Le Dressage De Noémie (3)
Javais prévu pour la soirée un programme un peu particulier. Je commençai par aller chercher Noémie, qui se reposait dans notre chambre. Etre une bonne chienne nétait pas de tout repos, elle lavait constaté ce matin.
Elle sommeillait tranquillement sur le lit. Avant de la réveiller, je ladmirai un moment
Dieu quelle était belle, ses cheveux blonds en corolle autour de son visage parfait. Elle était presque nue, ne portant quun chemisier blanc ouvert qui dévoilait ses seins. Ils se soulevaient légèrement à chacune de ses inspirations. En-dessous, il ny avait quune petite culotte blanche de fille sage pour couvrir sa chatte délicieuse. Jétais attendri par le spectacle. Toutefois son dressage ne pouvait attendre éternellement.
Je la rejoins sur le lit, me collai contre elle, déposai un baiser sur cet endroit de son corps que jaimais tant, la jointure de son cou et de son épaule, et murmurai à son oreille :
- Réveille-toi, ma petite soumise, jai une surprise pour toi.
Noémie ouvrit les yeux, me regarda, sourit et membrassa avec passion. Elle me fit rouler sur le lit pour se mettre au-dessus de moi. Jaimais la sentir joueuse comme cela. Je me mis à peloter ses seins, les saisissant à pleine main, faisant tourner le téton, le pinçant légèrement (Noémie tressaillait toujours quand je le faisais). Dans le même temps, elle frottait sa chatte contre mon entrejambe, et je me sentais à létroit dans mon pantalon. Je laurais volontiers laissée faire, mais je nallais pas laisser ma catin prendre linitiative alors que nous étions encore en séance. Je profitai encore un peu de son massage coquin tout en jouant avec sa poitrine, puis je la saisis et la déposai à côté de moi sur le lit. Elle eut une moue déçue.
- Ne tinquiète pas, lui dis-je doucement tout en pressant une dernière fois ses seins adorables, tu aimeras la suite.
Je lui attachai son collier et sa laisse et lemmenai vers la chambre que javais préparée.
Je tirai légèrement sur la laisse pour quelle sarrête. Elle se retourna vers moi avec la petite mine contrariée quelle arborait quand je la mettais en laisse, et un air interrogateur.
Je mapprochai delle et caressai sa chatte à travers le tissu.
- Eh bien, eh bien, petite salope
tu prétends que tu naimes pas la laisse et pourtant tu es toute mouillée. Nettoie-moi ça, lui dis-je en portant mes doigts à sa bouche pour quelle les lèche avec application.
Noémie baissa les yeux et rougit. Elle se sentait honteuse, ma chienne. Honteuse et trempée.
Avant de repartir, je lui ôtais sa culotte humide pour mieux voir ses fesses se déhancher quand elle marchait, et lui fit porter entre les dents jusquà la chambre.
Une fois arrivés, je lui permis de lâcher la culotte. Son chemisier étant resté sur le lit tout à lheure, elle était maintenant nue. Je la fis allonger sur le ventre sur une table de massage. Ses fesses étaient bien en vue, encore rosies par leur traitement dhier. Je versai une huile de massage sur son cul et sur mes mains, et commençai à la masser tendrement, tout en caressant parfois son minou au passage. Noémie soupirait doucement, je lui faisais du bien. Je voulais que ses fesses, pour lesquelles javais des projets, guérissent vite, et aussi quelle se détende, ce qui me permettrait dinsérer plus facilement des objets dans son petit trou, avec lequel javais lintention de beaucoup mamuser : rien de tel que de faire hurler une chienne en la sodomisant profondément.
Une fois ses fesses bien huilées, je me concentrai sur sa chatte. Je la pénétrai avec deux doigts, ce qui fit gémir Noémie. Puis je remplaçai mes doigts par ma bouche, embrassant sa chatte.
Jécartai ses fesses et je me mis à la pénétrer avec ma langue. Noémie nen pouvait plus, elle sentait des vagues de plaisir et de chaleur se diffuser dans son bas-ventre, elle appartenait entièrement à son maître, elle se soumettait à lui pour quil lui apporte du plaisir. Elle nétait plus quune chatte qui voulait jouir. Je le lui permis, et elle explosa en un long gémissement de bonheur tout en mouillant de plus belle.
Je restai un moment songeur en la voyant, ma belle soumise, allongée ainsi sur cette table, jeune, humide, offerte, docile. Quel spectacle. Je pouvais faire delle ce que bon me semblait, je pouvais lhabiller ou la dénuder à ma guise, la promener en laisse ou à quatre pattes, la faire crier de plaisir ou de douleur. Je disposais de sa chatte, de son cul, de sa bouche comme bon me semblait, je pouvais y mettre tout ce qui me passait par la tête, elle ne dirait rien. Et je contrôlais ses orgasmes. Jétais son maître et elle était ma chienne.
