Vacances 2015 Première Partie
Nos vacances 2015
Première partie
Cette année, nos vacances ont été un peu perturbées : notre camping-car a rendu lâme quelques jours avant, nous avons donc loué en dernière minute un gîte à la campagne, les locations restantes en bord de mer étant particulièrement chères et non adaptées ou en mauvais état.
Nous avons donc loué un gîte de 4 personnes pour nous deux en Normandie à 40 km de la mer.
Lorsque nous sommes arrivés, nous sommes tombés sous le charme du lieu et de lhabitation.
Le lieu, un bel endroit entouré de verdure bien fleuri, sans voisins et avec une belle vue sur la campagne.
Lhabitation, une petite maison avec tout le confort flanquée dune grande véranda sur toute sa longueur et bien ensoleillée.
Les propriétaires, habitants dans un « relais de chasse » à 200 mètres nous ont réservés un très bon accueil avec de petites intentions bien agréables comme des ufs frais et des chocolats. Lors de létat des lieux, nous avons discuté de banalités, mais je dois dire que le ton était chaleureux des deux côtés, la propriétaire, une grande femme dune soixantaine dannées bien conservée nous faisant léloge de sa région en même temps que de presque confidences sur sa vie dans ce lieu et sur son mari (absent les trois premiers jours).
Elle nous a invités pour un apéritif vers 19 heures.
En vacances, surtout les premiers jours nous aimons êtres seuls, mais nous ne pouvions pas refuser une si gentille invitation
donc à 19 heures, nous sommes arrivés au relais de chasse.
Première surprise, Suzanne, cest son prénom, nous attendait vêtue à la vietnamienne, elle portait une longue tunique fendue, fluide et colorée sur un pantalon assorti gris clair. Elle avait détachés ses cheveux coiffés laprès-midi avec une queue de cheval qui lui donnait un air un peu « rigide », ses cheveux donc lui tombaient sur les épaules en lui donnant un air bien plus doux.
Je me suis aperçu immédiatement quelle ne portait pas de soutien-gorge, de petits seins qui semblaient bien suspendus et ses tétons pointant sous le tissu .
Jen ai fait part à Clara en lui disant que Suzanne me plaisait beaucoup et mattirait déjà.
Nous avons 58 et 57 ans, cest à dire le même âge que notre hôtesse et nous aimons de temps en temps pimenter notre sexualité daventures diverses et variées.
Suzanne est revenue avec un plateau, elle a posé nos verres devant nous , une assiette de charcuteries locales taillées en fine tranches
visiblement, elle aime les bonnes et fines choses, ce que nous aimons également.
Elle sest assise face à nous, nous a servi un verre de « coteaux du layon » vin Angevin que nous connaissons bien dans notre région.
La discussion a roulé sur lactualité, ce quil y a à visiter dans le coin et sur nos familles et nos origines.
Nous nous sommes aperçus rapidement que pas mal de choses nous rapprochaient, notamment la question de la liberté des uns et des autres, y compris dans le couple. Ceci étant sans doute dû à notre âge et à la libération post 68, libération pour les femmes bien sûr mais également libération des pratiques sexuelles dans le couple et hors couple. Cest lors de cette première discussion que nous avons appris que Suzanne aime profiter de la vie, que même si son mari à « baissé en régime » (ce sont ses mots) elle avait encore une libido bien fournie, nous avons compris que, de temps en temps, notre jolie et sympathique hôtesse se laissait aller à des aventures hors couple.
Nous lui avons confié que nous, il nous arrive de faire lamour avec dautres couples, dautre hommes et bien plus rarement dautres femmes. Elle a semblé tout de suite très intéressée par cela, nous demandant doucement si nous voulions bien lui décrire quelques-uns de ces « extras »
Cest Clara qui lui a expliqué ce quelle aime dans ces moments, ce quelle ressent, ce qui la fait jouir et ce que moi jaime lui voire faire
et subir.
Nous navons pas vu lheure passer et je me suis sommes aperçus que la nuit tombait et jai dit à notre hôtesse que nous étions désolés davoir abusé de son temps. Suzanne ma répondu : ho non Peter, vous navez pas abusé de mon temps, car croyez moi, mes soirées sont très très rarement aussi charmantes et aussi..intéressantes. Elle a continué en chuchotant « ni aussi sympathiques et encore moins si
. excitantes »
Clara la remerciée de sa franchise, Suzanne lui a répondu : je me fais violence pour vous parler ainsi de mes sentiments et de mes émois
jamais je nai encore eu la chance de partager cela avec un couple comme le vôtre et croyez-moi cela ma émoustillée au point que mon intimé est bien humide
mais vous allez penser que je suis
.
