Vacances
Il lisait, allongé sur le ventre, dans le lit d'à côté. Il était magnifique. Cheveux châtains, yeux clairs, visage allongé, et une bouche large, aux lèvres pulpeuses et dents étincellantes. Pas très musclé, mais mince, et large d'épaules.
Si je n'avais pas peur de paraître biaisé, je jurerais qu'il cambrait volontairement ses fesses, telle une invitation. C'était notre petit rituel, depuis presque une semaine que nous étions en vacances dans la villa de ses parents, en bord de mer. Le soir, nous faisions mine d'aller lire dans notre chambre, puis, lorsqu'on était sur que tout le monde était couché, on se sautait dessus
Je ne sais même plus comment ça a commencé
Ah, si ! C'était un matin. J'étais encore couché, lui enfilait un maillot pour aller se baigner. J'ai ouvert un il, et j'ai vu, ses fesses rebondies, sa queue interminable
Il a surpris mon regard, a sourit. « Ça te plaît » a-t-il demandé. Puis il s'est approché, rampant sur mon lit, puis, toujours souriant alors qu'il ouvrait la bouche, a commencé à mordillait mon membre à travers mon caleçon. Moi, je n'ai pas osé bougé, ne sachant pas s'il était sérieux ou s'il plaisantait. Du moins au début
Depuis, tous les soirs, en secret, on baise, s'efforçant de faire le moins de bruit possible, de peur d'alerter son frère dans la chambre d'à côté. Seul bémol à tout ça : les journées semblent interminables
Une seule fois, nous avons cédé au désir en dehors de notre chambre. C'était un soir, alors qu'on revenait du port, où nous étions allé boire quelques verres avec des amis. En rentrant par la plage, on s'est arrêté, assis dans le sable, et
embrassé. Un baiser passionné, d'autant plus jouissif qu'il risquait d'exposé au grand jour notre amourette secrète. Roulant dans le sable, nous avons mêlé nos langues, échangé nos salives. Puis nous nous sommes relevés d'un coup, avons courut jusqu'à notre chambre, et niqué intensément.
Je n'y tenais plus. Invitation ou pas, je posai mon bouquin, rejetai mes draps et sautai sur son lit, chevauchant ce fessier qui me tendait les bras.
Au bout de quelques minutes, il se mit à quatre pattes. Comprenant sa demande, je me redressai, fit voler mon caleçon, et, non sans une dernière léchouille sur son orifice, y appliquai mon gland humide. Je crachai, en guise de lubrifiant, un filet de bave, et pénétrai prudemment mon camarade, lui arrachant un long soupir. A peine avais-je parcourus la moitié de la distance qu'il se mit a faire des vas-et-viens. Je me penchai alors en avant, lenlaçai en passant un bras au dessus de son épaule, l'autre sous son aisselle, et lui murmurai : « C'est à moi de faire ça ! T'es trop lent », répondit-il. Et, d'une secousse, il me fit pénétrer entièrement. Alors, le tenant fermement par les hanches, je commençai à battre la cadence tantôt plus vite, tantôt plus lentement, sortant parfois entièrement pour mieux rentrer immédiatement.
Lorsqu'il comprit que j'étais sur le point de jouir, il s'allongea brusquement sur le ventre, et, comme ma bite sortait dans un « Flop ! » bruyant, je dus rassembler toutes mes forces pour ne pas éjaculer dans le vide. Je fermai les yeux, pris une grande inspiration, pressa la base de ma queue entre pouce et index
Ouf ! Sauvé ! Le danger écarté, je m'allongeai sur lui, et remis mon engin à sa place, dans son anus soyeux.
J'aurais voulu rester là, m'endormir sur lui sans même me retirer, mais je savais que ça n'étais pas possible. Nous avions un pacte. Du moins implicite
Chacun devait jouir, et chacun devait jouir dans un trou. Il m'avait offert le cul, je lui devais au moins la bouche.
Alors je me redressai pour le laisser se retourner, et me penchant en avant, goba son dard bandé à pleine bouche. Après avoir juté, je n'en avais pas très envie, mais heureusement, ça n'allait sûrement pas durer longtemps. J'imposai donc demblée un rythme soutenu. Sentant qu'il allait venir, il tenta de ma ralentir en m'attrapant les cheveux. Je compris alors que ça n'était pas très sympa de ne pas le laisser profiter, et, délaissant sa queue quelques instants, j'entrepris de m'attaquer à ses boules.
J'ai toujours aimé léché des couilles. C'est comme faire un câlin : pas jouissif en soi, mais pas désagréable. Lui est content qu'on s'occupe de lui, moi je suis content d'avoir quelque chose dans la bouche. Sans parler de la relation dominant-dominé que ça instaure pendant quelques secondes ... Ça fait une pause sympa dans une pipe !
Aussi me concentrais-je sur ses deux joyaux, enlaçant ses cuisses de mes mains, gobant l'un, puis l'autre, puis les deux, les faisant rouler sous ma langue, puis léchant le tout .. La lavande m'envahissait les narines, et ses bourses, plus douces encore si c'était possible que le reste de sa peau, ne portait pas le moindre poil il aimait aussi se raser les boules, allez savoir ! ce qui rendait ma besogne des plus délicieuses ! Je m'aventurais même parfois jusqu'à son anus, qui suintait de ma semence.
Puis il reposa ses fesses contre le matelas et étendit les jambes, alors que,quelques gouttes de spermes s'étant malgré moi échappées de ma bouche pour couler jusqu'à sa toison, je finissais de nettoyer son membre qui commençait déjà à ramollir. Seulement tout cela m'avait passablement excité, et j'étais dur à nouveau. Comprenant que je ne pouvais plus vraiment lui demander ni le cul, ni la bouche, je calais ma joue gauche contre sa cuisse droite, le nez dans ses poils, la langue glissant de haut en bas dans le coin de ses bourses, et sa superbe queue ramollissant lentement contre ma joue droite, et je commençais à m'astiquer, en le regardant avec mes yeux de chiot qui réclame une deuxième gamelle.
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