L'Auberge De Jeunesse

Cet été, alors que je voyageais seul à travers l'Espagne, j'ai passé une semaine à Madrid. J'avais réservé à l'avance mon auberge de jeunesse, sur internet, et, chose étrange, le site demandais si l'on étais « gay-friendly » ou non. Me demandant qui, en 2015, pouvait ne pas être amical envers les homos, je cochai sans trop me poser de questions. Ce n'est que plus tard que je compris l'ampleur de mon geste...
J'arrive donc à cette auberge un vendredi, vers 23h. Le fille de la réception vérifie ma réservation et me dit, avec un petit sourire, (et en Espagnol bien sur) : « Ah, tu as choisit l'option gay-friendly, très bien, chambre 13, au premier étage ». Je monte, galère un peu dans l'escalier étroit avec mon gros sac, et arrive devant la porte. Celle-ci s'ouvrait avec une carte magnétique, de sorte que seuls les occupants de la chambre pouvait entrer. J'ouvre donc la porte et me retrouve à l'intérieur. Personne. « Evidemment, me dis-je, à cette heure si en Espagne tout le monde est de sortie ». A gauche de la porte, sur le même mur, deux lits superposés. Idem sur le mur de droite, et sur le mur du fond.Tous les lits semblent occupés sauf celui du bas, à gauche de la porte. Sur le mur de gauche, une armoire avec des casiers, entourée de deux fenêtres.
Pendant que j'admire la chambre, le porte s'ouvre derrière moi. Un mec aux cheveux bouclés, un peu plus grand que moi, bronzé, barbe naissante, assez fin. Il me salut, me demande d'ou je viens etc … Les banalités habituelles. J'apprends qu'il est Espagnol, à Madrid pour la semaine, comme moi. Ce soir il va en boite avec des potes, me propose de l'accompagner. Un peu crevé par le voyage, je décline poliment. Il sort pour aller prendre une douche, et revient quelques minutes après, le corps rayonnant de chaleur et enveloppé d'une bonne odeur de pêche. Et en boxer blanc, élastique gris. J'en profite pour l'admirer discrètement. Il occupe le lit du bas sur le mur de droite. Il est mince mais assez musclé.

Des jambes très poilus, le torse un peu (le chemin des dames, bien sur, plus une touffe entre les deux pecs). Et un énorme engin : sa bosse dépasse du bords inférieurs de son caleçon. Je me détourne pour laisser s'échapper un « Wahoo » silencieux …
Il s'habille rapidement et quitte la chambre, moi même je ne tarde pas à me mettre au lit. Le lendemain, de bonne heure, alors que tout le monde dort encore, je pars visiter un peu la ville, avant que la chaleur devienne insoutenable. Je reviens vers 11h. Tout le monde est parti sauf mon espagnol qui dors paisiblement, sur le dos. J'admire quelques instants son torse se soulever au rythme de sa respiration lente. Son drap repoussé sur ses jambes m'offrent une vue magnifique sur son membre encalçonné de blanc, porté sur sa cuisse gauche.
Soudain, la porte s'ouvre, et un dieu grec fait son entrée. Large d'épaule, musclé, bodybuildé même, presque trop (pas trop mon style d'habitude, mais quand on se retrouve face à face avec ça, ça impressionne quand même …). Et une belle gueule. Et un slip bleu roi, avec le logo superman au niveau de sexe (pas énorme d'ailleurs). Une serviette jetée en travers de l'épaule, il revient manifestement de la douche. Il me salue en espagnol, à voie basse pour ne pas réveiller l'espagnol, je lui réponds de même, et il me sort « Ah t'es Français ». Il a du reconnaître mon accent … « Il y en beaucoup ici. Tu viens d'où ? » On se raconte un peu nos vies, lui toujours en slip, moi m'efforçant de ne pas reluquer son corps. Au bout de quelques minutes, la conversation s’éteint, il se tourne vers son lit (juste au dessus du mien), moi je me penche vers mon casier pour y déposer quelques affaires. Quand je me retourne, je le vois assis sur mon lit, jambe légèrement écartées, en train de se masser le paquet. « Qu'est-ce que tu fous ? – Quoi ?! T'aimes pas ce que tu vois ? Me répond-il avec un sourire malin, – C'est pas la question, t'es malade de faire ça comme ça devant quelqu'un que tu connais pas ? Ca se fait pas ! – T'as choisit cette chambre comme moi, tu savais à quoi t'attendre – Qu'est-ce que tu racontes, j'ai pas choisit la chambre, c'est la réceptionniste qui ma l'a donnée ! – T'as choisit l'option « gay-friendly » … » me dit-il sur le ton avec lequel on explique quelque chose à un gamin de cinq ans.