Une belle femme dans toute sa force physique et mentale nai-je pu mempêcher de lui répondre.
Clara la rassurée tout en lui disant : Suzanne, nous allons vous laisser pour ce soir, nous ne voulons pas profiter de votre trouble pour vous forcer la main, mais sachez que vous ne me laissez pas indifférente et connaissant mon Peter je puis vous assurer que lui non plus nest pas indifférent à votre charme ! en disant cela, elle passa une main juste sur ma braguette
et de dire, je vous confirme Suzanne que vous lexcitez !
Nous avons donc quitté Suzanne avec sa promesse quelle viendrait prendre le petit déjeuner avec nous le lendemain.
A peine arrivés dans le gite, nous avons fait lamour très rapidement car lun comme lautre ne pouvions contenir notre excitation bien longtemps : en quelques minutes dune bonne baise sans préliminaires et «à la hussarde » nous avons joui en même temps, je me suis répandu dans le con de Clara en longues giclée dun plaisir intense..
Puis nous avons dinés, pris une douche et avons refait lamour longuement cette fois avant de nous endormir enlacés.
Le lendemain, cest une bonne odeur de café qui ma tiré des limbes du sommeil et pourtant, Clara dormait encore à mes côtés, reprenant mes esprits, jai compris que ce ne pouvait être que notre hôtesse qui était à nous préparer ce petit déjeuner.
Je suis donc remonté, jai enlevé mes vêtements et me suis « coulé » sous la couette près de ma douce, jai pris le temps de lui caresser tout doucement le visage, puis une fois que jai été sûr quelle était réveillée mais quelle gardait les yeux fermés pour en profiter mes mains sont descendues sur sa poitrine, je lai frôlée, puis massé les globes doucement, puis plus fort pour terminer sur ses tétons qui ont immédiatement répondus en sérigeant
Jai donc appelé doucement : « Suzanne, Suzanne
» elle ma répondu : « encore 5 minutes » , ne bougez pas attendez moi tous les deux.
Clara visiblement ny comprenait rien, je lui ai donc expliqué en chuchotant de quoi il retournait chose à laquelle elle ma dit que cela la gênait un peu de profiter de loccasion.
Suzanne est montée avec un plateau bien rempli de différentes victuailles et portant deux bols de café, elle a posé le tout sur une petite table du côté du lit ou se trouvait Clara, puis elle sest assise en face à plusieurs mètres du lit dans un petit fauteuil de cuir.
Elle nous a dit : jaimerais vous regarder prendre votre petit déjeuner et que vous ne fassiez pas attention à moi, faites comme si je nétais pas là et surtout Peter ne vous rhabillez pas, même si vous devez vous lever pour approcher de la table, en disant cela, elle mapproché une chaise face à Clara.
Jen suis resté un peu « bouche-bée » , cest Clara qui ma dit, fais ce que Suzanne te demandes, et en plus ça me plairait bien de tavoir assis face à moi et nu
.merci Suzanne de ta demande, je te tutoie car je ne sais pas dire vous à une personne aussi sympa que toi. Quant à toi mon chéri tu vas nous vouvoyer toutes les deux et je te demande de faire tout ce que je te demanderais
compris (cela elle la dit fermement mais en me regardant avec une belle étincelle coquine dans ses yeux noisettes !)
Que voulez-vous, je me suis exécuté non sans y prendre un plaisir « troublé » et ho combien excitant.
Cest avec une belle érection que je suis sortis du lit et je suis allé massoir à table près de Clara afin que Suzanne soit comblée de notre vue.
Jai commencé à servir Clara qui ma arrêté dun geste en me disant : je ne tai encore rien demandé et jai une forte envie de changer un tout petit peu le scénario de Suzanne, dis-moi, tu veux bien ?
Notre hôtesse a immédiatement répondu en disant, oui Clara je te laisse décider car en plus je pense que tu as plus dimagination que moi.
Ces choses étant dites, chacun ayant accepté le deal de façon tacite, Clara a donc précisé sa demande : « Suzanne, tu vas nous servir tous les deux et je veux que tu toccupes de Peter tout au long du repas, tu le fait manger et pour le reste on verra ».
