L'Orage
Roger et Martine Néral rentraient de vacances par une chaleur orageuse, particulièrement étouffante, et leur voiture dépourvue de climatisation dégageait une pénible moiteur. Les pieds nus sur le tableau de bord, Martine s'éventait comme elle pouvait, sa robe d'été retroussée presqu'en haut des cuisses. De son poste de conducteur, Roger n'avait qu'à se pencher un peu pour apercevoir la toison brune de son pubis. Mme Néral était à poil sous sa robe à dos nu, nouée autour du cou, et malgré tout, elle avait chaud. Son corps uniformément bronzé, sans même la trace d'un string, témoignait de séances assidues à la plage naturiste. Roger était également bronzé de la tête aux pieds. Midi approchait et le conducteur suggéra à son épouse de faire une petite pause pique-nique, ce que celle-ci approuva, indiquant au passage qu'elle ferait bien un petit pipi en prime. Le conducteur quitta la Nationale et prit une petite route qui serpentait au milieu des bosquets, puis un chemin qui conduisit le couple dans une clairière isolée. Le temps lourd et menaçant leur laissait le temps de déjeuner. L'orage surviendrait plus tard.
- Pfouu, ça fait du bien de s'arrêter un peu, on va pouvoir se reposer, souffla Martine tout en s'accroupissant sur ses tongs pour satisfaire son besoin naturel.
Roger ouvrit le coffre, sortit la glacière et une vaste toile qu'il étala sur l'herbe. Martine avait tout préparé à l'avance. Assise les jambes sur le côté, elle déballa le jambon, le saucisson, la salade et l'eau fraiche. Le couple se restaura en écoutant le chant des oiseaux que nul bruit ne venait perturber, si ce n'est quelques grondements dans le lointain. Roger commença à lorgner les cuisses bronzées de Martine. Un morceau de roi, pensa-t-il. Lorsqu'elle se promenait avec cette robe moulant ses seins lourds, les regards mâles suivaient cette pulpeuse quadra avec concupiscence et Roger le savait. Mais lui seul connaissait l'épaisseur de son pubis, le galbe charnu de ses fesses, la vigueur de ses cuisses et le moelleux de ses seins.
Pendant qu'elle rangeait la glacière et rassemblait les reliefs du repas pour les jeter plus tard dans une poubelle, Roger l'interpella :
- Dis donc chérie, je voudrais bien mon dessert maintenant.
- Quoi ? Mais tu l'as mangé !
- Non, pas celui-là. Celui qui est entre tes belles cuisses. J'ai envie d'y mettre la langue et de le déguster.
- Et puis quoi encore ? On est en voyage et on a encore de la route à faire. On verra plus tard. Et en plus, quelqu'un pourrait venir.
- Il n'y a pas un chat à la ronde. Et puis, j'ai besoin de me détendre avant de reprendre le volant.
- Je ne sais pas si tu es au courant mais ça tonne depuis un bon moment. L'orage ne va pas tarder à arriver, espèce de cochon écervelé.
- Il est encore loin. J'ai largement le temps de te taquiner le bouton. Allez sois gentille !
Alors que Martine continuait de protester, Roger réussit à glisser sa tête entre les genoux de son épouse, qui serra les cuisses en essayant de le repousser. Mais Roger avait de la force et après une courte lutte, sa langue entra en contact avec la fente encore humide d'urine. Ce n'était pas pour le décourager, bien au contraire et il se mit à laper avec énergie. Dès lors, la pression des cuisses de Martine se relâcha et toute la bouche de Roger prit possession de la vulve. Martine renonça à toute résistance et s'allongea. De la cyprine envahit le menton de Roger dont la tête était maintenant sous la main ferme de Martine, lui interdisant de se retirer. Elle ronronnait en roulant les hanches, tout entière à son plaisir offert par la langue agile de Roger. Celui-ci la mena sans difficulté à l'orgasme, le visage tout barbouillé de sa mouille. Martine cria en se cambrant, les ongles plantés dans la nuque de son lécheur. Puis elle se détendit :
- Salaud, tu m'as encore fait jouir contre mon gré.
Roger se releva. Son short marquait une spectaculaire excroissance et il s'en débarrassa pour exhiber un pénis hors normes, totalement décalotté.
- Chérie, tu ne peux pas me laisser dans cet état, il faut que tu me suces.
- Mais tu n'entends pas l'orage, ma parole !
- Allez, sois gentille, suce-moi.
Et il lui mit sa queue sous son nez. Il savait que Martine ne résistait pas à son gland à hauteur de sa bouche. Et de fait, elle le goba goulûment, à genoux. Au début, elle se contenta de tenir sa queue d'une main et de palper ses couilles de l'autre, activant sa succion pour précipiter son éjaculation. Mais Martine aimait se masturber en taillant une pipe et elle délaissa les couilles pour son bouton tout en continuant de pomper. Roger, à genoux lui aussi, se laissait aller, attendant le moment propice pour la pénétrer. Surtout, ne pas brusquer les choses. Et de fait, arriva l'instant tant attendu où Martine se saisit du cordon derrière son cou pour le dénouer. Elle prit sa robe par le bas, la fit passer au-dessus de sa tête et s'allongea à demi, cuisses ouvertes et coudes sur la nappe :
- Baise-moi maintenant, tu m'as mis le feu, éteins-le.
Alors, Roger prit tout son temps pour retirer son tee shirt et exhiber son corps parfait, musculeux et bronzé, laissant Martine l'admirer et piaffer de désir.
- Allez, viens vite, défonce-moi !