Je réalise soudain ce que signifait cette option étrange. Je suis uniquement avec des homos ! Assez ouverts en plus, visiblement ! Je sens alors une vague de chaleur monter en moi. Je deviens rouge, je transpire. C'est vrai que j'ai toujours été attiré par les mecs, mais, du haut de mes 19 ans, avec ma timidité maladive, je n'ai jamais rien fait de plus que rouler une pelle à un pote en étant bourré, pour rire … Je me mets à penser à un million de trucs en même temps, j'hésite même à prendre mes jambes à mon cou ! Et puis je vois que la statue grecque me fixe toujours de ses yeux en amande.
Alors je ne sais pas ce qui ma prit. Après un bref cou d'oeil à l'Espagnol pour verifier qu'il dormait toujours, je m'agenouille entre les jambes de mon superman, et gobe son gland à travers le tissu. Il pose sa main sur ma tête, me caresse les cheveux, attire ma bouche plus près de lui, si bien que j'ai le nez contre son slip. Cette chaleur, cette odeur d'homme, hmm … Puis il fait glisser son slip et se retrouve nu. Adieu superman, bonjour supermembre. Quoique pas si super que ça, il est quand même bien appétissant : d'une largeur, circoncit, une goutte de mouille luisant déjà au bout du gland … Je l'att et commence à la branler lentement, les yeux plongés dans les siens. Puis, sous la pression de sa main sur ma nuque, j'approche ma tête, le prends en bouche. D'abord juste le gland, que je caresse avec mon palais. Puis je commence mes va-et-vients. J'enfonce à chaque fois un peu plus sa queue dans ma bouche. C'est si bon. Et plus facile que je ne le craignait (même si j'ai eu droit à quelques « attention aux dents ! »). Faut dire que j'en ai tellement rêvé ! Il a l'air d’apprécier, rejette la tête en arrière, commence à gémir.
Puis il s'allonge carrément, et, m'attrapant la tête à deux mains, me dit « Ouvre bien la bouche ». Et il commence à me baiser la bouche, raclant son gland au fond de ma gorge. Ma salive coule le long de son braquemart et moi je suis aux anges ! « T'aimes ça hein ? T'es une ptite salope, toi! ».
Sa voix m'excite encore plus. Je réponds tant bien que mal par quelques « hmm, hmm » pour l'encourager à continuer. Soudain, il me lâche la tête, sors de ma bouche dans un soupir, et ne bouge plus, comme endormit. Comprenant que c'est à moi de jouer, je lêche la salive que parsème son gland, puis entreprends de lui lécher les couilles. Il aime ça, se tortille en gémissant. Je les gobes, les fais rouler sous ma langue, que je remonte ensuite le long de sa bite, et reprend ma pipe à un rythme soutenu.