A suivi un joli tableau, Clara au lit, sur le côté et levée sur son coude gauche, les seins a lair prenant le temps de déguster son jus dorange et un croissant, moi, nu avec une érection de plus en plus forte, me laissant remplir la bouche par cette femme qui alternait, toujours sans un mot avec une gorgée de café ou de jus de fruit, puis elle ma fait déguster un yaourt. Ensuite elle ma essuyé la bouche. Cest là que Clara lui a « ordonné » : tu peux aussi lui essuyer le bout de la queue car il est tellement excité que sa bite coule du bout
Je me suis donc fait essuyer le méat par Suzanne
houa
quelle sensation ! Clara a aussitôt demandé à Suzanne daller chercher un récipient dans la cuisine pour me faire pisser devant elles
Suzanne nous a donc quittés quelques instants et est revenue avec un saladier
complètement nue cette fois-ci.
Elle a poussé la table, sest agenouillée devant moi, mai saisi la bite, a mis le saladier en dessous et ma dit laisse toi aller, tu vas voir, ce sera bon et jai tout mon temps. Clara lui a précisé, tu ne le branles pas, je veux quil pisse même sil bande après on verra !
Je me suis donc concentré sur ma vessie pleine et mon érection à un peu diminué, alors jai poussé sur ma vessie et commencé à pisser un tout petit filet. Il marrive de le faire seul, cest un peu dur au début mais ça procure un plaisir particulier (je me suis souvenu à ce moment que javais expliqué ça à Clara bien des années avant).
Jai donc pissé tout doucement en lorgnant sur le mont de vénus de Suzanne, un mont « à lancienne » bien touffu et visiblement jamais taillé un grand triangle gris recouvrant toute lintimité de la belle er remontant jusquau nombril ! Cette miction a duré pour deux raisons : ma vessie bien pleine du matin et mon érection qui sest remise à durcir au regard de la formidable toison contemplée.
Jai « lâché » les dernière goutte en petites saccades Clara a dit à sa comparse, pose le saladier et essuie lui le bout avec la langue surtout ne le branles pas !
Suzanne sest exécutée, elle ma léché tout le gland, en appuyant le bout de la langue sur le méat comme si elle tentait de me pénétrer
ce fut une caresse divine quelle a fait durer un bon moment.
Clara lui a alors demandé de me caresser la queue sur toute la longueur et surtout de ne pas me faire jouir « dès que tu sens que ça monte, tu arrêtes et tu attends » Pendant ce temps tu vas mexpliquer ce que cela te fait, vas-y tinquiètes pas on nest plus des gamins, lâche toi, tu ne le regretteras pas !
Suzanne a alors demandé à Clara de la questionner ce quelle a accepté uniquement parce que cest ta première fois
nest-ce pas ma belle ?
Sen est suivi le dialogue suivant : (C pour Clara et S pour Susanne)
C : Dis-moi, hier soir, ça ta bien excité notre discussion ?
S : oui sacrément
C : tavais déjà envie de jouir avant que nous arrivons hier après-midi ?
S : oui et ça faisait plusieurs jours
C : tétais donc en chaleur ?, cest pour ça que a mis cette tenue pour lapéro ?
S : oui je me suis dit que vous étiez bien sympa et quil pourrait se passer quelque chose entre nous
C : tentends Peter ce quelle dit, elle avait déjà envie de baiser !
Moi, oui je vous entends Clara chérie
C : Peter tu va nous appeler toutes les deux maitresse Clara et maitresse Suzanne ! et pas de fantaisie, jusquà nouvel ordre nous sommes tes maitresses OK ?
Moi : oui maitresse Clara autant de temps quil vous plaira à vous deux maitresses
( ça me faisait bander encore plus dêtre dominé « soft » ainsi).
C : Bien Suzanne mon amie, continuons
C : une fois que nous sommes partis hier soir, tu test branlée
et certainement en pensant que nous allions faire lamour ?
S : oui et je me suis approchée du gîte et je vous ai vu faire lamour
ça ma tellement excitée que jai recommencé trois fois, ça ma épuisée et je me suis couchée sans diner
C : ben dis donc tétais vraiment en manque, et, sans vouloir te vexer, il fait quoi ton homme ? Quel gâchis avoir une si belle femme et ne pas sen occuper. Continue Suzanne racontes-nous tout.
