La Ferme 4

Quand je me suis réveillé , François me regardait en souriant. J'ai débranché les fils. il bandait comme un âne et j'ai pas résisté à lui faire une pipe. Son gland me remplissait la bouche et je ne pouvais que tourner la langue autour, mais ça lui suffisait et il s'est cambré pour m'envoyer son jus dans la bouche. Il m'a dit d'attendre la fin des jets puis m'a relevé et roulé une pelle, mêlant son jus à nos salives. Une fois que j'ai eu tout en bouche il s'est reculé.
-Avale tout, mon maître de la nuit.
J'ai avalé en le fixant.
-Va te laver en premier. Je vais réveiller Pascal et on se voit au déjeuner. Tu arriveras à ôter le gode tout seul ?
-T'inquiète pas, Je suis ouvert comme une vraie femme et il va glisser tout seul.

Il est parti je me suis retourné vers Pascal. J'ai trouvé le drap humide et une fois réveillé il m'a expliqué avoir imaginé le gode en François et il n'avait pas pu se retenir.
-Je ferai la lessive et changerai les draps.
-Oui mais en attendant tu vas descendre préparer le café, très fort. Rappelle toi qu'on a de la visite.
-Oui ok Manu, je descends.

Il a sauté du lit, et voir ces petites fesses remuer à coté m'a foutu la gaule. J'ai attendu que François finisse sa douche, et quand il est passé dans le couloir je lui ai rappelé la visite de Marc.
-Pour le recevoir on mettra tous des shorts de jogg. J'en ai de toutes les tailles mais j'ai ôté le slip intérieur. Au fait tu devrais porter des poids aux couilles comme moi, mais descends, Pascal a fait du café fort. Il devait se faire pardonner d'avoir joui en douce en imaginant le gode dans tes fesses.
François a souri en me fixant des yeux.
-Ok je t'attends en bas.

J'ai filé sous la douche. J'avais changé de chaudière il y a peu et je ne le regrettais pas. L'eau chaude coulant sur moi puis avec le douchette, en moi, m'a remis à neuf et d'attaque. Je suis descendu les cheveux en bataille, l'odeur du café montait jusqu'au premier.

Pendant la descente de l'escalier François ne m'a pas quitté de son regard souriant. Pascal m'a servi le café disant qu'il remontait changer les draps et mettre les anciens à la machine, nous laissant seuls
-Tu sais Manu je ne regrette aucun des mot que je t'ai dit cette nuit. J'aime ta queue, ton cul et tes idées. Je dois être un peu maso.
-Tu oublies le coté sado que j'ai aimé moi aussi. Je crois qu'on a tous un coté maso. Si plus tard tu rencontres un autre mec, essaie de trouver son point maso et tu le verras bander comme un beau diable en ayant mal.
-Ben, ce n'est pas dans mon programme immédiat puisque je t'ai et tu m'as.
-Sympa mec.

J'ai bu le café les yeux dans les siens. Par habitude j'ai chopé mon portable ; il y avait deux sms de Marc. Un d'hier me confirmait sa venue et un de ce matin me disait qu'il venait avec un pote de rencontre en boite cette nuit mais uniquement passif et à décoincer comme il faut. J'ai fait lire les sms à François qui a demandé ce qu'il voulait dire par « le décoincer ».
-Allons , t'es pas à Paris ici. Les homos du coin sont du style à ne pas se faire remarquer et plutôt pudiques. C'est vrai qu'ici question pudeur, on n’en a pas trop ! Pascal est descendu. Tu lui as expliqué pourquoi j'ai changé les draps ?
-Ben oui. Il arrive de se laisser aller quand on a de l'imagination. Bon au fait. J'ai ouvert une armoire pleine de shorts de jogg, plus ou moins échancrés aux cuisses et plus ou moins courts. Choisissez celui qui vous va le mieux entre les tailles et les formes.
François m'a fixé.
-Je peux choisir pour toi ?
-Si tu veux, j'ai répondu amusé.
Il a fouillé un peu et en a mis deux ou trois collés à la taille avant d'en choisir un.
-Enfile le. Je sais qu'il ne cachera pas grand chose mais je veux que tu portes celui-là.
Il était court, élimé et largement fendu sur le coté, laissant passer le poids fixé à mes couilles.
-Tu veux qu'on voie la marchandise direct, c'est ça ? Ok je le garde.
Tu mets lequel toi ?
-Le rouge , bien ouvert aussi sur les cotés et bien moulant.
Pascal lui avait mis un des shorts les plus larges, pas très ouvert mais avec les jambes larges .
-Bon, on va finir le café. Tu pourras en refaire pour leur arrivée. On les attendra sur les bains de soleil. Connaissant Marc il doit avoir envie un maximum et ne va pas tarder. Tout dépend où son pote a dormi.

