Dans Le Train
Cétait son fantasme, lavoir pour lui seul. Elle était ronde cest ce quil aimait. De gros seins, son premier critère de choix. De belles hanches, les fesses blanches, leffet sur lui était immédiat.
Il lavait rencontrée la veille sur le quai de la gare, sa valise trop lourde, il avait du laider à placer cette dernière dans le rangement des bagages à lavant du wagon. Ils sétaient tout naturellement assis ensemble au départ du train. Le voyage promettant dêtre long jusqu'à Lyon, ils avaient continué le début de leur conversation. Elle nétait pas jeune, au moins 50 ans, mais il aimait bien les femmes mures, elles étaient moins superficielles et pour lavoir maintes fois constaté, elle ne se prenait pas pour des « bimbos » sans saveur, cétait reposant. Les jeunes essayaient généralement maladroitement de le séduire car il avait la trentaine avantageuse. Plus un jeune homme surement, mais bien fait. Musclé peut-être pas, mais il avait les épaules assez larges et ses mains avaient tout à lheure empoigné la valise sans effort. Ce quelle avait remarqué en dehors de son aspect physique cétait ces yeux bleus malgré un teint mat et une chevelure dun noir de jais, mais aussi sa décontraction et son aisance à laborder avec naturel. Il savait aligner plusieurs mots sans utiliser des expressions toutes faites comme celles quaffectionnent depuis longtemps les présentateurs de la télévision. Sans doute lisait il plus que la moyenne des gens de son âge ou bien avait il une éducation suffisante pour sintéresser un peu plus que les autres au langage manié avec assurance. Toujours est-il quelle sétait immédiatement sentie en confiance et avait décidé sans y réfléchir de sassoir avec lui pour son voyage. Larrêt suivant se situant à Macon ou peut-être descendrait-il et si lui aussi allait jusquà Lyon, autant faire les kilomètres jusque là avec quelquun qui savait aligner plusieurs phrases à la file sans parler des derniers matches de football ou des bêtises que lon trouve dans la presse people.
Ils avaient pourtant parlé de tout est de rien jusque là, car il nest pas si facile de discuter avec un ou une étrangère sans se dévoiler trop et sans risquer de froisser une susceptibilité ou une race ou que sais je encore, car les rapports entre les hommes ou sens large du terme, se sont bien compliqués désormais. Ils étaient tombés daccord sur quelques point concernant le cinéma daujourdhui et un peu sur celui dhier, elle était du métier et il allait de son coté de temps en temps à la cinémathèque, suffisamment en tout cas pour connaitre dautres cinéastes que Dany Boon.
Le temps avait passé et à lheure de midi il lui avait tout naturellement « encore une fois » proposé de se joindre à lui pour se restaurer. Elle navait pas prévu cette dépense et avait décliné son offre tout dabord. Sentant sa gène, il lavait invité sans plus de manière, lui déclarant quil mettrait « çà » sur sa note de frais, ce qui lui hotta les scrupules quelle aurait pu encore avoir. Ils avaient continués leurs conversation durant quils avalaient les mets sans saveur que proposait la compagnie national des chemins de fer. Nous nétions plus au temps du célèbre « sandwich SNCF » mais ce nétait toujours pas un relais gastronomique et le café avalé leur digestion ne promettait pas dêtre trop laborieuse.
Ce qui fut positif pour la suite de leur aventure puisquil faut bien lappeler ainsi. Retournant à leur compartiment et sans doute parce quils avaient un peu bu, il lenlaça lors dune embardée du train au moment ou celui-ci pénétrait un tunnel. Jemploi ce mot car cest bien de cela quil sagit mais nos deux voyageurs sans y avoir prêtés attention ou sans lavoir prémédité, y pensèrent aussi. Si lui lenlaça cest bien parce que la silhouette de sa partenaire de voyage lui plaisait je lai déjà évoqué plus haut, mais elle se laissa faire parce que sans quelle y prit garde, la tête lui tournais et son odeur « dafter-shave » navait pas manqué de lenivrer à légal du vin de leur déjeuner.