S : ce matin, après avoir très peu dormi, je me suis masturbée plusieurs fois dans la nuit sans arriver à jouir, jétais encore très mouillée, javais mal aux tétons et encore envie de cul.
C : alors tu as décidé de nous rejoindre avant que nous te fassions signe ?
S : oui, jai remis la même tenue quhier soir et je suis entrée sans bruit, puis jai décidé de vous préparer le petit déjeuner.
Un moment de silence suivi ces mots, moment mis à profit par Suzanne pour changer de rythme autour de ma bite
voyant que je nallais pas tarder à jouir, Clara a dit à Suzanne :
C : Suzanne ma chérie, arrête de le branler, allonge toi près de moi et toi Peter, tu vas te branler doucement et quand je te le dirais tu giclera ton foutre sur nous.
S : merci jen ai tellement envie !
C : depuis combien de temps ta pas vu un homme se branler et juter sur toi ?
S : au moins 10 ans.
C : Ben dis donc ton mec cest plus un mâle !
S : Si mais nous faisons lamour dans le noir depuis plus de 10 ans
et il ne jouit que dans ma chatte.
C : Allez esclave tu te branle bien au-dessus de nous deux, à 1 je veux ta main en haut de ta bite et à 2 en bas
1 ,2 ,1 ,2 1, 2
Ainsi jai suivi le rythme donné par ma belle, jétais debout sur le lit, les jambes écartées une de chaque côté de mes deux maitresses lovées lune contre lautre ; position tellement inconfortable que mon plaisir à diminué et que jai pu tenir longtemps. Clara me faisait changer de vitesse, me palpait les couilles et y posait la main de Suzanne dessus. Les caresses couillières mont fait un bien fou comme leurs deux doigts planté dans mon rectum qui ont suivi. Quand jai senti que jallais jouir, Clara ma dit darrêter et a empoigné ma bite quelle a serré assez fort sans bouger, elle a dit à Suzanne de menculer bien à fond et tout en me serrant les couilles dune main elle ma branlé très vite et très fort de lautre (elle sait que cela fait durer mon orgasme et que davoir le cul rempli me fait gicler plus longtemps, plus fort et en plus grande quantité) à la première giclée elle ma dit, crie ton plaisir vas y laisse toi aller
. Ce que jai fait avec une orgasme dune intensité très rare, il fait partie des meilleurs que lon compte sur les doigts dune main !
Je les ai arrosées copieusement toutes les deux sur leurs seins et leurs cou (cest Clara qui « visait »).
Ne tenant plus debout, je me suis affalé sur le lit près delles et je ne sais comment elle la fait mais les doigts de Suzanne qui me massaient le conduit sont restés bien en place ce qui ma permis de bien savourer ma jouissance et dapprécier ma « descente ».
Nous sommes restés ainsi 10 bonne minutes tous les trois emmêlés, Clara une main sur la chatte et Suzanne deux doigts dans mon fondement et lautre main étalant mon sperme sur ses seins
.
Clara est sortie de sa léthargie et a ordonné à Suzanne de me « désenculer » ( ce sont ses mots) dun seul coup. Jai ressenti une vive douleur courte puis est venue cette sensation de bienêtre qui suis lamour.
C : esclave, sors de notre lit, débarrasse nous de ton jus de couille avec une serviette pour ma chérie, tu passes bien partout je te surveilles (tu parles comme si jallais en rater un cm2).
C : à mon tour, essuie moi
.bien, maintenant viens nous lécher nos chattes Suzanne met toi en face de moi comme ça on pourra profiter de la vue à tour de rôle !
Je me suis donc employé à nettoyer les deux chattes bien odorantes de la nuit, ça ma filé un sacré gourdin que Suzanne a repéré la première :
S : Dis-moi ma chérie, ça fait tellement longtemps que je nai pas eu une autre bite et aussi une plus grosse que celle de mon mari que jen ai envie
tu ne peux pas savoir !
