La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 490)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°489 - Quelques outrages excitants supplémentaires -
La nuit avait été courte et difficile pour soumis compelled MDE, létroitesse de la cage dans laquelle il avait été placée, lavait contraint à rester sans bouger ou presque et toujours en position ftale. Il ne fut pas mécontent, à peine le jour levé, de voir arriver Alberto. Il le sortit dici, sans grand ménagement, sans tenir compte de ses contractures musculaires puis le retourna et plaqua son ventre contre le haut de la cage.
- Ecarte ton cul !
Alors soumis compelled MDE empoigna son fessier, écarta les cuisses et dégagea sa raie. Il resta ainsi exposé, jusquà larrivée de Monsieur le Comte et du Maître.
- Alors Mon chien, est-ce que ton cul a absorbé cette saine nourriture quon lui a généreusement donnée hier au soir ? Questionna le Maître.
Soumis compelled était bien incapable de répondre à cette vicieuse et humiliante question. Le Maitre insista dans ce registre :
- Veux-tu que nous vérifions ?
- Vous seul pouvez décider, Maître Vénéré.
Alors le Maître glissa deux doigts dans ce cul ouvert, soumis compelled MDE sursauta, son anus était quelque peu sensible. Le Maître senfonça doucement, précautionneusement mais profondément, puis retira ses doigts et les mit devant le visage du soumis MDE.
- Regarde et renifle chien !
Les doigts étaient quelque peu souillés. Etait-ce des traces de sperme ou simplement des restes de lubrifiant ?
- Estime-toi heureux que je ne tordonne pas de lécher tout ça
Allez file te doucher, lave-toi le cul correctement et dépêche-toi, nous partons dici une heure.
A son retour, soumis compelled MDE trouva les Maîtres assis dans le patio, ils prenaient leur petit déjeuner. Lesclave MDE approcha et se campa devant eux en posture dattente. Il remarqua un petit paquet posé près du bol de Monsieur le Comte.
- Avance et tiens, ça cest pour toi, un petit souvenir de ton passage ici. Lui dit-il.
Avant même douvrir le paquet, lesclave se positionna à genoux mit son visage à terre et remercia le Noble Espagnol.
- Redresse-toi et ouvre !
Il sagissait dun boxer en latex, quelque peu particulier, sur lequel, à lintérieur, était fixé un petit gode. Lesclave MDE demanda lautorisation pour le passer, il lobtint juste après quon lui ait ôté sa cage de chasteté. Le Maître lui dit dailleurs quil voyagerait ainsi
Belle sensation ce latex, il eut limpression dune seconde peau. Très ajusté, son service trois pièces fut mis en valeur, un zip devant permettait de sortir son sexe et de le laisser bien en vue, le petit gode le pénétrait et ne risquait pas de glisser. soumis compelled MDE remercia encore Monsieur le Comte, puis il put prendre son petit déjeuner rapidement dans sa gamelle
Lheure avait sonné, le Majordome avait avancé la voiture, lesclave après avoir déposé les bagages dans le coffre sur ordre sinstalla à larrière uniquement du véhicule, vêtu de son simple latex. Monsieur le Marquis congratula et remercia chaleureusement son très Cher Ami Monsieur le Comte.
- Revenez quand vous voulez, la porte est ouverte
- A très bientôt et merci encore
Et sachez aussi, Mon Cher Ami que celles de Mon Château ancestral en Beaujolais vous sont également grandes ouvertes, vous serez toujours le bienvenu !
Après de multiples accolades damitié et de congratulations, les deux hommes se quittèrent
La route fut longue enfermé dans le coffre pour lesclave MDE qui sendormit peu après avoir quitté lhacienda de Monsieur le Comte et ce nest quaux abords de Madrid que le Maître sarrêta dans un endroit discret, ouvrit le coffre, le réveilla, lui exigeant de passer un tee-shirt, un short et une paire despadrille aux pieds et de venir sinstaller sur un siège de la voiture
. Ainsi, arrivés à laéroport, ce fut lenregistrement des bagages, lattente en salle dembarquement puis le vol direct pour Lyon Saint-Exupéry.
- Bonjour Monsieur le Majordome
- Bonjour salope ! lui répondit-il sans même le regarder, assez fort, tellement fort que soumis compelled MDE eut craint que les personnes à proximité lentendent.
Mais Walter nen resta pas là
il poursuivit lhumiliation, allant jusquà palper lentrejambe du soumis MDE à la vue de tous. Lesclave se décomposa, il sentit rougir de honte ses joues.
