La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 487)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°483 -
Le Marquis dEvans est assez fier de savoir que cest le duo de Ses deux chiennes-femelles MDE qui a gagné la course, un jeu quIL venait à linstant même dinventer pour divertir lassemblée dune part, mais également pour relever le défi lancé par Maître DOz et Maître Kas dont les deux soumises, elles aussi reliées par le cul par un long gode anal à double entrée, ont eu bien plus de mal que le tandem de Ses propres esclaves pour crapahuter sur le côté une fois attachées solidairement. Le Châtelain, sourire aux lèvres, ordonne à Sa soumise Holly MDE de reprendre sa place. La chienne se met aussi sec à quatre pattes derrière le Maître Vénéré, en tendant la dragonne de sa laisse dans sa main droite pour que le Dominant puisse la saisir quand IL lui semblera bon de le faire. Le Noble séloigne sans avoir daigné prendre la laisse en main cette fois, et la chienne bien dressée lui emboite le pas ayant pris dans sa bouche entre ses lèvres le bout de la laisse pour quelle ne traîne pas.
Pendant ce temps, les deux esclaves N° 9MDE et N° 15MDE sont venues sincliner pour baiser les pieds des Maîtres respectifs auxquels elles ont été affectées pour toute la soirée anniversaire à la suite du tirage au sort. Cest Maître dOz qui prend la parole en premier, tandis quil demande à sa soumise annazo de venir juste à ses côtés. Maître Kas, lui adresse un sourire complice, tout en caressant la croupe de sa soumise flore échauffée pendant lexercice.
- Alors, voilà nos deux gagnantes prosternées aux culs bien dilatés. Il me semble quelles méritent toutes les deux un trophée, ne crois-tu pas mon cher ami ?
- Oui, tout à fait un trophée quelles pourront arborer dignement pendant le reste de la nuit. A mon avis, il faudrait également leur offrir un petit cadeau coloré. La couleur de la victoire nest-elle pas le rouge ?
Les deux Dominants sesclaffent de rire, ce qui inquiète très largement les deux esclaves toujours dans une position des plus indécentes, prosternées têtes au sol avec le cul bien relevé et les deux petits trous encore béants.
- Cher Maître Kas, tu as raison pour le rouge couleur de la victoire dont je vais mempresser de les parer juste après, mais avant remettons leur ce beau trophée dans le cul. Elles sont bien dignes de le porter tant lune que lautre. « La nature a horreur du vide » disait en son temps Aristote, alors tout naturellement comblons ces trous qui forment de jolis vases pour y fourrer nos deux trophées.
Maître DOz att le premier long gode et le rendre sans difficulté dans lanus encore dilaté de lesclave N°15MDE. Il fait pareil avec le deuxième long morceau de plastique noir quil enfile profondément dans le fondement de lesclave N°9MDE. Maître Kas qui tient à prendre part à la « remise des médailles » sapproche des deux croupes quil commence à caresser et à fesser lune après lautre pour y imprimer la marque de ses doigts, avant dajouter.
- Cela ne suffit pas pour une telle victoire, il faudrait beaucoup plus de rouge pour nos deux gagnantes aux culs ornés. Comme cela elles seront en « rouge et noir » et je pense même quelles vont pouvoir nous chanter allégrement le refrain de la célèbre chanson «
. En rouge et noir, jexilerai ma peur. Jirai plus haut que ces montagnes de douleur
.. »
Maître DOz reprend de plus belle tout en continuant dune voix sarcastique qui laisse transparaître le plaisir quil prend à se jouer des deux chiennes qui lui ont fait perdre son défi avec Monsieur le Marquis dEvans.
- Bien, les deux chiennes, relevez encore un peu plus votre croupe que lon puisse apercevoir que vous savez porter dignement les superbes trophées phalliques que nous vous avons remis. Pour linstant, ils ont lair un peu de piquer du nez et moi jaimerai les voir fièrement bandés et dressés vers le ciel.
Un exploit difficilement réalisable car le gode souple qui nest enfoncé que sur la moitié retombe ment au niveau de toute la deuxième partie extérieure. Pour parfaire à lhumiliation des deux soumises enculées, les deux Maîtres jouent avec les deux doubles godes, les relevant et les laissant retomber dans tous les sens, comme si elles avaient dans le cul un plug avec une queue rigide. Maître Kas qui avait suggérer dajouter du rouge à la scène intervient.
- Nous allons maintenant vous couronner les fesses. Vous voyez combien nous sommes gentils avec vous. Je reste persuadée que pour des esclaves MDE cela va être une vraie partie de plaisir excitante, et pour nous remercier de la peine que nous allons prendre Maître DOz et moi-même à vous décorer le postérieur, vous pourrez utiliser votre langue de chienne sur les chattes de nos deux protégées que nous sommes bien obligées de punir en les privant du bonheur de recevoir de nos propres mains quelques bons coups de martinet réchauffants.
