Pour Son Plaisir (12)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
12 Lhôpital militaire
Les quelques jours qui me séparent de mon retour de Cambrai et de ma visite à lhôpital ont passé très vite ! Quelques leçons de conduite, quelques cours par correspondance imposés par Jacques et deux soirées qui ont laissé des marques sur les fesses. Cest donc avec les fesses marquées que je me présente à lhôpital militaire pour des examens complémentaires.
Jacques a pris contact avec le responsable. Il sest entretenu longuement avec lui et lorsquil maccompagne à lhôpital, ce lundi matin, cest en me rassurant quil me laisse. Je suis conduit dans une chambre à quatre lits. 2 mecs sont là après blessures lors dentrainement, un troisième est un futur appelé, comme moi. On fait connaissance puis on discute de choses et dautres. La matinée se passe sans quon ne voie personne. Ce nest quen début daprès-midi, après un repas léger que je suis emmené dans une pièce où se trouve une cabine, dans un coin. Je dois y entrer et mettre un casque sur les oreilles. Je dois appuyer sur un bouton à chaque fois que jentends un son. Cest facile, mais ça dure longtemps, trop à mon goût. Presque deux heures après, je suis ramené dans la chambre où je me retrouve seul. Je mallonge sur le lit et jattends. Quand Julien revient il me dit quil est bon pour le service ! Il ira à Pau. Il semble content. Il fait son sac me salue et quitte la chambre. Cest maintenant le médecin qui vient me voir et me dit que compte tenu du test passé, il préfère me garder pour la nuit. Il me dit que jai besoin dexamens complémentaires le lendemain.
- Allez, pas dinquiétude, tout va bien, mais un examen sanguin me semble nécessaire.
- Mais cétait pas prévu ! je nai rien emmené
- Pas grave. Tu laisses tes affaires, on te prête une chemise de nuit.
- Mais
on mattend ! comment je préviens ?
- Cest Jacques ? il est prévenu
- Vous connaissez Jacques ?
- Oui, très bien.
- Son boy ? cest-à-dire ?
Le médecin se met à rire. Il me tend une chemise dhôpital quil me demande denfiler. Je ne dois pas quitter la chambre. Il attend que je la mette et emmène mes vêtements. Je suis à poil sous la chemise, ouverte derrière. Je me remets sur le lit. Quand les deux autres reviennent ils se marrent en me voyant.
- Eh bien ! on a un compagnon de nuit
et plutôt bien foutu !
Ils sapprochent de moi, lun deux me tient pendant que lautre soulève la chemise de nuit.
- En plus, il a la chatte toute nue !
Ils me retournent et voient mes fesses marquées
- Elle a pris du bâton, la coquine !
- Laissez-moi tranquille
- Taimes pas ça
Et tout en parlant, il me plaque sa bouche contre mes lèvres. Jessaie de me détacher mais ils sont deux plutôt costauds. Heureusement, le médecin revient. Ils se mettent chacun sur leur lit. Le médecin me demande de le suivre.
Je traverse un long couloir, le cul à lair ! Jarrive dans une sorte de salle de bain avec une grande baignoire au centre, deux douches sur le mur et face aux douches, deux lavabos. La baignoire est pleine.
- Entre dans la baignoire !
Je vais pour fermer la porte, mais il men empêche. Je retire la chemise de nuit et plonge un pied dans la baignoire. Leau est juste tiède. Je mefforce dy entrer le reste du corps, tout en grelottant. Je lui demande ce quil veut en me faisant prendre un bain.
- Rien de particulier, Cédric ! juste que tu sois propre !
Et il se met à rire
- En fait, je connais bien Jacques. Il ma dit que je pouvais moccuper de toi comme bon me semble ! et cest ce que je vais faire
Je vois alors deux mecs entrer dans la pièce. Ils se déshabillent sans honte et vont vers les douches. Ils saluent en passant devant le médecin et ne font même pas attention à moi. Je les vois se laver, en se paluchant le sexe. Ça me fait bien sûr de leffet et je sens mon sexe grossir, malgré leau pas très chaude.
- Tiens, ta tenue pour la nuit. Demain, lever à 6h, tu viens ici ! Maintenant, dans ta chambre !
Je retourne à la chambre où les deux autres sont en train de discuter. Quand ils me voient entrer ils plaisantent sur moi, ouvertement, à la limite de linsulte. Je les toise un peu, mais pas trop quand même
Je me mets dans le lit, mais ils viennent vers moi. Lun deux me tient fermement pendant que lautre enlève mon caleçon. Il remarque évidemment mes fesses marquées.
- Tiens, tiens, on a fait une bêtise ? on sest fait corriger ? Regarde Anton, il a reçu sa fessée !
- Dis-donc, tas vu sa bite rasée Grégory ?
- Laissez-moi tranquille ! je dois être debout tôt !
- Pas de problème
Si tu ne dors pas, tu seras réveillé, me dit Grégory
Et là-dessus, il mempoigne la bite et la tord dans tous les sens.
