Appartement Avec Vue (Alice Et Margot 3)
Les filles vivaient dans un appartement de ville très design. Une ancienne fabrique ou une ancienne usine réaménagée. Un duplex partagé entre blanc et noir. Un bar délimitait une cuisine moderne. Un escalier montait à létage. Une grande baie vitrée souvrait du palier sur ce que je devinais être, y apercevant, un lit une chambre.
Margot nous attendait sur la terrasse. Elle donnait sur un grand parc derrière chez elles. Un verre à la main, une cigarette à la bouche. Son ombre se détachait dans la lumière de la lune. Margot ne portait plus que son porte-jarretelle blanc et son string bleu marine. Elle était dos à nous, penchée sur le garde corps en verre de leur terrasse.
Elle tourna la tête vers nous en nous entendant rentrés.
-Tu veux quelque chose à boire ?
-Un verre de blanc ?
-Alice tu nous sers ça ?
Je rejoignis Margot. Face à la splendide vue sur le parc, elle avait le ventre collé contre la paroi de verre, les jambes croisées. A mon approche elle se pencha un peu plus. Javais une vue imprenable sur son sexe et son anus impudiquement exhibés.
A côté de la grande baie vitrée ouverte entre le salon et le balcon, une autre de la même dimension donnait dans une chambre. « Celle de Margot » me dis-je en y voyant la robe bleue étendue sur le lit.
Je me mis derrière la jolie brune. Elle devait sentir ma queue bandée à travers mon pantalon. Je glissai lune de mes mains sur son ventre et lui massai les épaules de lautre. Ma main descendit et passa sous son string en dentelle. Son clitoris était saillant et elle eu un spasme de plaisir quand mon doigt passa dessus.
-Tu nas pas peur des voisins ?
-Tant mieux sil y en a. Mais je crois quà cette heure-ci il y a peu de monde
Dommage
Ma main lui caressait la chatte. Mes doigts jouaient alternativement avec son clitoris et ses lèvres. Elle poussait des petits gémissements de plaisir.
Alice revint avec deux verres de blanc.
Je mabaissai et descendit lentement le string de Margot en en prenant lélastique entre les dents. Ma tête senfouit entre ses fesses. La brune écarta doucement les jambes pour me faciliter le passage. Ma langue alla le plus loin possible pour arriver à ses lèvres tandis que mes doigts continuaient à astiquer son petit bouton. Je joignis mes lèvres aux siennes et embrassa sa chatte. Ma langue sortit de son minou et parcourut son entre-jambe jusquà son petit trou. Elle décrivit des cercles concentriques autour de son anus avant de tenter dy pénétrer. Dabord serré, son sphincter ne mis pas longtemps à se relâcher. Après avoir bien humidifié sa paroi, jy entrai facilement un doigt. Doucement dans un premier temps, mon majeur commença à accélérer le rythme. Pour son plus grand plaisir si jen croyais ses mains portées à ses seins et les mouvements de sa tête que je pouvais voir à travers le garde corps en verre. Pour le plus grand plaisir dAlice aussi à en croire le bruit humides que ses doigts faisaient en se branlant.
Alice se leva et allait rentrer dans le salon. Margot la regarda par au dessus de son épaule, le visage éreinté mais le ton ferme.
-Tu fais quoi, ma chérie ?
-Je vais chercher un jeu.
-Pas question, pas ce soir. Tu ne joues quavec tes doigts aujourdhui.
-Tu es dure.
-Cest comme ça, ma belle. Et tu mobéis.
Margot passa une main sous mon menton et le tira vers le haut pour me relever.
Elle se tourna vers Alice.
-Déshabille-le. Mais interdit de le toucher. Je suis sûre que tu tes servie dans la voiture.
Margot esquissa un sourire et sécarta de moi.
Alice me rejoint. Elle défit les boutons de ma chemise. Je la pris par la taille et lapprochai de moi. Je voulais quelle aussi sente sur sa chate ma bite tendue. Mais la rouquine appuya doucement ses mains sur mon torse et se tint écartée de moi de quelques centimètres. Elle menleva ma chemise. Je tentai de lembrasser mais elle détourna la tête.
-Tu as entendu Margot ? Je ne peux pas.