Maître DOz att pendant ce temps-là deux martinets à lanières de cuir fines et dures, identiques à celui-là même qui a été utilisé pendant la course sur les croupes des deux soumises lorsquelles avaient le malheur de parler ou de crier, narrivant pas à se déplacer pour avancer sur le côté. Il fait installer couchée sur le dos annazo, qui se glisse entre les bras et les jambes de lesclave à sa disposition, de manière à ce que le bas-ventre de sa soumise soit juste au-dessous du visage de la chienne. Maître Kas imite son ami et place sa soumise flore de telle manière que son bouton de rose soit à portée de langue de lautre chienne N°9MDE en levrette.
Les coups de martinet vont bon train, donné en 8 sur chaque fesse qui se teinte peu à peu, car ni Maître DOz, ni Maître Kas ne ménagent leur peine, prenant un plaisir D/s dautant plus pervers que cela leur permet en partie de se venger sur les croupes dociles des deux responsables de la défaite de leurs soumises respectives. Les lanières des martinets qui sabattent sur les fesses et les cuisses de deux chiennes en levrette viennent souvent heurter le double gode anal qui empale sur la moitié de sa longueur lune et lautre des deux esclaves. Lautre moitié en débordement se baladant de plus belle au gré des mouvements des lanières du martinet, ce qui ne manque pas à chaque coup de venir encore plus se ressentir à lintérieur du rectum déjà largement sollicité depuis un long moment, imprimant des mouvements désordonnés dautant plus incommodes, tout en étant très excitants charnellement, que les deux esclaves ont été obligé de serrer fortement tous les muscles fessiers depuis quelles ont été parées pour ne pas tomber le « trophée » dont elles ont été gratifiées, et ce bien évidemment sous peine de sanction supplémentaire.
Les deux esclaves MDE, dociles et entrainées à être de vrais objets destinés à savoir donner du plaisir, sappliquent de leur mieux pour faire glisser leur langue de chiennes-femelles bien dressées dans les cavernes humides de flore et annazo qui gémissent à nouveau mais dun tout autre genre plus jouissif que lors du précédent jeu inventé par le Marquis dEvans. Les soupirs des deux soumises saccélèrent sous les coups de langue savants des deux chiennes qui ne ménagent pas leur peine, manquant presque de respiration à force davoir le nez et la bouche glissés entre les lèvres humides pour titiller toutes les zones érogènes à leur portée, suçant, aspirant, titillant et mordillant les clitoris gonflés de désirs et les lèvres intimes couvertes autant de cyprine coulante que de salive débordante. Au moment où annazo se met à couiner un peu plus fort, Maître DOz dun simple coup de pied fait se dégager lesclave N°15MDE pour prendre la place entre les cuisses de sa dominée quil fourre dun coup sec ayant juste pris le temps de défaire sa braguette et de baisser son boxer. Il a fait passer les jambes de sa belle au-dessus de ses épaules pour profiter dune pénétration plus profonde, et sachant sa belle très excitée après ces longues préliminaires linguales qui ont suivis les jeux D/s, aussi excitée que lest à cet instant sa Queue gonflée et dure, il donne de grands coups de butoir en poussant des cris rauques de mâle en rut. Il a attrapé sa femelle par les hanches pour pouvoir lui-même imposer le rythme des pénétrations. annazo crie sa jouissance une première fois, ce qui ne fait que faire croitre le désir phallique du mâle bien décidé à pouvoir faire chanter sa soumise plusieurs fois avant de se répandre en elle.
Dans le même temps, Maître Kas qui a également entre les cuisses un phallus bien ferme, ne pouvant rester de marbre devant le spectacle de son ami en train de copuler comme une bête sauvage et très excité à la vue de la chatte soyeuse de sa belle flore, bien lubrifiée après les savants coups de langue de lesclave MDE, décide lui aussi daller profiter dun fourreau bien chaud qui ne demande pas mieux que de laccueillir. Il fait dégager lesclave N°9MDE sinstalle à genoux entre les cuisses de sa belle femelle quil relève pour pouvoir introduire sa verge dun seul trait et sans préambule dans le vagin trempé de sa douce. Il se penche vers lavant en prenant appui sur les mains ce qui a pour effet de lui permettre de relever un peu les fesses et intime lordre à lesclave inoccupée de venir pendant ce temps lui lécher les couilles et lanus pour pouvoir augmenter ses sensations sensuelles et son plaisir jouissif. Cest dans une chanson orgasmique des plus bruyantes que les deux invités libèrent presque de concert leur foutre dans les corps enflammés de leurs deux partenaires. Maîtres et soumises saffalent par terre dépuisement, profitant de ce temps paisible de bien-être qui suit lorgasme dans des enlacements très câlins, tandis que les deux esclaves se sont remises en levrette à côté, le cul bien relevé, ayant toujours inséré en leur fondement la moitié du double gode anal noir, qui tranche magnifiquement avec la couleur rouge vif de leur postérieur qui a été bien échauffé par les nombreux coups de martinets.
