La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 486)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°474) -

Après plusieurs longues minutes, le commandant revient, il retire les deux objets qui la remplissent et vient se placer devant Vanessa.

- Tu dois comprendre qu’un homme apprécie la douceur et le charme de la femme, mais qu’un Maître ne cherche que la chienne dressée, il n’attend pas seulement qu’elle soit douce et attentionnée, il attend qu’elle obéisse rapidement et en silence, qu’elle prenne du plaisir dans sa condition, et qu’elle soit en permanence offerte à toutes ses envies. Aussi cette bouche doit en permanence saliver et être prête à tout avaler, dit-il en y introduisant deux doigts. Le commandant fait plusieurs allers-retours dans la bouche de la jeune femme, puis retire ses doigts et pose un plug d’une taille très importante devant elle.

- Vois-tu, ce plug va pénétrer tes entrailles et il restera en place jusqu’à ce que je te libère de ta condition en fin de journée. Il te remplira lorsque je l’aurai décidé, mais comme ton Maître tient à conserver ses soumises intactes, je ne pourrai le faire que lorsqu’il sera complètement lubrifié, je te conseille donc de t’appliquer, il faut qu’à mon retour, il y ait une flaque de salive à sa base, si ce n’est pas le cas j’utiliserai un lubrifiant pour l’enfoncer, mais tu seras punie pour cette défaillance. Tu as compris ?
- Oui Monsieur, répond simplement la jeune femme, peu pressée de ressentir cet objet en elle.

Le commandant se retire sans un mot de plus, alors que Vanessa commence sans attendre à activer sa bouche et sa langue autour du large plug. Elle s’applique longuement sans faiblir, les minutes s’écoulent et lui semblent extrêmement longues, Vanessa se demande depuis combien de temps elle est seule dans cette cuisine et bien qu’elle ne souhaite pas voir ce plug s’introduire en elle, elle s’impatiente de le voir revenir. Après plusieurs heures, le commandant revient, mais ne lui accorde aucune attention, il prépare son repas, regardant Vanessa à quatre pattes sur la table, s’appliquer à faire reluire le plug qui se trouve devant elle.

Il constate avec satisfaction qu’elle y met de la volonté, et qu’une flaque de sa salive commence à se former, sans dire un mot, il vient se placer en bout de table derrière elle, pose son assiette entre ses pieds et s’installe dans la chaise. De sa fourchette il effleure doucement le sexe de la jeune femme, Vanessa frémie mais continue sans faillir de saliver autour du plug.

- J’ai une jolie vue, très agréable pour déjeuner, dit-il d’une voix enjouée.

La jeune femme entend des bruits de couverts, le commandant déjeune à quelques centimètres de son intimité, Vanessa se sent humiliée au plus haut point, mais n’oublie pas l’ordre qu’elle a reçu et se concentre sur le plug qu’elle a en bouche depuis maintenant plusieurs heures. Le bruit des couverts s’arrêtent, elle sent soudain un doigt pénétrer son fondement.

- Hum, je pense que ce joli petit trou va avoir des difficultés à avaler ce plug, dit le commandant d’une voix joueuse.

Il passe devant la jeune femme, la regarde saliver autour de l’objet, une flaque de bave à sa base.

- Parfait, parfait, très joli spectacle, je vais immortaliser ce moment avec mon appareil, peut-être que certaines de ces photos auront la chance d’orner mon site Internet.

Vanessa prend peur soudainement, et si quelqu’un qui la connait tombait dessus, et si on la reconnaissait…

- Non Laurent, je t’en supplie, ne fais pas ça, intervient-elle paniquée.
- Pardon ? accuse-t-il d’un ton fâché.
- Je…je ne veux pas ose-t-elle d’une voix implorante.
- Tout d’abord ta volonté m’importe peu, ensuite il me semble que tu aies oublié comment t’adresser à moi, il va donc falloir que je sévisse. Mais avant, je tiens à te rappeler que tu es ici de ton plein gré, si tu souhaites partir tu le peux, dans le cas contraire, tu te laisses faire et tu acceptes la sanction qui va suivre.

La jeune femme prend conscience que son comportement est indigne d’une soumise de Monsieur Le Marquis d’Evans, elle se ressaisit, baisse la tête en signe de soumission et attend son bon vouloir en reprenant le plug en bouche.


- Voilà qui est mieux, passons à ces photos avant de décider de ta punition.