A cette pensée je souris, déposai un baiser sur sa fesse gauche et mordit tendrement la droite. Son cul était à croquer. Noémie frémit légèrement sous la morsure et sourit.
- Je vous aime, maître, et jaime être votre esclave, fit-elle de sa voix douce de fille sage, qui mexcitait tellement.
- Moi aussi chère soumise, je taime. Tu es la meilleure des catins.
Toutefois, nous nen avions pas terminé. Jallai chercher une longue bougie, dun diamètre moyen (ses fesses étroites devaient encore être un peu douloureuses après la sodomie sauvage dhier et le plug de ce matin). Je la passai dans la mouille qui luisait sur la chatte, la pénétrait avec pendant une minute, puis je la mis à lentrée de son cul.
- Ecarte tes fesses, petite traînée, tu veux que je te remplisse le cul, je le sais.
Noémie obéit. Jinsérai lentement la bougie dans son anus encore serré. Elle y entra sans trop de difficulté, visiblement ma petite chienne commençait à shabi. Je la godai un moment avec la bougie. Noémie gémissait, elle appréciait visiblement que je mamuse avec son petit trou.
Il nétait cependant pas encore temps pour elle de jouir. Jinterrompis mon mouvement et laissai la bougie plantée au milieu de ses fesses. Là encore, quel spectacle. Avec un briquet, jallumai la bougie. Noémie sinquiéta un peu, elle pouvait sentir sur ses fesses la chaleur de la flamme.
- Ecoute-moi attentivement, soumise. Nous allons jouer à un petit jeu. Tu vas garder la bougie dans ton cul, et je vais mamuser avec toi. Tu devras rester immobile, autrement cela bougera la bougie et tu recevras de la cire chaude sur les fesses. Comme ceci, lui dis-je en claquant sa fesse droite pour que la cire coule.
Noémie sursauta, ce qui fit couler plus de cire.
- Et oui, catin, cest tout lintérêt : plus il y a de cire qui coule, plus tu bouges, plus ça empire. Bonne chance, lui susurrai-je à loreille dun ton doucereux.
Noémie restait immobile, légèrement redressée sur ses avant-bras. Je me mis à tourner autour delle. Dun coup, jattrapai un téton et lui pinçai vicieusement. Noémie couina, se tortilla, et répandit plus de cire sur son cul. Elle grimaça mais fit de son mieux pour ne pas tressaillir.
Je revins derrière elle pour doigter sa chatte excitée. Noémie recommença à gémir, le plaisir de mes doigts se mélangeant à la légère brûlure de la cire qui tombait inévitablement sur ses fesses, qui remuaient sous leffet de ma masturbation, et des claques que je ne manquais pas de prodiguer à ses fesses moelleuses. Noémie se délectait de tout cela, et se rapprochait de plus en plus de lorgasme, se plaquant à la table. A mesure que sa jouissance approchait, elle bougeait davantage, mais elle avait apprivoisé la morsure de la cire, qui lui prodiguait en fait du plaisir supplémentaire.
Et, comme je lavais déjà fait, je minterrompis avant quelle ne jouisse, puis je messuyai négligemment la main sur sa cuisse, et je la laissai là, si proche mais en même temps si loin de sa chatte qui me réclamait. Noémie trépigna et poussa un feulement de frustration.
Je poussai un petit rire et lui parlai crânement :
- Mais à quoi tattendais-tu, petite putain ? Cet orgasme-là, tu devras le mériter !
- Daccord, maître, je suis entièrement à vous, vous me possédez, et en tant que votre petite chienne je vous supp
- Garde ta salive, traînée. Je te défends de jouir pour linstant.
Japprochai une chaise de la table où je martyrisai ma petite soumise depuis un moment maintenant. Et je commençai à tapoter ses fesses avec le bout dune cravache. Jen profitais aussi pour titiller sa chatte ; je voulais la garder sur le fil de la jouissance. Elle pouvait toujours sentir mon autre main sur sa cuisse, tout près de lendroit où elle aurait voulu quelle soit. Noémie avait les nerfs à vif, elle haletait.
Je me mis à cingler ses fesses avec la cravache. Je les préférais rouges. Un coup, fesse gauche, un coup, fesse droite, un passage rapide entre ses cuisses pour maintenir lexcitation. Noémie poussait maintenant de petits sanglots, désorientée par le mélange continu de douleur et de plaisir, et poussée à bout par lorgasme qui semblait se dérober chaque fois quelle était près de latteindre. Quand ses fesses eurent la bonne nuance de rouge -à savoir, garance-, jinterrompis la correction. Je me levai et allai caresser ses cheveux.