C : fais-moi confiance, tu vas lavoir, mais cest moi qui vais décider
S : bien ma chérie
Jai donc léché, sucé, doigté mes deux maitresses une bonne demi-heure, les deux ont râlé leur plaisir à tour de rôle Suzanne en premier
puis Clara a commandé :
C : Suzanne, tu vas tallonger sur le dos, les jambes bien remontées, tu les tiens comme ça avec les mains
bien maintenant je vais técarter le con et guider la pine de lesclave dedans. Ce qui fut fait derechef, moi, la bite tenue et guidée par la main de Clara et qui entrait et sortait de la vulve de notre complice qui sest mise à feuler, à trembler de partout lorsque mon nud était à lintérieur de son puits je le sentais palpiter autour de mon gland
Clara nous a « manuvré » un bon moment, Suzanne ne faisait que jouir, orgasme sur orgasme elle en a bien eu 20 « montées » de suite. Clara lui disais doucement : vas-y ma belle prends le ton pied, jouis tant que tu veux, gueule nous ta jouissance
tu es belle à voir avec la pine de Peter dans le con (tiens je nétais plus traité desclave) tu sais, cest un fameux baiseur et sa pine est infatigable (elle exagère toujours) et toi mon chéri, est-ce bon ?
Tu le sais bien lui répondis-je jadore baiser et là cest super bon !
C : Suzanne, est-ce que tu veux terminer seule avec lui
je me branlerais en vous regardant..
S : ho oui jen ai encore tellement envie mon amour
C : aller Peter, baises la bien à fond, elle le mérite bien.
Cest ainsi que jai encore besogné Suzanne quelques longues minutes et que je me suis répandu sur sa toison avant de me replanter dans son con afin de la laisser redescendre remplie de mon vît
.
Il était déjà 11 heures ! Et tous les trois étions « ramollos », nous avons donc fait une sieste « matinale »
Je me suis levé à 12h, jai quitté la chambre sans bruit, fermé la porte derrière moi, je suis descendu au rez de chaussée pour prendre une bonne douche et , ensuite faire la vaisselle et ranger nos affaires. Jai préparé un repas léger et jai attendu que les deux complices se réveillent, chose quelles nont fait quaprès 15 heures.
Cest Suzanne qui est descendue la première, nue car rappelez-vous notre réveil
je lui ai proposé de laider à prendre sa douche, ce quelle a accepté en me disant
ho lala ça va encore mexciter.
Je lai savonnée doucement sans bien sur oublier les replis de son intimité bien poilue et sa rondelle bistre
et poilue aussi .Ensuite je lai séchée et lui ai proposé de lui tailler la motte tout en lui expliquant que je nallais pas la diminuer en taille, juste « léclaircir » et lui donner une allure plus sexy.
Moi, jadore les touffes aux poils plus courts sur les côtés et plus denses au milieu et au-dessus de la fente
Jaime beaucoup les toisons hautes qui remontent jusquau nombril en forme de losange aux poils courts en haute et sur les côtés et plus dense en descendant vers le milieu. Quelques millimètres sur le pourtour pour 1.5 cm maxi au centre de la motte.
Alors je lui demandé de sallonger sur le dos sur la table de la cuisine et je me suis mis à louvrage je lui ai coupé toutes les « touffes rebelles », jai égalisé le pourtour de cette belle motte, je lui ai taillé les bords plus courts et jai laissé une longue raie au centre avec les poils plus longs
Ensuite, je lui ai rasé les grandes lèvres, lentrejambe et la raie culière
jai bien repassé sur son illet « bistre » et en ai profité pour tester sa souplesse en y introduisant un puis deux doigts
Puis je lai enduite de crème hydratante et apaisante pour les parties rasées et pour son pubis je lai coiffé et « laqué »
Jai terminé par une photo souvenir en gros plan et je dois dire que jétais satisfait de mon travail.
Ceci a complètement changé lallure de Suzanne ainsi « entretenue » elle parait bien plus jeune tout en gardant cette sauvagerie naturelle qui va si bien aux femmes mures (et moins mures dailleurs). Dailleurs elle se tenait bien plus droite, fière de montrer sa touffe et ses jolis seins bien perchés malgré son âge, ainsi parée elle retrouvait une allure de femme fière de son corps et bien plus sexy.
Elle-même me la confirmé cela lui donne plus dassurance et elle se sent plus belle et désirable.
Vers 16 heures, Clara est descendue avec un air mutin, elle sest mise à table sans dire un mot, a pris sa douche, sest vêtue dun petit haut assassin et dune jupe bien courte, maquillée légèrement, parfumée discrètement et portant les bijoux que je lui ai offert lors dun voyage à Venise : boucles doreilles, collier , bague et bracelet en véritable « Murano » ceci achevant de la rendre encore plus sexy. Jai deviné quen dessous elle portait un beau soutien-gorge enveloppant (un minimiseur) et quen bas seul le vent lhabillait.
