Série Insolite. Épisode 2 « Carla » : Soumise À Son Mari, Elle Domine Son Beau-Fils. Partie 2/2

Lors de la première partie, je vous ai expliqué comment Carla avait fait la connaissance de Paul et comment elle avait perdu sa virginité avec lui. 1968 fut une année charnière pour cet homme, il avait déjà perdu sa femme et allait probablement perdre Carla son grand amour seulement âgée de 16 ans. En effet, il avait appris que l’usine dont il était le Directeur devait être déplacée dans une autre région. Il en profita pour négocier son départ de l’entreprise avec une grosse indemnité compensatrice à la clé. Ayant déjà toucher la prime d’assurance vie, à l’âge de 54 ans, il avait suffisamment d’argent pour profiter de la vie.

Il prévoyait de partir s’installer à Paris où il avait un appartement dans le 20e arrondissement, pour cela, il devait rompre avec Carla, même si ça lui faisait très mal, il était bien conscient qu’avec cet énorme écart d’âge, cela allait le mettre en difficulté. Ce fut un drame lorsqu’il lui avait annoncé cette nouvelle, Carla avait pleuré toute la nuit, pendant les jours suivants, celle-ci le supplia de l’emmener avec lui, c’était son vœu le plus cher, elle désirait partager sa vie. Pour lui aussi, c’était un déchirement, il avait bien réfléchi mais ne trouvait pas de solution. Cependant, lorsqu’en juin, Carla, vint prévenir Paul que son père Emilio voulait lui faire quitter l’école pour travailler, ceci lui donna une idée.

Il vérifia si elle était bien décidée de travailler, n’étant pas l’aise à l’école et ne se sentant pas capable de suivre ses études, elle lui avait juré que cela lui était égal et que le principal était qu’elle soit auprès de lui. Elle était prête à lui faire à manger et s’engagea à entretenir sa maison. Avant de prendre sa décision, il alla trouver son père et lui proposa une belle somme d’argent versée mensuellement jusqu’à sa majorité, soit pendant cinq ans. Emilio et Jeannette sachant qu’ils allaient enfin recevoir un bon salaire supplémentaire, avaient tout de suite accepté.



Ce fut la veille de leur départ qu’il lui proposa sa première sodomie, Carla était fière et était heureuse car cela faisait quelques temps qu’elle lui avait fait comprendre qu’elle aimerait bien essayer. Il la fit se dénuder, la plaça à quatre pattes sur le sol de la salle de bain, son joli cul en position. Paul ne fut pas avare en lubrifiant, il lui enduit la raie de ses fesses et avait entré et sorti plusieurs fois son index dans son petit trou. Il lubrifia la canule de la première poire à lavement, l’enfonça et vida son contenu, un mélange de lait et d’eau chauffé à 37°, dans son conduit anal. Puis vida une deuxième poire et une troisième avant de fermer l’orifice en enfonçant un petit plug dans son anus. Après quelques minutes, Carla remuait de partout, ce liquide chaud dans son ventre lui procurait un certain plaisir mais en même temps une légère souffrance.

Paul la fit se lever et la plaça dans la douche, enleva le plug avant qu’elle n’expulse ce liquide blanc en un long et puissant jet ininterrompu pendant plusieurs secondes. Après l’avoir rincée, il lui caressa délicatement l'anus, l’enduisit de lubrifiant et prit un godemichet assez long mais effilé. Carla se laissa aller lorsqu’il fit subitement pénétrer le sextoy de quelques centimètres avant de le ressortir. Il lubrifia l’engin avant de l’enfiler une nouvelle fois, un peu plus en avant dans son trou, le ressortit et recommença jusqu’à ce que le godemichet disparaisse entièrement dans son petit anus. Carla se relâcha dès que le jouet fut en place, en passant ses doigts sur son vagin, Paul put constater qu’elle mouillait de plaisir.

Lorsqu’il ressortit le sextoy, il eut l’agréable surprise de voir son anus complètement dilaté, laissant voir un trou béant. Ce soir-là, il sodomisa sa petite chérie avec une extrême tendresse, elle se masturbait le clito en même temps et lorsqu’il se vida dans son rectum, elle atteint un orgasme exceptionnel, sa jouissance sortait de son vagin pour s’écouler dans la douche comme si elle urinait.
Lui qui n’avait jamais pu enculer son épouse, il n’en revenait pas, il était très fier de lui, cette petite avait des capacités hors norme, non seulement elle avalait sa queue d’une taille très respectable en gorge profonde avec plaisir mais elle se faisait sodomiser en prenant énormément de plaisir.

