Au Cinema Suite 9
Après cette bonne douche, je me suis apprêtée, jai enfilé la robe que le Maître affectionne particulièrement tout en restant nue en dessous.
Puis jai attendu sagement, assise sur un des fauteuils de la chambre, observant le moindre détail de cet environnent feutré dans lequel je me sentais bien mais sans oublier que je devais rappeler mon mari.
Je lui avais promis, mais il ny avait pas de téléphone dans ma chambre, il me fallait donc attendre que lon vienne me chercher.
Cela na pas tardé et cest Marc qui est venu, tout en me tendant la main il me dit :
- Emilie, le Maître souhaite vous voir
Le tutoiement était apparemment fini, me faisant comprendre que chacun se devait de reprendre sa place initiale.
Jai suivi Marc dans les couloirs, descendu les escaliers pour arriver devant une grande porte sur laquelle Marc a toqué.
- Oui, entrez.
La voix du Maître à raisonné, douce et puissante à la fois.
Marc me fit entrer la première, face au Maître jai immédiatement baissé le regard, il était assis sur un fauteuil derrière un grand bureau au fond de la pièce.
Derrière moi, la porte sest refermé, Marc était reparti en me laissant seule face à mon destin.
Le Maître me fixait, en tapotant sur le coté droit de son bureau il ma dit :
Venez ma chère, approchez
venez près de moi.
Jai contourné limposant meuble pour venir me coller à sa droite comme il me le demandait.
Sa main droite sest aussitôt glissée sous ma robe pour venir se poser sur un de mes mollets, doucement elle est remontée vers lintérieur des cuisses pour venir constater la nudité de mes fesses.
- Jai cru comprendre que vous deviez appeler votre époux afin de le rassurer.
- Oui, monsieur
si cela est possible
- Mais bien sur, tenez prenez ce combiné
Il venait de mindiquer le téléphone trônant sur son bureau mais ne retirait pas la main qui me palpait les fesses.
- Merci monsieur, mais
cest que
- Ne vous en faite pas pour moi, appelez votre époux et faite comme si je nétais pas là.
- Mais
cest que je
suis gênée
et il va surement
le ressentir.
- Si cela ne vous convient pas, alors je ne vous retiens pas !
- Non
monsieur
oui, vous avez raison
je vais lappeler
Jai composé fébrilement le numéro de la maison, en tremblant légèrement jai porté le combiné à loreille pour entendre les sonneries.
Dring
dring
dring
.
- Allo ?
- Bonsoir
chéri
- A mon amour, cest toi
je commençai à minquiéter, comment tu vas ?
- Bien
très bien, je viens juste de rentrer
- He ben, ça te fait des sacrés journées
jespère que tu nes pas trop fatiguée ?
- Non, ça va
ne tinquiète pas
tout va bien
Malgré ma bonne apparence, la gêne sinstallait en moi car le Maître prenait un malin plaisir à me caresser les jambes de haut en bas, sattardant sur la peau satinée de lentre cuisses.
- Tu as la voix tremblante, tes malade ?
- Non, non
tout va bien, je tassure, cest que
je viens de prendre ma douche et
je me sens toute molle.
- Alors dit moi, tu as mis quelle petite robe aujourdhui ?
Je sentais le ton de sa voix qui devenait coquin et jespérais quil naille pas trop loin dans ce délire car avec le Maître à mes cotés je naurais pas répondu de la suite.
Ce que je commençais à craindre se produisit, Le Maître a appuyé sur lécouteur du combiné de façon à pouvoir entendre notre conversation intime.
Cela ma encore plus perturbé et cest la voix toute tremblante que jai répondu à mon mari.
- Heu
comment ça
quelle robe ? Ha oui
jai
choisi
la petite robe
blanche
- Ben dit donc, la robe porte feuille, mais cest la plus transparente, tu as du les mettre dans un de ces états.
- Heu
non
si
.
Je sentais la main du Maître qui me pelotait les fesses sans ménagement, malaxant les globes laiteux allant même jusqu'à les tapoter de la paume.
De plus en plus gêné, je cherchais une éventuelle échappatoire à cette délicate situation, mais mon mari renchérissait la provocation sans se douter de ce qui se tramait à des kilomètres de lui.
Me croyant seule, il samusait à nous exciter mutuellement.
- Vas y dit moi, tu tes fait draguer ?
- Mais non
je tassure
- Arrête de me mentir, je le sens au son de ta voix, tu es toute chose, quelquun ta fait des avances ? Allez dit le moi.
Jai vite compris que je néchapperais pas à ses questions intimes, il me fallait jouer le jeu au risque de le brusquer.
Coupé court à la discussion ne démentirait pas ses éventuels soupçons et au pire le mettrait en colère et puis il y avait le Maître qui ne comptait pas me libérer aussi facilement du piège quil mavait tendu.
Alors jouant le tout pour le tout il me fallait les contenter tous les deux en évitant que mon mari ne découvre lérotisme torride de ce coup de fil si particulier.
- Bon
daccord, oui
je me suis fait draguer.
- Ha, tu vois jen étais sur, cétait qui ? Cétait où ? Comment ça cest passé ?
- He doucement
pas si vite, sinon
je ne te raconte plus rien.
- Ok, je me calme, mais tu sais que ça mexcite trop ce genre de situation
- Il ne te faut pas grand-chose mon chéri
- Tu en as de bonnes, une belle femme comme toi, toute seule, loin de son mari et habillée très sexy, il nen faut pas plus pour créer des tentations.
- Et alors, même si cétait le cas, cela te rendrait jaloux et tu serais malheureux
- Mais non, au contraire cest trop excitant dimaginer les hommes autour de toi, jouant au coq pour attirer ton attention.
Maintenant je sentais des doigts me parcourir la fente, tranquillement comme si de rien nétait le Maître me fouillait en toute impunité, sur de lui et conscient de ma totale soumission.
Il savait rendre latmosphère humiliant à souhait, se servant de ma gêne et de la honte que je pouvais ressentir vis-à-vis de mon mari.
Me connaissant bien, il savait que jallais rapidement éprouver du plaisir à tromper mon époux, à me sentir ainsi humiliée par mon aveuglante soumission.