Après quelques minutes de ce traitement, il s'assied, tout en me maintenant autour de sa queue. Je l'ai entièrement en bouche, le nez contre sa toison noir, le frond contre son bas-ventre musclé, et je kiffe !! Il m'att par les cheveux, rejette ma tête en arrière en m'embrasse. Ou plutôt, envahit ma bouche avec sa langue musclée, je peux à peine bouger la mienne. Il me maintient par les cheveux d'une main, de l'autre par le cou, serrant imperceptiblement la main comme pour m'. J'avale sa salive au fur et à mesure, je suis à sa merci. Puis il me libère la bouche non sans déposer un dernier baiser bruyant sur mes lèvres trempées de bave, et il me murmure « déshabilles-toi », et, comme je m’exécute, il se lève pour attr sous son oreiller une capote et du lubrifiant. Il se rassied sur le bord du lit, enfile la capote, et dépose au bout de son gland une noisette de lubri. Je me retourne, m'approche de sa bite. Il m'agrippe par les fesses pour me guider. J'ai un peu peur que la quantité de lubrifiant soit insuffisante, mais je me laisse faire. Je suis dans un état second. Alors je sens la pression de sa virilité sur mon trou, qui cède plus facilement que je ne le pensais. « Ta chatte s'ouvre toute seule, t'es vraiment une bonne salope ». Il s'enfonce lentement, tendrement, mais, alors qu'il semble buter sur quelque chose, il me donne un violent coup de rein pour me pénétrer complètement, ce qui m'arrache un cri de douleur mélée à une tornade de plaisir. Il met aussitôt sa main sur ma bouche pour me faire taire.
Alors, en léchant ses doigts musclés, je commence à le chevaucher. Je m'étais déjà doigté, mais ça, c'est incomparable. Je le sens me caresser les entrailles, et le savoir en moi, en train de prendre du plaisir dans mon cul, quel sentiment de fierté mêlé d'une sorte d'humilité. Je suis sa chose, son fleshjack, ni plus ni moins, mais il kiffe, et ça c'est jouissif !!
Une main sur mes hanches, il m'impose son rythme, de plus en plus rapide. Moi j'ai de plus en plus mal, mais je prends de plus en plus de plaisir. Je veux que ça s’arrête, mais je veux que ça dure mille ans .. Puis il se redresse, je tombe à quatre pattes par terre, il m'att les hanches a deux mains et s'invite en moi dans un soupir grave, presque un rugissement. Je me mords le bras pour ne pas crier. Il me pilonne sauvagement, animalement, même lui a du mal à retenir ses cris. La moquette un peu rêche me râpe les genoux, mais je m'en tape, je veux que ça continue, je veux lui donner du plaisir, je veux le sentir jouir en moi. Au bout de quelques minutes, au comble de l'extase, il se retire d'un coup, j'entends la capote qui claque, et je sens ses six longues giclées de foutre atterrir sur mon dos, la première entre mes épaules, puis sur mes hanches, chacune plus proche de ma raie, chacune accompagnée d'un « Aaah !! » viril. La dernière giclée m'arrose le trou encore béant, coule le long de mes couilles .. Moi, les yeux fermés, je profite de toutes ses nouvelles sensations.
Sa besogne finie, il att sa serviette pour essuyer son dernier jet avant qu'il ne tache la moquette, puis me la lance, me laissant le soin de nettoyer le reste. Il s'habille rapidement, et, comme j'étais à genoux en train de me tortiller pour me nettoyer le dos, il se penche vers moi, att ma tête comme précédemment et me roule une dernière grosse pelle qui me fait trembler de tout mon corps. « Merci ! », me dit-il en souriant, avant de prendre la porte.
Alors je m'allonge par terre, encore tremblant, et me branle en pensant à lui. Je vois qu'il a laissé sur son lit son slip superman. Je m'en empare, tout excité par ce qu'il vient de se passer, et par l'idée qu'il se balade actuellement nu sous son short en jean. Je le renifle, l'odeur de ce mâle dominant envahit mes narines, et achève ma en me libérant de huit longs jets qui aspergent mon ventre, mes pecs, jusqu'à mon cou. Lorsque je baisse la tête pour admirer le massacre, on torse semble peint en blanc.
J'att la serviette pour m'essuyer, et, comme je la mets de côté, je croise le regard de l'Espagnol, mordillant le caleçon qu'il portait plus tôt, et dont la main droite fait des va-et-vients sous le drap qui recouvre à présent son entre-jambe ...

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