Le commandant tourne autour d’elle, la photographie sous tous les angles, et s’attarde particulièrement sur sa langue autour du plug et la flaque de salive à sa base. Puis sans dire un mot, il pose son appareil et prend en main l’objet. Il contourne Vanessa et doucement le pousse contre son œillet qui résiste. Malgré sa faute, il est extrêmement doux et prend son temps pour l’introduire, ce qui surprend la jeune femme qui s’attendait à une sévère sanction.

- Allez détends-toi, laisse le venir en toi, lui souffle-t-il délicatement à l’oreille.

La jeune femme respire profondément, desserre ses muscles anaux, et sent soudain l’objet la remplir entièrement. Il ne la brusque pas, il la laisse s’habi doucement à cette nouvelle intrusion réalisée tout en douceur, lentement mais sûrement, l’observant contractée tentant d’atténuer sa douleur, puis lorsqu’il la voit enfin reprendre son calme, il reprend un ton Dominateur.

- Bien, il est temps de décider de ta sanction, que penses-tu mériter ?
- La cravache, Monsieur, ose-t-elle peu certaine que sa proposition lui convienne.
- Te moquerais-tu de moi ? Voyons nous savons tous les deux que ta résistance au mal est au-dessus de la moyenne, non, il te faut une sanction beaucoup plus subtile, dit-il en souriant. Descends de cette table et suis-moi.

Sans plus attendre, Vanessa le suit à travers la maison jusqu’à la porte donnant dans le garage, ils y pénètrent, sans un mot, il lui fait signe d’attendre debout à côté de la porte, elle place les mains derrière son dos et patiente. Le commandant se dirige vers un placard, sort un caméscope sur pied qu’il dispose dans le coin de la pièce pour en couvrir la totalité, puis il prend dans un autre placard un objet qu’il dissimule derrière son dos avant de le lui présenter. La jeune femme découvre un balais muni d’un manche très court au bout duquel est fixé un gode.


- Il est temps pour toi de découvrir le type de sanction que je réserve aux soumises qui me manquent de respect. Tu vas nettoyer cette pièce, sous la surveillance de cette vidéo, et tu peux être certaine que ton Maître recevra ces images.

Sans un mot le commandant insère le gode dans l’intimité, de la jeune femme, elle se sent soudain complètement ridicule avec ce balai pendant entre ses jambes, et comprend que l’humiliation qu’elle ressent est une punition bien plus forte que tous les coups de cravache qu’il aurait pu lui infliger.

- Je reviendrai lorsque cette pièce sera complètement propre, tu peux te servir de tes mains pour guider et maintenir le manche mais interdiction formelle que le gode, fixé à l’extrémité de ce manche, ne sorte de ton sexe, dit-il, en la quittant sans faire plus attention à elle.

Vanessa reste un instant sans bouger, elle sent une grande humiliation l’envahir, et même si elle est seule dans cette pièce, elle ne peut s’empêcher d’imaginer le moment où son Maître va découvrir ces images. La honte la submerge, elle sent les larmes monter en elle, mais se refuse de craquer devant ce caméscope, elle avale profondément sa salive, puis entreprend de commencer à balayer la pièce par le coin dans lequel elle se situe. Le balai touche à peine le sol, et elle doit plier les jambes pour effec la tâche qui lui a été confiée, elle imagine l’image qu’elle doit renvoyer et cette idée la perturbe. Vanessa ignore que d’autres caméras filment son action, celles qui sont reliées à la vidéosurveillance de la maison et que son Maître ainsi que le commandant peuvent observer de leurs ordinateurs en direct. C’est justement ce que fais le Marquis d’Evans de son bureau et Il voit bien le trouble qui s’est emparé de Sa soumise. Il salue intérieurement l’ingéniosité de Son ami, il avait raison, la meilleure sanction la concernant est l’humiliation. Le Noble est persuadé qu’Il a fait le bon choix en décidant de demander à Son ami de participer à l’éducation de cette nouvelle soumise.
La connaissance qu’il a de cette femme l’aidera à la dresser plus rapidement vers la soumise offerte et dévouée qu’Il veut faire d’elle.