- Mais mon amour, tu sais bien
quune femme ne peut pas
.tout dire
- Hum
toi tu sais parler à ton homme, vas y lâche toi
- Fait attention
si tu mexcite
tu nes pas là pour méteindre
- Mais peut être que tu as déjà un candidat pour ça, non ? Dit moi ?
- Hum
chéri
mais je crois
quils seraient même
plusieurs
- Waouh
je ne te savais pas aussi coquine, tu es sure que cela cest arrêté à la drague ?
Maître se délectait de cette situation, il me regardait en épiant la moindre de mes sensations, à chacune de mes phrases il agitait ses doigts en moi, titillant mon clito pour mallumer au maximum.
Je me surprenais à onduler du bassin tout en parlant avec mon homme au téléphone, mes jambes flageolaient sous le plaisir montant.
- Hum
et
si ce nétait pas le cas
tu me gronderais ?
- Ha tu vois
je suis sur quil sest passé quelque chose, tu veux me faire languir, me rendre jaloux.
- Peut être
mais tu nas pas
répondu
tu me gronderais ?
Sa voix venait de changer, je ressentais comme une sincère excitation
- Heu
non
peut être que si
comment pourrais je savoir ?
- Si je tavouais des choses
tu le prendrais comment ?
- He ho, tu mallume grave
cest une punition ?
- Tu vois
tu ne réponds pas
tu fuis devant lévidence
- Mais non
mais là, tu mexcite trop
tu ne mas jamais parlé comme ça
cest déstabilisant.
- Alors laisse toi aller
libère ton esprit
et dit moi sincèrement si ça texciterait quil se soit passé quelque chose ?
- Oui
.bien sur
que cest excitant
.
- Tu vois, toi aussi tu me cache des choses
tu as des fantasmes très coquins.
- Tu nimagine même pas, parfois je me fais honte
tellement ca mobsède
- Hum
Il ny à pas de honte
mon amour
je comprends
moi-même
ça mexcite
Ca mexcite
de te faire cocu
de me laisser faire
par tous ces pervers
- Hum
putain
tu me fais bander
même à distance
hum
tu me manque
- Et moi
tu me fais mouiller
je dégouline
- Hum
continue ma chérie
je me branle en técoutant
- Hum
chéri
je dois tavouer
pendant que je parle
il y a un homme
qui me fouille la chatte
avec tous ses doigts
- Ma salope
et tu aime ça
quil
hum
te fouille
- Oui
cest trop bon
tu me fais trop
mouiller
ses doigts rentrent
.comme dans du
beure
et jaime ça
Maître était surpris de ma réaction, mais il semblait fiers de sa soumise et appréciait la forte excitation qui commençait à nous prendre tous les trois.
- Hum
mon amour
et sa queue
elle est comment ?
Jouant le jeu à fond.
- Je ne sais pas encore
elle est encore caché
- Alors sort la
prend la
et dit moi
Jai regardé mon Maître qui ma fait un signe de la tête pour que je mexécute et il a reculé son siège du bureau pour que je puisse maccroupir entre ses jambes.
- Mon amour
il faut que je pose le combiné
tu mentends toujours ?
- Oui
hum
tu es vraiment perverse
cest comme si jy étais
trop réaliste
.
- Oui mon amour
tu nimagine pas à quel point
.cest réaliste
Jai ouvert la braguette et défait le bouton qui retenait son pantalon, il ma aidé en relevant un peu ses fesses afin que je le fasse glisser vers le bas.
- Hum
chérie
ça y est
je laperçois
hum
.elle est bien grosse
il bande déjà
- Hum, ma salope
tu ne peux pas savoir
ce que tu mexcite
- Oh, que si mon amour
je le sais
et moi aussi ça mexcite de te tromper
comme ça
avec le premier venu
- Oui
.vas y
prend la dans ta bouche
suce le
régale toi
- Tu es sur
tu ne seras pas jaloux
que je suce
cette belle queue
- Hum
non
ma salope
suce le bien
- Merci mon amour
hum
regarde
je lui lèche
les couilles
elles
sont bien pleines.
- Hum
tu es vraiment
une petite
salope
tu sais mexciter
- Mon chéri
.je crois
que ce monsieur
voudrait bien me
.baiser
que dois je faire ?
- Oui, quil te la mette
bien à fond
ce salaud
Très obéissante, je me suis relevé en tournant le dos à mon Maître, jai remonté ma robe, écarté mes jambes pour enjamber les siennes et je suis venue mempaler sur son pieu.
- Hum
mon amour
ça y est
il me baise
sa bite est en moi
- Elle est comment ? Tu la sens bien ? Salope
dit moi tout
- Hum
elle est bien grosse
et longue
il me pénètre
jusquaux couilles
hum
jaimerais
que tu vois
ça
mon amour
- Moi aussi
jaimerais
être là
pour te voir
baisée par un autre
hum
Mais notre jeu de rôle était bien réel et mon plaisir nétait pas feint, mon excitation dépassait tout ce que javais connu jusqu'à là, cocufier mon homme au téléphone était pour moi le summum de la perversion.
- Hum
chérie
il me dilate si bien
je prends mon pied
- Vas-y mon amour, il va te remplir de foutre bien chaud, il va tengrosser
ma petite pute
taime ça, hein ?
- Oh oui, tu nimagine pas
à quel point
jaime ça
je suis ta pute
votre pute
- Hum, oui
tu es sa pute
quil te baise
télargisse la moule
salle putain
Nous étions tous trois au bord de lexplosion, Mon mari se branlait frénétiquement excité comme jamais, Moi jétais au bord de lévanouissement et mon Maître me bourrait la chatte à grand coups de bite.
Quand soudain, je lai entendu crier dans le combiné en lâchant sa purée, que moi-même je me suis fait remplir la chatte par mon Maître qui me traitait de sale putain en sagrippant à mes poignées damour et moi qui criais comme une folle en tremblant de tous mes membres.
- Ouuiiiiii
je jouie
.je suis
.votre
putain
oh
ouuuiiiiiii
Puis un silence pesant sest installé, pendant que tous les trois nous reprenions nos esprits après avoir jouis intensément.
