Festival Entre Amis
Je m'appelle Solweig. Mon prénom aux consonances nordiques va de pair avec mon physique, bien que je ne sois pas très grande... blonde aux cheveux longs, de grands yeux verts mangent mon visage. Ma peau est claire, mes seins ronds et fermes, comme mes fesses. J'ai découvert les joies du sexe libéré de complexes et de faux-semblants vers l'âge de 23 ans -les débuts de ma vie sexuelle furent sages et très monogames. Puis, au fil des rencontres et des passions d'un soir, je me suis libérée, j'ai pris conscience de mes attraits et ai cessé d'en avoir peur. Le sexe de mon partenaire m'importe peu : pourvu que ce soit bon.
Il y a quelques années -j'avais 24 ans, je fréquentais beaucoup de festivals de musique en été. L'occasion de se défouler entre amis...et de faire des rencontres. Cet année là, j'avais enchaîné plusieurs festivals, de taille variable. L'été touchait à sa fin, et Tom et Jonathan, mes compères, avaient insisté pour que nous en "fassions un dernier", un petit, à 3h de route, de tout juste 2 jours, en pleine campagne. Tom avait proposé que nous prenions sa voiture, et nous étions partis, la tente dans le coffre, avec quelques provisions et nos duvets. Durant le trajet, Jonathan avait plaisanté sur le nombre de tentes prévu : "bon, on n'a qu'un igloo pour 3, mais comme d'habitude Solweig va choper donc ça nous laissera une place de plus dans la tante, hein Tom ?". Tom avait souri, j'avais fait comme si je n'entendais pas. Ils étaient de bons copains, de ceux avec qui on parle à demi-mot de ses aventures en riant. Tom était en couple depuis plusieurs années dans une relation très posée, et Jonathan essuyait les vestes régulièrement. Beau garçon, il n'en était pas moins gauche avec les filles.
Arrivés sur le site, nous avions monté notre igloo au plus vite sur l'aire de camping du festival pour aller écouter les concerts qui avaient déjà commencé. La programmation était surtout à l'honneur de groupes de renommée régionale, avec une tête d'affiche en musique éléctronique en fin de soirée.
La fin de l'été approchait bel et bien : la nuit était fraîche et je n'avais pas prévu de vêtements suffisamment chauds pour passer une soirée agréable. Agrippée à mon verre, tirant sur les manches de mon gilet, j'avais peine à profiter pleinement des concerts. Tom et Jonathan ne semblaient pas souffrir du froid, enchaînaient gaiement les blagues et les verres, tout en acclamant les groupes qui s'enchaînaient sur scène. Je commençais à trouver la soirée franchement longue lorsque, à la fin du concert de la tête d'affiche, Tom me proposa de prendre un autre verre.
-Non, écoute, j'ai froid, j'en ai marre, y a pas d'ambiance, je crois que je vais aller me coucher.
-Oh, vraiment ? Bon, bah écoute, nous on a encore se boire un verre et je pense qu'on ne tardera pas trop.
Ok, de toutes façons je suis crevée, je ne vous entendrai sûrement pas arriver. Bonne soirée !
Bonne nuit Solweig !
Je retrouvai notre igloo avec quelques difficultés dans la pénombre et m'écroulai dans mon duvet, tout habillée.
J'entendis les garçons arriver quelques temps plus tard, sans savoir si j'avais réellement dormi entre-temps. Ils se glissèrent dans leurs duvets et je sombrai dans un demi-sommeil, allongée en chien de fusil, tournant le dos aux garçons. Je fus tirée de ma torpeur par le bruit de la fermeture éclair de mon sac de couchage qu'on ouvrait. Je sentis des bras m'enlacer et un corps s'emboîter derrière moi, en cuiller, comme un couple dort enlacé. Je me raidis un instant, en comprenant qu'il s'agissait de Tom. Me prenait-il pour Marie, sa copine, avec qui il dormait habituellement toutes les nuits ? Je ne fis aucun mouvement. Je sentis ses mains se glisser sous mon T-shirt pour attr mes seins. Je me raidis davantage, tiraillée entre l'envie de protester, choquée par la situation, et la curiosité : est-ce qu'il me prenait pour Marie ? Cela m'excitait d'une drôle de manière. Je n'avais pas ôté mon soutien-gorge ; il caressait mes tétons d'une manière très habile, si bien qu'ils pointèrent très vite.
