Marie À L'Opéra
Précision.
Jai découvert ce délicieux texte caché dans mon ordinateur. Totalement anonyme. Jai souhaité le faire revivre en aménageant certaines phrases et en proposant une suite. Que lauteur qui reconnaîtra son uvre me pardonne, sil se fait connaître je lui reconnaitrais très volontiers sa paternité.
Arsène
Marie à lOpéra et
Cet été jai fait la connaissance de Jean-Marc au cours dun séminaire. Javais besoin dun contact dans une société et sans hésiter il ma donné ce renseignement qui ouvre les portes des négociations.
Alors quon prenait lapéritif, au bar de lhôtel, où surtout des hommes daffaire seuls laissaient le temps sécouler, il sest mis à me parler de sa jeune femme Marie. Il ne tarissait pas de détails sur sa beauté, son élégance et son allure. La soirée avancée et quelques verres plus tard, les yeux brillants, un peu coquins, il commençait à entrer dans des détails plus intimes : les dessous quil aimait lui faire porter, ses faiblesses pour certains films osés
Plus notre conversation avançait plus les détails devenaient croustillants voire même érotiques. Si bien que lenvie de connaître cette Marie me prenait au ventre pour ne pas dire plus.
- Tu naurais pas une photo delle ? lui dis-je culoté. Jétais vraiment séduit par cette femme quil me décrivait avec des mots choisis et des yeux brillants.
- Non malheureusement pas, elle nest pas très disposée à se laisser voir, alors que pour moi, la montrer est un de mes désirs les plus forts.
Je nen croyais pas mes oreilles, nous ne nous connaissions que depuis quelques heures et déjà il me livrait ses fantasmes ! Et sa femme !
A cet instant, son portable se met à sonner. Il sen saisit nerveusement. Cétait bien Marie.
-
- Bonsoir ma chérie. Je suis dans ma chambre à lhôtel.
À ce moment Jean-Marc me fait un clin dil goguenard. Je lui fais un signe pour linterroger si je dois partir ? Il me fait non de la tête, et au contraire, il allume le haut parleur de son IPhone, visiblement pour me faire écouter leur conversation !
- Tu es seul jespère, il ny a pas de jolies collègues pour te distraire.
- Ben non, je suis vraiment seul et même je me fais ch
Et toi ?
- Moi aussi mon cur, pas de beau cavalier. Tu me manques, je taime.
Marie a une voix douce et très sensuelle. Je comprends quil a envie que je lentende. Cest pour continuer notre conversation qui était chaude.
Cest vrai que de lentendre à son insu est très bandant. Cest déjà un mini viol. Je vois très bien que Jean-Marc est très excité par cette situation. Moi aussi, surtout après tout ce que je venais dentendre en confession. Je voyais bien que mon collègue était plus que bien parti. Moi également.
En le quittant, je me sentais complètement excité par cette soirée que jétais bien décidé à exploiter. Javais envie de rencontrer cette femme. Il mavait exhibé sa femme Marie en quelques mots.
Les jours qui suivent je suis obsédé par les images qui hantent mon esprit. Marie et toujours elle. Pourtant je ne sais rien delle sinon des images tirées des descriptions de son mari et une voix douce, sensuelle et envoûtante ! Je fantasmais tellement sur elle quun soir, je me suis surpris en train de lui faire lamour et me je suis branlé jusquà éjaculer ! Cela devenait une véritable obsession.
Un jour je me lance et je lappelle pour lui proposer une soirée à lOpéra Garnier, pour laquelle javais obtenu trois invitations. Jétais sûr que ce genre de soirée ne pouvait que jouer en ma faveur pour séduire la belle. Car javais déjà lintention de la séduire sans lavoir jamais vue !
Il accepte avec enthousiasme, ravi de me montrer sa femme en chair et en os. Moi, je jouais gros, car cest toujours risqué dhabiller un rêve, un fantôme.
On se retrouve en haut des marches du Palais Garnier. Cet édifice est simplement fabuleux, fabuleux comme Marie que je vois arriver du bas des marches au bras de son mari Jean-Marc. Elle est sublime, vraiment, dans son long manteau noir qui la couvre jusquaux chevilles. Sa silhouette est bien à limage de la description que men a faite Jean-Marc cet été.
Jean-Marc me présente comme cet ami à qui il a rendu un petit service et dont le remerciement est cette soirée.
Au vestiaire Marie dépose avec grâce son manteau. Elle apparaît dans un ensemble tailleur et jupe en soie vert bouteille. Quelle classe ! Elle se déplace avec légèreté. La jupe de son tailleur lui arrive plus haut que mi cuisses et den bas des marches, jimagine les voyeurs qui doivent se régaler au spectacle de ses dessous dont je sais moi quils doivent être sexy.