Elle tourna la tête vers moi, des larmes dans les yeux :
- Maître, pourquoi me punissez-vous ainsi ? Quai-je fait pour vous offenser ? Je suis désolée maître je ferai tout ce que vous voudrez
- Oui, chère soumise, tu feras ce que je veux, linterrompis-je, mais ce nest pas le sujet. Déjà, ceci, fis-je en faisant claquer ma cravache sur ses fesses, nest pas une punition. Autrement, je tassure que tu aurais moins gémi et beaucoup plus crié. Le fait est que je mamuse simplement avec toi, parce que tu es mon jouet et que je suis ton maître.
Je passai les doigts dans sa chatte pour mouiller mes doigts, et men servis pour éteindre la bougie, qui sortit de ses fesses en faisant un léger « pop ». Je vis que son cul restait légèrement entrouvert. Bien. Il commençait à sélargir un petit peu, ce qui voulait dire que bientôt, je pourrais lenculer encore, et quelle en redemanderait.
Mais maintenant javais la bougie dans une main, et la cravache dans lautre, ce qui nétait pas pratique. Je dis à Noémie de se retourner, pour quelle soit sur le dos. Instinctivement, elle avait croisé ses jambes, vaine tentative dêtre un peu moins exposée. Ses réflexes de fille sage et bien élevée reprenaient parfois le dessus sur ses nouveaux réflexes de chienne. Je tapotais ses cuisses du bout de ma cravache pour les lui faire écarter. Je la voulais avec les jambes largement ouvertes. Je mapprochai de la table, je voulais me débarrasser de la bougie. Je la fourrai donc dans la bouche de Noémie, qui fit une grimace dégoûtée devant sa nouvelle sucette.
- Ooh, tu serais donc gênée, petite catin ? Je te rassure, ton cul a très bon goût, pourtant, dis-je en souriant lubriquement. Allez, maintenant, caresse-toi et jouis comme la pute que tu es.
Noémie ne se fit pas prier et commença immédiatement à masser sa chatte de haut en bas, rapidement, avidement ; une vraie chienne en chaleur. Je me rassis sur ma chaise, directement en face de ses cuisses écartées, pour ne pas perdre une miette du spectacle.
Très rapidement, Noémie mit deux doigts, puis un troisième, dans sa fente trempée. Elle gémissait violemment, la respiration heurtée, ses jambes tremblaient légèrement et son bassin se soulevait à un rythme frénétique. La bougie dans sa bouche étouffait ses couinements. Tout son être était concentré sur sa chatte à cet instant. Cétait exactement ce que je voulais voir : ma soumise sabandonnait totalement devant moi, elle nessayait pas nier son animalité, sa luxure ; elle embrassait sa condition : une petite jouisseuse qui se souillait elle-même sans états dâme, une putain. Elle jouit dans un cri libérateur, tout son corps se souleva, ses doigts étaient au plus profond de sa chatte. Elle retomba sur la table, épuisée et rassasiée, et continua de gémir doucement tout en caressant son minou détrempé. La mouille ne sen irait vraisemblablement jamais de cette table.
A ce stade, jétais satisfait de la manière dont javais tourmenté ma soumise. Il était maintenant temps que je maccorde un petit plaisir. En vérité, je me contrôlais à peine tellement jétais excité à la vue de ma chienne toute frémissante. Je la fis se remettre sur le ventre. Je pris la bougie et la remis dans son cul. Je voulais ly voir, cela mexcitait.
Je sortis ma queue de mon pantalon où elle était depuis trop longtemps à létroit. Noémie sempressa de me prendre dans sa bouche. Elle sappuya sur un bras afin que lautre main puisse caresser mes couilles. Noémie suçait divinement bien, et le faisait toujours un prenant un petit air décolière appliquée qui me rendait fou. Elle me prenait en entier dans sa bouche, puis revenait embrasser mon gland, le léchait comme une sucette, puis passait sa langue tout le long de ma bite, vint embrasser mes couilles. Jadorais ce que cette salope me faisait mais je voulais affirmer un peu plus mon autorité. Je posai mes mains de chaque côté de son visage, et me mis à faire de lents va-et-vient dans sa bouche. Noémie fut un peu surprise mais sadapta à ce changement, et leva vers moi des yeux langoureux et pleins de vice. Elle adorait que je la traite comme ça, que je la possède ainsi. Ce regard, ajouté à sa langue et à lexpertise dans sa façon de masser mes couilles, macheva. Je maintins fermement sa tête, bloquant ma queue dans sa bouche, et jouis en poussant un long râle. Noémie retint son souffle, et parvint à tout avaler, en toussant à peine. Quelle bonne chienne, du sperme plein la gorge, et une bougie dans les fesses. Je passai mon doigt sur ses lèvres pour quelle nen perde pas, et le mit dans sa bouche, où elle le téta avec application en me regardant de son plus bel air de salope.
Ma soumise était réellement parfaite.
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