Baise Avec Une Fondue
Non, ne pars pas, reste encore, baises moi toujours. Jai envie de ta queue.
Pourtant je lai baisé longtemps, par tous les endroits possibles. Elle a jouit je ne sais combien de fois, jai joui presque autant quelle. Ma bite connais tout son corps, depuis sa bouche jusquà ses pieds quand elle me branlait avec les deux réunis.
Nous nous sommes connus par hasard, dans le rue quand je lai abordée durement: je regardais ailleurs. Jallais la faire tomber: je lai retenue. Je ne regrette rien, au contraire.
Nous sommes allés boire un petit noir. Jai eu envie delle presque de suite. Jai pris une main, je lai faite lever. Sans mot dire, elle ma poussé chez elle. Dans son séjour nous avons échangé un premier baiser, et quel baiser. Nos lèvres ne veulent plus se séparer, nos langues sont trop contentes de se battre.
Je sens son corps contre le mien, avec sa chaleur et sa douceur. Elle me rappelle la première femme que javais eu comme amante. Quand nous avons fini de faire jouer nos langues, je lai déshabillée. Elle me laisse faire.
Jai pu découvrir son corps, ses endroits secrets, son odeur de femelle en chaleur. Pendant que je me préoccupe de son corps, elle aussi me déshabille. Elle enlève tous mes vêtements sauf un: mon slip: il est déformé par ma queue en érection qui en sort à moitié. Je bande plus que les autres fois. Il me tarde daller cueillir les fraises de ses seins. Elle se penche en arrière pendant que je suce ses pointes.
Nous sommes comme des débutants, immobiles devant les caresses de lautre. Je sens à peine ses ongles sur mon dos. Par contre je sens ma bite sur son ventre.
Je la tiens par la taille avant de lui passer mes mains entre ses cuisses: elle les ouvre largement, à ma disposition pour la suite. Elle me tient par le cou dune main, me caresse le dos de lautre. Comment ne pas tenir compte de son désir, de notre désir. Quand enfin elle parle:
- Viens dans la chambre, allons baiser, jen ai envie.
- Tu préfère quoi ?
- Rien de particulier, jaime tout. Allons baiser vite.
Elle me tient par la queue. Nous sommes dans sa chambre. Je lassois sur son lit. Aussitôt elle écarte les jambes, me donne son abricot. Ma tête na quun seul but, sa chatte ouverte. Son odeur mattire comme une fleur attire les abeilles. Ma langue ne fait quun passage de repérage de son rectum à son clitoris. Maintenant ce sont mes lèvres qui prennent tout de quelles trouvent: le clitoris dabord, bien sur. Cest étrange comme je suis attitré par cette petite bite des femmes. Je laspire un instant: elle se cabre déjà. Jespère quelle ne va pas jouir, maintenant. Si justement elle commence sa nuit. Tant pis je continue sans tenir compte de ses orgasmes. Dune voix rauque elle me dit:
- Oui, encore, narrêtes pas.
Je veux bien: elle ne se rend pas compte que je bande sans quelle mai une seule fois soulagé.
Je continue en passant par sa moule. Jai tout son gout condensé dans le vagin de la dame. Jen profite largement, même si elle jouit toujours. Je nen peux plus, je la couche normalement sur le lit, me glisse entre ses jambes.
- Baises moi longtemps.
Je ne veux pas la louper; je met ma queue dans son val. Ses jambes restent étendues. Pourtant quand je suis au fond de sa grotte, elle passes ses jambes sur le miennes, à hauteur des genoux. Nos pubis sentrechoquent en faisant des bruits de pistons. Elle jouit encore une fois, juste avant que mon sperme aille se perdre dans son ventre.
- Ne pars pas, reste dans ma chatte.
Je reste, même si je débande un peu. Elle sait ce quelle fait, avec des mouvement de son vagin elle arrive à force de me resserrer à me remettre en forme. Je ne bouge pas, elle soccupe de tout. Sans me perdre, elle passe sur moi, reste ainsi collée. Je nai plus à bouger, cest elle qui fait aller et venir son ventre sur moi. Ma bite est toujours encastrée dans sa gaine. A mon tour de me laisser faire: elle baise fort bien, presque trop: je sens monter en moi ce plaisir indescriptible, juste avant lorgasme ravageur.
Elle se relève pour me prendre dans la bouche: elle profite des restes de mon liquide. Sa langue senroule presque autour de ma bite. Je ne sais comment elle arrive à me faire bander encore.
Jai visité toute sa tuyauterie, sauf un dernier trou. Cest là quelle me désire:
- Viens, finis moi, encules moi.
- Déjà?
- Oui jaime me faire mettre par larrière.
- Mets toi en levrette.
Elle nattendait que cet ordre: ses fesses sont à la hauteur de ma pine. Je pensais quelle allait se mouiller le cul. Ce nest pas la peine, elle la déjà très humide à cause de la richesse de sa cyprine.
Jai à peine le temps de venir en place et de lui poser la queue sur lanus. Je suis rapidement, trop à mon gré, au fond de cette cavité nouvelle. Je passe une main sous elle: je trouve sa main déjà en place: elle se branle. Ces fois ci encore, elle jouit. Cest une machine à orgasme quelle a dans le ventre.
- Encore, baises moi.
Elle ne le sait pas, je nen peux plus alors quelle voudrai encore que je la lui mette. Mais où et surtout comment.
Elle me reprend dans la bouche, lèche longuement le gland et arrive à me faire bander.
Elle sort un gode de bonne taille, me le donne pour que je lencule avec. Elle revient sur moi pour se mettre la queue dans la grotte: elle recommence avec bonheur la même baise que tout à lheure. Je commence à peine à être fort bien dans son ventre quelle me demande de lui planter le gode dans le cul.
Je ne pensais jamais quune femme puisse aimer à ce point là les doubles pénétrations. Elle remue dans tous les sens, je profite de la présence dun intrus dans son anus: je le sens à chaque passage contre ma bite. Je me demande ce que je fais en réalité: je la baise ou je me branle.
Je pars une dernière fois. Je me lève, elle me supplie de la baiser encore. Jai bien profité de son corps, maintenant je veux le digérer en souvenirs pour me masturber chez moi.
A loccasion je viendrai chez elle passer une nuit de temps en temps;
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