Le Curé Polisson Les Aventures De Fabienne 05

LE CURÉ POLISSON Les Aventures de Fabienne 05
Pour mémoire, ces aventures érotiques, concept et photographies, me sont confiées par Steph (stefalpin chez HDS), le mari de Fabienne qui me révèle l'histoire sulfureuse de son épouse ; il me communique également les photographies très explicites de celle-ci. Je ne fais que rédiger au mieux ses confidences.

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« Parmi les actes préliminaires du coït, sont considérés comme, véniels, 
la pénétration du pénis dans la bouche et l’introduction d’un doigt dans l’anus de la femme ».


(Code ecclésiastique).
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Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses s qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effec la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies, lui fait subir un odieux chantage, et vient la prendre et la faire jouir, lui occasionnant encore plus d’humiliation. Il l’offre à un vieil aristocrate dans son château, où, les yeux bandés, elle doit subir ses attouchements, jusqu’au moment où, l’allongeant sur une table, il écarte ses cuisses et lui bouffe littéralement la chatte, la faisant hurler de plaisir… Puis, il la baise en levrette et la soumet à sa première sodomie. Cette fois-ci l’ignominie est à son comble…

Fabienne est ramenée chez elle par Hassan, après la séance mémorable, où elle a subi la défloration de son anus, par un inconnu, puisqu’elle a toujours eu un bandeau sur les yeux ; certainement, un vieil aristocrate qui vit dans un château de la région, d’après les rares confidences du jeune beur. Son postérieur est encore douloureux après le gros sexe qui l’a pilonné outrageusement. Malgré tout, et malgré son dégoût de soi, elle ne veut se souvenir que de la volupté ressentie, et des incroyables orgasmes éprouvés pour la première fois de sa vie.

Elle chasse de ses pensées, la honte de s’être conduite avec une certaine indignité dans cette fornication interdite par l’église.

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En repensant à tout ce qu’elle a accepté ces derniers jours, elle, la mère et l’épouse exemplaire, elle songe qu’elle doit aller se confesser. Que va dire le père Benoist, vieux curé de la paroisse qu’elle connaît depuis toute jeunette, lorsqu’elle va lui confesser les dépravations auxquelles elle s’est livrée, Oh bien sûr, à son corps défendant. Mais elle ne pourra lui cacher, si elle veut être absoute de ses péchés, qu’elle y a pris du plaisir, plus qu’elle ne devrait. Pour se rendre à l’église, proche de son domicile, elle revêt une robe droite de couleur bleu marine parsemée de grosses marguerites blanches, se boutonnant par-devant, une petite culotte blanche en coton et un collant de couleur noir opaque. Des chaussures à talons plats complètent sa tenue. Avant d’entrer dans l’église, à 16 heures, Fabienne recouvre sa tête d’un voile en dentelle noire et se rend dans la nef complètement déserte à cette heure. Elle s’approche du confessionnal qu’elle trouve vide. Elle continue alors son chemin par le déambulatoire vers la sacristie. Une lourde porte en ferme l’accès, qu’elle a bien du mal à pousser. Un prêtre est de dos vers le fond en train de préparer des vêtements sacerdotaux. Elle ne reconnaît pas la silhouette voutée du père Benoist. En s’approchant un peu plus, elle s’aperçoit avec étonnement, qu’il s’agit d’un jeune abbé de couleur, certainement un Antillais vu son teint noir.

Toute tremblante, elle s’adresse à lui :

- Pardon Monsieur l’Abbé, je cherche le père Benoist, car c’est son jour de confession ?

- Bonjour Madame. Le père Benoist est malheureusement tombé malade et il est actuellement hospitalisé. Je le remplace provisoirement, car nul ne sait quand il pourra revenir. Dieu seul le sait ma fille.

- Mais alors, il n’y a personne pour se confesser ?

- Si, bien sûr, ma fille, je suis le vicaire Antonin, mais vous pouvez m’appeler mon Père, et je suis là pour vous écouter.