Leurs mains ne perdant pas un instant ils éprouvèrent tout deux les contours de lautre et puisque le confort tout relatif de la banquette ne le disputait quà son manque dintimité, lendroit ne se prêtant pas au transport bien qui se fut agit dun train, ils durent se résoudre à utiliser un des endroits les moins glamour et les moins confortable que je connaisse et vous me rejoindrez sur ce point, puisquils se précipitèrent dans la cabine des WC de leur wagon, tachant de le faire sans témoins. Mais si la vie est courte les voyages en train peuvent lêtre aussi sous certaines conditions. Et je crois que de trouver un ou une partenaire consentant, sinon enthousiaste, pour faire lamour, est bien une des ces conditions absolue qui font aimer la vie et trouver le temps trop court. Aussi étaient ils si excités que peu leur importaient le cadre de laction quils avaient entreprise. Elle prit linitiative et commença par le faire assoir sur labatant des toilettes, son pantalon sur les chevilles, il était entravé dans ses mouvements, la pièce étant fort exigüe elle seule pouvait se mouvoir suffisamment pour sagenouiller. La position adéquate acquise, elle engloutie goulument lobjet de son désir. Elle en avait envie furieusement et la taille et laspect qui lavait attirée vers le membre viril navait déquivalent que la texture de sa peau si douce, la hampe autant que le gland étaient tout deux chauds et souples, la soie seule était comparable à la douceur quéprouvait sa langue ; elle suça cet objet si dur, bandé quil était vers sa bouche, le gout après la journée de voyage en était fort, mais elle laima de suite. Les mains de lhomme ne restaient pas inactives mais elles ne purent atteindrent que les globes laiteux de ses seins, ils les pétrissaient donc avidement sans douceur pressé pas son désir. Sentant pourtant quil ne pourrait conserver longtemps son ardeur et quil risquait de jouir sans retenue possible tant sa partenaire avait de savoir faire, lui, disais-je, décida den finir, jouir évidement, enfin, avidement, mais en la possédant.
Il voulait voir son visage à elle tordu par lorgasme. Ses mains qui pétrissaient ses gros seins en pincèrent les bouts la forçant à se lever en même temps que lui, debout contre la cloison, il la prit, enfonçant son sexe dans son vagin trempé, elle poussa un gémissement de douleur et de plaisir mêlé. Il allait et venait maintenant avec un rythme si endiablé que sans doute elle se pâmera très vite, le bruit quils faisaient risquait dêtre perceptible, aussi adaptèrent ils leurs mouvements à ceux du train, donnant plus de vigueur au moment ou les boggies passait sur la jonction des rails. Elle savait quelle jouirai fort comme cela pourtant elle se déroba malgré le peu despace a la faveur dun cahot plus fort elle fit sortir sa bite de lendroit ou elle était si bien non pas que cela lui fut désagréable bien quau contraire seulement elle était désormais si fortement excitée que ce quelle souhaitait plus que tout pour enfin se libérer des tensions qui étaient montées en eux jusque là. En elle si violement quelle voulait quil la sodomise, elle le lui dit sans pouvoir se retenir, toute pudeur disparue, dans un souffle il lentendit sans y croire, « encule moi vite, jen ai besoin » il naurait osé en rêver, cétait si fort et si intime en même temps quil resta un instant interdit, elle du lui répéter « prend moi le cul » alors tel une bête lâchée de sa cage il pu donner libre cour a toute lénergie dont il était capable en matière de sexe. Il lui prit les hanches et la tenant solidement il lui pénétra lanus, elle était si serré quil pensât que cétait la première fois, il se trompait bien sur, mais cela flatta son égo et la pilonnant maintenant sans pouvoir sarrêter ou même tenter de la faire il joui enfin dans un long râle, ses jets puissants allèrent au fond delle et elle les senties durant que le gland de son partenaire frappait en cadence les parois si sensible de ses muqueuses elle se lâcha elle aussi dans cri qui fut entendu dans tout le wagon. Lorsquils sortirent totalement apaisés certains regards désapprobateurs ou envieux se posèrent sur eux lui en ressenti la fierté du male elle eu un pincement au cur car elle sut que jusqu'à sa gare de destination les vautre voyageurs autour delle la prendrais sinon pour une pute au moins pour une sacrée salope.
Et alors après 50 ans il est temps que cela se sache.
admin
Jan. 31, 2023
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