, pour le regonfler encore, lorsqu’arriva Monsieur le Comte. L’esclave MDE en levrette se fit caresser les fesses par le Noble espagnol. Le plug fut dégonflé, mais pas totalement. Le Maître ordonna à Son chien de l’expulser. Bien difficile pour lui de satisfaire l’ordre reçu. Il décontracta ses sphincters tout en poussant. Le gode ne bougeait pas d’un iota.

- Pousse salope, comme si tu voulais déféquer.

Alors de toutes ses forces soumis compelled MDE contracta ses abdominaux et poussa.
Belle humiliation…. Il sentit enfin glisser l’objet, il l’éjecta avec force. Son anus avait été tellement dilaté que son trou ne se referma pas. Monsieur le comte en profita pour y glisser un de ses index, il le fit tourner tout autour cet anneau distendu et constata effectivement l’élasticité de cette couronne intime.

- Beau travail Monsieur le Marquis, Votre chien ne pourra que vous remercier de ce délicieux traitement lorsque son cul prendra de belles et grosses pines !

Monsieur le Comte était en très grande forme cette fin d’après-midi. Il tenait en main un objet en bois qu’il tendit à Monsieur le Marquis

- Vous connaissez peut-être cet instrument, une sorte de joug que l’on fixe aux couilles. Il oblige celui à qui on le met de rester à quatre pattes ou accroupi. C’est très humiliant et pratique pour maintenir un esclave à sa place !
- Oui je connais bien cet instrument, un humbler, n’est-ce pas ?
- Nous pourrions maintenir Votre esclave ainsi tenu par les couilles le temps d’un petit bain, ne croyez-vous pas cher Marquis ?
- Oui, l’idée me parait intéressante.

Alors sans perdre un seconde de plus, Monsieur le Comte attacha les mains dans le dos de soumis compelled MDE, puis installa l’instrument sur ses couilles. Fait en bois et composé de deux parties légèrement creusées au centre, formant un orifice en juxtaposant les deux parties, les couilles de l’esclave MDE furent insérées dans ce trou, les enserrant et les tirants vers l’arrière. Monsieur le Comte attacha une corde à l’objet et fixa l’autre extrémité du lien à un anneau métallique tenant dans le muret. Effectivement, soumis compelled MDE ne pouvait ni se relever ni trop bouger, il patienta de longues minutes ainsi, tête posée sur le sol, cul relevé, couilles entravées. Il resta ainsi assez longtemps, durant toute la baignade des Maîtres… Et lorsque Ceux-ci sortirent de la piscine, ils s’approchèrent de soumis compelled MDE, lui pissèrent dessus, l’arrosèrent copieusement et le laissèrent mariner dans ces urines encore un long moment attaché, humilié et tremblotant.


La journée avait été longue pour soumis compelled MDE, jamais il n’avait vécu de telles expériences, de telles souffrances, mais aussi et surtout pour lui, de tels plaisirs masochistes si intenses, si forts mentalement et physiquement. Il pensait s’être débarrassé, une bonne fois pour toute, de toute volonté en s’abandonnant aux désirs du Maître. Il avait su annihiler sa propre volonté afin d’être libéré de toute contrainte et de jouir de l’ivresse de cet abandon. Mais son plaisir n’était pas personnel et unilatéral, il l’avait partagé avec Le Maître qui était en même temps le professeur, l’éducateur, le dresseur et là était le plus important à ces yeux !

Mais la journée n’était pas encore finie. Qu’allait-on lui réserver encore ? …

(A suivre …)

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