Le Nouveau Voisin

A la fac assez peu d'étudiant on cours le vendredi, du coup il y a souvent des soirées organisées le jeudi. Comme j'ai la chance de n'avoir que 4 jours de cours par semaine, j'en profitai bien évidemment. Ce soir-là j'en avais un peu trop profité apparemment. Mon appart était dans la banlieue lyonnaise juste assez loin de la fac et des bars/boites. Je ne rentrai chez moi que vers 6h du matin, dans état...pitoyable. L'alcool était retombé depuis longtemps et il avait laissé place au paradoxe de la fatigue et de l'excitation de la soirée.

En arrivant au pied de mon immeuble je remarquai malgré mon état que la plaque à coté de mon nom avait changé. J'avais un nouveau voisin. Ça fait 1 an et demi que l'autre était parti alors c'est le genre de chose qu’on remarque. Bof, je verrai ça plus tard, pour l'instant il fallait que je dorme.

Je rentrai donc dans mon appart, n'allumant pas la lumière de peur d'être éblouie. Je me déshabillai et me couchai nu sur mon lit par-dessus la couverture.

DING DONG !!!!

Quoi? Qu’est-ce que c'est ? La sonnette? Mais il est quelle heure ? 8 HEURE ?!
Je n'avais dormi que 2 heures et voilà qu'on venait sonner à ma porte. En plus cette sonnette là c'est celle directement à la porte, pas celle de l'interphone. Du coup il fallait que j'aille ouvrir vu qu’elle ne sonne que quand c’est important.

Absolument pas réveillé mais un peu reposé, je me levai me passa un peu d'eau fraîche sur le visage et sur mon corps toujours nu. Pour faire illusion, je pris un caleçon assez large pour passer pour short et j’allai ouvrir la porte.

Quand je l'ouvris quelle ne fut pas ma surprise de trouver un apollon se dresser devant moi. Grand, brun, un latino se tenait sur mon palier, uniquement couvert d'une serviette enroulée autour de sa taille me laissant admirer son torse puissant magnifiquement musclé. Si Thor avait été latino, il aurait ressemblé à ça.

- Bonjour, excuses-moi, je suis ton nouveau voisin et j'ai eu un problème.

Je prenais ma douche, l'interphone et la sonnette se sont mis à biper, le propriétaire m'avait dit qu'ils ne marchaient pas bien mais je suis allé voir s'il y avait quelqu’un en bas et le temps que je revienne, la porte c'était refermée...et sans les clefs elle est verrouillée. Du coup je voulais savoir si je pouvais emprunter ton téléphone pour appeler un serrurier.
- Ah je vois, bah vas-y il y a pas de soucis. Euh...du coup entres chez moi, dis-je perturbé par la surprise de sa beauté et mon manque de réveil.
- Ah muchas gracias !

Il entra dans mon appart et je lui donnai mon portable avec le numéro du serrurier que j'avais moi-même utilisé l'année passée. Pendant son coup de fils il déambulait dans le petit salon de mon appart. De mon côté je me dirigeai vers la cuisine et commençai à préparer du café.

A un moment il arrêta de faire les cents pas et écoutant avec concentration il sembla m'observer. C'est vrai que la comparaison entre lui et moi était assez impressionnante. J'étais un stéréotype d'étudiant célibataire au réveil après une soirée bien arrosée : grand mince, les cheveux en bataille, le visage couvert d’une barbe de 3 jours mal rasée. Lui était aussi un stéréotype mais celui du futur mannequin, avant qu’il ne soit découvert par les photographes, avant qu’ils ne prennent complètement conscience que tout lui en évoque le sexe. Il devait avoir à peu près le même âge que moi, 22 ans, mais sa barbe soigneusement taillée et le brun de ses cheveux lui donnait un air plus âgé. Et puis si mes muscles fins et taillées et striés rendaient mon torse désirable, les siens étaient dignes d'une statue d’Hercules.

Il jura en espagnol, puis s'excusa en français avant de raccrocher et de déposer mon téléphone sur la table.

- Alors?
- Il ne pourra pas être là avant 10h.
- Ah oui effectivement. Bah écoute aujourd'hui j'ai pas cours donc tu peux rester ici. Tu seras mieux là qu'en serviette sur le palier.

- Sérieusement ? C'est très sympa, merci beaucoup. Au fait je m'appelle Javier. Dit-il en me tendant une main amicale.
- Moi c'est Romain, lui répondis-je en la lui serrant. Tu veux du café?
- Volontiers.

Je lui servis une tasse de café et nous nous assîmes face à face à la table.

- Donc t'es espagnol c'est ça ?
- Oui, je suis venu en France l'année dernière pour un stage de fin d'étude et j'ai décidé de m'installer ici, et je travaille dans une agence de voyage.
- Ah d'accord c'est cool ça !
- Et toi tu fais quoi dans la vie?
- Je suis encore à la fac, je fais du droit.
- D'accord, d'accord. Dis-moi, j'ai l'impression d'r donc je comprendrais très bien si tu dises non. Tu vois, quand je suis sorti de chez moi je sortais de la douche du coup sous ma serviette bah...je n'ai rien. Et même si comme toi aussi t'es en caleçon ça ne me gêne pas, bah je préférerais quand même avoir un sous vêtement. Tu pourrais m'en prêter un?
- Oui il n’y a pas de problème, je comprends. Avoir tout a l'air ça a ses avantages mais ça ballote au bout d'un moment. Viens je vais t'en passer un.
- Merci beaucoup, encore.