Elle se mit à genoux devant moi et dégrafa ma ceinture. Ses mains agrippèrent le bouton de mon pantalon. Elle le défit, ouvrit ma braguette et abaissa mon froc jusquau sol. Elle remonta ensuite ses mains le long de lintérieur de mes jambes. Je ressentis un petit spasme quand ses doigts vinrent frôler mes couilles. Mon sexe tendu formait une forme reconnaissable à travers mon boxer noir mais la rouquine ne sy intéressa pas. Ses doigts se glissèrent dans lélastique de mon caleçon et elle le descendit. Ainsi libéré mon sexe se tenait bien droit.
Alice en approcha sa bouche. Je sentis son souffle sur ma queue. Un souffle court, plein de désir. Sa tête tourna autours, sa joue se posa sur mon pubis, ses mains effleuraient mon sexe mais sans quelle ne se décide à lempoigner.
-Tu crois que je ne tai pas vue ? Retourne dans ton canapé.
Le ton était sec. Alice obtempéra tout de suite.
Margot sapprocha de moi, saisit ma bite dans une main et me tira vers sa chambre. Elle me tourna dos à son lit et poussa de ses deux mains sur mon torse. Je me laissai tomber sur le matelas.
Margot se retourna. Elle toisa Alice restée de lautre côté de la vitre.
-Tu avais lair daimer ça tout à lheure non ?
Elle appuya doucement sur son doigt et il vint forcer ma résistance. Elle lenfonça délicatement me faisant pousser un petit cri de plaisir et me branla le cul délaissant mon sexe quelques instants. Cétait la première fois quune fille enfonçait son doigt aussi loin dans mon petit trou. Lune ou lautre était déjà venue explorer sobrement la zone. Mais jamais au point de me lenfoncer dans son entièreté. Je me surpris à me demander si je préférais ces caresses ou celles proférées à mon dard.
Pendant ce temps là, face à nous, Alice se caressait dans le canapé où nous lavions abandonnée. Elle ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait face à elle et en jouissait de frustration.
Margot avança son bassin et vint sempaler sur ma bite, ses genoux de part et dautre de mon corps couché sur le lit, ses mains posées sur mes cuisses. Son cul bougeait divinement. Ma queue prise en étau ressentait la moindre contraction des muscles de son vagin. Elle maitrisait ceux-ci à merveille. Je me rendis alors compte que cétait la première fois que jétais en elle. Cétait magique. Sa main venait caresser la partie de mon sexe qui émergeait du sien. Je me relevai et pris ses seins à pleines mains. Je me rendis alors compte quelle regardait Alice dun regard provoquant. Elle lui montrait ce quelle ne pouvait avoir.
-Mets-moi un doigt dans le cul, prépare-moi.
Elle dit cette phrase suffisamment fort pour quavec la porte fenêtre ouverte, Alice ne puisse pas ne pas lentendre.
Je léchai mon pouce et lapprochai de lanus de la torride brune. Lentement, je pressai sa rondelle. Mon doigt entra bien facilement, preuve que lon était déjà passé par là. Je sentis mon dard dénudé alors que Margot se relevait. Mais pas pour longtemps. Elle prit ma bite en main et la posa contre son cul. Elle sy enfonça en un coup. Elle poussa un hurlement entre douleur et soulagement qui venait en écho de ceux dAlice. Son regard était toujours porté sur la rouquine en train de se masturber face à nous.
-Encule-moi fort.
Elle me dit ça dun ton autoritaire. A la fois inquiétant et excitant. Alors quen fait, cétait elle, dans cette position, qui avait la maitrise des évènements. Elle avait replié ses jambes sous elle et ses pieds étaient posés sur le lit. Elle montait et descendait son bassin de tout son poids sur ma queue comme bon lui semblait. Je nen pouvais plus de cette cadence. Je sentais que jallais jouir. Elle accélérait sans cesse le rythme. Son conduit serré compressait ma bite et accentuait les sensations que je pouvais ressentir.
-Attends que je jouisse, Florent. Je viens, je viens, ne te lâche pas maintenant.
En un coup son mouvement sinterrompit et elle cria. Sa tête partit en arrière et ses lèvres vinrent trouver les miennes. Elle membrassa violement. Elle mordit mes lèvres à sang dans des spasmes qui semblaient incontrôlables. Ses bras par au dessus de nos deux têtes, elle serra nos visages le plus proche possible lun de lautre. Son bassin avait recommencé à monter et descendre mais de manière bien moins harmonieuse, moins rythmée. Et bien moins vite aussi. Elle navait plus la maitrise de son corps. Sa jouissance avait pris le dessus.