Fabienne a une brusque bouffée de chaleur et le rouge lui monte au front. Comment va-t-elle pouvoir se confesser à ce jeune curé. Surtout que ce ne sont pas des péchés véniels qu’elle a, à se faire pardonner, mais des péchés graves, peut-être mortels, elle ne sait trop. Et comment avouer des fellations, des coïts endiablés et l’acte sodomique qu’elle vient de subir la veille.

Mais elle n’a pas le temps de réfléchir plus avant, le vicaire la prend par le bras et, passant le seuil de la sacristie, il conduit fermement la pénitente vers le confessionnal. La faisant entrer dans le compartiment prévu à cet effet, il s’enferme dans celui du centre. Puis ouvrant le volet qui s’ouvre sur un grillage, il s’adresse à Fabienne :

- Je vous écoute, ma fille, énumérez-moi vos péchés ?
-
Alors, tout en pleurant à chaudes larmes, Fabienne énumère tout ce qui lui est arrivé en à peine une semaine. La pression de Paulin suite à l’indélicatesse de son fils aîné Julien et l’acceptation de la fellation administrée à cet homme, dont elle a été obligée d’avaler le sperme jusqu’à la dernière goutte, ainsi que le cunnilingus qu’elle a subi. Pour finir, elle a dû accepter de se faire prendre par ce Paulin qui a labouré son intimité avec son sexe.

- Vous en avez retiré du plaisir ma fille ? Interroge le prêtre

- Ou…..Oui…. mon Père, je…. Je le confesse, répond-elle

- C’est tout ce que vous avez à me confesser ma fille ?

- No… Non… Le lendemain……

Et alors, Fabienne déballe l’odieux chantage du jeune beur, Hassan, qui a pris des photographies de son infamie avec Paulin, et de la séance qui s’est passée dans son propre appartement avec le jeune homme, du plaisir inouï qu’elle a ressenti à se faire prendre par ce jeune voyou. Puis, sur sa lancée, elle raconte comment Hassan l’a entrainée dans son van ; qu’il lui a bandé les yeux et qu’elle a dû subir les derniers outrages, dans ce qu’elle croit être les cachots d’un vieux château.
En outre, ses fesses ont été es et un pénis a pénétré dans son œillet, perforant son rectum jusqu’aux intestins.

Fabienne est en pleurs lorsque le prêtre lui adresse la parole :

- Vous savez, pauvre pécheresse que la pénitence que Dieu va vous infliger est en corrélation avec les aveux de fornication que vous venez de faire. Alors levez-vous et venez recevoir votre châtiment !

La pauvre pécheresse se lève toute tremblante et tirant la porte du confesseur, se glisse dans la petite cabine. L’abbé de couleur est assis sur sa banquette, la soutane relevée jusqu’au nombril, alors qu’un mandrin vigoureux est dressé entre ses jambes. Fabienne est épouvantée par ce qu’elle voit et surtout par ce qu’elle pressent. D’ailleurs, le jeune Noir ne lui laisse pas le temps de se reprendre.

- Allons ma fille, ouvrez la bouche en grand et avalez-moi ce sucre d’orge. C’est la première punition que Dieu vous inflige.

Fabienne, résignée, prend le pénis du religieux dans ses deux mains, tellement la tige est grosse et longue et lèche le gland congestionné, qui, à sa grande surprise est tout rouge, alors que le reste de la queue est d’un beau noir. Elle s’applique, ouvrant ses mâchoires le plus possible pour engloutir l’énorme pine, qui bientôt heurte la glotte, occasionnant à la jeune mère un horrible haut le cœur. L’abbé Antonin fait aller son vit dans la gorge de sa pénitente sans douceur à présent. Celle-ci, lorsque le nœud atteint le fond de sa gorge, a des flots de larmes qui jaillissent et de la bave lui coule jusqu’au menton. Mais bientôt, l’abbé ne peut plus retenir le sperme qui court dans son urètre et un flot de foutre jaillit, débordant des lèvres de Fabienne, qui avale le jus poisseux sans protester.