Je me levai et gagnai ma chambre. Je ne m'en étais pas rendu compte mais mon caleçon était déformé par la barre de mon sexe pratiquement bandé. Tant pis au pire je dirais que c'est la gaule du matin. De toute façon vu mes mensurations pas la peine d'essayer de la cacher, y compris au repos.

Une fois tous les deux dans ma chambre je lui tendis un caleçon propre. Il sera surement serré vu la différence de gabarit mais bon c'est mieux que rien.
Il le prend me faisant un sourire de gratitude et me disant à nouveau merci et se tourne. Dos à moi il laissa tomber sa serviette laissant ses fesses magnifiques et musclées à ma vue. A croire qu’il ne veut pas que ma gaule s'arrange. Discrètement j’en profitai pour remettre mon sexe en place pour qu'il soit moins visible.

Enfin il enfila mon caleçon. Pour cela il leva la jambe quelque peu et j'aperçu alors un gourdin pendre entre ses jambes. Il ne bandait pas mais était vraiment impressionnant. Décidément cet mon Thor d’Amérique du sud était vraiment parfait.

- Bon c'est un peu serré à la taille mais ça sera bien, dit-il en se retournant. Gracias
- De nada, lui dis-je en clignant de l'œil.
- Par contre désolé pour la vue mais bon je peux trop la cacher avec un caleçon serré. Tout comme toi apparemment d'ailleurs.

Effectivement mon caleçon lui serrait la taille mais pas seulement. Le tissu était collé à sa queue. Je pouvais en voir tous les détails. Des bourses à la ligne du gland. Effectivement elle était plutôt volumineuse.

- Oh ça, j'en ai vu d'autre ah ah. Mais bon il faut reconnaître que mon caleçon n'est pas le seul responsable. T'as l'air d'avoir un sexe naturellement visible disons.
- Au moins on est deux. Depuis tout à l'heure je suis impressionné par la barre entre tes jambes. La gaule du matin...on connait tout ça. Et d’ailleurs...

Mon téléphone sonna, c'était le serrurier il passait dans le coin pour un chantier et disait qu’il était en bas.

Javier me quitta pour lui ouvrir après une accolade virile pleine de reconnaissance mais qui fit encore grandir mon sexe.

Une fois lui dehors je me mis nu, après tout c'est comme ça que je vivais chez moi. J'allai dans la douche et m'y branlai en pensant à mon beau voisin. Ce n'était pas la première fois que j'éjaculais en pensant à un homme mais ce fut la meilleure. Ma sexualité n'a jamais été claire. Je prenais ce qui se proposait : homme, femme, ça n'avait pas d'importance s'il n'y avait pas de sentiments. Ce qui m'importait était de prendre mon pied avec lui ou avec elle. Mais j'avais l'impression que ce bijou de virilité pur allait jouer une place importante dans mon imaginaire.

Une fois sorti de ma douche mon sexe bandait moins, éjaculation oblige, mais il resta gonflé, apparemment il en voulait encore.


Je vaquai à mes occupations, rangeais les affaires laissées en plan la veille jusqu'à ce que la porte s'ouvre en grand.

- Romain ! Tout est réglé avec ma por... s'exclama-t-il en ouvrant la porte en grand et s'arrêtant en surpris de me voir nu, dos à lui.
- Javier...ah...désolé, je pensais avoir fermé la porte. Je n’avais pas vraiment prévu que tu reviennes aussi vite alors je me suis mis à l'aise.

Je m’étais retourné pour lui parler, une main sur mon entre-jambe pour cacher ma volumineuse queue qui refusait de débander et dont le gland dépassait légèrement de ma main.

- Oui je vois ça, dit-il en fermant la porte. Je suis revenu pour te dire que tout était réglé et pour te rendre ton caleçon.

Joignant les mots à la parole il commença à descendre son caleçon face à moi, lentement, très lentement... il glissa le long de ses hanches, de ses cuisses musclées et le long de son sexe pendant un temps qui me sembla interminable pour se libérer vu sa taille. Son sexe avait gonflé depuis la dernière fois.

- Au fait je me rends compte que je ne t'ai pas encore remercié.
- Mais si, et ne t'inquiète pas, dis-je perturbé par cette situation.
- Voyons, que pourrais-je bien faire pour te montrer ma gratitude? Dit-il en approchant de moi de manière féline, le sexe entre ses jambes de plus en plus gros.
- Je ne sais pas...quelque chose de bien, répondis-je en rentrant dans son jeu pour voir jusqu'où il voudrait aller.
- C'était bien mon intention !