La jeune femme se concentre pour terminer le plus rapidement possible afin d’écourter au plus vite cette sensation d’humiliation qu’elle ne peut supporter. Elle rassemble toute la poussière en un petit tas au milieu du garage, puis ne sachant que faire, elle patiente, debout à côté, sans bouger, les mains dans le dos et la tête baissée, persuadée que le commandant sera plus clément si elle adopte la position du rang auquel elle a choisi d’appartenir. Elle attend un long moment et se demande si elle doit quitter la pièce pour lui signifier qu’elle a terminé, mais il a dit qu’il reviendrait lorsque ce serait terminé, il n’a pas évoqué le fait qu’elle devait revenir vers lui, et elle préfère donc ne pas risquer une autre faute. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’il l’observe et qu’il sait qu’elle patiente son retour, mais elle doit prendre conscience de ce qu’implique le choix qu’elle a fait d’être soumise au Marquis d’Evans, et la laisser seule dans cette situation est la meilleure façon pour qu’elle s’en imprègne… Après plus d’une heure le commandant décide de faire cesser son attente et va la rejoindre. Il ouvre la porte, entre dans le garage et s’arrête un instant pour l’observer. Vanessa est telle une statue, immobile dans l’attente d’un nouvel ordre, il est fasciné par ce qu’elle dégage dans sa soumission, par son abandon. Il se dirige vers elle, lui fait face et sans un mot se saisit du balais pour présenter devant ses lèvres le gode qui surplombe le manche. Les mots ne sont pas nécessaires pour qu’elle comprenne qu’il attend d’elle qu’elle le nettoie, et sans attendre elle y enroule sa langue et le prend en bouche jusqu’à en retirer toutes les traces de sa cyprine.

- Suffit, il est assez propre, vas dans le salon et attends-moi à quatre pattes à côté de mon fauteuil.

Sans dire un mot Vanessa obtempère pendant que son chef range le balai et le caméscope. Il l’a rejoint quelques minutes plus tard, et s’assoit dans le fauteuil en se tournant vers elle. Il caresse doucement son fessier, puis de la main droite prend la base du plug pour le retirer doucement. La jeune femme l’aide de ses muscles anaux jusqu’à sentir l’objet la quitter.

- Nettoie-le, c’est la dernière chose qui touchera ta langue pour aujourd’hui, dit-il en lui tendant.

Soulagée d’apprendre qu’elle va bientôt pouvoir se reposer, Vanessa met tout son cœur à contenter le commandant et s’applique de sa langue et de ses lèvres comme il le lui a enseigné. Il est satisfait de la voir y mettre tant d’entrain et ne doute pas que quelques heures de travail permettront d’en faire une experte de sa bouche. Jugeant que son éducation a duré assez longtemps pour cette première journée, il se lève, pose le plug sur la table basse et se saisit d’un peignoir laissé sur le fauteuil voisin. Il s’approche d’elle par derrière, pose le peignoir sur ses épaules, puis délicatement lui retire son collier. Il l’aide à se relever et sans un mot, l’a fait asseoir sur le canapé à côté de lui. Elle est blottie dans son peignoir, les yeux toujours baissés, elle attend sans oser bouger. Il prend délicatement son menton et plonge son regard dans ses grands yeux verts.

- Tu vas bien ? s’inquiète-t-il d’une voix protectrice.
- Oui…merci…Monsieur, merci d’avoir pris de votre temps pour vous occuper de mon éducation, et je suis vraiment désolée, de vous avoir manqué de respects, je vous assure que cela ne se reproduira plus, je vous prie d’accepter mes excuses.
- Non, non il n’y a plus de Monsieur qui tienne, tu te rappelles nos règles, tu n’as plus ton collier, lui fait-t-il remarqué.
- Oui, je suis désolée.
- Arrête d’être désolée dit-il en souriant.

Elle lui répond en souriant, puis baisse les yeux un peu gênée, ne sachant quel comportement adopter.

- Plus sérieusement, à partir du moment qu’une sanction est passée, la faute est pardonnée. Les erreurs sont tout à fait normales à ce stade, ce qui compte c’est que tu sois capable d’en accepter les conséquences. Tu comprends ?
- Oui, oui, merci.
- Merci de ?
- D’avoir pardonné ma faute.

Il sourit, et la prend délicatement dans ses bras, elle se laisse aller contre son torse, et profite de cet instant de tendresse.

- Bien, je te propose d’aller prendre une douche, tu trouveras dans la salle de bain tous les produits nécessaires, ainsi que tes habits. Prends ton temps, puis tu pourras me rejoindre ici je dois te montrer quelque chose avant de te laisser repartir.
- C’est entendu, merci dit-elle en se levant pour aller à la salle de bain.