En face de nous, Alice se mordait les lèvres. Voir sa copine jouir de la sorte la mettait dans un état indescriptible. Le tissu du fauteuil sous sa chatte était inondé de cyprine. Deux mains ne lui suffisaient plus.
Avant que je ne jouisse, Margot se leva et vint sasseoir derrière moi. Elle était haletante, chancelante. Elle titubait et narrivait plus à marcher droit. Elle semblait ne plus tenir sur ses jambes. Elle posa une jambe de part et dautre de mon corps. Ses mains passèrent sur mon ventre et vinrent saisir mon sexe au bord de léclatement.
-On ne peut pas la laisser comme ça cette petite chose. Elle nous a fait tellement jouir. Elle mérite, elle aussi, quon soccupe delle.
Margot disait ça sur un ton provoquant, excitant. Elle commença à me branler dune main. Son autre vint se ficher sous me couilles. Et son majeur descendit bien vite vers mon cul. Nous avions tout deux découvert à quel point jaimais ça. Mais elle savait quelle navait que peu de temps pour aller sinsérer dans mon anus avant que je ne jouisse. Et, en effet, lorsquelle y arriva, jéclatai presquinstantanément. Des jets de spermes jaillirent de mon gland et vinrent maculer le plancher en hêtre foncé de marques blanches. Je criais sans men rendre compte. En face de moi, Alice jouissait aussi de voir cette liqueur blanchâtre venir inonder les mains de sa maitresse. Mon sperme dégoulinait entre les doigts de Margot. Il débordait de sa main et recouvrait mes couilles.
Margot et moi nous laissâmes tomber en arrière. Je sentais sa chatte trempée dans mon dos. Elle me caressait le torse avec ses doigts pleins de ma jute. Elle les ramena à sa bouche. Jentendis quelle se les léchait. Elle me caressa alors les lèvres.
-Tu as déjà gouté ton sperme ?
Je fis non de la tête. Elle se dégagea alors du poids de mon corps et vint sasseoir à califourchon sur mon ventre.
-Tas jamais essayé ? Vous les garçons nessayez pas tous de vous faire des auto-pipes quand vous découvrez votre petit oiseau ?
Elle ramena ses doigts près de ma bouche. Elle en fit le tour avec son index couvert de sperme. Je nouvrai pas la bouche.
-Petit frileux va. Jai une autre méthode pour ty faire gouter.
Elle enfouit ses doigts dans sa bouche et les nettoya de ma semence qui y restait. Mais elle navala pas. Elle approcha son visage du mien, me prit la tête entre les mains et ouvrit délicatement sa bouche. Je voulu mécarter mais elle me tenait fermement. Bien sûr javais la force nécessaire pour me dégager de son étreinte mais je ne forçai pas pour me libérer. Le liquide blanchâtre coula de ses lèvres et vint se poser sur les miennes que je tenais fermées. Elle approchait de plus en plus sa bouche. Nos visages se rejoignirent. Je cédai et nous commençâmes à nous embrasser. Mon sperme se mêlait à nos salives. Javalais lun et lautre indistinctement goûtant pour la première fois à ma jouissance.
Margot se jeta sur le dos à côté de moi en riant. Elle se mit en appui sur son épaule et me regarda tendrement. Elle membrassa dun baiser câlin et furtif.
-Merci.
Elle me tourna le dos et fit mine de sendormir.
Je regardai par la fenêtre. Alice sétait relevée et avançait vers nous. Son déhanchement se découpait dans la lumière de la lune. A contre jour, aussi provocante, aussi sexuelle, elle était magnifique, irrésistible. Elle sapprocha du lit, souleva lédredon et me poussa un peu. Elle se blottit contre moi. Nous nous mirent en cuillère. Alice sendormit très vite. Fourbu par tant de jouissance, je ne mis pas longtemps à me sentir partir moi aussi. Juste avant de mendormir, je sentis le corps de Margot venir se blottir contre le mien. Sa main vint se poser sur mon sexe éreinté juste avant que je ne mendorme dans la moiteur de la pièce emplie dune odeur forte de sexe et de sueur.
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