En disant cela, à présent collé à moi, torse contre torse, sexes contre sexe, il s'accroupie et goba ma queue entièrement malgré sa longueur et sa largeur. Il suçait comme un dieu, sa bouche coulissait parfaitement sur mon chibre et ses coups de langues lançaient des ondes de plaisir en moi. Je me reculais pour m'accouder sur le canapé, lui me suivit avidement pour n'en perdre aucune miettes. Je gémissais et posai mes mains sur sa tête, appuyant de temps en temps pour accen sa gorge profonde.

De temps en temps lorsqu'il sortait mon sexe de sa bouche les caresses habilles que ses doigts procuraient à mes bourses étaient remplacées par des coups de langues tout aussi délicieux. Lorsqu'il s'apprêtait à reprendre ma queue en bouche, il me lançait un regard sexy et gourmand auquel je répondais par une petite bifle qu'il semblait apprécier apparemment. De temps en temps ses doigts s'insinuaient discrètement dans ma rondelle ce qui me surpris mais me plaisais. Je me reteins longtemps de jouir, mais lorsque sa pipe fut trop bonne, je finis par jouir et éjaculer puissamment au fond de sa gorge. Sans broncher il se contenta de tout avaler dans un bruit de sucions sexy, de se lever et de prendre possession de ma bouche dans un baisé sauvage, me faisant goûter au passage à mon propre sperme. Le contact de son corps, de ses muscles, de son sexe bandé contre moi et la passion de son baisé me fit rebander rapidement.

Puis il quitta ma bouche et dit :
- Ça c'est pour ne pas m'avoir laissé poiroter sur le palier.
- J'attends de voir la suite alors.

Son visage se barra alors d'un sourire angélique. D'un geste il s'accroupi à nouveau et poussa la table de salon. Il put ainsi se mettre à quatre pattes sur le tapis, ses fesses rondes et fermes cambrées vers moi comme si elles m'appelaient en même temps que lui.

- Soy tuyo (je suis à toi).
- Voy ayudarte mas frequamente ! (Je t'aiderai plus souvent !) Continua hablar español, me gusta esa lengua sexy (Continues de parler espagnol, j'aime cette langue sexy).

Je pris dans le tiroir derrière moi une capote XXL (il faut ce qu’il faut).

Je me mis derrière lui, les mains sur ses hanches puis entrai délicatement mon sexe dans son corps. Il n'attendait plus que ça. Tout son corps tremblait de plaisir. Une fois rentré je commençai mes vas et viens. De temps en temps je le limai à toute vitesse lui faisant pousser des râles de plaisir graves et virils. Mes bourses claquaient contre les siennes et contre ses fesses et le mouvement de balancier s'imprimait aussi sur son sexe, l'énorme hampe se balançait entre ses jambes tantôt sur son torse tantôt sur mes jambes.

Sans complètement être lâche comme celui d'un passif constant, son anus était flexible tout en étant assez serré, le prendre était donc délicieux.

La domination, le rythme la vitesse, j'aimais ça dans la levrette mais ce que j'aimai surtout c'est voir le plaisir de mon partenaire dans ses yeux et sur son corps. Je sortis donc de Javier qui sembla déçu avant que de comprendre ce que je voulais. Il s'allongea sur le dos, se tenant les jambes écartées en tirant sur ses genoux avec ses bras puissants. Ce corps d'étalon m’était offert. Je me glissai donc entre ses jambes qui vinrent se refermer autour de moi quand je pénétrai leur propriétaire dans un gémissement. Je recommençai mes vas et viens cette fois en ayant le plaisir de voir son regard ardent plein de plaisir ainsi que son corps si séduisant et si beau. Les ondes de plaisir qui se propageaient en lui entre mes vas et viens et faisaient se contracter au hasard ses pecs. De ses mains il me caressait le torse dans des mouvements délicieux. Nous nous embrassions sauvagement pendant que mes coups de rein nous donnaient un plaisir intense. Nous gémissions tous les deux de plus en plus fort, puis vint le moment de l'orgasme. Alors que nous hurlions notre plaisir, j’éjaculai dans mon préservatif dans un vas et viens puissant et profond qui le fit jouir aussi projetant son sperme sur mon torse.

Nous embrassâmes pour savourer ce moment d'extase puis je roulai pour me coucher a son côté.

Une fois que nous eûmes repris nos esprits, Javier me laissa et rentra chez lui. La dernière chose que j'ai vu avant de m'endormir sur mon canapé, fut les fesses magnifiques de mon nouveau voisin qui roulaient vers la porte de leur appartement dans un mouvement sexy bien que géné par ce qui venait de se passer en elle ; puis je le vis ouvrir sa porte et se retourner pour me faire signe avant de fermer la porte, son corps si viril et puissant, sa gueule d'ange latino, et son sexe énorme encore un peu gonflé. Puis il claqua la porte ce qui eut comme conséquence de fermer la mienne.

Je m'endormis sur mon canapé, rêvant à ma prochaine rencontre avec mon nouveau voisin, ou plutôt mon nouvel amant.

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