Elle pense en avoir fini avec la pénitence imposée, mais l’abbé revient à la charge :

- Ma fille, je connais Hassan, il a été éduqué dans la religion chrétienne par sa mère, une Bretonne qui est une des paroissiennes les plus assidues de cette église.
Nous allons le convoquer et vérifier ses dires et les vôtres, demain à 16 heures en cette église.

Fabienne est terrorisée, pensant que ça n’en finira jamais, surtout maintenant que ce nouveau curé veut profiter d’elle, alors que toute sa famille fréquente l’église quotidiennement. Surtout sa sœur et son beau-frère qui veulent toujours lui faire la leçon. Elle rentre chez elle, commençant à ne plus croire à rien, même plus à la religion qui la trahit par son serviteur, qui va vouloir certainement encore profiter de son corps..

Le lendemain matin, Fabienne prend un bain chaud qui la détend durant plus de trois quarts d’heure ; elle le prolonge par une douche glacée qui la cingle et assure sa pleine forme. Elle se doute que l’abbé avec son sexe énorme ne va pas la ménager. Elle se sent tout de même paniquée à l’idée que ce pénis impressionnant puisse pénétrer dans son petit minou. Comment va-t-elle se comporter avec ces deux hommes ? Elle panique aussi à l’idée de cette convocation à l’église paroissiale. Si des connaissances ou même des membres de sa famille la voit à cette heure à l’église, alors qu’il n’y a pas d’office. Que vont-ils penser ?

Au tout début de l’après-midi, elle s’habille pour aller voir le prêtre. Elle met un soutien-gorge à balconnet blanc parsemé de fleurs multicolores, assorti d’un slip identique. Puis, se doutant qu’elle n’en a pas fini avec son suborneur, elle enfile une robe noire en taffetas et un haut gris, enfilant une paire de bas Dim-Up en voile de teinte gazelle.

Lorsque Fabienne s’introduit avec circonspection dans la nef de l’église, elle se sent soulagée en ne voyant aucun paroissien. Elle s’approche du confessionnal, lorsque l’abbé Antonin en sort et l’entraine rapidement vers une crypte derrière l’autel. C’est là que le prêtre lui enlève ses vêtements, ne lui laissant que ses bas. Puis il enlève sa soutane en un tour de main, se retrouvant nu devant elle et lui présentant sa verge à sucer. La pauvre femme n’a pas le choix, elle s’agenouille devant l’abbé et le pompe sans rechigner jusqu’à ce que celui-ci l’oblige à se disposer à quatre pattes sur l’autel, où il la prend en levrette, poussant son gros vît jusqu’au plus profond de la matrice, cognant l’utérus de toutes ses forces. Fabienne ne peut s’empêcher de hurler lorsque le gourdin du prêtre la défonce sans ralentir. Puis le vicaire la prenant en pitié, la retourne en un tour de main et la prend dans la position du missionnaire, si bien nommée cette fois-ci. Il la besogne avec ardeur, mais sans trop la malmener, la faisant jouir et avoir plusieurs orgasmes brefs.

C’est à ce moment qu’Hassan, le jeune beur apparaît très décontracté. Il a passé un débardeur sur un jean’s délavé, ainsi que des Nike aux pieds. L’abbé Antonin l’apostrophe.

- Tu as bien fermé la grande porte du parvis à clé ?
- Oui mon Père, je l’ai verrouillée de l’intérieur.
- Tant mieux, j’ai fermé les trois autres portes et la sacristie. Nous ne risquons pas d’être dérangés et nous allons pouvoir nous amuser avec cette ouaille qui ne demande que ça.

Hassan a enlevé ses nippes en un tour de main et c’est dans le plus simple appareil que l’abbé et le jeune beur entrainent une Fabienne affolée d’être nue dans la nef de l’église.