Carla quitta donc sa région et sa famille pour s’installer à Paris avec certaines conditions. Paul étant devenu son tuteur, l’avait inscrit au lycée contre son gré. Il renouvela toute sa garde-robe, elle avait désormais de jolis vêtements de lycéenne et des tenues de grande classe pour toutes les sorties. Elle était traitée comme une vraie reine, Paul l’emmena tour à tour chez l’esthéticienne, chez le coiffeur, avec son maquillage assez soutenu et sa nouvelle coiffure, elle paraissait beaucoup plus âgée. Toutes les personnes qui l’avaient approchée, s’accordèrent à dire qu’elle était une magnifique jeune fille. Carla n’avait pas dix-sept ans mais à présent, sur le plan sexuel, elle était totalement épanouie, elle aimait s’offrir à Paul sans retenue.

Carla à cette époque, pouvait être considérée comme soumise à son homme. En jouant le rôle de père, sans être un vrai Dominant, Paul dirigeait tout, il donnait ses ordres et elle devait répondre à toutes ses exigences. C’était pourtant un homme très attentionné, amoureux qui savait se montrer rude quelque fois. Il lui disait comment s’habiller, comment se comporter et se montrait sévère lorsqu’elle n’avait pas de bonnes notes ou lorsqu’elle désobéissait. Il la dominait, la brusquait, sans jamais l’humilier ni l’insulter, il la respectait trop, cela la faisait énormément mouiller, elle affectionnait ses petites punitions, elle faisait exprès quelques fois de faire des bêtises afin de recevoir une fessée car l’alternance des claques et des caresses était un pur délice.

Pendant la première année à Paris, tous les week-end il lui fit visiter la capitale. Entre footing, restaurant, cinéma, musées, partie de jambes en l’air et sortie en tout genre, Carla avait quelques difficultés pour suivre ses études.
Paul était là pour l’aider car il tenait absolument qu’elle obtienne son Bac, il était sévère à ce sujet, il ne lui passait rien. Cependant, elle était parvenue à passer en première puis en terminale. Pour ces dix-huit ans, Paul lui fit une surprise, elle fit la connaissance de son fils qu’il ne voyait que de temps en temps. Celui-ci n’avait jamais compris son père, lorsqu’il avait appris qu’il en était fou amoureux d’une gamine et qu’elle vivait avec lui.

À cette époque, Alain avait déjà 30 ans et ressemblait beaucoup à Paul physiquement, dès qu’il rencontra Carla, il fut en admiration devant sa beauté, son charme et ses formes. Depuis ce jour, Alain trouvait toutes les excuses pour venir voir son père, il était, lui aussi, tombé amoureux de la belle Carla. Lui aussi l’aidait dans ses études et elle était parvenue à obtenir son Bac, juste avant ses dix-neuf ans. Ce jour-là, si elle était heureuse, Paul était aux anges, il sautait de joie et lui fit mille et un bisous. Il lui avait fait l’amour, une grande partie de la nuit et accepta la demande de sa petite chérie : se marier dès qu’elle serait majeure.

À partir de ce jour, tout s’enchaîna très vite, il l’avait inscrit à la fac pendant deux ans, elle n’avait plus beaucoup de temps à elle, entre les devoirs, les sorties et les baises multiples avec son mentor. Comme promis, le mariage fut prononcé en 1973 dans sa ville natale, ce fut l’occasion de renouer avec toute sa famille. Paul avait fait les choses en grand, ce fut une fête magnifique, même si de nombreuses personnes ne comprenait pas qu’une si jeune et si belle femme de 21 ans se mariait avec un homme de 59 ans, plus âgé que son père Emilio.

Ils étaient partis en voyage de noce en Grèce où ils passèrent les plus beaux jours de leur vie. Cependant, une semaine après leur retour, Paul fit un malaise cardiaque, lors de leur footing dominical, il tomba dans le parc en s’étirant. Carla était devenue folle, elle paniqua, ne savait pas quoi faire, elle avait eu la peur de sa vie.
Les pompiers très vite avertis, l’emmenèrent aux urgences où il dut subir une lourde opération. Son séjour à l’hôpital fut long et pénible. Pendant plusieurs semaines Carla arrêta ses études car elle voulait être auprès de lui tous les jours et lorsqu’il rentrerait à la maison, ce ne serait pas fini, il devrait passer des examens régulièrement.

