Vanille Chocolat... La Suite !

Bandant comme un taureau, je ne peux résister à la tentation de me lever. Discrètement, j’ouvre la porte qui donne au salon où je peux admirer, dans la pénombre, Muriel installée dans le canapé, cuisses largement écartées, se faire prendre par K. en levrette. Son amant est debout derrière elle, les mains posées sur ses fesses. Son petit cul d’africian, bien lisse et rebondi, fait de lents va et vient vers et j’imagine sa grosse queue fourrer le con de ma belle. Dans la pénombre j'assiste à un spectacle on ne peut plus excitant. Je m’avance à pas feutrés vers le couple; K. se retourne et m’adresse un sourire tout en continuant à limer sa maîtresse.

Et puisque ma salope m’a fait lever à cause de ses gémissements, je me glisse tout à côté d’elle pour l’embrasser tendrement et lui manifester tout le plaisir que je prends à la voir ainsi se faire labourer.

Je lui glisse à l’oreille que je vais me recoucher et que je l’attends avec impatience. Toutefois, elle le sait, elle ira dormir ce soir avec qui elle voudra. Après quelques minutes, j’entends les amants se lever et regagner la chambre d’amis. Le mur qui sépare les deux chambres est équipé d’une fenêtre haute qui est restée entrouverte. Voilà que j'entends ma salope et son amant remettre cela de plus belle au lit. Ma pute personnelle est encore tellement excitée que sa mouille rend bruyantes les pénétrations de son amant. Les mots sont tendres, chuchotés et très excitants. Je sens que Muriel prend un plaisir de dingue et je sais désormais que cette soirée est une réelle réussite.

Au bout d’un moment, je l’entends l’embrasser et lui souhaiter une belle nuit. Ses mots sont doux et chuchotés. K. doit apprécier. Quelques instants après, Mu me rejoint dans notre chambre. Elle sait que j’aime la recevoir avec son string, surtout s' il est souillé et moi, je bande rien qu’à l'idée de la retrouver.

La voilà qui entre dans la chambre à pas feutrés.

Désormais, c’est notre bel africain qui va nous entendre baiser… Elle a enfilé une chemise de nuit légère. Ses seins lourds se balancent en dessous et j’espère qu’elle aura conservé son string noir en dentelle. Elle s’assied sur le bord du lit et glisse sa main sous le drap pour agripper ma queue bien dure. Elle se penche doucement sur moi et commence à m'embrasser. Sa bouche sent le sexe et cela m’exite au plus haut point. J’ai l’impression de partager le goût de la queue de son amant avec elle et j’avoue que j’aime ça.

Toujours assise sur le bord du lit, elle descend avec sa bouche sur mon torse et se dirige de ses baisers vers ma queue. Après avoir pompé son bel africian, c’est à mon tour d’apprécier sa bouche gourmande. Alors que ma chienne me suce tendrement, je glisse ma main droite vers son entrejambes. Victoire, elle a gardé son string ! Deux de mes doigts parcourent le petit morceau de dentelle qui recouvre son abricot. Le tissu est trempé et je commence à farfouiller ses lèvres. Je comprends rapidement que son étalon lui a éjaculé dans la chatte et je sens son sperme chaud mêlé de cyprine. J’hésite à porter mes doigts à ma bouche.

Muriel lâche ma queue et se décide à m’enfourcher. La salope, très discrètement, retire son string trempé avant d'écarter les cuisses sur moi. Elle garde son bout de dentelle en main et vient s’installer confortablement, la chatte collée sur ma queue.

Muriel sait comment m’exciter. J’adore quand elle frotte sa chatte le long de mon membre et que ses lèvres gonflées d'excitation se promènent le long de ma bite; sa chatte est trempée et enduit ma queue d’un jus collant et visqueux.

La salope a gardé son string entre ses doigts et, tout en m’embrassant, glisse le bout de dentelle entre sa bouche et la mienne. L’odeur est forte et enivrante et, ensemble, nous nous shootons à cette odeur de sexes mélangés.

Ma belle se redresse et je peux admirer cette énorme poitrine aux tétons durs d’excitation.
La voilà cuisses largement écartées, chatte collée contre mon chibre à se frotter comme une chienne en chaleur. Ma pute de luxe glisse ses doigts sur son abricot et y entre l’index. Délicatement, elle agrippe ma queue pour la glisser dans sa prune trempée et commence à remuer son bassin par des va et vient très excitants.

Je constate que son étalon noir, en dehors de lu avoir rempli la chatte, la bien excitée ! Ma pute dirige ses doigts gluants vers mon visage. Le bout de ses doigts glisse sur mes lèvres et elle me susurre à l’oreille : suce ! L’odeur forte et prenante de ses doigts me fait tourner la tête. Si je connais bien la cyprine de ma femme, douce et sucrée, je découvre le goût mêlé de son jus avec celui de la semence de son black.

Je sais que Muriel rêve que je lui nettoie la chatte… Et bien, je vais m’exécuter ! De mes mains, j'agrippe ses hanches et fait glisser son bassin vers le haut. Elle comprend rapidement mes intentions et pose ses lèvres vaginales sur ma bouche. Je suis tellement excité que je n’hésite pas une seule seconde à lecher comme un petit chien cette prune chaude et collante. Le goût du sperme de l’amant de ma femme est doux et mélé au jus de ma belle le rend savoureux.

Voilà que ma salope écarte encore plus les cuisses et écrase sa chatte sur ma bouche. Cette pute se branle maintenant sur mon visage en se régalant du spectacle d’un mari complètement soumis. Elle gémit et j’imagine son amant dans la chambre d’à côté se caressant en nous entendant baiser.

Muriel redescend lascivement sur ma queue pour se faire empaler. Son manège m’a bien excité et ma queue est prête à lâcher son foutre. Il ne faudra pas beaucoup de va et vient de ma belle pour que je décharge en elle. Elle est désormais pleine de la semence de son amant et de celle de son mari. Après tout, c’est bien pour cela que nous avons organisé cette soirée.

Nous nous endormons l’un contre l’autre.. Demain matin, j’ai promis à ma femme et à son amant d’aller acheter les croissants… Une belle occasion pour eux de baiser avant que K.
ne nous quitte.

Comme promis, je prends une douche et file chez notre boulanger. Avant de quitter ma salope, je lui rappelle que c’est elle qui ira réveiller K. et, surtout, qu’elle ne profite bien pour se faire baiser une dernière fois.

Je prends un immense plaisir, au volant, à les imaginer baiser tous les deux. Je roule tranquillement à l’aller comme au retour, histoire de laisser les amants prendre leur pied. Je rentre discrètement mais Muriel, très dénudée, s'affaire déjà à dresser la table.
Dis donc, ça n’a pas traîné ce matin !
Non, il était très excité et il n’a pas tenu longtemps me dit-elle en souriant.

Nous prenons un petit-déjeuner tous les trois et discutons des prochaines vacances de K. en Guinée. Sûr que ce coquin va nous manquer !

Ah oui… pour répondre à une lectrice, K. n’enfile pas de capotes quand il baise ma femme… Elle, toujours fertile, prend la pilule du lendemain ;-)

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