De son côté, Monsieur le Marquis dEvans continue le tour de ses invités étant revenu dans la Grand Hall transformé en Donjon D/s pour toute la nuitée orgiaque. Près de la porte dentrée, IL a croisé Maître kuaizi, un Dominant qui na rien dasiatique dans ses gênes mais qui a un goût assez raffiné pour toutes ces cultures orientales, qui pratiquent la D/s avec art et suavité. Spécialiste des traditionnels shibari ou kinkaku et autres techniques de bondage, il a pris grand plaisir à encorder avec technique autant que beauté lesclave-femelle N°3MDE depuis le début de la soirée, se servant de son corps comme modèle pour tous les autres Dominants intéressés par la démonstration de son savoir-faire et lapprentissage de quelques figures dencordage de base. Le Maître en bondage vient de délaisser pour linstant lesclave qui porte sur de nombreux endroits du corps les marques des cordes quil vient de défaire, lui laissant le temps de reprendre ses esprits avant de recommencer un nouveau tableau en suspension dans une autre posture, car il ne pouvait pas la garder très longtemps avec la tête en bas, histoire dirrigation qui ne doit pas monter trop longtemps en grande quantité au cerveau. Lesclave a le droit aussi pendant son temps de pause de pouvoir se masser les bras, les jambes, les seins et le ventre pour réactiver la circulation au niveau superficiel de la peau qui a été légèrement compressée par les cordes et sen trouve de fait marquée temporairement.
Maître kuaizi décide quil est temps pour lui de soccuper de sa propre soumise utilisant pour loccasion, une autre nature dinstruments détournés de leur utilisation première, mais quil affectionne tout particulièrement, les baguettes chinoises. Cest dailleurs son grand attrait de ces petits morceaux de bois ou de plastiques utilisés en théorie pour manger par ceux qui ne se servent pas comme les occidentaux que nous sommes de fourchettes et couteaux. Un ustensile du quotidien à forte connotation asiatique, même sil est de plus en plus répandu dans le monde entier avec le développement des restaurants japonais, chinois, Thaï, etc ; un objet qui est à lorigine même de son nom de Maître D/s, puisque kuaizi nest autre que le mot baguette en chinois transcrit phonétiquement. Grand amateur également désotérisme, de spiritualisme et dalchimie, il a sur la relation D/s une approche très personnelle qui est selon lui une interconnexion permanente desprit autant que de corps entre le/la Dominant(e) et le/la dominé(e), qui cherchent tant lUn que lautre à atteindre la félicité charnelle et intellectuelle, à travers lextase du plaisir sans limite permettant la fusion des êtres sexués et des âmes, la sublimation des sens qui doivent être développés jusquà leur paroxysme, la recherche du graal sacré au plus profond du moi intime de chacun. En la transposant dans un contexte D/s, il a fait sienne une devise ésotérique extraite de « La Table dEmeraude » mais que ne démentirait pas le grand Einstein avec sa théorie physique du Tout « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est bas ». Cest ce qui lui permet daffirmer que pour sa part, il considère que Maître et soumise sont sur un plan dégalité en terme dhumanité mais quils ont juste deux manières opposées dexprimer leurs pulsions et leur sensualités personnelles si complémentaires. Il pense que la D/s est un des moyens qui permet de se libérer en profondeur et de consti une véritable fusion dâme dans un état de grande confiance réciproque, trouvant même que la D/s, à linstar de la théorie des âmes jumelles cosmiques, se suffit à elle-même lorsque les deux partenaires prédestinés ont eu la chance de pouvoir se croiser en ce monde et se reconnaître tels deux aimants pour laisser leur attirance réciproque se développer et leur permettre de fusionner.
Cest en partant de ce principe de dualité et dunion-fusion quil a baptisé sa fidèle soumise du nom de « iziauk » qui nest autre que le mot en verlan du nom même du Dominant (pour lun lu de gauche à droite, pour lautre lu de droite à gauche - le sens de lecture vertical ou horizontal nétant dailleurs pas universel sur la planète). Maître kuaizi et soumise iziauk ne forment plus quun depuis des années, la soumise vivant les passions du Maître comme les siennes propres, nayant dautres désirs que ceux-là même de Maître kuaizi à qui elle voue un amour passionné et une soumission des plus dévouées. Le Dominant ne cherchant de son côté quà combler de bonheur, damour et de plaisirs celle qui partage sa vie et son quotidien, sans distinction pour eux entre les deux mondes vanille et chocolat, qui se veulent plus ou moins séparés pour dautres membres de la communauté BDSM, ayant des approches et attentes différentes.
Le Dominant a fait installer sa soumise sur un banc D/s
(A suivre
)
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