Heureusement, Carla ne se trouva pas seule pendant ce calvaire au CHU, Alain venait avec elle rendre visite au malade. Après son passage en soins intensifs, lorsque Paul avait retrouvé sa chambre d’hôpital, celui-ci avait fait promettre à son fils, au cas où il mourrait, de prendre grand soin de Carla et de jamais l’abandonner. Pour des raisons pratiques et ne voulant pas rester seule dans son grand appartement, elle demanda à Alain de dormir dans la chambre d’amis, jusqu’à ce que son mari rentre à la maison. Étant en admiration devant sa « belle-mère » (de 12 ans sa cadette), le beau-fils faisait tout pour lui plaire, ils étaient devenus de très bons amis. Si Carla ne pensait pas à mal, Alain ne voyait pas les choses de la même manière.

Bien entendu, la jeune femme faisant l’amour au minimum une fois par jour, manquait de sexe. Elle profitait avant de s’endormir, les soirs seule dans son grand lit, pour jouer avec les sextoy que Paul lui avait offert. Elle soulageait ses pulsions sexuelles et dieu sait si elle en avait de nombreuses et celles-ci au bout de quinze jours d’abstinence, devenaient de plus en plus fortes. Alain dans la chambre d’à côté l’entendait jouir et cela le perturbait. Ne tenant plus, il s’était une fois aventuré à frapper à sa porte avant qu’elle ne se masturbe pour lui demander s’il pouvait venir discuter un moment. Il s’assis au bord du lit et lui posa franchement la question :
— Écoute Carla, je dois t’avouer que tu me rends dingue, j’ai très envie de toi, je sais que tu aimes mon père, mais comment fais-tu pour vivre aussi longtemps sans faire l’amour, à ton âge ?

Il n’avait pas fini sa phrase qu’il passa son bras et essaya de poser sa main sur sa poitrine. Ni une ni deux, Carla se releva dans son lit et le gifla
— Comment oses-tu Alain ! Ton père et mourant dans son lit à l’hôpital et toi tu veux me baiser comme une salope. Pour qui me prends-tu ?

Sans répondre, il accusa le coup un instant, elle avait les larmes aux yeux, elle l’aimait bien, elle était très déçue de son comportement mais elle regretta tout de suite son geste et sans attendre plus longtemps, elle lui dit : « Excuse-moi Alain, je n’aurais pas dû te mettre une claque. » Croyant en ses chances, il se coucha sur elle et essaya de l’embrasser, elle se débattait mais il était plus fort, d’autant plus qu’elle ne pouvait s’aider de ses jambes qui étaient prisonnières des draps. Ses lèvres contre les siennes, il força sa langue à pénétrer dans la bouche de la jeune mariée tout en lui pelotant les seins. Carla s’énervait, néanmoins une certaine excitation l’envahit. Elle se calma refusa d’ouvrir la bouche et en le fixant dans les yeux elle repoussa doucement son visage :

— S’il te plait Alain arrête. Je vais te dire quelque chose, j’avais à peine 14 ans, lorsque ton père m’a embrassée et masturbée pour la première fois. Depuis, aucun autre garçon ne m’a touchée, je n’ai même jamais donné un baiser à quelqu’un d’autre.
— Carla, c’est moi qui m’excuse, franchement je me suis trompée sur ton compte, je m’en veux énormément. J’espère vraiment que tu ne m’en voudras pas trop.
— Non ! Je te pardonne. Approche. Dit-elle en lui faisant une bise sur sa joue. Aller ! Retourne dans ta chambre et fais ce que je vais faire, masturbe-toi.

Cette situation avait mis en émoi, la jeune mariée, elle avait très envie de se masturber et elle avait un homme à ses côtés qui la désirait. Elle passa sa main dans le boxer d’Alain faisant jaillir sa verge en totale érection.
— D’accord ! Mais pas de pénétration !

Il était stupéfait, la main de Carla caressait délicieusement son gland, Alain n’en restait pas là, les seins de la jeune l’obsédait, il commença à les malaxer, il avait envie d'y plonger sa queue. Carla le masturbait avec une grande délicatesse et merveilleusement bien. Elle faisait coulisser et clapoter la peau de son gland qui mouillait généreusement. Elle lui demanda de s’allonger et se mit sur lui tête bêche, Carla engloutit son pénis en entier et se mit à faire aller et venir sa tête d'avant en arrière avec énergie. Pendant ce temps, la langue d’Alain léchait, suçait l’intimité de la jeune femme qui mouillait fortement : « Fais-moi jouir avec tes doigts, comme ton père sait si bien le faire. » Lui dit-elle.

