La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 489)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°485 - Dernière soirée en Espagne -
Débarrassé du humbler, soumis compelled MDE fut emmené dans la cour pour le traditionnel rapport du soir. Il intégra les rangs, à quatre pattes au milieu de ses congénères. Un seul esclave fut puni ce soir-là, il reçut quarante coups de badine sur les fesses, distribués alternativement par les deux Maîtres. Sitôt après, tous les esclaves reçurent lordre de se positionner en attente debout. Monsieur le Marquis suivit de Monsieur le Comte sapprochèrent deux. Ils sarrêtèrent devant un, le premier de la rangée, pour lexaminer et le jauger de près. Les commentaires et les actes humiliants allaient bon train.
- Que pensez-vous de celui-ci, mon très Cher Ami ! Questionna Monsieur le Marquis après avoir examiné et palpé lesclave sous toutes les coutures.
- Une petite bite, mais un bon cul, assez endurant. Lui répondit le Noble Espagnol sans grand enthousiasme.
- Un bon vide-couilles donc !
Et celui-ci ?
- Cet esclave a une belle paire de couilles, tenez soupesez !
Monsieur le Marquis attrapa les burnes de lesclave, les soupesa, les étira, les comprima. Bien dressé, lesclave ne broncha pas, il resta stoïque.
- Elles me paraissent bien pleines.
- Oui, on na pas du les lui purger depuis une dizaine de jours, Est-ce bien ça Alberto ?
- Si Mossio dépui treize yournées ! Repris Alberto après avoir compulsé un petit carnet quil tenait dans ses poches
- Quil ne compte pas sur Moi pour que je lui accorde ce privilège
mais pour autant, sil a les couilles pleines, il doit être bien chaud et bien excité, jai envie de me faire une bonne chienne en chaleur ce soir
- Sinon, Cher Ami, vous avez celui-ci !
Les Maîtres passèrent trois esclaves, dont soumis compelled MDE. Ils sarrêtèrent devant un soumis dune quarantaine dannées, de petite taille, mince mais musclé.
- Cest une excellente suceuse, avec une très bonne langue, et de surcroit, un cul divin. Elle ne ma jamais déçu cette salope, vif, avec de bons coups de reins, un bon trou acceptant de bons calibres, tel le vôtre je présume, Cher Ami.
Monsieur le Comte fit pencher lesclave en avant, lui saisit de ses deux mains ses lobes fessiers pour les écarter et montrer son trou. Monsieur le Marquis et glissa deux doigts. Le cul souvrait sans peine, lesclave se mit à gémir telle une bonne chienne en chaleur
- Hum ! Voilà qui me plait. Il me semble être une bonne salope
- Sinon, vous avez aussi celui-ci encore que je vous préconise, mais peut-être lavez-vous déjà testé ?
- Oui, je lai déjà bien enculé, non je vais retenir celui-ci !
- Comme vous voulez Cher Ami, mais je vous assure, vous faites un excellent choix. Celui-ci aussi a les couilles pleines depuis très longtemps, nest pas Alberto ?
- Si vingt yours Mossio ! répliqua Alberto.
- Voilà qui est parfait, je lembarque
La perversité des Maîtres sétait étalée au grand jour, mais lhumiliation vécue par les esclaves les enfiévrait tous dexcitation jouissive mentalement car physiquement leur cage de chasteté les empêchait dexhiber leur rut. Ils aimaient ainsi être dégradés, exhibés et rabaissés, ça les faisait tous vibrer ! Ils se devaient daccepter lautorité et admettre leur soumission et trouvaient leur bonheur à être ainsi avilis. Dailleurs lesclave MDE resté, quant à lui, sans cage de chasteté bandait terriblement
Lui aussi fut embarqué, tenu par la queue, par Monsieur le Comte
Stefano avait dressé le couvert dans le patio, sous les orangers. Lesclave MDE vit que cinq assiettes étaient installées, bizarre pensa-t-il ! Mais lesclave MDE nétait pas là pour penser, il fut conduit par Monsieur le Comte face à un pilier vertical à proximité de la table.
- Tiens salope, suce, entraine toi à bien pomper, fusse une bite en silicone.