- Allo ?... Allo
?
Encore empalée sur la queue qui ramollissait, je me suis levé pour reprendre le combiné sur le bureau, la semence de mon amant coulait le long de mes cuisses et encore étourdie je me suis assise sur le bureau face à mon Maître.
- Oui
allo
chéri
- Et bien mon amour, jamais nous navons jouis autant, cétait vraiment super
- Oui, tu peux me croire, jen suis encore toute retournée
- Tu vois que la séparation peut parfois nous faire du bien, tu nas jamais été
comment dire
aussi
aussi chaude, tu me surprends.
- Mon chéri, même moi je me surprends depuis quelques temps
- Mais bon
tu sais
tout ça, ce nest que des
fantasmes, il ne faut pas le prendre au pied de la lettre
si tu vois ce que je veux dire.
Maître sétait levé à son tour, face à moi il se rajustait sans faire de bruit en me souriant.
- Oui, je sais
mais
il faudra
que lon en parle tout de même
un de ses jours
- Vivement que tu rentre, tu me manque déjà
- Plus que trois jours mon amour, je tappelle demain, bye
- Bye, je tembrasse
Le combiné à peine raccroché, le Maître sest collé à moi, ma saisi par la nuque et ma roulé une pelle magistrale.
Nos langues ont virevoltées en mélangeant nos salives, pendant quune de ses mains me fouillait le sexe pour étaler le sperme, qui coulait sur ma vulve et mes cuisses.
- La jouissance vous va si bien, elle vous rend si belle
- Merci, il faut dire que lon soccupe bien de moi
- Tant que vous le mériterez, cela sera un réel plaisir, pour moi comme pour mes amis.
Puis il me mit une petite tape sur la fesse en me disant :
- Bon, allez vous refaire une beauté la soirée nest pas terminée, on va venir sur chercher tout à lheure.
Reprenant ma place de soumise, je lui ai répondu en baissant les yeux :
- oui monsieur
heu
oui maître.
Jai regagné ma chambre à petits pas, traversant les couloirs vides où le silence régnait, la peau de mes jambes était collante avec la quantité de sperme qui avait coulé et qui commençait à sécher.
En avançant je repensais à ces dernières semaines, ma vie sest accéléré et est devenue très intense depuis notre rencontre avec Marc, je me demandais même si cétait vraiment le fruit de hasard.
Pendant tant dannée il ne sétait rien passé de spécial, et là dun seul coup, tout marrive en même temps.
Même mon mari semblait différent, jamais il navait osé être aussi coquin, choisissant mes tenues les plus osées alors quil savait que jallais être seule et loin de lui pendant toute une semaine.
Et puis ce soir au téléphone, il ma plutôt facilité la tache alors quil na jamais été comme ça avec moi dans notre intimité, tout cela est intriguant, mais bon.
Il devait être vers les vingt et une heure, javais pris une bonne douche pour nettoyer toutes les traces de luxure sur mon corps et jai remis une robe identique, toute propre, qui mattendait sur le lit.
Il faudra bien que japprenne pourquoi ils affectionnent autant cette robe, mais en attendant jai pris un magazine et me suis installée sur un des fauteuils pour patienter jusquà que lon veuille bien venir me chercher.
Soudain on a toqué à ma porte, toc
toc
- Oui entrer.
Vous auriez aperçu ma tête lorsque jai vu entrer mon mari.
- Chéri ? Mais
que
fait tu là
- Mon amour, tu ma trop troublé, je ne pouvais plus rester seul loin de toi.
- Oui
mais comment
- Et bien cest Marc
notre ami qui est passé pour minviter à cette soirée
- Quelle soirée ?
- Je ne sais pas, mais il ma dit que tu aimerais que je sois là, alors tu pense il na pas eu besoin de me le répéter deux fois.
Il est venu contre moi en menlaçant dans ses bras.
- Mon amour, tu es vraiment belle et tu me manque, je vois que tu porte une nouvelle robe.
- Heu
oui
je me suis fait
un cadeau
- Elle est très belle et te va à merveille, jespère que tu as mi des dessous coquin, fait voir
- Heu
non
si
mais non je ne te fait pas voir, quelquun peu entrer
- Comment ça, quelquun peu entrer ?
- De toutes les façons, il va falloir y allé cest bientôt lheure.
- Mais attend, allé fait moi voir
II ma bloqué avec un bras et à laide de lautre il a remonté ma robe tout en me caressant la cuisse, sa main montait doucement en palpant ma peau nue jusqu'à venir effleurer mes fesses.
- Mais
tu es nue
tu nas pas mis de culotte ?
- Heu
non
jallais le faire
mais tu es entré
- Tu en es sure ? Alors elle est où cette petite culotte ? Montre la moi.
- Heu
dans ma valise
oui
elle est dans ma valise
- Pourtant tu attendais là, assise et tu lisais tranquillement, donc tu allais partir en oubliant de mettre ta culotte.
- Heu
tu as raison
je me sentais si bien
que peut être
je serais partie sans
- Oh toi, je te soupçonne davoir été mise au courant de mon arrivée et tu voulais me faire une surprise.
- Tu es impossible, on ne peut pas te cacher quoi que ce soit, pour la peine je vais en mettre une tout de suite, et une moche tant qua faire.
- Jamais de la vie, cest trop excitant de te savoir cul nu sous ta robe
- Bon daccord, mais tu devras te faire pardonner quand même
Quelquun toqua de nouveau à la porte, toc, toc, toc
- Oui entré
Cétait Marie qui venait nous chercher
- Monsieur, madame, vous êtes attendu au grand salon
- Chérie regarde, vous avez exactement la même robe toute les deux
Effectivement, Marie portait la même robe que moi et ça sentait le piège
- Heu
oui chéri, en fait ils me lon offerte
spécialement
pour cette soirée
- Ha cest une tenue imposé pour les femmes, mais je vous rassure vous êtes très belles dans cette robe.
Marie ma fait un beau sourire et un clin dil pour souligner que je men étais bien sortie.