Quand à Suzanne, elle venait de rentrer chez elle pour se changer.
Cest vers 19 heures que Clara ma demandé ce que je lui proposais de faire pour cette soirée en me disant : cest toi qui décide ; je me plierais à tes désirs mais jaimerais beaucoup que Suzanne se joigne à nous
pourquoi pas un bon restaurant ?
Je suis donc parti vers le pavillon de chasse, Suzanne était en short et débardeur « flashy » en train dentretenir des rosiers, cette tenue, ça se voyait nest pas habituelle pour elle et jai pensé quelle le faisait uniquement pour nous attirer.
Moi : dites-moi Suzanne ça vous plairait de vous joindre à nous pour diner dans un bon restaurant ce soir ?
S : Oui, mais à plusieurs conditions : je choisis le lieu et cest moi qui vous invites pour vous remercier de mavoir fait vivre un tel bonheur.
Moi : Pour moi, cest oui, mais il faut que jen demande la permission à Clara car notre petit jeu va durer pendant tout notre séjour
Jai appelé Clara avec mon portable et lui ait fait part de la demande de Suzanne, elle ma répondu : ok, cest daccord mais attends toi a le payer au prix fort ;;; tu nes même pas capable dinviter une femme !
Je dois dire que ce petit jeu, ces quelques échanges avec mes deux maitresses mémoustillaient déjà et que je le ressentais au niveau de mon boxer...
Sentit que jallais être « dominé » par deux belle femelles en rut me plaisait beaucoup et je me suis dit que jallais tout faire pour faire durer cette situation.
Clara nous a rejoint chez Suzanne déjà partie se changer..
Minutes à peine ont passé et une apparition sest faite sur le palier de lescalier du pavillon de chasse : grande, élancée, peu maquillée vêtue dune autre tenue vietnamienne en soie beige avec des motif sur léchancrure de la tunique, Suzanne était dune beauté naturelle à couper le souffle.
Elle sest arrêtée à demi escalier, a remonté sa tunique juste sous ses seins, nous avons aperçu un joli balconnet en dentelle blanche, puis de lautre main, elle a baissé le pantalon vague et fluide sur les cuisses et le jambes mais bien ajusté sur son fessier , elle la baissé juste pour nous montrer quelle portait un « slip tanga » très échancré qui couvrait vraisemblablement toute sa toison sur le devant. Ces slips ne sont plus à la mode depuis 20 ans mais cela lui allait si bien et je dois dire que je suis un tantinet nostalgique de cette lingerie qui malheureusement pour moi à été remplacée par le string.
Clara à applaudi et a complimenté Suzanne : tu es très belle ma chérie je pense que ce soir, cest moi qui vais te faire lamour devant notre esclave
Nous sommes partis, Suzanne au volant, Clara à ses côtés et moi derrière direction Bayeux ou notre hôtesse connait un bon restaurant sympa et discret.
Tout le long du repas, mes deux maitresses ont échangé des confidences sur leur vie et surtout sur leurs désirs, leurs fantasmes et jouissance
Cest ainsi que jai appris que Suzanne et son mari avaient été très complices, très amoureux et très actifs sexuellement jusquà lâge de 50 ans, la, Eric son mari a commencé davoir quelques soucis de santé comme de lhypertension, sen est suivi un traitement sans doute mal adapté qui lui fait baisser sa libido et diminuer ses érections. Leur complicité et leur intimité en a souffert, Eric senfermant peu à peu dans un mutisme et évitant les contacts charnels avec sa femme Bref une couple comme des millions qui na su ni réussi à passer ce cap
alors lhabitude sest installée, lamour semble toujours là mais le sexe non. Suzanne a expliqué à Clara que cela la minait, mais que étant toujours amoureuse de son mari elle faisait avec du moins pendant les 5 premières années ou quelques aventures ont pimenté sa vie intime
mais depuis 5 ans plus rien et elle sest laissée endormir et sest recroquevillée sur elle-même.. Cest les larmes aux yeux quelle nous a remerciés dêtre venu dans on gite.