Et pendant tout le diner des Maîtres, repas pris ce soir en commun dans un esprit convivial avec le Majordome, le cuisinier et le garde de Monsieur le Comte, lesclave MDE dut sucer lobjet, tout en étant tenu fermement par les couilles. Lhumiliante et douloureuse posture lui provoquait dincroyables bandaisons. En effet, rarement il sétait trouvé aussi excité dans une telle situation dexhibition, ce qui le faisait bander tel un taureau !
Quant à lesclave choisi et sélectionné par le Maître au cours du rapport, lui officiait sous la table. Il passait de queue en queue à chaque fois que lune delles se présentait à lui.
- Suce mieux que ça Ma pute, je veux tentendre saliver et baver sur ce morceau de caoutchouc ! Attention à toi, je ne te le redirai pas ! Vilipenda le Maître à lattention de Son soumis MDE.
Alors lesclave MDE, oublia la dégradante situation, fit grand bruit, gourmand, goulûment il alternait coups de langue, des mouvements de vas et viens, faisait entrer et sortir ce gland factice, se trémoussait tant bien que mal, sexcitait même sur cette queue sans saveur, telle une bonne chienne obéissante au Maître. Il apprécia tout de même la fin du diner des Dominants, il fut détaché et put détendre enfin ses mâchoires. Il put également se nourrir des restes de leur repas, à quatre pattes face à son congénère, partageant la même gamelle que lui. Sitôt, la gamelle terminée, Le Maître appela son esclave près de lui. Il avança à quatre pattes se présenta entre les jambes de Monsieur le Marquis. Celui-ci lui attrapa le visage des deux mains, lui souleva la tête, le regarda droit dans les yeux.
- Ecoute moi bien Mon chien, notre séjour en Espagne se termine, hélas, nous repartons demain matin pour la France. Je suis très fier de toi, de ton attitude, de ton comportement, de ton aptitude à apprendre, à te soumettre, à te donner. Tu as fait dénormes progrès, tu as su apprendre et développer ici ton masochisme, cest avant tout ce que je voulais pour toi !
Le Maître se tut un instant, soumis compelled MDE se pinçait les lèvres et ravala bruyamment un trop pleins de salive, tant il était ému. Le Maître lui posa un baiser sur le front, puis il reprit son monologue.
- Pour mon plaisir, pour notre plaisir à tous ici, je vais toctroyer le droit de jouir face à nous, tu te branleras, mais avant ça, je veux que tu texcites bien avec ton congénère, je veux vous voir tous les deux vous « gouiner » ensemble, je veux vous voir vous rouler de bonnes pelles, Je veux vous voir vous caresser, vous sucer, vous lécher. Je veux que tu te donnes en spectacle telle une bonne pute en chaleur que tu es devenue.
- Merci Maître Vénéré.
Et lesclave MDE se prosterna aux pieds de Monsieur le Marquis et les lui embrassa humblement mais sincèrement. On retira la cage de chasteté du deuxième esclave puis les deux esclaves se rapprochèrent lun de lautre, se placèrent face aux Maîtres et aux Dominants, senlacèrent et se posèrent dabord de petits baisers sur leurs lèvres fermées. Mais très vite la tension monta dun cran, leur respiration saccélérait, leurs langues sentrecroisaient, ils se caressaient, se paluchaient, se frottaient, sexcitaient toujours sous le regard dominateur des Maîtres. Leurs queues raides bavaient, suintaient, chacun leur tour ils se sucèrent, se doigtèrent, se léchèrent avec une furieuse envie de semboiter, lun et lautre, lun après lautre
- Ca suffit les salopes, astiquez-vous maintenant, face à nous, regardez nous bien en vous branlant.
Sans honte ni scrupule, attisés par des pulsions sexuelles inouïes, les deux esclaves empoignèrent leur queue raide et tendue à lextrême. Ils se branlèrent en gémissant sérieusement tout en se caressant
deux vraies putains !
- Allez les putes, accélérez le mouvement, je veux vous voir cracher, je veux vous entendre hurler de plaisir
Cest soumis compelled MDE qui le premier éjacula par plusieurs saccades Son corps tout entier vibrait. Son jus abondant sécrasait près des pieds du Maître. Lautre esclave ne tarda pas non plus, il envoya son foutre à plusieurs dizaines de centimètres de lui en se cabrant et en rugissant de plaisir.