- Allez venez ne les faisons pas attendre
Nous lavons suivi jusquau grand salon où ils nous attendaient tous, Le Maître était là à coté de Marc, leurs amis étaient tous là aussi, même la brute, et il y avait aussi huit, non neuf autres femmes toutes vêtues de la même robe que moi et Marie.
Au total il y avait onze hommes en comptant mon mari et onze femmes avec Marie et moi et cela ne devait pas être le fruit du hasard.
Maître pris la parole :
- Messieurs, merci pour votre présence à tous, je tiens à remercier particulièrement lépoux de notre adorable Emilie, que vous connaissez déjà tous très bien daprès ce quon ma dit, Emilie et non pas son époux.
Des rires étouffés on traversé le salon, il faut dire que lallusion était évidente et plutôt faite pour mhumilier en présence de mon mari.
- Cette semaine de formation prend fin et je tenais à lui faire découvrir tout notre savoir faire, quil puisse se rendre compte de par lui-même toutes les nouvelles compétences de sa belle, très belle épouse.
Je commençais à rougir, comprenant quil allait se passer quelque chose de très particulier, suivant son discours, le Maître allait dévoiler ce que je craignais le plus.
Ma honte prenait le dessus, mon cur saccélérait et javais les mains moites, je voyais venir ma plus grande peur, que mon mari découvre mon infidélité.
Nous allions être la risée de tout ce beau monde, comment allait-il réagir ? Mon ventre se nouait et mes jambes flageolaient.
- Venez Emilie, venez près de moi, si votre époux le permet, bien sur.
- Jai regardé mon mari qui ma fait signe de la tête
- Voilà cest bien, maintenant installez vous tous confortablement
Tous les hommes se sont installés dans les profonds canapés du salon, mon mari lui sest installé dans le fauteuil près de lui, ils étaient tous assis seuls restaient le Maître et moi au centre de la pièce, toutes les autres femmes se plaçaient chacune à coté dun homme.
Je fus surprise de voir que Marie sétait approché de mon homme, sasseyant sur laccoudoir du fauteuil en croisant ses longues jambes devant les yeux de mon époux qui semblait ravis de découvrir de si belles cuisses.
- Voilà, jespère que vous êtes tous bien installés, ces dames vous nous faire le plaisir de bien soccuper de vous pendant notre démonstration.
Cétait évident quil allait se passer quelque chose et javais le sentiment que jallais encore, être le centre dintérêt de cette assistance, je regardais mon mari qui maintenant tenait Marie par la taille.
- Comme vous le savez tous, cest la septième semaine de formation pour notre nouvelle recrue qui nous a comblé plus que nous laurions espéré, Emilie à un énorme potentiel et je tiens tout particulièrement à remercier Marc qui à fait sa découverte.
Il parlait en me regardant droit dans les yeux, appuyant là ou cela allait me faire mal, jécoutais sans rien pouvoir faire pour stopper cette terrible humiliation publique, les yeux humides je sentais des larmes simmiscer sur mes joues.
Mais au point ou jen étais, ne pouvant plus faire machine arrière, jacceptais mon sort, quoi quil arrive, quoi quil me demande jexécuterais ses ordres et peut importe le prix à payer je macquitterais de ma dette.
Jai regardé mon mari en pensant dans ma tête, mon amour, pardonne moi mais je taime vraiment, excuse moi pour le mal que je tai fait, cétait plus fort que moi.
- Emilie
Emilie
ce nest plus le moment de rêver
- Heu
oui
- Oui qui ?
- Oui monsieur
heu
oui Maître
Je parlais encore tout doucement espérant que mon mari nentende pas mes mots
- Enlevez votre robe
- Monsieur
sil vous plait
Même en sachant que je ne pourrais y échapper, je me suis accroché à un dernier sursaut de pudeur.
- Il faut que je me répète ?
- Non
monsieur
non
Le regard fixé sur le sol, jai lentement retiré ma robe, dévoilant petit à petit ma peau nue qui frissonnait dangoisse.
Jattendais le moment ou jentendrais mon homme crier, mais quest ce que tu fais, tu es folle, vous nêtes pas bien
Mais aucun son ne traversait le salon, le silence total.
Ma robe est tombée à mes pieds, jétais là, toute nue au centre de la pièce sous le regard de tous ces hommes et femmes qui me fixaient en attendant la suite.
- Ecartez bien les jambes et penchez vous vers lavant
Je me suis exécuté, les jambes bien écartées je me suis penché vers lavant, ce qui à révélé ma vulve aux yeux de tous, comme à mon habitude des perles ce cyprine trahissaient le plaisir qui sinstallait en moi.
Mon mari ne réagissait toujours pas et je trouvais cela de plus en plus surprenant, mais mon esprit se laissait envahir par les incroyables émotions de cette situation au combien perverse.
- Et bien Emilie, vous êtes encore toute humide.
Il savait très bien que ce genre dhumiliation me faisait craquer, jadore être salie, humiliée et exhibée, jaime être insultée de mots crus, sales et pervers, ça me transporte vers dincroyables jouissances.
Il ma passé la main entre les fesses, palpant ma vulve pour constater mon niveau dexcitation.
- Hum
Emilie, vous êtes une vrai fontaine à jus
cest rare une femelle qui mouille autant que vous, votre époux doit être fiers de vous.
Le salaud revenait sur mon mari comme pour me rappeler quil était là, juste à coté et quil regardait sa femme se faire humilier sans rien dire.
Jai tenté un coup dil discret dans sa direction, il était toujours là à me regarder mais il soccupait aussi de caresser les cuisses dévoilées de Marie qui le laissait faire sans broncher.
Dailleurs tous les hommes pelotaient sans vergogne les femmes qui leur avaient été attribué, chacun avait la sienne, toutes dévoilaient leurs cuisses et certaines avaient déjà les seins à lair libre.
Mais tous et toutes regardaient dans ma direction, attendant mon futur supplice avec délectation.
Mon mari ne semblait pas sinquiéter de mon sort et sexcitait sur la belle Marie qui était surement complice du Maître pour divertir mon homme.
Jétais surprise de sa faiblesse, jaurai cru quil ne serait pas de ceux là, ces hommes volages prêt à tout pour une nouvelle conquête, mais lévidence était là devant mes yeux.