Jétais assis en face de mes deux belles, je savourais les formes de leurs poitrines, opulente pour Clara et plus menue pour Suzanne dont je voyais clairement les tétons érigés sous la lingerie et la tunique.
Suzanne nous a demandés ce que nous comptions faire de notre soirée après le restau. Je nai rien dit pour deux raisons : jétais en position desclave et je ne savais plus très bien ce que je désirais, du moins dans quel ordre et avec qui. Comme depuis le début de notre séjour, cest Clara qui a répondu : tu sais ma chatte, jai envie de te baiser devant Peter, jai aussi envie de me faire baiser par lui après et toi Suzanne ? Moi, jai envie de vous aimer tous les deux cest tout, jai surtout envie de faire lamour avec toi Clara et ensuite de vous regarder, de vous aider et pourquoi pas de vous servir de jouet
..(holala, elle ne connait pas Clara pour qui ce genre de proposition ne tombent jamais dans loubli)
Ou allons-nous dit Clara, chez toi ou chez nous ?
Va pour chez moi répondit Suzanne je suis encore seule pour deux jours et deux nuits
on verra pour la suite !
Une petite heure après nous entrions dans le salon de lecture de notre hôtesse et quelle surprise, en lisant sur la tranche des livres de sa bibliothèque jai pu voir ce quelle contenait : ¼ de livres sur la psychologies, ¼ sur lhistoire et romans policiers, le reste étant surtout des BD, de romans à leau de rose, mais également pas mal de livres érotiques vois carrément pornos
face à moi, Suzanne à souris : « elle est pourtant bien fournie en excitants non ? hé bien ça na jamais boosté Eric, quel dommage car ces livres moi me donnent des envies terribles de cul.
Asseyez-vous tous les deux, je vais chercher quelques boissons
Vite dit, vite fait, à croire que tout était déjà préparé à lavance, en deux temps trois mouvement elle est revenue avec un plateau couvert de boissons rafraichissantes et sans alcool (ce que je préfère dans ces cas-là).
Puis, elle sest reculée, a fait passer sa tunique par-dessus sa tête, elle sest arrêtée là pour juger leffet que cela produisait sur nous. Ma verge sest tendu dans mon boxer, quand à Clara elle passait sa langue sur ses lèvres et jai vu ses pointes de seins marquer le tissu de son haut
Alors Suzanne a continué son striptease dabord ses jolies chaussures à brides, puis son pantalon quelle a enlevé en nous tournant le dos avant de se retourner vers nous. Je ne sais pas vraiment comment expliquer cela, cétait beau, magique, sensuel, excitant et apaisant tout à la fois car nous savions que nous allions avoir bien du plaisir ensemble. Je nai rien dit, me contentant den prendre plein les yeux tout en savourant que mon aide lavait rendue bien plus belle que la veille je devinais les polis gris sous le tissu diaphane du tanga mais pas un poil ne dépassait de leur « coquille » , puis, vers le bas de la culotte se dessinai en relief la forme délytres de son sexe
Beau, cétait vraiment beau et cest pourquoi, Clara a mis lindex devant sa bouche et nous sommes ainsi resté un très long moment en pleine harmonie tous les trois, lexhibitionniste (amateur) en face de deux voyeurs totalement en admiration
Ces longues minutes, je sais que je vais les garder en mémoire jusquà mon dernier souffle et si cétait ma dernière pensée je crois que jen serais très heureux.
Cest Suzanne qui a rompu le long moment de charme en allant sassoir sur un des deux canapés. Elle a demandé dune voix rauque à Clara de faire comme elle ce quelle sest empressée de faire en ne gardant que sa jupe. Ensuite, Clara à rejoins Suzanne sur le canapé, elle lui a effleuré les lèvres dun doux baiser avant de la posséder plus fougueusement, leurs mains on alors fait un véritable ballet sur leurs seins et leurs monts de vénus, cuisses, dos , fesse, aisselles , cou nétant pas en reste
Clara : Peter, met toi à poil et viens nous montrer ta bite..
Je me suis exécuté avec plaisir, libérant mon sexe dressé de sa prison de tissus.
C : non ne te branles pas, tu nous la montre, cest tout, tu peux juste la relever ou la baisser
surtout pas daller retours : compris ?
Moi, oui maitresse
C : cest bien et S : tu auras une récompense
.