On est allé s'allonger tous les trois. Je devinais le sexe de François tendu qui soulevait son short, me laissant voir une couille par la jambe du short. C'est vrai qu'au soleil on était très bien. J'allais m'endormir quand j'ai entendu le bruit du 4X4 de Marc. Le temps qu'il se gare on était debout et on allait vers eux. Marc toujours beau gosse, avec un petit air de salope et celui qui l'accompagnait, nous a tous bluffé. Impossible de dire son âge entre 15 et 25, traits fins, longues jambes, torse court, mains fines il avait mis un short de scout avec un débardeur et on ne voyait pas un poil ! Ni sur les bras ni sous, quand il a refermé la porte du 4X4.
-Hé ben Marc ! Il a quel âge ton pote ?
-Je sais ça surprend il m'a dragué toute la soirée. Il a 20ans mais totalement passif et... encore puceau !
-Ben on va arranger ça. Entrez, mais je vous présente Pascal (pas touche il est mineur, il regarde mais on y touche pas. il est sous ma tutelle) et voila François, mon grand ami et moi je suis Manuel. Lui c'est comment ?
-Dominique mais tu peux l'appeler Dom.
-Ok cool on prend le café de bienvenue ? Pascal en a fait du frais. Toi Marc mets toi en tenue ; j'aime te voir un peu travesti. Juste comme il faut.
-Ok.
Il a enlevé ses chaussures et son pantalon, il portait des bas noirs et un porte jarretelle noir avec un string noir aussi. Il a enfilé des hauts talons sortis d'un sac.
-Voila. Je sais que tu aimes la simplicité. Je vous plais ? Il a fait le tour du groupe des yeux. Bon ok je vois que je plais. Et toi Dom, mets toi à l'aise.
En slip tu seras mieux. Il commence à faire chaud.
Il a rougi mais a commencé par ôter le débardeur montrant qu'il se rasait les aisselles puis encore plus rouge a baissé son short. Il portait un petit slip qui ne cachait pas qu'il devait se raser et avait une petit bite quand il était pas à l'aise.

On a bu le café , je bavardais avec Marc sur les nouvelles du coin.
-Tu sais on parle de toi jusqu’à Mende! Le coup du procureur c'est vrai ?
-Oui mais je peux pas trop en parler tant qu'il n'y a pas jugement. Dis donc Tom, pourquoi tu serres les cuisses comme ça ? T'as peur que ta bite s'envole ? François, mets le à l'aise. Je suis sur qu'une pipe lui fera du bien. A moins que toi Dom tu ne te lances ? On est tous homos actifs et passifs alors laisse toi aller.
Je voyais la main de François remonter sur sa cuisse. J'ai emmené Marc dans le hangar.
Toujours adepte de la cravache pour commencer ?
-Oui maître. Pascal reste la ?
-Oui il regarde et je sais que tu aimes ça aussi.
Je lui ai passé une corde à un poignet, corde reliée à un poteau et j'ai fait la même chose à l'autre. -----Cambre toi bien, fait ressortir tes fesses.
J'ai pris la cravache avec un bout de cuir plat au bout et j'ai cinglé ses fesses, sans prévenir. il a poussé un cri.
-Ho maître! oui!
Je l'ai bien chauffé à coup de cravache avant de découper son string de chaque cotés, le laissant tomber entre ses cuisses. Il bandait et j'ai récupéré de sa mouille pour en enduire son anus.
-T'es déjà prête pour un mâle ?
-Toujours maître.
-Et bien pour te tester, c'est Pascal qui va t'enculer. On n’a pas le droit d'y toucher mais lui a des besoins à satisfaire. Tu veux te faire sucer avant, Pascal ?
-Ouais une chienne pareille doit savoir faire ça très bien.
Marc n’a rien dit, surveillant la queue qui se pointait vers lui. Il a ouvert la bouche et a commencé à sucer.
-Mieux que ça! Applique toi un peu.

J'ai regardé derrière moi.
François était là avec Dom qui avait les yeux sortis de la tête.
-Putain la chienne comment elle obéit !
François a passé la main dans son slip gonflé et a sorti sa queue par une des jambes du short.
-Et si tu goutais ça pour commencer.
-Mais...
Il avait les yeux brillants à mater la queue.
-Aller lance toi ! On est entre pote et vire ton slip, t'es trop serré là dedans.
Tout en fixant la queue il a baissé le slip et s'est accroupi devant le sexe de François.
-Encore un effort, t'en meurs d'envie.
Il a pointé la langue sur le gland impressionnant puis s'est lâché et l'a gobé ; sa bouche plus large lui permettait de sucer.

Je me suis retourné vers sur Pascal et Marc.
-Encule le, Pascal. Il va me sucer pendant ce temps.
Pascal n'a eu aucune peine à enfoncer son membre et a commencé à donner des coups de butoir sur sa fente. Marc s'est avancé pour gober mon sexe du peu de distance que lui laissait la corde.
-Oui c'est bien ma grande t'es une bonne femelle.
On était tout les cinq bien engagés dans une bonne partie de cul. J'ai fait signe à François que Dom se recule un peu et j'ai pu passer le doigt dans sa raie encore vierge. Il a serré les fesses aussitôt calmé par une claque sur les fesses.
-Bouge pas! Écarte les plutôt. Va falloir apprendre à offrir ce qu'un mec veut. Là c'est mieux. Pense aussi à ce que tu fais ! Suce bien.
J'avais trouvé son trou et je frottais le doigt dessus.

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