Vanessa entre sous la douche et profite de l’eau chaude sur son corps pour récupérer. En sortant elle entend son Smartphone sonner, elle le voit sur ses affaires posées sur le meuble. Elle lit le SMS qu’elle vient de recevoir « J’espère que les conseils de mon ami t’ont permis de progresser dans ce qui te fait défaut, dommage que tu n’aies pas encore compris que tu dois le respect à tous les hommes à qui je te confies… ». Vanessa s’en veut d’avoir une fois de plus déçu son Maître, elle ne doute pas qu’elle devra en subir les conséquences la prochaine fois qu’elle viendra en son domaine. Elle s’habille, se coiffe et rejoint le commandant qui l’attend dans le salon. Il la voit arriver une contrariété affichée sur son visage.

- Ça ne va pas ? Qu’est-ce qu’il y a ? s’inquiète-t-il
- Si, si tout va bien, dit-elle, un faux sourire sur son visage.
- Voyons Vaness, pas à moi, je te connais trop.

Elle ne répond rien, les larmes montent et viennent noyer son regard, elle tend simplement son téléphone à son ami, le message de son Maître affiché à l’écran. Le commandant, le lit, puis sourit, décidemment, son ami Le Marquis sait comment dominer ses soumises même à distance, et faire en sorte d’obtenir le meilleur de ce qu’elles peuvent donner.

- Allons viens t’assoir, tu m’en veux de lui en avoir parlé ?
- Non, évidemment non, tu as rempli ton rôle, non je m’en veux de l’avoir déçu et je ne sais pas comment rattr mon erreur, que dois-je lui répondre.
- Ne réponds rien pour le moment, attends de rentrer chez toi, puis tu lui feras un mail pour lui faire savoir ce que tu as ressentis tout au long de ce weekend, tu en profiteras pour lui présenter tes excuses. Ne réfléchis pas, parle avec ton cœur, en toute sincérité, c’est ce qu’il attend de toi, et il ne pourra pas être un bon guide si tu n’es pas entièrement sincère.
- D’accord, merci.
- Bien, je voulais te montrer quelque chose avant que tu ne partes, pour te rassurer.
- Ah bon ? interroge-t-elle

Il ne dit rien, prend sa tablette posée sur la table basse et la lui tend. Elle voit des photos érotiques en noir et blanc. Elles montrent le bas d’un visage de femme, la bouche ouverte, la langue sortie, elle est impressionnée par la beauté des prises. Les photos suivantes montrent la langue parcourir un plug, une flaque de salive à sa base, elle réalise soudain que ce sont les photos qu’il a fait d’elle.

- Tu vois, tu n’es pas reconnaissable, et sache que je ne diffuse aucune de mes photos sur lesquelles mes modèles pourraient être reconnus. Il n’y avait pas de quoi t’inquiéter, dit-il d’un ton espiègle.
- Oui, j’ai encore une fois manqué de confiance en l’homme à qui mon Maître m’avait confié, je suis désolée.
- Ce n’est rien, tu es là pour apprendre, et je te fais confiance tu vas vite progresser, bien il est temps pour toi de retrouver ton chez toi.
- Je ne peux pas rester ici ? Je suis loin d’avoir comblé toutes mes lacunes, je veux vraiment apprendre l’art de la fellation pour combler mon Maître, s’il te plait, garde moi, apprends-moi en plus, dit-elle implorante.
- Tu apprends vite, je sais bien que tu vas parvenir à combler Monsieur Le Marquis d’Evans, mais tu dois aussi prendre le temps de te reposer et d’assimiler ce que tu as appris. Ce que je te conseille c’est de rentrer chez toi pour ce soir, prendre le temps de t’occuper de ton chien, puis écrire à ton Maître avant de te reposer. Demain matin tu travailles, mais après ta garde, si tu le souhaites, tu peux venir passer tes 48h de repos chez moi. Si ça te conviens je veux bien demander l’autorisation à ton Maître, ça t’irai ?
- Oui, ce serait super merci, dit-elle un sourire aux lèvres.

Sans un mot, il se lève, la raccompagne à sa voiture et la laisse rentrer chez elle. Vanessa est un peu songeuse sur la route du retour, elle repense à tout ce qu’elle vient de vivre et commence à réfléchir à ce qu’elle va bien pouvoir écrire à son Maître. Elle se rappelle des conseils du commandant « Il ne pourra pas être un bon guide si tu n’es pas entièrement sincère »…

(A suivre …)

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