"J'ai envie de vous goûter tous les deux", dis-je en saisissant la queue de Jonathan entre mes lèvres, abandonnant celle de Tom. Celui-ci profita de mon déplacement pour enfoncer sa queue dans ma chatte désormais ruisselante, alors que Jonathan grognait sous les assauts de ma bouche. Tom restait silencieux, me gratifiant de coups de reins solides et relativement lents, ce qui eut pour effet de faire encore monter d'un cran mon excitation et redoubler d'intensité mes va-et-vient sur la queue de John. Celui-ci gémissait de plus en plus fort, laissant présager ce que plusieurs mois d'abstinence allaient le contraindre à libérer bientôt. Je le laissai jouir dans ma bouche et sur mes seins, pendant que Tom pinçait mon clitoris en me baisant. Alors que John reprenait son souffle, écroulé sur le dos, je laissai s'exprimer mon plaisir, maintenant que ma bouche était libre ! "Putain Tom, si j'avais su plus tôt que tu baisais si biiieeen.
Nous nous endormâmes tous les trois emmêlés presque aussitôt ; la nuit était déjà bien avancée.
Le repos fut de courte durée, puisqu'au petit matin John sembla vouloir se rattr de sa courte performance de la nuit. A moitié réveillée, je sentis sa queue trapue s'immiscer dans ma chatte encore dilatée alors qu'il me caressait lentement les seins. Je ne protestai pas et acceptai le petit déjeuner et repliant mes genoux sur mon buste, les yeux mi-clos. Assez vite je pus sentir la queue de Tom caresser mon visage, de toute évidence tout aussi tendue que la veille. A genoux à côté de mon visage, souriant, il me tendait sa bite pour que je la suce. Tout en la caressant, je commençai à sucer doucement son gland. Jonathan me baisait lentement, sa queue large m'offrant un réveil des plus excitants qui me fit mouiller abondamment assez rapidement. "Mmm t'avais raison Tom, elle est putain de bonne notre Sol chérie". Il se retira pour promener sa queue le long de mes lèvres ruisselantes et la tapoter sur mon clitoris gonflé.
C'est à ce moment qu'on entendit dans une tente voisine les cris d'une fille qui visiblement passait un bon moment elle aussi. "Moins fort, on s'entend plus baiser!", lança Tom d'une voix forte. Je ris, tout en gémissant au coup de langue que Jonathan venait de m'administer sur le clitoris. On entendit une voix masculine provenant d'une autre tente plus éloignée, lançant "Non mais nous on vous entend et on se branle bien en vous écoutant!". Cette réplique, ajoutée aux glapissements de cette fille qui semblait subir des assauts copieux, nous échauffa tous les trois d'un coup. Jonathan reprit ses coups de rein et je continuai de sucer Tom, qui avait renversé sa tête en arrière tout en ondulant du bassin pour me baiser la bouche. Jonathan n'eut aucun mal à enfoncer un doigt dans mon petit trou. Mes fluides inondaient sa queue, je bavais littéralement sur celle de Tom, les garçons grognaient de manière animale pendant que je haletais, nous entendions toujours la fille qui prenait son pied pas loin de nous. On l'entendit bientôt jouir, ce qui contribua sans doute à l'envie de Tom de décharger dans ma bouche. Je lui léchai la queue pour la nettoyer pendant que Jonathan ajoutait une deuxième doigt dans mon cul. "Si c'est mon cul que tu veux, prends le", dis-je. Il ajouta un trosième doigt en répondant "avec plaisir", avant d'y mettre sa queue. La douleur -sa queue était trapue- fut de courte durée. J'étais restée sur le dos, ce qui permit à Tom de me caresser la chatte pendant que John s'en prenait à mon cul. Ma tête tournait d'excitation et de plaisir mêlé, je m'entendais articuler des mots incompréhensibles, John pressait mes seins sans ses mains tout en râlant d'extase, inondant de foutre mon cul dilaté.
Je vis Tom prendre des photos, alors que je reprenais mon souffle, vidée, étourdie.
"Bon, c'est pas tout ça, mais on a de la route à faire.", lança Tom en enfilant ses vêtements. Lorsque je sortis de la tente, je constatai que le terrain de camping était rempli -la veille, je ne m'en étais pas renude compte, et que les tentes étaient très proches les unes des autres. Nous avions fait profiter à tous nos voisins de nos ébats. Nous étions les premiers levés, et nous ne demandâmes pas notre reste. Sitôt la tente démontée, nous nous mîmes en route.
Je me sentais dans un état second, complètement hors du temps, et libérée de toute contrainte morale. Je me sentais prête à baiser avec n'importe qui n'importe comment. Assise à l'avant, côté passager, je demandai à Tom de s'arrêter à la première aire d'autoroute pour que je puisse me débarbouiller.
A suivre.....
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!