Loin de la prendre au mot, Roger s'enfonça lentement en elle, laissant son gland forer son passage à petits coups. Martine enfonça ses ongles dans ses fesses caramélisées pour l'inciter à approfondir sa pénétration tout en le houspillant :
- Salaud, tu me fais languir, baise-moi bon sang !
Alors, Roger déclencha sa mitraillade, de toute sa longueur, de toute sa raideur, et Martine gueula en ruant à sa rencontre. Bras tendus, les yeux dans ceux de sa femme, laquelle l'encerclait maintenant de ses cuisses, il pistonna comme un moteur à plein régime. Martine feulait, roucoulait, gémissait, bramait au rythme du travail de la bite.
- Surtout, ne t'arrête pas, continue, continuuuue...
Roger se sentait costaud et capable de retenir son sperme pour profiter de la grande forme sexuelle de Martine, de la houle de ses seins à chaque coup de boutoir, de ses ardents mouvements de hanches et de son langage de plus en plus cru, à faire rougir les pinsons. Elle le força à basculer sur le dos pour le chevaucher et Roger put lui empoigner les melons à pleines mains pendant qu'elle faisait virevolter son plantureux derrière en lançant de sonores interjections. Il ressentit alors une petite goutte d'eau sur son visage, puis une deuxième et carrément la pluie. L'orage venait d'éclater dans un roulement de tambour. Ce fut comme si les vannes s'ouvraient d'un coup. Martine devint soudain inondée de pluie, sa crinière brune collée sur son visage. Mais elle continuait de le chevaucher avec une ardeur décuplée, tantôt à genoux, tantôt accroupie, comme si l'orage la stimulait. L'eau tiède ruisselait entre ses deux gros nichons et entre la raie de ses fesses, éclaboussant Néral au final, mais le couple continuait de baiser avec une énergie décuplée :
- Hou, quel pied ! lâcha-t-elle, le visage rayonnant. Et ruisselant.
Soudain, un éclair zébra le ciel. Martine sursauta et s'immobilisa.
- Tu veux qu'on se mette dans la voiture ? interrogea Roger.
- Non, c'est trop bon, on a jamais fait ça comme ça. Prends-moi par derrière.
Et Martine se mit à quatre pattes, cul bronzé et luisant levé. Roger positionna sa bite avec la main et percuta le fessier trempé. Les corps clapotèrent au contact des sexes et de la peau humide. Néral voyait la pluie marteler le dos bronzé de son épouse, qui baissait la tête pour regarder les couilles de son mari balloter en cadence. Elle libéra une main pour les presser et Néral jubila devant cette initiative. Décidément, sa Martine était insurpassable dans l'amour.
- Oui, vas-y, encule-moi, lâcha-t-elle.
Il n'eut pas besoin d'humidifier l'anneau, d'autant que les sphincters de Martine se relâchaient très vite. Pénétrée jusqu'à la garde, elle remuait sa croupe avec allégresse tandis que la pluie faisait sur son dos de véritables éclaboussures, comme un massage de spa. Quand un nouveau coup de tonnerre déclencha un torrent d'eau qui tétanisa le couple en pleine action. Cette fois, le coït pluvieux s'interrompit.
- Viens, on va finir dans la voiture, décréta Roger.
Le couple nu se détacha et Roger invita son épouse à s'allonger sur la banquette arrière. Martine était un peu embarrassée, le dos cassé contre la portière mais elle jeta un pied sur le siège avant et un autre sur le siège arrière, ouverte et disponible :
- Allez, finis-moi, je suis archi mûre.
Complètement tordu, un pied sous la pluie et un pied au sec, Roger s'enfonça une nouvelle fois, la bite palpitante et martela le plaisir dans l'inconfort jusqu'à ce qu'il sente Martine sur le point de jouir. Alors, il libéra sa queue pour sacrifier à l'ultime plaisir de sa femme : la dégustation séminale. Le sperme jaillit sur le ventre perlé de pluie et de sueur de Martine, laquelle téta les dernières gouttes de la semence de son mari en se léchant les babines.
- Ouf, quelle partie de cul, on s'en souviendra, souffla-t-elle.
- Oui, et pourtant, tu t'es fait prier.
- Mais chéri, c'était pour te rendre plus viril... J'en avais autant envie que toi.
- Ah les femmes... Bon mais maintenant, il faut sortir, tout est resté dehors.
Le couple se jeta sous l'orage dans le plus simple appareil, ramassa ses vêtements saturés d'eau, rangea la glacière dans le coffre et se glissa aux places avant sans même avoir enfilé un slip.
- On va rouler un peu comme ça et on s'arrêtera pour s'habiller dans un coin tranquille quand il ne pleuvra plus, décréta Roger.
Le seul problème est qu'il plut longtemps. Roger évita de doubler pour ne pas trop exposer les seins de Martine, bien visibles derrière la vitre avant légèrement embuée. Quelques chauffeurs de poids lourds faillirent en perdre le contrôle de leur engin, d'autant que le pubis brun de la passagère était lui aussi fort exposé en haut des cuisses dodues Mais l'intéressée y trouva une satisfaction de son petit penchant à l'exhibition.
Finalement, c'est habillé (sommairement) que le couple rentra chez lui. Très excité par son aventure. Tellement excité que Roger n'eut pas besoin de forcer beaucoup Martine pour la culbuter sur le canapé du salon devant la télévision, après que tout fut rangé. Mais cette fois, il ne pleuvait pas. C'est seulement le lendemain que Martine s'aperçut qu'elle avait oublié son sac à main dans la fameuse clairière.
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