Je dois dire que jai vécu un moment de frustration, pensez : me tenir la bite en érection devant deux femmes se pelotant sans avoir le droit de me masturber, cest dur mais cest aussi tellement excitant et ça permet de durer dans le désir bien plus longtemps que la normale.
Mes deux maitresses sen sont donné à cur joie échangeant caresses et baiser, puis, petit à petit, Suzanne est devenus plus passive et Clara bien plus active et dirigiste !
Jai vu de bien belles choses : la langue de Clara dans la fente de Suzanne, ses doigts dans le con et dans le cul aussi, sa langue posée sur lillet de sa comparse en en faisant savamment le tour, puis de simmobiliser sur le centre de la rondelle
Les tétons de Suzanne gonflés à blocs ont eu droit à un traitement de faveur, langue, puis pincement, puis étirement le tout semblant lui donner beaucoup de sensations voluptueuses
Je ne puis tout vous décrire dans le détail tellement ce fut intense en émotions et en sensations, même pour moi !
Clara ma demandé daller dans la cuisine et den revenir avec tout ce qui a un manche
je suis donc parti en quête doutils
Jai ramené, un fouet avec un bon manche long mais fin, plusieurs ustensiles en téflon de différentes formes tous avec un manche pais toujours trop fin
Clara ma demandé dy retourner et de ramener des casseroles ou des poignées sil y en avait. Jy suis retourné (en profitant de me masturber) et jai fini par trouver le tiroir en question et la quelle joie, 5 poignées de casseroles amovibles (dune grande marque) et design attendaient daller visiter des intimités humaines.
Jai pris les cinq et suis revenu au salon le visage de Clara sest fendu dun grand sourire : dire que T
. (cest la fameuse marque) cest le bonheur de la ménagère est un doux euphémisme, vive les queues de casseroles amovible, cest quand même plus pratique
elle a éclaté de rire, Suzanne et moi aussi..
Ensuite tout sest enchainé très vite Clara a pénétré Suzanne par le con avec la première queue de casserole doucement, une fois celle-ci bien au fond du sexe, elle sest attaquée avec une autre a la belle rondelle lisse mouillant le tout avec sa salive
une fois Suzanne bien remplie Clara ma ordonné de lui faire de même seulement pas devant , je me suis exécuté sans rechigner, faisant entrer lobjet dans son con en douceur, le ressortant doucement et recommençant la manuvre autant de fois que nécessaire
Les deux femmes gémissaient de concert, moi, ny tenant plus jai pris une queue de casserole, je lai lubrifiée avec ma salive et je me suis sodomisé debout face à mes maitresses doucement dabord puis en rythme avec elles du liquide séminal sest mis à couler de ma verge moins dure grâce au massage de prostate fait par mon gode improvisé
.Clara ma dit salaud tu mexcite à tenculer comme ça devant nous, regarde ma chérie il sencule et il coule devant toi, ça ta plait ?
Notre hôtesse na pu répondre quen un long feulement accompagnant lorgasme salvateur devant tant de luxure. Je me suis laissé aller à « couler » encore un bon moment devant mes déesses..
Suzanne : maintenant, cest moi qui même la danse, tu veux bien Clara chérie ?
Clara : oui, fait moi jouir avant de me baiser avec sa bite, lèche moi le con et le cul !
Suzanne sest exécutée à son tour mais avec des hésitations montrant son manque dhabitude de la caresse lesbienne
Ceci na pas empêché Clara de monter très vite et de jouir une première fois sur les doigts de son amante. Ensuite Suzanne a pris tout son temps pour la préparer à lintromission de ma bite tout en lui parlant très doucement : tu vas vois, je touvre le con pour quil puisse y mettre son mandrin tu sais il est bien dur et bien gros bien plus que mon Eric
ton mec il fait au moins 18 de long et 6 de diamètre (là jexagère, elle ne la pas dit comme ça mais cest vrai, ce sont mes mensurations) je vais bien te préparer dabord le vagin, puis ensuite le trou du cul dans lequel je mettrais une poignée de casserole quand il sera rentré jusquaux couilles, dis-moi Clara tu aimes
C : oui, jaime quand tu me dis des saletés comme ça, oui jai envie de sa bite et de ton gode dans mon cul
Alors Suzanne ma regardé me faisant comprendre que le moment était venu pour moi denfiler ma garce de femme
Ce qui avait été dit fut fait, tout ce qui avait été dit
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Fin de la première partie
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