- Dis-donc, le PD il est ouvert comme une femme !
Il enfonce plusieurs doigts puis les met à mon nez et moblige à les lécher sinon il me promet une correction. Je mexécute donc
Avec des envies de vomir. Puis ils décident tous deux de menculer. Grégory me présente sa bite à sucer puis la met dans mon cul pendant que je dois sucer celle dAnton. Quand enfin ils ont terminé, ils me laissent tranquille pour le reste de la nuit. Je vais au lavabo pour me nettoyer lanus dégoulinant. Puis je retourne me coucher.
Quand je me réveille, je me demande où je suis, puis je me rappelle que je dois être dans le bureau du médecin à 6 h. Je regarde lheure sur la pendule au-dessus de la porte, il est 6h20 ! je me lève dun bond et je cours au bureau du médecin qui est déjà là. Il regarde sa montre
- Tu es en retard !
- Je sais, je vous demande pardon
- Tu mérites donc une correction !
- Sil vous plait, je me sens pas bien
- Baliverne ! tu viens ici immédiatement !
Le ton est ferme et je mapproche de lui. Il mattache les bras dans le dos avec une corde et me menotte les mains. Puis il me force à mallonger sur ses cuisses. Comme la veille, il me coince la bite entre ses jambes et massène des coups avec la main. Il frappe avec force mais sarrête de temps en temps pour me caresser les fesses. Cette fois, je ne bronche pas, lhabitude sans doute
mais jai très mal
jai les fesses en feu. Quand il arrête, il me demande de rentrer dans un placard. Jy suis très à létroit mais jarrive à me tenir debout, en baissant la tête. Je lentends ensuite recevoir des mecs qui viennent en visite ou recevoir un médicament. Je ne bouge pas
puis je nentends plus rien. Quand le placard souvre à nouveau, le médecin a baissé son pantalon. Il me demande de le sucer. Il éjacule sur mon visage puis messuie avec mon caleçon quil me demande de remettre en suivant.
Cest le soir et cette fois, on nous sert un repas dans la chambre. Le médecin entre dans la chambre. Jai un mouvement de recul. Il sadresse dabord à Victor ; « demain, à jeun, lever 6 heures et dans mon bureau immédiatement ». Puis il se tourne vers moi : « pour toi, on attend les résultats, ça prendra quelques jours, en attendant, tu es mon invité ! » puis il quitte la chambre. Nous continuons notre repas.
- Tu as déjà été dans son bureau ?
- Oui en arrivant, tout à lheure
- Ça sest passé comment ? Ça va être long ?
- Un examen sans plus
- Daccord
moi il me fait peur ce médecin !
- Oh non, il a été plutôt sympa.
Le repas terminé, on ne sait pas trop quoi faire. On discute un peu puis on sort dans le couloir. Je ne suis pas trop fier avec juste un caleçon et une chemise de nuit
On trouve une salle où dautres gars regardent la télé. Ça ne mintéresse pas trop, il y a des mois que je nai pas regardé la TV
Victor mentraîne alors dans dautres couloirs. Il semble connaître les lieux. On arrive dans une salle où il y a des jeux de société et un ordinateur. On joue un moment puis on regagne la chambre. Victor se déshabille. Il se met à poil avant denfiler un pantalon de pyjama. Je remarque sa queue assez impressionnante et qui bande à moitié.
- Tas lair en forme, on dirait ?
- Jai pas baisé depuis une semaine !
- Ta meuf te manque ?
- Tu veux la remplacer ?
Je ne réponds pas à cette dernière question, mais je sens que le garçon timide prend de lassurance.
- Tu veux me sucer ? ça me détendrait
Encore une fois je ne réponds pas, je me mets dans le lit. Cest là que Victor sapproche. Il bande très fort maintenant et sa queue marque bien dans son pyjama. Et, sans pudeur, il vient me présenter sa queue à mon visage
- Allez, Cédric, soit sympa !
Je fais un peu le dégoûté, mais jai tellement envie que je prends sa queue par une main, je commence à le branler puis à le sucer
- Dis-donc ! tes un expert ! mieux que ma meuf !
Flatté, je continue. Puis il se retire et relève mon drap. Il me baisse le caleçon, voit que je bande.
- Je men doutais, tes un ptit pd !
Jarrête de le sucer, vexé. Mais il moblige à continuer, tout en me baissant complètement le caleçon. Il me met un doigt dans le cul !
- Tes chaud comme une chatte ! donne-la-moi !
Il me retourne et me met la queue au bord du trou.
