Le Boisé Derrière Chez Moi
En mars dernier, je me suis enfin décidé à vendre mon condo pour acquérir une maison en banlieue. Natif de la campagne, la verdure me manquait et le balcon de mon condo était devenu une source de frustration. J'avais le goût de me sentir réellement chez moi et avec l'aide d'une amie, j'ai trouvé la maison idéale.
Située en campagne, ma coquette maison se trouve tout au fond d'un quartier, sans voisin arrière. En fait, on y trouve une forêt qui elle, cache une petite rivière bordée de grosses roches plates. Ces dernières peuvent vous apparaître anodines seulement, c'est par elles que prend toute l'ampleur de cette merveilleuse aventure que j'ai vécue le weekend dernier.
J'ai donc pris possession de ma maison en mai dernier. Une seule chose lui manquait; une piscine. Avec tout ce terrain derrière, je décidai donc d'en faire creuser une, apportant donc avec elle tous les travaux qui, je dois l'avouer, sont en train de me rendre fou. Mais bon, on a rien pour rien comme on dit.
Donc, samedi dernier, je me décidai donc de me rendre à la rivière, histoire de m'éloigner de ce chantier infernal. Je partis avec ma tablette dans l'intention de m'allonger sur une roche pour y terminer un roman. Le ciel était rempli de nuages mais quelques percées de soleil agrémentaient la journée. Seul, j'avais ce coin magnifique pour moi tout seul. Je m'installai pour commencer ma lecture au son du clapotement de l'eau et, levant les yeux, j'aperçu un mec qui s'approchait. Il était grand, mince, dans la trentaine, une chevelure noire qui glissait sur ses épaules. Non, pas mon type de mec et de toute façon, en pleine campagne, ce mec devait être hétéro jusqu'au bout des orteils. Je me replongeai donc dans ma lecture et le mec poursuivit son chemin.
Quelques minutes plus tard, un autre mec arriva, et un autre, et un autre. C'est alors que je me dis que cet endroit était un peu trop populaire pour moi mais il valait mieux, pour l'instant, que ce chantier qu'on opérait chez moi.
Et les nuages quittèrent le ciel, laissant place aux chauds rayons. Je me débarrassai donc de mon gilet et pourquoi pas, de mon bermuda. Mon slip pouvait facilement passer pour un maillot de bain et à demi-nu, je pourrais certes plus facilement m'apercevoir si les mecs me mataient ou non. Je plaçai donc ma tablette près de moi et m'allongeai pour me faire bronzer, gardant les yeux entrouverts et les cuisses bien écartées. Je lançai un regard autour de moi et, n'y voyant personne, je me mis à me tripoter le sexe, de sorte à le faire grossir. Fallait ce qu'il fallait... Je devais savoir si ce bois derrière chez moi allait devenir un terrain de jeu.
Et puis d'autres hommes arrivèrent et là, je vis qu'ils ralentissaient le pas en passant près de moi, le regard bien fixé sur mon corps ou disons-le, sur la bosse de mon slip. J'étais heureux comme un sur une balançoire. Par contre, personne n'arrêtait, poursuivant leurs pas et tous, entrant dans le boisé. Je compris donc que tout se passait là et quoi de plus normal? J'enlevai donc mon slip et enfilai mon bermuda, gardant bien entendu la fermeture éclair baissée. J'enfouis ma tablette dans mon sac, ainsi que mon gilet et me levai pour entreprendre une chasse aux mecs.
J'entrai dans le boisé, suivant le sentier que tous les mecs avaient emprunté, m'assurant bien que mon membre demeurait bien dur sous mon bermuda. J'entrevis alors ce mec à la chevelure noire, le cul bien en vue, qui attendait qu'une queue s'y introduise mais non, il ne me plaisait pas. Je passai tout près et poursuivit mon chemin et c'est là que je le vis, appuyé contre un arbre, son jeans entrouvert. Une bête, comme je les aime. Il devait avoir autour de 45 ans, les cheveux rasés, un énorme tatouage sur le bras gauche et une barbe de quelques jours. Il donnait l'impression d'un bûcheron en pause. Je ralentis le pas en lui jetant un regard mais lui, de son côté, ne fit rien. Il demeura de glace. Je m'arrêtai tout bonnement et sortis ma queue de mon bermuda. Il n'était pas question que je manque ce dieu grec et surtout, cette queue que je percevais sous son jeans. Lentement, je m'en approchai, ma main toujours sur mon sexe dur et me plantai droit devant lui, sans rien dire. Doucement, ne sachant trop comment il réagirait, je me mis à caresser sa poitrine velue. Il demeurait toujours de glace mais ne s'opposait pas à mes caresses. Son regard pointait je ne sais trop quoi mais il ne me regardait pas. Lentement, je glissai ma main le long de son ventre et je pus enfin sentir sa queue durcie. Il ne bougeait toujours pas et je me demandais bien ce qu'il désirait enfin. Si je ne l'intéressais pas, pourquoi ne me le disait-il pas? Il se laissait tout de même tripoter le machin et son érection montrait bien que ça l'excitait. J'approchai mon visage du sien et c'est là qu'il dit: " Ne t'avise jamais de m'embrasser". Je reculai légèrement car son ton démontrait bien que je me devais de l'écouter. " Tu es ici pourquoi au juste?" demandai-je. "Tu veux le savoir? Baisse ton bermuda et tout de suite". Je m'exécutai aussitôt et il me plaqua, face contre l'arbre. " Écarte tes jambes et donne-moi ton cul". Je compris donc que ce qu'il désirait n'était rien d'autre que de m'enfiler sa queue dans le cul.