Pourtant il me serait difficile de lui en vouloir car moi-même jétais mal placé pour le sermonner, après tout, nétais je pas devenue une vrai petite salope, prêtes à tout pour jouir encore et encore.
Jadorais le faire cocu, cela mexcitais comme une gamine, alors quil puisse me rendre la monnaie de la pièce nétait que justice, il me fallait laccepter.
Pendant ce temps le Maître menfilait un, voir deux doigts dans la fente, séparant mes muqueuses bien humides pour laisser apparaître mon bouton quil titillait aussitôt pour mon plus grand plaisir.
- Hum je vois que vous êtes toujours aussi sensible, Emilie vous êtes une perle rare quil faut rapidement enfiler.
Tout en me tapotant les fesses il reprit
- Marc à vous lhonneur
Marc sest approché de nous et à glissé quelques mots à loreille du Maître
- Mais oui mon ami, bien sur que cest une bonne idée, pourquoi ny ais je pas pensé moi-même.
Marc se retourna vers lassemblé et fit signe de la main à celui que lon appelait la brute, celui qui mavait déjà tout fait avec sa grosse queue et je dois avouer que cela ne me rendais pas insensible.
Bien au contraire le souvenir de sa queue était resté gravé dans ma chair et que lon moffre de nouveau à lui était plutôt un cadeau, plus quune punition.
La brute à sourit, il sest levé et est venu jusqu'à nous
- Je te manque déjà, ma petite pute ?
Je navais pas compris quil attendait une réponse de ma part et il ma immédiatement claqué les fesses avec la paume de sa grosse main, le bruit à raisonné dans la pièce alors quil me demandait de nouveau.
- He, la pute, je te manque ?
- Oui
vous me manquez
- Cest moi qui te manque ou ma grosse bite ?
- Hum
cest votre grosse
bite
qui me manque
Marc lui a aussi glissé un mot à loreille
- Ha...ha
ha
elle va prendre dur cette fois
Tout en ricanant, il sest allongé au sol sur le dos et en retirant ses vêtements il a fait apparaître son sexe démesuré qui bandait déjà.
Jai regardé mon mari qui écartelait les yeux en voyant la taille exceptionnelle de ce membre et javais envi de lui dire :
Tu vois mon amour ce quils me mettent, tu vois pourquoi jaime ça, tu vois pourquoi je suis devenue une vrai salope, comment pourrais je résister à un tel bonheur.
La brute sastiquait déjà la bite en me regardant, crachant dans sa main il déposait sa bave sur le gland rougeâtre et faisait quelques vas et vient rapide pour huiler le prépuce.
- Regarde ma belle, elle tattend tu lui manque
Marc ma écarté les jambes et positionné juste au-dessus, mappuyant sur les épaules pour que je plie les genoux et que je puisse my empaler.
Heureusement, le mélange de cyprine et de salive ont permis au gland de se positionner facilement, déjà habituées à cette grosseur mes chairs se sont élargies et le poids de mon corps à fait le reste.
Il ma dilaté centimètre par centimètre, violant mon intimité avec son impressionnante virilité et en moins dune minute le pieu avait totalement disparu dans mon ventre.
Jétais parfaitement empalée, pleine de ce gros membre chaud qui occupait toute la place dans mes entrailles.
La brute se délectait en magrippant les anches, il entamait de petits et rapides vas et vient pour mélargir encore plus et je ne pouvais cacher mon plaisir qui se manifestait par ces petits bruits humides que nous connaissons tous si bien.
Pendant que je me faisais enfiler, mes yeux ont recherché le regard de mon homme, il semblait admirer la scène tout en caressant les seins de la belle Marie.
En le fixant dans les yeux jaurai voulu lui avouer, regarde mon amour, regarde bien le pied que je prends avec cette queue qui menfile.
Cétait incroyable, jétais là empalée sous le regard de toute une assemblée et plus particulièrement de mon époux qui ne disait rien, il ne semblait pas surpris et même en retirait un plaisir évident.
Marie aussi me regardait, mais avec une pointe dironie au fond des yeux, tout en me fixant elle à ouvert le pantalon de mon homme pour y dénicher sa verge, la sortir au grand jour et la caresser devant mes yeux.
Quant aux autres, ils me fixaient tous de manière gourmande, certains se faisaient déjà sucer par leur soumisse, dautre se laissaient caresser ou bien cest eux qui caressaient leur femelle attitrée.
Mais toutes les femmes présentent semblaient jalouses de ma position, je compris quelles étaient déjà toutes passé sur cette merveilleuse queue et que comme moi, elles y avaient pris gout.
Comment leur en vouloir, je me régalais dêtre écartelé de la sorte, par ce membre hors normes qui entrait et ressortait de mon ventre au rythme des puissants coups de reins de cette brute sans âme qui me rendait folle.
Totalement rassurée par le manque de réaction de mon mari, je commençais à me laissé aller, à gémir mon plaisir et à onduler de bonheur.
Marc était toujours là à nos cotés, il me caressait les fesses et les reins, passant de lun à lautre aux grés de ses envies, parfois même il descendait entre mes fesses pour venir tâter lengin de la brute qui mécartait la moule.
Il semblait aimer ce contact charnel du sexe gluant qui disparaît dans les chairs intimes de sa protégée, ses doigts contournaient la masse en frôlant mes lèvres rougies par la forte dilatation.
Il se laissait aller à caresser le membre de la brute et ses bourses bien pleine ce qui bien entendu le faisait encore grossir en moi, jétais pleine, dilatée, écartelée et tellement heureuse.
Puis Marc est remonté sur mon anus, la main pleine de cyprine il ma huilé la raie, se promenant entre les lobes laiteux il étalait mon jus dans tous les recoins.
Introduisant un doigt dans mon illet fripé, puis un autre, il acclimatait le terrain pour vérifier la place qui restait encore, car avec ce qui me pénétrait devant, autant vous dire que le reste était plus que serrer.
Malgré cela, il menfilait déjà deux doigts en même temps pendant que la brute me ramonait tranquillement et me desservait des mots crus à loreille.