Excitant son clitoris avec sa langue et sa vulve avec deux doigts, il n’avait pas fallu longtemps à Alain à faire se cambrer sa jeune partenaire, elle jouit abondamment dans sa bouche. Il se remit très vite en action, Carla malgré sa bouche pleine, en redemandait. Elle s’activait sur sa verge raide, soit avec ses lèvres, soit avec sa langue, tout en lui massant de ses deux mains ses testicules et son anus. Lorsque son visage se retrouva contre son pubis, gobant entièrement sa queue, cette gorge profonde eut pour effet, une montée en puissance de son sperme qui s’écoula profondément dans la bouche de Carla. Quelques secondes plus tard, elle jouissait à son tour pour la deuxième fois :
— Bon ! Maintenant, nous pouvons dormir. Retourne dans ta chambre et ne reviens plus m’ennuyer.

Alain fut déçu de ne pas rester dans son lit mais rassuré, Carla la fille parfaite qui en sept ans n’avait jamais trompé Paul, lui laissait une porte ouverte. Il ne regrettait pas sa promesse faite à son père. S’il lui arrivait malheur, il ferait tout pour être à ses côtés. Les jours passaient puis les semaines, la santé de Paul préoccupait les médecins, ce qui rallongeait son hospitalisation, surtout que ceux-ci ne garantissaient pas sa guérison. Paul n’était pas revenu de l’hôpital, il mourut trois mois après son intervention. Carla fut inconsolable, après l’enterrement, elle ne voulait voir personne, elle n’avait pas quitté son appartement pendant plus d’un mois.

Elle avait pris du poids et ne voulait plus voir personne au bout de deux mois, même Alain qui venait la voir régulièrement était reçu comme un chien dans un jeu de quille. Cependant il se forçait et insistait en étant le plus gentil possible. La seule personne qu’elle acceptait volontiers de voir était le gentil médecin, qui la suivait. Cet homme l’ami d’Alain lui fit comprendre qu’elle ne devait pas rester seule, qu’elle devait sortir pour se changer les idées. Depuis lors Alain venait prendre de ses nouvelles tous les soirs après la consultation du médecin et lui tenait compagnie pendant plus une heure, avant de repartir. Ils étaient redevenus très proches comme par le passé, cependant le fils de Paul restait patient, il attendait qu’elle fasse le premier pas et savait dans son for intérieur qu’elle le ferait.

Ce fut grâce à lui qu’elle commençait à reprendre gout à la vie, il lui avait fait comprendre qu’elle devait se reprendre en main. Carla reprit ses footings, s’habillait, se maquillait, sortait et attendait avec impatience, 20 heures, la venue de son ami. Lors d’une sortie au restaurant, Carla comprit qu’elle était très attirée par les hommes très âgés. Même s’il ne les paraissait pas, Alain avait 33 ans. Elle eut une forte envie de lui faire l’amour, ses pulsions sexuelles venaient de ressurgir. Lorsqu’il avait voulu la déposer devant chez elle, Carla lui dit franchement : « J’ai envie de faire l’amour Alain, tu veux bien monter ? » Quelques minutes plus tard, ils se trouvaient sur le canapé de son salon.

Il crut tomber sur la tête, se demandant comment cela puisse être possible. Son rêve devint réalité, il se retrouvait bien seul avec elle qui lui servit un verre. N’étant pas certain de bien avoir compris, il fut rassuré lorsqu’il vit Carla faire son striptease. Voyant cette déesse en lingerie très érotiques, Alain bandait fortement, il était à l’étroit dans son pantalon. Il n’osait pas faire un geste et restait immobile. Carla s’approcha, lui mit sa poitrine sur son visage et lui emprisonna son nez entre ses seins. Elle lui prit les mains et les posa sur ses deux pamplemousses, ce qui lui permit de se détendre un peu, il ne rêvait pas, Carla était Aphrodite.

Carla ouvrit son pantalon et sortit sa belle queue, dure comme du fer. Elle l’avala d’un seul coup facilement et actionna sa langue et ses lèvres dans une fellation magistrale. Le fils de Paul était en extase, il sentit sa jouissance monter et le lui dit : « Je ne peux plus me retenir. » Il voulut se retirer mais elle le bloqua et ne recula pas sa bouche. Elle avala sa semence et lui lécha les dernières gouttes avec sa langue.
— C’est moi qui mène la danse, Alain ! Tu feras ce que je te demande. Dit-elle sans attendre de réponse. Prends-moi maintenant. Lui ordonna-t-elle.
Deux ans plus tard ils se marièrent, Alain faisait tout ce qu’elle lui demandait, il était complètement sous son emprise.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Carla, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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