Les deux compères s’installent entre les bancs des dernières rangées et, à tour de rôle, ils se font pomper leur queue et bouffent à qui mieux mieux la chatte ruisselante de la pauvre paroissienne. Fabienne s’applique le mieux qu’elle le peut à sucer les verges de ses suborneurs. Elle a du mal parfois à se concentrer, car sa chatte est sollicitée par les doigts habiles des deux hommes, mais surtout, par leurs lèvres et leurs langues qui mènent une sarabande dans ses chairs intimes et sur son clitoris qui a doublé de volume. Elle gémit et se laisse même aller à crier sa jouissance, n’ayant plus peur, car elle sait à présent qu’aucun visiteur impromptu ne peut pénétrer dans l’église.

Quand à tour de rôle, ils la prennent en levrette, pendant qu’elle suce le partenaire, elle se donne en projetant son cul vers la bite qui la perfore, ayant perdu toute inhibition de se savoir dans la maison de Dieu, alors qu’un de ses serviteurs se sert de sa chair avec concupiscence et la plus grande lubricité. Elle suce désormais avec avidité les glands des deux hommes, prenant un plaisir fou à engloutir au fond de sa gorge, la pine qui vient ou qui va se plonger au fond de son vagin. Elle a perdu toute dignité se vautrant dans cette fange qui lui faisait horreur il y a encore peu de temps.

Mais elle n’en a pas fini avec les deux compères qui l’emportent dans leurs bras vers l’autel principal. Cette fois, c’est son postérieur qu’ils veulent. L ‘abbé va chercher une burette d’huile pour lubrifier la rosace de sa jeune paroissienne. Il fait couler l’huile sur l’œillet encore fermé et introduit le liquide avec ses doigts. Puis, il présente son gland et pousse inexorablement sa queue qui perfore les sphincters, faisant encore hurler Fabienne qui n’a été que brièvement initiée par le châtelain à la sodomie. Mais Antonin n’écoutant pas les supplications de la jeune femme, encule proprement sa proie, poussant sa verge jusqu’au plus profond du rectum. Il la ramone ainsi pendant de longues minutes, ayant mis les jambes de Fabienne autour de son cou pour prendre possession du cul de la belle avec encore plus de facilité. Elle transpire de tout son corps sous celui du vicaire qui prend son plaisir, mais qui en donne aussi, car elle éprouve un orgasme intense à se faire prendre de la sorte, et soudain, elle hurle sa jouissance en lançant ses fesses au-devant de la grosse pine qui perfore ses entrailles et qui éjecte son sperme copieusement dans l’antre rectal.

Épuisée, la pauvre mère de famille, n’est plus qu’un pantin désarticulé sur l’autel qui vient de supporter la fornication sodomite de l’abbé et son ouaille. Antonin se rend à la sacristie, pendant qu’Hassan prend sa place sur l’autel. Bien que Fabienne se soit plus ou moins évanouie, il se met en place pour l’enculer également. La pauvre n’a même plus la force de protester, elle relève ses jambes gentiment et savoure cette fois la queue qui l’enfile avec douceur. Hassan la pourfend avec délicatesse, ramonant les parois rectales jusqu’à ce que Fabienne lui chuchote.

- Va plus fort mon chéri, c’est bon comme ça, mais tu peux me défoncer, j’ai envie de jouir.

Le jeune beur cesse aussitôt de prendre des précautions, car il sodomise avec la plus grande fougue ce cul qui ne demande que ça, jusqu’à ce que son foutre badigeonne le rectum trop longtemps sollicité.

Alors qu’Antonin est revenu, le trio s’étreint, s’embrasse, se tripote ; les mains et les bouches se déchaînent et pendant qu’Hassan se fait pomper la queue, l’abbé prend délicatement Fabienne dans sa chatte, lui faisant l’amour cette fois sans violence, l’amenant à jouir sans discontinuer, provoquant des orgasmes à répétition de la jeune femme qui trouve que deux hommes sont pour elle une bénédiction de Dieu, et ce ne peut être que vrai, dans ce lieu et avec un représentant aussi adroit que ce jeune prêtre…

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