- Tu vois ma belle, ta chatte sest habituée à mon gros calibre, tu es faite pour ma grosse queue et tu ne pourras plus ten passer.
Et Marc suivait la cadence, il remouillait ses doigts à chaque sortie en les trempant dans mon jus qui coulait de partout.
- Cest bien ma petite pute, je vois que tu as compris
ton cul vat avoir de la visite, tu vas te faire démonter ton petit cul.
Je nétais plus quune salope docile, écartée au maximum pour quils puissent me limer à leur guise, devant tous ces spectateurs pervers qui se délectaient de la vue.
Même mon homme se régalait, depuis un bon moment Marie lui taillait une superbe pipe pendant quil zyeutait mes préparatifs à la sodomie, lexcitation lui procurait une belle verge bien dure que je navais pas vu depuis bien longtemps.
Etait ce la pipe de Marie où bien le fait que je me fasse mettre devant lui par dautres hommes qui le faisait bander comme ça, Marie laspirait avec beaucoup dhabileté et lui salivait bien la tige.
Elle crachait sur le gland pour lengloutir aussitôt au fond de sa gorge, creusant ses joues elle aspirait puis relâchait la pression pour libérer la bête, sa bave suintait le long du membre pour venir jusquaux couilles de mon homme.
Jamais je navais vu la bite de mon mari sous cet angle, toute mouillée de salive elle bandait dur et cela semblait satisfaire Marie qui me faisait des clins dil.
Les voir ainsi me rendait un peu jalouse, javais peur que Marie le régale mieux que moi, ce qui lui serait facile au regard de son expérience et du contexte.
Puis soudain, jai entendu Marc dire tout haut :
- Elle est prête, vous pouvez venir
La brute continuait à me pistonner, lorsque Marie à lâché la queue de mon homme quil sest levé et est venu se placer derrière nous.
Il sest agenouillé, la brute à stoppé ses ruades, ses mains se sont posés sur mes reins en me bloquant et jai compris ce qui allait se passer.
Jallais subir ma première double pénétration, de tout ma vie je naurais pensé vivre cela un jour, malgré mes nombreux fantasmes en la matière, cétait pour moi, quelque chose que lon ne vie pas pour de vrai.
Plus rien ne pouvait arrêter ses hommes surexcités, lun qui me baisait déjà et lautre qui allait me dilater le conduit anal.
La brute ma sorti de mes songes
- Tu vas voir, tu vas te régaler comme jamais, à nous deux on va te déchirer. Je vais te déchirer la chatte pendant quil va téclater le cul, tu va voir ca va devenir ta drogue, tu ne pourras plus ten passer.
Je frémissais dexcitation et dangoisse, comment mon corps allait pouvoir accepter deux membres en même temps, surtout avec cette colonne déjà en moi.
Mais pour rien au monde je naurai donné ma place à une autre, je palpitais du cul, mes tétons étaient si durs quils me faisaient mal, et même mon clito me tiraillait tellement il était gorgé de sang.
Jai senti mon homme appuyer le bout de sa queue contre ma rosace, la brute attendait sagement quil puise me la mettre à fond.
Il à le gland à me dilater pour sintroduire de quelques centimètres, puis à marqué une pose pour que je puisse mhabi à la douleur.
Me massant les reins pour me détendre, il accentuât la pression sur la rondelle pour gagner encore deux à trois petits centimètres.
- Ca vient ma chérie, détend toi et tu auras moins mal, encore un effort ca y est presque, tu vas voir tu vas adorer.
Je nimaginais pas entendre la voix de mon homme dans une telle situation, il était sur de lui et allait enfin obtenir ce que je lui refusais depuis trop longtemps, car mon petit cul était son rêve depuis toujours.
- Mais malgré mes efforts et la bonne lubrification de mes orifices, son sexe avait du mal à plonger totalement en moi, il faut dire que la bite de la brute prenait toute la place et rendait lopération plus que délicate.
Marc est venu à la rescousse, il sest placé face à mon visage et ma présenté sa verge pour que je le suce.
- Tient Emilie suce moi bien, ton mari te regarde, montre lui comment tu aime le faire cocu et écarte bien ton cul pour quil tencule
Ses mots mon terriblement excités et cest avec avidité que jai avalé sa queue en gémissant de plaisir.
- Hum
chéri
regarde moi
regarde comment
je suce
bien
Cela à surement du exciter mon mec car il ma giflé la fesse tout en forçant le passage.
- Ha
sale pute
taime ça la bite
hein
taime ça
- Hum
oui
oui
oui
jaime vos queues
Il ma administré une fessé magistrale qui à eu pour effet de me lâcher à fond, sous le mélange de douleur et de plaisir intense, mes chairs se sont libérés et il a pu menculer jusquaux couilles.
- Haaaaaa
.tient salope
prend tout
sale putain
Aussitôt la brute à repris ses mouvements dans ma chatte pendant que mon homme tentait de coordonner sa queue sur la sienne.
Ensemble ils me déchiraient les entrailles pendant que Marc me remplissait totalement la bouche en mempêchant de crier mon plaisir.
Ma salive bavait autour de la bite qui me limait la bouche, mon mari prenait son rythme entre mes fesses et la brute mécartelait bien la moule en minsultant à tout vat.
- Sale putain, tes jamais rassasiée
ten veut toujours plus
hein
salope
- Oui
.ouiiiiii
je suis
une
salope
votre
salope
- Sale pute, ne parle pas la bouche pleine, on va te remplir de foutre, tu aime nos bites
hein que taime ça ?
Jentendais toutes ses choses qui me remuaient le ventre mais je ne savais plus qui me les disait, Marc, la brute ou mon homme, peut être tous en même temps.
- Hum
regardez comme elle ondule cette putain, elle se régale vraiment
- Hum
bande de
salauds
oui
jaime
me faire mettre
Je sentais la grosse queue qui venait prendre lair avant de replonger dans ma grotte en écartant toutes mes chairs alors que mon homme me limait le cul plus rapidement en venant claquer sur mes fesses.