Je suis sûr que tu as dû demander à ta femme de se faire sexy pour lexhiber à ce jeune homme que je suis après les confidences de cet été. Tu veux me la montrer, je vais la regarder et plus si possible. Peut-être a-t-elle été surprise de ta demande ? Peut-être déjà sait-elle que je laime ? Peut-être sait-elle que tu me las promise ? Je me laisse aller aux plus folles illusions, mais tant pis
je la vois.
Nous sommes installés dans une loge. On nest pas seuls. Au premier rang, je te propose la place à côté de Marie, mais tu refuses, et tu me la proposes. Jaccepte bien sûr : aux côtés de Marie toute une soirée, je ne pouvais rêver mieux. Marie ôte la veste de son tailleur et nous apparaît dans un chemisier qui cache à peine le soutien gorge. Elle porte cette chemise avec tant de grâce ! Ses bras sont nus et nous offre la vision dune peau sans le moindre défaut. Je ne me sens plus ! Je vais la violer ici même !
Derrière, à tes côtés, un homme dune quarantaine dannées. Il est seul et bien sûr il a repéré la beauté de ta femme et sans vergogne, il la mate sans arrêt.
Pendant la durée du spectacle, je passe mon temps à la reluquer, à mintéresser à elle en te négligeant.
Quand le spectacle se termine, ta femme est presque lovée dans mes bras, soumise, séduite. Du moins jen ai la conviction tant jen ai envie. En tous cas elle nous le fait espérer. Je dis nous car notre voisin nous colle. On reste dans la loge alors que la salle se vide. En sortant, profitant dune zone dombre, tu tapproches de Marie que tu prends dans tes bras, alors que le voisin et moi restons figés, regardant ce qui se passe. Elle nous montre son dos.
Là, lentement tu mets tes mains sur ses fesses et lentement relevant sa jupe, tu nous découvres ses cuisses vêtues de bas noirs. Plus haut, ses fesses rondes et rebondies apparaissent, vêtues dune petite culotte noire flottante, dans la lumière tamisée du couloir qui mène à la sortie de la loge. Mon voisin mateur, a porté sa main sur son sexe et se caresse. Et Marie exhibée, Marie offerte sabandonne à ton plaisir pour son plaisir. Je me souviens que tu mavais dit quelle nétait pas disposée à se laisser voir ! Tu remontes encore plus sa jupe jusquau niveau de lélastique de la culotte que tu descends lentement tandis que la jupe retombe. Tu amènes la culotte à mi cuisses. Tes mains remontent maintenant découvrant les fesses nues de ta femme que tu offres à notre désir. Jusquà la taille pour bien les exhiber. Marie alors se retourne et nous adresse à tous les deux un sourire et un regard qui nest autre quune invitation à la luxure. Cest du moins mon interprétation ! Tout doucement, elle murmure à notre encontre :
- Et si vous veniez tous les deux fêter ce spectacle devant un dernier verre à la maison ?
Je suis surpris mais jai comme le sentiment que le ton de cette phrase nest pas naturel, mais un peu ! Ça nen est que plus excitant !
Et cest toi qui appuies linvitation, en prenant la petite culotte que Marie a fait descendre jusquà ses pieds.
- Ok, on y va !
Nous vous suivons. Marie est la grâce même. Elle avance devant nous dune allure de félin, aérienne, légère. Elle porte des escarpins aux talons mi hauts. On remarque immédiatement quelle sait marcher avec des talons. Cest loin dêtre donné à toutes les femmes. On sait bien que cest plus quune technique, cest un Art. Tout le corps de ta femme participe à cette catharsis. Je suis déjà amoureux de ta femme, Jean-Marc !
Lautre inconnu marche à mes côtés. Comme nous trois il porte une tenue de gala. Nous sommes de ceux qui restent attachées aux bonnes manières. La classe, comme Marie. Une certaine complicité sest instaurée entre nous. Mais tous les deux on sait quil faudra, à un moment, peut-être éliminer lautre prétendant. On sait quelle tappartient. Mais
On se retrouve quelques minutes vous hélez un taxi et en route pour ta maison.
Deux voitures suivent le taxi. Les conducteurs sont nerveux : le risque de vous perdre est présent ! On le colle au pare-choc !
Je maperçois que je bande encore et que limage de ce cul blanc dévoilé dans cette loge, endroit de luxe, de luxure au velours rouge cerise, à lambiance feutrée. Ce cul jen garde une image tout en rondeurs, sans défaut, avec une peau lisse. Jai juste eu le temps de voir la raie portée haute jusquau creux des reins dont la cambrure prononcée montre une taille fine placée haute, coupant harmonieusement en deux son buste. Brève vision, furtive mais qui restera gravée en ma mémoire. Que ta femme est belle !
Le taxi prend la route de la banlieue Ouest. Versailles, un quartier cossu, un immeuble luxueux.
(à suivre)
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