- Attends, jai une capote dans mon sac
Il récupère un préservatif, me demande de lui mettre puis senfonce dans mon cul. Malgré lépaisseur de sa queue, il rentre assez facilement. Il semble ravi et ne tarde pas à éjaculer. Il montre fièrement le contenu de la capote. Puis il me pose tout un tas de question sur moi : pourquoi je suis rasé, épilé, doù je viens
Je lui explique un peu ce qui marrive depuis un an. Il semble intéressé. Je lui explique par la même occasion ce qui mest arrivé avec le médecin ici. Là il semble un peu plus effrayé parce quil a rendez-vous demain. Lorsquil retourne dans son lit, je me branle un moment puis je mendors. Cest Victor qui me réveille vers 5 h. Il a sa queue bandée et veut que je le suce. Je mexécute. Il se vide sur mon visage, assez satisfait de lui. Je messuie avec le drap. Il se douche, sans pudeur puis va à son rendez-vous. Je reste à nouveau seul dans la pièce. Quand Victor revient, je linterroge. Il a juste fait une prise de sang. Il mappelle maintenant le mytho. On somnole ensuite sur le lit jusquau petit déjeuner que lon doit prendre dans une salle commune. Comme je nai toujours pas de vêtements, je refuse dy aller.
Victor me ramène quelques petits trucs à manger. Je le remercie. Nous sommes en milieu de matinée quand le médecin vient me chercher. Nous allons dans son bureau. Immédiatement il me demande de me déshabiller et de mettre les mains sur la tête.
- Comment se fait-il que tu refuses de te nourrir ?
- Je peux pas y aller à poil quand même
- Et pourquoi donc ? tu veux que je passe pour un bourreau auprès de Jacques ?
- Bien sûr que non, mais jaime pas les moqueries des autres
- Tu es bien au-dessus du tout ça maintenant !
Puis il mattache les mains et me remet dans le placard. Cette fois je dois me tenir à genoux. Le placard nest pas très large et je suis obligé de me plier pour tenir à genoux, ce qui nest pas très confortable. Il referme le placard à clefs et jattends
Jai limpression de passer plusieurs heures dans cet endroit. Je passe par des périodes de chaleur, de froid, dengourdissement, de faim
Jentends les bruits de lextérieur : des visites, des soins
Quand le placard souvre, je meffondre à terre. Cest le médecin qui me relève. Je suis tout engourdi et jai du mal à me tenir droit.
- Je te croyais entraîné ? cest Jacques qui va être déçu !
- Je suis désolé ! jai mal partout ! jai faim, jai besoin de pisser
Il me tend un verre et me dit de pisser dedans. Nen pouvant plus, je mexécute. Mais le verre est très vite plein
- Bois-le pour faire de la place !
Je refuse. Ça me dégoûte ! il me force à ouvrir la bouche et me verse le contenu du verre à lintérieur. Jen déglutis une partie et en recrache une bonne partie. Il me frappe les joues
- Tu nes quun mal appris ! Regarde dans quel état tu mets mon bureau !
Puis il me donne une fessée comme la dernière fois. Il mallonge sur ses genoux en me coinçant la bite entre ses jambes puis me frappe violemment dabord avec la main puis avec un magazine roulé. Cette fois je crie très fort pour que quelquun vienne me délivrer
mais personne narrive à mon secours. A un moment, quand il en a assez, il me balance à terre et me donne un grand coup de pied. Jai très mal au ventre. Je suis plié en me relevant et ne sait pas quoi faire. Il me jette une serviette et me dit de sortir de son bureau. Je retourne dans la chambre, me met dans le lit et je pleure. Cest à ce moment que Victor revient.
- Quest-ce qui tarrive ?
- Jen peux plus, je veux partir dici.
- Moi je men vais ! je peux prévenir quelquun ?
Je lui donne les coordonnées de Jacques et lui demande quil le prévienne pour quil vienne me récupérer. Il me promet de le prévenir dès sa sortie. Il me serre la main et quitte la chambre. Je me retrouve seul
pas très longtemps, car le médecin entre à nouveau. Il ferme la porte à clefs et mentraîne dans la douche. Il mattache les mains à la douche et commence à me frapper les fesses avec un bâton. Jessaie de suivre ses mouvements pour esquiver mais il avait le beau jeu ! je criais, mais ça ne servait à rien. Il a mis la douche en route. Jai reçu un jet deau froide qui ma empêché de respirer, et il sest mis à pisser sur moi, visant mon torse, mes jambes
Il a recommencé à me frapper, sans raison puis a fini par me détacher.
- Demain, tu dégages ! je tai ramené tes affaires.
Cette nouvelle ma rassuré. Mais javais très mal aux fesses et au dos. Javais du mal à marcher. Quand il est sorti, jai pris une douche bien chaude. Il était trop tard pour le repas du soir et pourtant javais très faim. Rhabillé, enfin, jai cherché de quoi manger. Jai trouvé quelques biscuits dans une chambre. Quand je suis revenu dans la mienne, Jacques était là. Je lui ai sauté au cou et je lai embrassé comme jamais.
- Alors, quest-ce qui tarrive ?
Je me suis mis à pleurer dans ses bras. On sest assis sur le lit. Il a essayé de me réconforter en me disant que jétais exempté. Mais rien ny faisait, javais trop mal. Je suis sorti avec lui, sans me retourner et nous sommes rentrés à lappartement de Bordeaux.
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