Je poursuivis donc ma quête, suivant les sentiers qui, bien piétinés, démontraient qu'il y avait déjà un bout que les mecs se donnaient rendez-vous dans ce boisé derrière ma maison.
Ici et là, je voyais des mecs se sucer, s'enculer et parfois, trois ou quatre se payaient du bon temps ensemble mais personne ne m'excitait assez pour que je me joigne à eux. J'en étais rendu à me dire que je devrais terminer la job tout seul tant je commençais à désespérer mais j'avais une telle envie de me faire baguer le pigeon que je décidai, tout bonnement, de m'offrir au premier venu.
Je me débarrassai complètement de mon bermuda et je m'accroupis par terre, le cul bien en vue, bien relevé de sorte à ce que personne ne puisse le manquer.
En quelques minutes, le mec me rempli le popotin et disparu. Je demeurais encore là, sur mon appétit mais pas grave, j'attendrais le prochain, sachant parfaitement que dans les boisés, les mecs n'ont pas souvent l'occasion d'avoir un cul musclé offert sur un plateau d'argent. Et ce fut un autre qui se servit, et un autre, et un autre jusqu'à ce que j'entende deux voix derrière moi. Ma curiosité me disait de me retourner mais non, je demeurai là, sans bouger, le visage contre terre. Soudain, je sentis une chaleur entre mes fesses. L'un des mecs léchait le sperme qui coulait, poussant ma rosette de sa langue et lorsque je relevai la tête, je vis cette grosse queue devant moi qui attendait d'être sucée bien à fond. Elle était longue et très large et pas très blanche. Par expérience, j'avais à faire à un arabe. Il s'agenouilla et sa bite se trouva à hauteur de ma bouche que j'entrouvris pour la gober bien à fond. De ses mains placées derrière ma tête, il m'obligea à la prendre dans ma gorge tandis que je sentais mon cul se faire empaler. En fin de compte, j'avais bien fait de m'offrir à qui le voulait bien mais là, cette grosse bite que je suçais, je la voulais entièrement dans mon cul. Il suffisait juste que j'attende que l'autre jouisse et surtout, je me devais de ne pas trop la pomper de sorte à lui laisser le temps de passer à l'arrière. Seulement, l'autre mec semblait y prendre un si grand plaisir qu'il prenait son temps, se retirant lorsqu'il sentait qu'il allait venir et chaque fois, je le maudissais. Je me décidai donc à prendre les choses en main. Je levai le visage et regardai le mec devant moi, lui soufflant que je désirais qu'il me défonce la boîte à cachous. Il sourit et dit quelque chose, en arabe, et je ne compris rien mais ça fonctionna car le mec se retira et enfin, enfin, je sentis cette belle grosse bite me défoncer bien à fond, à grands coups et violemment. Je ne parvenais plus à retenir ma respiration et mes petits cris démontraient bien que je raffolais de ce bambou. J'aurais passé des heures entières à me faire bourrer de la sorte mais le mec, lui, n'en pouvant plus, lâcha son foutre en moi en criant en arabe qui me semblait des vulgarités. Il se retira et l'autre, aussitôt, se remit à me manger le cul, avalant tout le foutre qui coulait de ma rosette. Mais lui aussi désirait jouir et il m'enfila à nouveau pour, cette fois, ne pas trop attendre avant d'éjaculer. Tous deux me sourirent avant de me quitter et encore une fois, je demeurai là, sur mon appétit, jusqu'à ce que l'arabe à grosse queue rebrousse chemin. Il prit place près de moi, se couchant sur le dos pour me fixer en me souriant. " Tu sais que tu es mec craquant, me dit-il. J'aimerais bien t'embrasser". Surpris, je plissai le front, ne m'attendant nullement à cela de sa part. Je lui donnai ce qu'il voulait et dieu qu'il embrassait bien. "J'aimerais te faire jouir à mon tour", me dit-il en me caressant une joue. Malheureusement pour toi, je n'aime pas me faire bourrer le cul". "Tu pourrais peut-être bourrer le mien à nouveau", lui dis-je et sans se faire prier, il enleva son bermuda et sa queue, bien droite, m'invita à m'y asseoir. Wowww... Je la sentais encore plus profondément et cette fois-ci, c'était moi qui contrôlais et de voir ce joli visage brunâtre qui se crispait tant son plaisir étant grand... Sa large main se referma sur ma bite et son mouvement de va-et-vient m'obligea à cracher mon yaourt sur son torse tandis qu'il se laissait encore aller pour me remplir à nouveau le cul de son sperme chaud et gluant. Il étira son bras pour m'inviter à me blottir contre lui. C'était la première fois qu'un mec était si tendre dans un endroit du genre. "Je ne t'ai jamais vu ici", me dit-il. "Je viens d'emménager dans le coin. Je me suis acheté une maison de l'autre côté du boisé. Je ne connaissais pas cet endroit". "Wow... tu es proche du terrain de jeu alors", dit-il en riant. "Et toi tu viens souvent avec ton chum?" "Ce mec n'est pas mon copain. Je l'ai rencontré tout à l'heure. Je ne sais même pas son prénom".
Et c'est ainsi que je l'invitai chez moi où il y passa la nuit, n'oubliant pas de me donner son numéro de cellulaire avant de quitter le matin venu.
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