- Han
han
han
ha, tu voulais de la bite
là tes bien remplie
sale putain
- Ho oui
mon amour
tu me rends
folle
jaime
vos grosses
.bites
Quelle fantastique sensation dêtre remplie de toutes parts, dilatée à lextrême, à la limite du possible, ressentant ses grosses queues gonflés qui vous dilate les chairs.
Dun seul coup vous êtes emporté par cette terrible humiliation de nêtre quune poupée gonflable, un garage à bites, une putain gratuite qui satisfait les mâles en rut.
Ces mâles, si excités par votre corps et vos orifices accueillants, que rien ne pourrait les arrêter dans leur quête à la jouissance, si excités que leurs sexes vous transpercent de toutes parts, prenant possession de vos cavités intimes sans aucun ménagement.
Ces pervers qui vous lime, vous ramone, vous défonce le cul et la moule comme des salauds qui ne pensent quà jouir de vous et en vous, à déverser tout leur jus et à se vider les couilles.
Vous vous rendez enfin compte que vous êtes devenue un objet de plaisir pour satisfaire vos amants, rien que dy penser vous pourriez jouir sans limite.
Et toujours la puissance des mots qui vous traverse la tête, jouissant de toutes ses humiliations et insultes qui vous rappellent votre état de soumise consentante.
- Hum
Marc
elle va te bouffer la queue
tellement elle te lavale
- Ouaiiii
tu nimagine pas comment je me retiens
hum
de lui jouir dans le gosier, cette salope est trop excitante.
- He
les gars il faut ralentir
la cadence
sinon ont va jouir trop vite
et ma putain préféré ne profitera pas assez de ma grosse queue.
- Hum
ouiiii
douce
ment
mes chéris
limer moi
doucement
cest trop bon
Mon mari ma encore claqué les fesses plusieurs fois pour me faire redescendre la pression.
- Alors
comme çà
taime les bites
tu aime me faire cocu
hein
ma putain
avoue que taime ça
- Ouiiii
jaime
çà
jaime que tu
sois cocu
Comme la brute lavait demandé, ils ont ralentis leurs assauts pour que je puisse souffler un peu.
Marc ressortait sa bite de ma bouche pour me laisser respirer pendant que mon mari sétait logé au fond de mon cul sans bouger, juste en magrippant par les anches pour maintenir sa queue bien au fond.
La brute continuait à me dilater la moule au ralenti, il sortait sa bite tout doucement jusquà ce que le gland soit à la limite dexpulsion pour replonger de nouveau dans mon vagin en forçant le passage et venir buter contre mes ovaires.
A chaque nouvelle pénétration, je sentais ma cyprine déborder sur mes cuisses, sa grosse bite évacuait le trop plein pour prendre toute la place disponible.
Et il avait raison, au ralenti les sensations prenaient une toute autre dimension, mon esprit pouvait ce concentrer sur chaque bite à tour de rôle, je sentais les deux queues se frotter lune contre lautre au travers de la mince paroi de chair séparant mes orifices.
Je pouvais déguster la superbe bite de Marc qui se frottait sur ma langue, ressentir mes chairs sécarter sous la pression de la merveilleuse queue de cette brute perverse et je pouvais me régaler davoir le cul bien rempli par mon homme.
Mon homme, dont la présence à cette orgie mexcitais au plus haut point, je réalisais enfin mon fantasme le plus pervers, cocufier mon mari avec son accord, quelle femme ne rêverait pas de cela.
Mais jétais toujours empalée sur leurs membres qui me fouillaient sérieusement, et le plaisir montait, montait, malgré leurs efforts pour me retenir plus longtemps celui-ci devenait insupportable.
Mélange intrigant dextase et de douleur perverse, mon ventre était déjà parcouru de spasmes, mes membres se contractaient sous les assauts et ma respiration se faisait par saccades.
Les mâles eux aussi sentaient le plaisir monté.
- Putain
elle va se lâcher
notre putain
elle va jouir
- Ouiiii
hum
faites
moi
hum
jouir
ouiiiiiiii
Marc ma planté sa queue au fond de la gorge, me tenant fermement la tête pour que je ne puisse lui échapper, mon mari fit de même en me serrant les anches et la brute menfonçât son membre jusquaux ovaires en lâchant son râle.
Tous trois on crié en même temps, en synchronisant leurs puissantes éjaculations.
- Haaaaa
putainnnnnnnn
salopeeeeeee
sale
pute
Jai senti leurs jets chauds me couler dans les entrailles, me remplir totalement les cavités intimes jusqu'à déborder du trop plein.
Ma jouissance fut terrible et dévastatrice, la vague de plaisir ma littéralement anéantie et mon corps sest laissé choir de tout son poids sur la brute.
Jondulais sous les contractions et les spasmes nerveux, javais du mal à déglutir toute la sauce que Marc menvoyait dans le gosier et je sentais le sperme de mon homme qui débordait de mon cul pour couler sur la bite de la brute.
Je ressentais toutes ces queues qui frémissaient encore logées dans leurs orifices respectifs, mes chairs me brulaient dextase, meurtries par les dilatations et les échauffements que leurs grosses bites mimposaient.
Ma vue sest embrouillé et je me suis laissé partir dans les étoiles, emportée par un tsunami de jouissance et de sensations, jai laissé mon corps tout entier jouir comme jamais je navais encore jouie.
Les trois salauds se régalaient encore en me donnant leurs derniers coups de queues, essorant leurs dernières goutes de semence avant de retirer leurs sexe de mes trous.
Mon mari sest assis à nos coté pour reprendre ses esprits, Marc sest relevé et je suis resté allongée sur le torse de la brute qui me caressait encore les fesses.
Au bout de quelques minutes, la brute nous a tous sorti de notre nuage en parlant à mon mari.
- Putain
quelle est bonne ta femme, je la veux pour moi
il faut que tu me la laisse
Et Marc repris :
- Doucement, ce nest pas comme ça que cela se passe alors tu te calme.
Mon homme ne disait rien, il me regardait avec une certaine fierté, fiers davoir une si jolie femme, si désirable et si soumise.
Moi javais du mal à reprendre mes esprits totalement exténuée, mal à la mâchoire, au cul et la vulve en feu, quelques derniers frissons et décharges dadrénaline me parcouraient encore le corps.