- Il va vite falloir lui reposer sa cage de chasteté, ne croyez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- Jy pensais effectivement. Lui répondit-il
Là encore, soumis compelled MDE sentit son cur palpiter et semballer. Ils nallaient tout de même pas faire ça ici ? Non, ils ne le firent pas, ils regagnèrent le parking en sous-sol, et retrouvèrent la Rolls-Royce garée entre deux autres voitures. Lesclave MDE reçu lordre de poser les bagages dans le coffre puis Walter lattrapa par un bras, le poussa dos contre la portière avant droite du véhicule, lui ordonna de mettre les mains sur la tête et brusquement lui baissa son short jusquaux chevilles. Sa main droite se plaqua contre le bas ventre du soumis MDE, palpa sa bite et ses couilles au travers du boxer en latex, puis fit descendre le zip du boxer, attrapa la nouille et les couilles du soumis MDE pour les extraire de ce sous vêtement. soumis compelled MDE sursauta, non pas quil eut mal, mais parce quil vit descendre la vitre tentée de la grosse et luxueuse BMW garée tout à côté.
- Si je crois ce que je vois, vous avez affaire à une belle salope, Messieurs !
Ni Monsieur le Marquis dEvans, ni Walter ne parurent embarrassés par la situation. Toutefois, Le Maître prit immédiatement la parole.
- Vous voyez juste cher Monsieur, non seulement cest une belle salope, comme vous dites, mais cest aussi Mon esclave !
- Oh grand Dieu, votre esclave !
- Oui, oui Mon esclave, Mon sujet, Mon objet parfaitement docile et obéissant.
Le bras de lhomme était sorti de la portière et se tendait vers lintimité de soumis compelled MDE
- Votre esclave ? Intéressant ça !
.Je peux toucher ?
- Avance chien, fais-toi palper.
Terriblement honteux, lesclave MDE fit deux pas en avant en gardant les mains sur la tête et le regard bas
Lhomme lui attrapa les couilles, fit rouler entre ses doigts ses boules, puis caressa dun revers de main, la bite flasque du chien, alors que Walter soulevait son tee-shirt, constatait les marques encore bien présentes des lanières de fouets sur son corps, tout en lui pressant les tétons
La main de lhomme caressait encore soumis compelled MDE, glissait entre ses cuisses, remontait vers sa raie, pelotait son fessier
- Très bandant tout ça, dommage je nai plus guère de temps, merci Messieurs, bonne journée à vous, amusez-vous bien !
- Bonne journée à vous, au revoir Monsieur.
La vitre remonta, la grosse voiture démarra puis sen alla en trombe en faisant couiner les pneus. Walter sembla tout de même soulagé, il poussa un ouf de soulagement, puis se hâta à fixer la cage de chasteté sur la nouille du chien.
- Je pense que cétait un gros obsédé sexuel, sans plus ! ? dit Walter
- Oui, jai tout de suite remarqué son petit sourire pervers et jai vite compris quon aurait aucun souci, il voulait juste se rincer lil et tâter un peu !
(Puis sadressant à lesclave) Remonte ton short salope, et assieds-toi sur la banquette arrière ! Lui ordonna le Maître.
soumis compelled MDE sinstalla assis à larrière, lesprit vagabond
Il était content de retrouver bientôt son cachot n°4 au Château, content de revoir bien vite ses frères et soeurs de soumission. A bien des reprises, au cours de son séjour espagnol, il avait pensé à eux, et plus particulièrement à ses deux surs soumises Phryné et Laïs MDE, à son frère e6934. Bien vite, il allait les revoir
Perdu dans ses pensées, il dressa loreille lorsquil entendit le Maître rouspéter quelque peu :
- Mais pourquoi mon cher Walter, as-tu accepté ce déjeuner chez Annick et Jean-Michel ?
- Je nai pu faire autrement, Monsieur le Marquis, croyez-moi !
- Arhh
! Je rentre tout juste dun déplacement agréable et me voilà immédiatement accaparé
Sais-tu au moins où ils habitent ?
- Oui Monsieur le Marquis, ils sont à Lyon, boulevard de Belges dans le 6ème arrondissement.
- Tu les as prévenu de notre arrivée un peu tardive ? Regarde il est déjà 13 heures et nous ne serons pas chez eux avant 13 heures 45 voire 14 heures, sil y a un peu de circulation !
- Ils sont au courant, Monsieur le Marquis
- Et le chien, quen fait-on ?
- Ils veulent le voir.
- Bon soit.., il faut que nous trouvions une pâtisserie, pour ne pas arriver les mains vides
- Je lai prévu Monsieur le Marquis.
- Bon alors parfait, comme dhabitude Walter tu penses à tout ! Je me demande parfois, ce que je ferai sans toi et Marie !
Aller maintenant, roulons !
(A suivre
)
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