- Oh merci Maitre Vénéré, merci infiniment.
- Muchas gracias Amado Maestro
Les deux esclaves sétaient installés en levrette et rendaient grâce, ils reçurent une claque sur leur cul en guise de récompense suprême et durent ensuite aller laper leur semence. Toujours en quadrupédie, soumis compelled MDE fut saisi par la taille et les jambes par Stefano et Alberto. Il fut emmené quelque peu manu militari dans le donjon de Monsieur le Comte. Les trois servants du Noble espagnol lattachèrent sur un tréteau, cuisses écartées, cul bien offert. Monsieur le Comte arriva sur ces entrefaites. Il caressa les reins du soumis MDE, glissa un doigt sur sa raie, titilla son anus, lui provoquant un doux frisson tout au long de la colonne vertébrale.
- Pour ta dernière soirée ici, chien, tu vas honorer mes servants par tous tes trous, puis à mon tour je te prendrai. Je veux que tu gardes un bon et agréable souvenir de ton passage ici et de ta dernière soirée
- A votre disposition Monsieur le Comte. Répondit fébrilement soumis compelled MDE.
A peine avait-il fini sa phrase que deux queues sengouffraient en lui, celle de Stefano dans sa bouche, celle dAlberto dans le cul. Très excités les deux hommes sagitaient comme des bêtes, imprimaient des mouvements rapides de vas et viens, ils gémissaient et bramaient tels des cerfs en rut. Docile, enculé et baisé, le soumis MDE, venant pourtant tout juste de jouir, sentit de nouveau sa queue senflammer, il mouillait comme un fou. Alberto, le ramonait de plus en plus durement tout en le fessant sérieusement. Et plus lesclave MDE était fessé, et plus il était excité. Ses deux trous avalaient ces queues avec une avidité impressionnante, il bougeait ses reins frénétiquement en même temps quil pompait furieusement. Les coups de reins dAlberto dentre ses reins, le faisait sempaler plus profondément sur cette queue quil avait en bouche. Les incessants mouvements perdurèrent encore. Les yeux mi-clos, bavant, sétouffant même, soumis compelled MDE se laissait entrainer dans ces sublimes délices pervers, excité telle une hyène, obnubilé par ces ressentis jouissifs mais aussi par la vision tout près de lui de ces deux queues branlées et déjà enflammées, celles du Majordome et de Monsieur le Comte, déjà prêtes à lemploi !
Alberto éjacula bruyamment inondant le fourreau intime du soumis MDE. Il se dégagea rapidement de ce trou affamé et céda la place à la queue de Stefano, qui sans perdre un minute se glissa et pénétra lesclave MDE pour à son tour balancer en lui son foutre épais et abondant. Sans laisser le moindre répit, la bouche du soumis MDE fut vite encombrée par le chibre de Monsieur le Comte. Déjà dune belle ampleur, elle doubla de volume lorsquelle entra en contact avec la langue de soumis compelled MDE. Il lavalait jusquà la racine, la repoussait pour mieux laspirer encore. Et pour exacerber un peu plus encore lexcitation de lesclave MDE, Monsieur le Comte lui cravachait les reins, les fesses et les omoplates. La douleur nétait pas ressentie comme telle, elle conduisait lesclave MDE, vers une autre jouissance, celle-là puissamment mentale, il nétait plus en capacité de contrôler son cerveau, il se sentait au bord de lextase. Au même moment, il sentit le corps du Majordome se tendre, se contracter et sa queue exploser dans son cul de salope. Dans un moment de lucidité le soumis MDE sentendit dire : « et de trois » tout en haletant puis il reprit : « Jen veux
Jen veux encore
je vous en supplie Monsieur le Comte
fourrez moi encore ! » Et Monsieur le Comte lexhaussa, lencula sauvagement, le ramona encore et le baisa de nouveau. Il éjacula abondamment, foutrant un peu plus encore le cul de lesclave MDE.
- Ce soir tu es devenu une bonne pute, Le Maître peut être fier de Sa chienne !
Tels furent les derniers mots de Monsieur le Comte, soumis compelled MDE fut détaché, sa nouille ruisselante fut emprisonnée puis Alberto lemmena dans une toute petite cage et lenferma pour la nuit ...
(A suivre
)
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