Jétais avachie sur ce grand tas de muscles qui savouerait la douceur et la chaleur de ma peau contre lui, il en profitait pour me peloter dans tous les recoins sous les yeux de mon homme.
- Tu sais quelle serait heureuse avec moi, elle aime ma grosse bite et je la régale bien.
- Ninsiste pas, elle ne tappartient pas et tu le sais.
- Dommage pour elle, car ce nest pas vos petites bites qui vont la satisfaire.
Marc me prie sous les épaules pour maider à me relever, malgré des détourdissements je me suis mise debout en maccrochant à lui.
Mon mari sest aussi relevé et ma aussitôt pris dans ces bras en me déposant un baisé sur la bouche.
- Vient mon amour, vient te reposer
Autour de nous ça baissait encore, chaque homme soccupait de sa partenaire ou cétait la partenaire qui soccupait de son homme.
En levrette, en missionnaire ou sur le coté, sa limait dans tous les coins, sa sentait le sexe et la sueur.
Les orgasmes se déclenchaient les uns après les autres sous les cris et les gémissements des femelles enfin satisfaites.
Mon mari ma fait traverser toute la pièce entre les corps nus qui copulaient dans chaque recoin, cétait sidérant de perversité et malgré que je fusse lattraction sexuelle de la soirée jen étais toute bouleversée.
Il ma tendrement reconduit à la chambre et ma déposé sur le lit
- Ca vat
tu te remets de tes émotions ?
- Oui
merci
je ne savais pas
que tu
- Chut, ne dit rien
cest à moi de mexpliquer
et jespère que tu ne men voudras pas.
- Mais cest moi la fautive
- Mais non mon amour, cest moi et moi seul
- Comment ça ?
- Je me suis fait piéger
Marie ma piégé.
- Marie, la femme de Marc ?
- Oui, on sest rencontré au travail et elle ma tout de suite plu, mais je navais pas de mauvaises intentions et cest elle qui ma dragué, jai résisté quelques jours mais jai fini par craquer.
Nous avons couché plusieurs fois, cest une amante fantastique et nous avons fait des choses incroyables, jétais subjugué par cette belle femme, par son corps divin et surtout par son expérience sexuelle.
Tu comprends, avec toutes nos années de mariage
jamais nous navions fait ce quelle ma fait découvrir, mais il y a eu le revers de la médaille.
- Comment ça le revers, que sest il passé ?
- Un jour Marc est venu me voir, il ma fait une scène et ma prévenu quil allait te voir pour te raconter mon infidélité, que sa femme était une salope mais que ce nétait pas une raison, il fallait que je souffre autant que lui.
Et que dailleurs il te montrerait un film où on nous voyait forniquer chez eux.
- Comment ça chez eux, tu nas quand même pas baisé sa femme chez eux ?
- Si
jen étais désolé, cétait un concours de circonstances, cétait de sa faute à elle, mais tu sais bien que cétait pour me piéger, ils avaient bien préparé leur coup.
Donc Marc ma menacé avec ce film compromettant et jai essayé de le calmer, lui expliquant que javais perdu la tête, que je men voulais et ne savais pas quoi faire pour quil me pardonne, javais peur de te perdre.
Cest là quil ma proposé sa soit disant vengeance, il devait me rendre la pareil et coucher avec toi.
Jai accepté le compromis à la condition que si tu nacceptais pas il abandonne et me laisse tranquille, il a donc élaboré cette fameuse soirée au cinéma.
- Donc ce soir là, tu étais son complice ?
- Oui, en quelque sorte, mais je pensais quil ne pourrait pas aller bien loin en étant au cinéma, il allait juste te peloter un peu pour sexciter et encore jespérais que tu ne te laisse pas faire.
- Ben voyons, ça va être de ma faute.
- Non, mais javais cet espoir, je ne pensais pas quil savait y faire à ce point et que tu serais en manque daffection et de sexe, cest ça qui a tout déclenché, la suite nous la connaissons tous les deux.
- Oui daccord, mais toi ça ne te fait rien de me voir faire lamour avec dautres hommes ?
- Si bien sur, au début ça été terrible, jen ai pleuré de remords et de culpabilité mais à cette douleur est apparu une certaine forme dexcitation, plus je repensais à tes escapades et plus cela me troublait.
Et puis il y avait ton comportement, tu revenais à la maison chaque soir, tu maimais toujours, tu vivais tes aventures sans vouloir mhumilier ou me quitter, tout cela à contribuer à me rassurer quand à tes envies dadultère.
En prenant de la distance jai compris que lon ne vie quune fois et que la douleur de lâme nest pas mortelle, le plaisir de la chair est éphémère et samenuise avec le temps, à nos âges il ne nous reste guère doccasions pour en profiter
Et le sexe est une drogue dure, plus tu en consomme et plus tu en veux et jaime te voir sombrer dans la luxure, tu me surprends à chaque fois par la puissance de tes jouissances.
Jai laissé couler une larme et je me suis accrochée à son coup pour lembrasser
- Ho
mon amour, je te demande pardon
je taime plus que tout et je te remercie du fond du cur pour ta compréhension.
- Je pourrais subir tout les outrages, toutes les humiliations, les perversions et les extraordinaires jouissances quil me reste encore à découvrir, mais je reviendrais vers toi à chaque fois car tu es celui que jaime.
- Je navais quun seul désir, celui de vivre avec toi mes perversions, sous ton regard bienveillant et ta douce protection, je veux que tu sois mon Maître et que tu me partage selon tes désirs les plus profonds.
- Ma chérie, après tant dannée dabstinence tu nimagine pas tout ce qui pourrait me passer par la tête, es tu sure daccepter mes conditions ?
- Oui, toutes tes conditions, fait de moi ta putain, partage moi avec qui tu le souhaite, offre moi à qui te le demandera, jaccepterais tout de toi, je te le promets.
Nous nous sommes enlacés et je me suis endormie dans ses bras en libérant mes plus profonds fantasmes.
Nous avons savourez cette nuit de repos car demain sera un autre jour.
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